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insécurité - Page 632

  • Quimper. Claudine Dupont-Tingaud arrêtée pour avoir brandi la Une de Valeurs actuelles sur l’islam et le catholicisme

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    Source Breizh info cliquez ici

    Claudine Dupont-Tingaud, militante identitaire et catholique de longue date, s’est retrouvée ce samedi 11 novembre en garde à vue pendant 5 heures, à Quimper, en marge des commémorations du 11 novembre. Son « crime » ? Avoir brandi la une de Valeurs actuelles sorti vendredi 10 novembre sur lequel on peut lire « chassez le christianisme et vous aurez l’islam ».

    Insupportable pour le préfet du Finistère, Pascal Lelarge, qui fera intervenir plusieurs fois les policiers pour retirer les affiches portées par l’ancienne conseillère régionale, cette dernière en ressortant à chaque fois une nouvelle. Claudine Dupont Tingaud finira par se faire arrêter sous le prétexte d’un outrage à agent, et passera 5 heures en garde à vue, traitée comme une délinquante de droit commun. Elle sera convoquée en janvier 2018 devant le procureur.

    Dans un communiqué qui dénonce les atteintes à la liberté d’expression, cette dernière explique :  « après le déroulement de la messe en la cathédrale Saint Corentin (non signalée dans le presse locale, laïcité oblige t’elle ?) en souvenir de l’armistice clôturant la guerre 14-18 le jour de la Saint Martin, évangélisateur des Gaules, la présidente de REAGIR, je participais au cortège d’anciens combattants, d’officiels et de Quimpérois patriotes se rendant au carré militaire du cimetière Saint-Marc.» puis de poursuivre :

    « Je m’étais munie de la Une d’un hebdomadaire national présentant la statue du Pape Jean Paul II à Ploërmel, tant controversée pour être surmontée du symbole du catholicisme, et titrant « Chassez le christianisme et vous aurez l’islam » pensant que ce combattant, lui aussi, du communisme avait toute sa place au milieu d’autres Croix faisant rappel d’un autre péril : le retour de l’islam pourtant chassé et repoussé dans d’autres siècles de notre continent.»

    Claudine Dupont-Tingaud dénonce  «  le désir de mutiler la liberté d’expression que présentait ma pancarte et l’acceptation d’un danger qui devrait se faire lever de nouveaux combattants  comme ceux dont on célébrait la mémoire ce 11 novembre ! »

    Outre Pascal Lelarge, préfet du Finistère, participait à la commémoration notamment Ludovic Jolivet, maire de Quimper, accompagné des délégations militaires, d’associations d’anciens combattants et des représentants des corps constitués de l’État.

    En 2016 déjà, Claudine Dupont-Tingaud – qui fût jadis la plus jeune prisonnière de France appartenant à l’OAS – avait été arrêtée lors des commémorations du 19 mars 1962 à Pleyben, cliquez ici, toujours à la demande du préfet du Finistère, Jean-Luc Videlaine à l’époque.

    NDLR SN : sacrée Claudine !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les soldats du feu n’en peuvent plus !, par Bernard Latour, ancien officier de gendarmerie

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    Présent-Soldats-du-Feu-273x350.jpgLes soldats du feu sont de plus en plus victimes d’agressions. Ce ne sont pas les derniers chiffres de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) publiés ce mercredi qui contredisent cette affirmation.

    En 2016, un total de 2 280 sapeurs-pompiers ont déclaré avoir été victimes d’une agression en intervention, un chiffre en hausse de 17,6 % par rapport à 2015. Ces 2 280 agressions ont donné lieu à 1 613 journées d’arrêt de travail, un nombre là encore en hausse (+ 36,1 %) par rapport à l’année 2015 où les 1 939 agressions avaient signifié 1 185 journées d’ITT. Ces violences, conséquentes les années précédentes, avaient augmenté de 35 % durant la période 2007-2011.

    Ces chiffres corroborent les incidents survenus ces quinze derniers jours :

    – Dans un quartier dit « sensible » de Nîmes, dans le Gard, une ambulance, envoyée pour un feu de scooter, est accueillie par des jets de pierres, parpaings et cocktails Molotov. L’un de ceux-ci a failli enflammer l’habitacle du véhicule avec trois pompiers à son bord.Dans ce même département une autre agression a touché les sapeurs-pompiers d’Alès. Un homme passablement énervé, alors que l’on tentait de le calmer, a asséné un violent coup de poing au visage d’un secouriste qui a été légèrement blessé. À la suite de ces nombreux problèmes le mouvement de protestation de ceux qui luttent contre l’incendie a pris de l’ampleur. Deux cents pompiers nîmois en grève illimitée ont manifesté leur colère le 23 octobre au matin dans les rues de la cité romaine. Après s’être rassemblés devant l’hôtel du département, ils ont bloqué, à la gare SNCF, le TGV Lille-Europe et ont perturbé la circulation à la sortie de l’A 9 : Nîmes-Ouest.

    – À Vénissieux, les nuits du 24 octobre et d’Halloween furent particulièrement agitées. Les pompiers de Feyzin tombèrent dans un guet-apens : poubelles disposées en arc de cercle sur la chaussée pour bloquer l’accès, barrières de chantiers installées pour empêcher le demi-tour, et attaques avec des cailloux et des cocktails Molotov. À la suite de ces incidents, 300 pompiers, à l’appel des syndicats, manifesteront à Lyon début novembre pour dénoncer les violences subies régulièrement en intervention. Parti de la caserne Rochat, dans le 7e arrondissement, le cortège rejoindra la préfecture du Rhône où une délégation sera reçue.

    – À Toulouse et dans la périphérie, les pompiers font face à une recrudescence des insultes et des agressions physiques. Pris de plus en plus pour cible, ils ont été pour la première fois visés par un cocktail incendiaire.

    – Aux mêmes dates d’autres agressions de ce type étaient recensées, notamment à Nieuil (Charente), Saint-Denis (région parisienne) et Grenoble (Isère).

    Un ministère de l’Intérieur plutôt discret

    Face à ce phénomène alarmant, que dit le gouvernement ? Prend-il la mesure de la dangerosité de ces actions ?

    Absolument pas, le ministère de l’Intérieur continue à surfer sur un volcan,dénonçant simplement des actes d’« une bêtise sans nom » qui « doivent être punis très sévèrement. » Mais pas un mot sur les lieux symptomatiques où se passent ces attaques. 

    Alors posons-nous la question : pourquoi les pompiers sont aujourd’hui les premiers visés dans ces banlieues à risque ?

    Nous sommes dans des zones où le lien social a été coupé, des trublions souvent déscolarisés y végètent livrés à eux-mêmes, ils sont alors pris en main par des chefs de bandes qui leur promettent argent et drogue et les plongent un peu plus dans le ressentiment du pays qui les a accueillis. Plus ils sont jeunes, plus il est facile de les circonvenir. 

    Les deux ferments diffusés par ces clans sont l’appât du gain et la haine de l’État.

    Pour ces bandes, à part les barbus, aucune personne ni aucune institution n’a d’autorité à leurs yeux. Confondant respect et crainte, ils revendiquent haut et fort le droit d’être « respectés » par tous ceux qui sont supposés disposer d’une autorité sociale ou institutionnelle, par les adultes, les enseignants, les policiers, et bien évidemment les pompiers. 

    Un casque n’est pas une arme

    Ces derniers sont d’autant plus vulnérables que, portant l’uniforme et gradés, ils ne sont pas armés. Ils n’ont, sauf à Paris et Marseille, aucune formation militaire ou policière. Sauf cas de légitime défense, ils ne peuvent se protéger. De plus, pour ces provocateurs, s’en prendre aux soldats du feu c’est dicter aux habitants des cités leur attitude, interdiction leur étant faite d’assister ces services pourtant aptes à secourir les populations. Une manière de leur montrer que les seules autorités qui règnent dans ces zones de non-droit sont intra-muros.

    L’ambition de ces gangs in fine est de substituer une administration autochtone, parfois islamiste, à celle de l’État. Leur intention : promouvoir de véritables ghettos avec frontière et points de passages obligés, un moyen de contrôler les rues et de faire la loi dans le sens premier du terme.

    D’ailleurs les pompiers ne s’y trompent pas quand ils rapportent que : 

    « Il y a trois ans, pour la première fois, on n’a pas pu terminer notre intervention et prendre en charge une mamie qui faisait un malaise. Notre véhicule a été arrêté par des “sauvageons” qui nous ont agressés et molestés. C’est la famille qui a dû transporter la dame à l’hôpital. » 

    Ou qu’ils avouent : 

    « Avant, on était un peu dirigé par les habitants du quartier pour nous indiquer les adresses. C’était pratiquement un accompagnement. Aujourd’hui c’est l’omerta et brutalement au coin d’une rue nous attend un vrai traquenard. »

    Les réponses existent

    La situation est grave et les solutions, comme d’habitude, se logent d’abord au sommet de l’État. Tant que la fermeté ne sera pas de mise, tant que la nouvelle donne appliquée ne sera pas la tolérance zéro, ces attaques perdureront et même se multiplieront.

    Pourtant des moyens pour les contrer existent mais ne sont pas mis en œuvre :

    – L’anonymisation des plaintes permet d’interdire toute représaille contre les professionnels du feu, leurs biens ou leurs familles.

    – Une meilleure coordination entre pompiers et police avec, au besoin, dans les zones spécifiques, une mixité des moyens lors des interventions.

    – Les appels téléphoniques qui doivent être non seulement enregistrés mais aussi confirmés nominalement et localisés avant toute opération. 

    – L’utilisation de GoPro (au moins sur les véhicules), comme leurs homologues policiers. Ces mini-caméras fixes filment et enregistrent les interventions dites sensibles pour pouvoir par la suite identifier leurs auteurs.

    – Chaque zone urbaine doit avoir un correspondant répertorié (exemple : le gardien d’immeuble) qui, appelé par téléphone, va confirmer la nécessité de l’intervention, guider les secouristes et assurer un début de « dialogue » avec les « jeunes » par des traductions en langue vernaculaire.

    – Dans les quartiers les plus difficiles, des plans de retrait doivent être préparés à l’avance et fournis aux équipages pour permettre aux secours de se dégager lorsque la situation dégénère (possible utilisation de fumigènes).

    – Enfin il faut que la justice soit particulièrement répressive en appliquant strictement la loi mentionnée : « Dans le cas d’une personne dépositaire de l’autorité publique (agent de police, magistrat, sapeur-pompier, gardien assermenté d’immeubles, etc.) les agresseurs encourent des peines aggravées par le statut des victimes : trois ans de prison et 45 000 euros d’amende. »

    Mais les autorités judiciaires appliquent-elles véritablement cette loi ?

    On peut en douter pour certains quand on voit le cas de René, pompier volontaire à Saint-André, dont la plainte a été classée sans suite par le parquet du tribunal de grande instance de Lille alors qu’il avait été violemment passé à tabac lors d’une intervention en novembre 2016 (21 jours d’arrêt de travail).

    En conclusion, les solutions exposées ci-dessus ne sont pas ou peu appliquées tout simplement parce que la volonté du politique est défaillante. Les autorités ont trop peur qu’un énième incident, même réduit aux pompiers, ne s’embrase, débouchant sur une émeute type 2005.

    La seule issue actuellement pour les soldats du feu est de profiter de la prochaine attaque contre leurs personnes pour déclencher un mouvement d’ampleur nationale (grève, manifestation, occupations) touchant toutes les grandes agglomérations françaises. En effet de telles agitations obligeraient le gouvernement à concéder de vraies mesures à la fois protectrices pour le personnel et astreignantes pour les malfrats.

    Bernard Latour
    Ancien officier de gendarmerie, le « centurion » Bernard Latour est un expert reconnu dans les questions de sécurité et les affaires criminelles

    Texte paru dans Présent daté du 17 novembre 2017

  • L’ENVAHISSEUR-PRÉDATEUR EST LA PRINCIPALE ESPÈCE PROTÉGÉE CHEZ NOUS, C’EST BIZARRE.

    On nous parle du loup assez souvent mais jamais sous l’angle du paradoxe de la protection systématique du prédateur contre ses victimes. En France, cette politique se traduira tôt ou tard par des battues sauvages.http://www.bvoltaire.fr/lenvahisseur-predateur-principale-espece-protegee-chez-cest-bizarre/

     

  • L'armée victime collatérale du macronisme

    La polémique entre l’armée et Macron est-elle éteinte depuis le départ du général De Villiers ? Rien n’est moins sûr, tant le comportement de caporal du président a choqué les militaires. Mais surtout parce qu’elle a des raisons bien plus profondes ...

    Tout le monde s'en souvient, Macron a décidé de sacrifier l'avenir de son outil de puissance sur l'autel de la rigueur budgétaire et d'une chimérique défense européenne, qui verrait l'Allemagne et d'autres verser au pot. Il est vrai que taper dans les fonctions régaliennes, c'est tout de même plus simple que de baisser les budgets sociaux, les militaires ne font pas grève.

    « Je ne me laisserai pas baiser comme ça par Bercy ! » avait pourtant tonné le général de Villiers - à huis clos - devant la commission de la Défense de l'Assemblée nationale. Un « recadrage » humiliant par Macron à la veille du 14 juillet et une démission tonitruante du CEMA (Chef d'État-major des Armées) plus tard, c'était apparemment la fin du drame. Macron qualifiait l'épisode de « tempête dans un verre d'eau » et assumait son « je suis votre chef » dans la presse. Le roitelet-soleil nommait au poste laissé vacant le général François Lecointre. Ce brillant officier de Marine est surtout connu pour avoir repris le pont de Verbania, à Sarajevo, quand il était capitaine. Un fait d'armes qu'il exploitera au profit de son ambition, aiguisée depuis dans les antichambres du pouvoir. Comme le soulignait en privé un colonel, « il a les dents qui rayent le parquet, mais il a progressé si vite qu'il n'a pas eu le temps de les user ». Bref, le parfait profil du lèche-bottes qui allait la fermer ? Pas si simple.

    Lecointre, moins de deux mois après sa nomination, se lâchait devant l'Université de la défense. Il dézinguait « la régulation budgétaire sauvage » de Bercy qui venait « détruire le travail de cohérence des lois de programmation militaire ». Bref, « on ne reconstruit pas un appareil militaire en deux coups de cuillère à pot. Ça prend du temps, et ça se détruit bien plus vite que ça ne se construit ».

    Il faut dire que les promesses d'augmenter le budget de la Défense dès 2018 sont, des promesses, tandis que les 850 millions de coupes, auxquels s'ajoutent 700 millions d'euros de crédits militaires gelés pour 2017 sont une réalité. Une ponction d'autant plus franche qu'avec le jeu des acomptes non versés, ce sont en fait plusieurs milliards d'euros de matériel dont la livraison sera différée, mettant encore plus à mal une armée « à l'os ».

    Réaction de Macron ? Silence radio devant cette intervention publique. Le « chef » a sans doute compris qu'il fallait arrêter de chatouiller des militaires à bout. Car bien que l'inexistante ministre des Armées, Florence Parly, ait affirmé qu'elle ne voyait pas le problème, puisque les soldes seraient payées, cette énième mise à la diète a des conséquences directes. Ne parlons même pas des retards sur les soldes ou sur les primes OPEX (opérations extérieures) non payées, dysfonctionnements officiellement dus au logiciel de gestion Louvois, catastrophique.

    Il n'y a plus de matôs

    « … nos troupes auront moins de munitions sur le terrain. Les formations vont être réduites, les renouvellements du matériel seront rallonges et l'entraînement largement réduit. On va sous-entraîner des personnes qui sont déjà à un niveau 30 % inférieur à h moyenne des pays de l'OTAN », déplorait le général Vincent Desportes.

    De fait, les indisponibilités de matériels (chars, hélicoptères, avions...) vont de 50 à près de 90 % du fait de leur vétusté et de leur suremploi. Suremploi qui touche aussi les hommes, engagés dans la lourde opération Sentinelle - qui va encore connaître une réforme - et en Opex en Afrique ou au Moyen-Orient, notamment.

    De moins en moins de moyens pour de plus en plus de missions, l'effet ciseaux est imparable la dégradation de l'armée s'accélère. Les entraînements sont réduits à la portion congrue, faute d'argent (« il n'y a même pas de quoi actuellement faire tirer une roquette par an et par tireur dans l'armée de terre », témoigne un spécialiste). Faute de temps aussi, la faute à l'opération Sentinelle, vraiment chronophage. Les permissions sont souvent refusées, mettant à mal la santé des hommes, déjà usés par un entretien de plus en plus lourd d'un matériel à bout de souffle, dont une partie sert de stock de pièces pour l'autre. Évidemment, le contexte ne favorise pas le recrutement, qui baisse en qualité et en quantité.

    Et donc, dans cette institution à bout, la grogne monte. En témoigne la tribune récemment publiée par six généraux de réserve dans Boulevard Voltaire, faute d'avoir été acceptée dans les médias mainstream. S'ils concentrent leur tir sur leur liberté - et leur devoir - d'expression de plus en plus bafoué, c'est pour pouvoir mieux tirer la sonnette d'alarme « Car ce qui gêne ce dernier [le pouvoir politique, ndlr], c'est que le citoyen puisse être informé sur les insuffisances du Pouvoir politique et surtout sur les risques qu'elles font peser sur la nation. »

    Des risques de plus en plus réels à l'étranger, mais aussi sur notre sol, rongé par le communautarisme. Pourrons-nous y faire face ?

    Richard Dalleau monde&vie 28 septembre 2017

  • Scènes de pillages par des immigrés à Bruxelles après le match Maroc-Côte d’Ivoire

    Les émeutes et pillages commis par des hordes d’immigrés dans le centre ville de Bruxelles après le match Maroc-Côte d’Ivoire témoignent de ce qu’est le véritable  » vivre ensemble « .

    La vidéo ci-dessous montre ces immigrés se livrer au pillage d’une boutique d’ameublement et de literie. On entend clairement à plusieurs reprises l’intervention de l’un d’eux pour dissuader certains de mettre le feu à des matelas dans le magasin.

    « Il y a des gens au-dessus ! Tu veux tuer des gens ? », crie l’un des immigrés, essayant de rappeler ces enragés à un minimum de raison. Sans quoi, ils n’auraient pas hésité à faire griller les locataires des appartements situés au-dessus de cette boutique.

    D’autres se jettent alors sur un distributeur de billets juste à côté pour essayer de démolir l’appareil et d’en extirper l’argent.

    Malgré tout cela, il se trouve des journalistes complaisants pour donner la parole à certains de ces voyous et les laisser dire qu’ils ont eu peur de la police. La vidéo ci-dessus montre clairement le contraire, les émeutiers se vantant de faire peur à la police. Et d’ailleurs, depuis quand, lorsqu’on est pris de peur, on se met à incendier des voitures et piller des magasins ?

    http://www.medias-presse.info/scenes-de-pillages-par-des-immigres-a-bruxelles-apres-le-match-maroc-cote-divoire/83163/

  • L’islamisme radical est une agression directe sur notre civilisation. Cependant, il y a aussi un autre adversaire

    6a00d83451619c69e201b7c933fc18970b-200wi.jpgMardi 14 novembre se déroule à Paris un colloque intitulé « L’esprit de défense en Île-de-France », organisé à l’initiative du groupe Front national au conseil régional d’Île-de-France. Le philosophe et écrivain Thibaud Collin intervient à ce colloque. Il répond aux questions de Boulevard Voltaire.

    "L’islamisme radical est une agression directe sur notre civilisation. Cependant, il y a aussi un autre adversaire. C’est un adversaire peut-être plus diffus, mais non moins important parce qu’il est plus intérieur. Marcel Gauchet parle de « l’individu total ». Il y a eu le totalitarisme de l’État total : le communisme et le nazisme. Aujourd’hui, nous faisons face à une forme plus sournoise du totalitarisme, peut-être moins violente au premier abord, et aux caractéristiques bien différentes. Il s’agit de cet « individu total » auquel tout devrait être dû, et qui refuse de recevoir comme un don tout ce qui a été accumulé et travaillé par les générations précédentes. D’ailleurs, bien souvent, il refuse d’assumer cette fonction de transmission et d’enrichissement de ce patrimoine. Ce patrimoine ne se réduit pas simplement à des monuments.

    Cet individualisme est une forme de nihilisme et d’hédonisme. Il empêche de mobiliser en nous l’esprit de défense. Cet esprit de défense implique de se défendre contre cet adversaire qui nous traverse chacun. L’hédoniste, ce n’est pas simplement mon voisin, c’est moi sous un certain rapport qui peut, à un moment, se dire « à quoi bon ? », « pourquoi pas ? » Toutes ces questions me mettent sur la pente d’une forme de nihilisme où je n’ai plus rien à transmettre. J’aime rappeler le livre de Philippe Muray Chers djihadistes… écrit après le 11 septembre 2001 qui montre que, plus encore que le djihadisme, le véritable ennemi peut être un certain esprit de négation qui peu à peu ruine de l’intérieur ce que nous sommes et qui nous traverse chacun." 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • TROIS CORNICHONS TIENNENT UN BALLON…

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    La photo des trois cornichons tenant un ballon pour commémorer les attentats sanglants du 13 novembre vaut à elle seule toutes les analyses et autres chroniques zemmouriennes.

    Tout est résumé dans ce cliché. L’air absent de Hollande qui semble tenir un préservatif dans lequel il vient de souffler, la mine enfantine de Macron accompagné de sa maman qui lui a promis une barbe à papa… Il lorgne du côté du vendeur… Ah, ça fait envie. Mais à quelle heure vais-je l’avoir ? Maman, s’il te plaît…

    Le marchand de ballons qui se tient sur la droite du cliché tente de convaincre la responsable du trio d’en acheter trois autres… Mais rien à faire. Elle est inflexible. Le budget de l’État ne permet pas de faire de telles dépenses. Derrière, on devine quelques manèges… Marcel Campion ne doit pas être bien loin. Il veut sa grande roue devant le Bataclan. Ah, elle aurait belle allure ! Un stand de pommes d’amour, des statuettes de terroristes… Le créneau festif est évident.

    Et ce sont donc ces trois cornichons pitoyables de niaiseries et d’inconséquences que certains appellent l’élite. D’accord. Le gratin de la clientèle qui fréquente « la fête à neuneu ». Dans le cadre d’une fête foraine, l’appellation « élite » est pertinente. Bien habillés, brushing impeccable malgré les tours de grand huit. Quelle tenue ! On dira ce qu’on voudra, ma chère, mais l’ENA, ça vous façonne son homme.

    S’imaginer la rigolade des djihadistes devant ce spectacle ridicule vous fait monter une de ces hontes… L’indécence d’une telle cérémonie devrait se dérouler huis clos. Dans un souterrain, dans une cave… Entre cornichons. Tous réunis dans le même bocal. Et tant pis si le lâcher de ballons bute contre le plafond. C’est le geste qui compte. Qu’ils se livrent à leurs pitreries en cachette. De grâce… Ce cliché avoue de manière trop flagrante l’absence de volonté d’en finir avec ces barbaries. L’infantilisme y est trop fort. La décadence trop voyante. L’envie de perdre est là tout entière. Étalée sans pudeur, montrée à tous. Allons enfant de la patrie, le jour de défaite est arrivé… Allez, changeons les paroles de l’hymne et n’en parlons plus.

    http://www.bvoltaire.fr/trois-cornichons-tiennent-ballon/