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insécurité - Page 626

  • LES ÉTUDIANTS ANTI-BLOCAGE EN ACTION À LA SORBONNE : UNE EXCLUSIVITÉ BOULEVARD VOLTAIRE

    Ils voudraient que, pour changer, on arrête de parler des faux étudiants bloqueurs pour parler d’eux, les vrais étudiants, ceux qui ont envie de travailler et de passer leurs examens.

    Jeudi 10 mai, certains sont passés à l’action : « Nous n’avons commis aucune violence physique, malgré l’agressivité et les menaces des bloqueurs qui n’ont pas hésité à s’en prendre violemment à des jeunes filles de notre groupe. »

    http://www.bvoltaire.fr/etudiants-anti-blocage-action-a-sorbonne-exclusivite-boulevard-voltaire/

  • France : deux Égyptiens préparaient un attentat à l’explosif ou au poison

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    Mais puisqu’on vous dit qu’il n’y aucun lien de causalité entre terrorisme, islam et nationalité des jihadistes !

    Un nouvel attentat a été déjoué en France et deux frères d’origine égyptienne ont été arrêtés, a annoncé vendredi le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb sans préciser la date ni le lieu.

    « Il y avait deux jeunes gens d’origine égyptienne qui s’apprêtaient à commettre un attentat, avec soit de l’explosif soit à la ricine, ce poison […] très fort », a déclaré le ministre sur RMC et BFMTV. Selon lui, les deux hommes échangeaient sur la messagerie Telegram, où ils ont été repérés. Ils disposaient de « tutoriels » pour fabriquer des poisons à base de ricine.

    Selon une source proche de l’enquête interrogée par l’AFP, l’interpellation a eu lieu dans le XVIIIe arrondissement de Paris vendredi 11 mai, veille de l’attaque au couteau menée par le djihadiste d’origine tchétchène Khamzat Azimov.

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  • La France en guerre laisse l’ennemi en paix

    Celui qui tue au nom d’Allah sait attendrir et culpabiliser l’humaniste benêt qu’il combat. Il lui suffit d’exposer sa communauté en victime : ce statut vaut protection chez les belles âmes. Emmanuel Macron est de celles-là, quand il redoute de nommer l’idéologie islamiste qui excite les égorgeurs. Réagissant à l’attentat au couteau commis samedi soir à Paris (quartier de l’Opéra) par un djihadiste français d’origine tchétchène (un mort, quatre blessés), le chef de l’État s’est contenté en effet de dénoncer un "terroriste". Il a aussi assuré, dans un tweet envoyé depuis sa villégiature de Brégançon (Var) : "La France ne cède pas un pouce aux ennemis de la liberté". Les grands mots cachent souvent des faiblesses. De fait, lundi, Macron a aussi tenu Israël pour seul responsable des 60 morts palestiniens tombés ce jour-là à Gaza sous les balles de son armée. Le Hamas a dû apprécier la condamnation. Ce mouvement terroriste islamiste veut qu’Israël disparaisse de la carte.

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  • Attentat de l'Opéra : ce n'était pas ... un loup solitaire

    Le procureur de la République de Paris, François Molins, a détaillé l'opération terroriste menée par Khamzat Azimov, qui a tué au cœur de Paris :

    • À 20 h 33, il est identifié en train de déambuler avenue de l'Opéra en direction du Louvre. Sa main gauche dissimule un objet.
    • Empruntant soudain la rue Marsollier à 21 h 41, il croise un jeune homme qui marche tranquillement sur le trottoir avant de le poignarder à près de dix reprises dans le dos et de tenter de l'égorger. La victime est décédée sur place d'une hémorragie interne aiguë.
    • Puis l'islamiste blesse grièvement deux personnes, un Chinois en l'attaquant par-derrière rue Saint-Augustin, puis une jeune femme qui se trouvait dans la file d'attente d'un restaurant.
    • Sa lame touche, plus légèrement, au moins trois autres passants qui l'ont entendu crier «Allah Akbar». Sa furie est telle qu'il a brisé la lame de son arme blanche.
    • À la vue des gardiens de la paix, Azimov s'époumone «je vais vous buter», «je vais vous planter». Ciblé par un tir manqué de «Taser», il défie le fonctionnaire qui le met en joue: «Je vais te planter, tire, tire, tire!» et est abattu par un tir de riposte.

    Franco-russe naturalisé en 2010fiché S depuis 2016, Azimov a raté ses études de médecine avant de verser dans une fascination pour Daech, comme en témoignent ses recherches internet sur l'islamisme et la guerre en Syrie. Il a été reconnu par ses parents sur la vidéo d'allégeance à Daech diffusée par l'agence de propagande Amaq.

    Son ami d'enfance Abdoul Hakim A., mis en examen et écroué jeudi soir après quatre jours de garde à vue, présente le même profil inquiétant. À 19 ans, ce Franco-Russe lui aussi fiché par les services antiterroristes depuis 2016, abritait dans son ordinateur le drapeau noir de l'État islamique. La veille de l'attentat, ce complice présumé avait téléchargé une messagerie instantanée et envoyé des chants religieux djihadistes sur son portable.

    Deux femmes, proches du tueur et de son ami, ont été aussi placées en garde à vue.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Silence on tue : prière de se faire égorger en silence

    Lu dans Minute à propos du dernier attentat à Paris :

    6a00d83451619c69e20224df334b24200b-800wi.jpg"[...] Alors maintenant, que va-t-il se passer ? Rien. Absolument rien. L’attentat de Trèbes, c’était il y a deux mois à peine. Ce jour-là, le naturalisé était marocain. Que s’est-il passé depuis ? Rien ! Ah si... L’attentat du quartier de l’Opéra. Il ne va rien se passer parce que les Français ont pris le pli et que ça leur va bien. On meurt plus sur les routes que sur les trottoirs. Faudra faire gaffe pour les départs en vacances !« Chéri, t’as vérifié la pression des pneus ? »

    En 2017, les Français ont majoritairement voté pour un homme qui avait publiquement affirmé qu’il « n’allait pas inventer un programme antiterroriste en une nuit ». Apparemment, en un an non plus.

    Il ne va rien se passer parce que nos gouvernants ont peur. Et pas que des Tchétchènes. Samedi dernier également, le commissariat de Champigny-sur-Marne, à une demi-heure en mobylette volée de l’Elysée, a été assailli. Pas harcelé deux minutes par une poignée de guignols qui auraient aussitôt détalé, non : assiégé, encerclé, attaqué par une cinquantaine d’hommes cagoulés, munis de cocktails Molotov et de mortiers !

    Nos gouvernants, Macron aujourd’hui,Hollande hier, Sarko avant-hier, n’ont de pouvoir que sur ceux qui veulent bien encore obéir, à commencer par la quasi-totalité des Français. Face aux autres, ils ont abdiqué. Police et gendarmerie sont abandonnées en première ligne, tandis que l’IGPN, la « police des polices », veille.

    Quant aux Français lambda, prière de se faire voler, violer ou égorger en silence. Et surtout, surtout, de mourir sans haine. Jusqu’à quand ?"

  • L’ami gardé-à-vue du terroriste tchétchène travaillait à… l’Office français de l’immigration

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    C’est énorme.

    La personne soupçonnée d’être complice du terroriste tchétchène « français » Khamzat Azimov, qui a poignardé des passants à Paris samedi dernier, était payée par nos impôts pour faire venir des immigrés en France.

    En effet, Abdoul Hakim A. travaillait à l’Office français de l’immigration, à Strasbourg, depuis janvier. 

    Né lui aussi en Tchétchénie, il avait obtenu la nationalité française à l’âge de 13 ans, en même temps que sa mère.

    Il a été transféré lundi au siège de la DGSI et le parquet a prolongé sa garde à vue. Il était suivi par les services de renseignement depuis son mariage religieux avec une Francilienne radicalisée de 19 ans qui avait tenté de partir en Syrie…

    http://www.contre-info.com/lami-garde-a-vue-du-terroriste-tchetchene-travaillait-a-loffice-francais-de-limmigration#more-51811

  • Ne pas céder au nihilisme. (Réflexions après l'évacuation matinale de l'université de Rennes 2)

    Ce lundi matin, un peu avant 5 heures, l'université de Rennes 2, si chère à mon cœur pour de multiples raisons, a été évacuée par les forces de l'ordre, à la demande (bien tardive) du président Olivier David. Enfin, ai-je soupiré à la découverte de cette information ! Mais, au regard des images diffusées par les journaux et les télévisions, j'ai pu constater, au moins visuellement, l'état des dégâts, et ce n'est guère réjouissant. Au demeurant, cela ne donne pas vraiment bonne impression de cette contestation qui est moins étudiante que nihiliste. D'ailleurs, les slogans barbouillés sur les murs intérieurs se bousculent au risque de ne plus rien y comprendre, et l'énorme inscription « Vive la Commune » qui surplombe le corps central de l'université et du grand hall ne trouve pas exactement de confirmation ou d'explication dans tous les hurlements graphiques qui, sans beaucoup d'imagination, reprennent des revendications ou des textes que l'on entend depuis trois décennies dans les « quartiers perdus de la République » : tristesse d'une parodie de « révolte » qui semble, à quelques exceptions près, n'être que le soulèvement des médiocrités et des égoïsmes conjugué à l'application d'une « déconstruction » qui, en définitive, ne sert que cette société capitaliste de consommation que les mutins du jour disent combattre, en écriture inclusive et avec force théories racialistes et communautaristes... Nous voici bien loin du soulèvement de la vie que Maurice Clavel espérait en Mai 68 !

    Et pourtant ! Il y aurait tant à dire sur notre société et sa République, et tant de nobles causes à défendre, à promouvoir : or, sur les murs peinturlurés de Rennes 2, pas de slogans écologistes, ni régionalistes, ni culturels, ni « socialistes ». Juste une logorrhée anti-policière et anticapitaliste sans raisons : Marx, que les Blacks Blocs du 1er Mai présentaient pourtant sur leur banderole de tête, n'est pas plus présent que Lénine ou Mao, jadis « chez eux » à Rennes 2, du temps où le PCMLF (Parti Communiste Marxiste-Léniniste de France, maoïste) hantait les couloirs de l'université. En fait, je ne regrette pas l'absence des « grandes figures » de la Révolution, je déplore juste l'inculture de la plupart des bloqueurs de ses dernières semaines, et ce qui vaut pour Rennes vaut également pour Paris-Tolbiac ou Nanterre, entre autres. Nous sommes aussi bien loin de l'humour, que l'on peut apprécier ou non, de certains slogans de Mai 68, et de l'imagination graphique de l'époque, aujourd'hui imitée ou plutôt copiée sans grâce, qui donnaient un air parfois original et festif à une époque qui ne l'était pas toujours, loin s'en faut.

    La commémoration de Mai 68 n'a pas eu lieu, même si c'est bien son cinquantenaire en ce moment : s'il y a souvenir et quelques publications d'inégale valeur, certaines fort intéressantes et d'autres plus anecdotiques sur « les événements » et leurs effets depuis leur déroulement, le souffle de l'époque est bien retombé et l'esprit n'y est plus, à tous les sens du terme, pourrait-on ajouter. Certes, les temps sont aujourd'hui plus incertains et les perspectives paraissent moins engageantes et moins prometteuses qu'il y a cinquante ans, la mondialisation déployant ses grandes ailes noires sur notre pays désarmé et désormais si dépendant des autres pour ne pas avoir voulu maintenir l'effort initié par les Capétiens et renouvelé par le fondateur de la Cinquième République. 

    Pourtant, la clameur de Clavel et les colères inscrites dans l'éternité de Bernanos auraient de quoi inspirer ceux qui ne se satisfont pas de ce monde-ci : n'est-il pas urgent de les reprendre, contre tous les nihilismes, ceux de la société de consommation et de son consommatorisme individualiste de masse comme ceux de la destruction acharnée des racines littéraires et civilisationnelles, linguistiques même, de ces remparts sans lesquels la barbarie envahit le monde et détruit l'esprit ? Car le vrai combat, au-delà du politique mais pas sans lui, est là, et il touche à la nature, au sens même de notre « humble et précieuse humanité »...

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1499:ne-pas-ceder-au-nihilisme-reflexions-apres-levacuation-matinale-de-luniversite-de-rennes-2&catid=52:2018&Itemid=63

  • Macron doit nommer le terrorisme islamiste !, par Ivan Rioufol

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    Non, Emmanuel Macron n’est pas à la hauteur de la menace islamiste. Son choix de ne pas écourter son week-end à Brégançon (Var) a fait comprendre qu’il relativisait l’attentat au couteau perpétré à Paris (quartier de l’Opéra), samedi soir. Un jeune français y a trouvé la mort, sous les coups d’un “compatriote” d’origine tchétchène. Quatre personnes ont été blessées, dont deux grièvement. Dans deux tweets datés du 12 mai, le chef de l’Etat a dénoncé un “terroriste”, puis il a écrit : “La France ne cède pas un pouce aux ennemis de la liberté”.

    A aucun moment, le président n’a voulu nommer le caractère islamiste du meurtre, commis aux cris d’Allah Akbar. La veille, il n’avait pourtant pas eu de réserve pour désigner le nationalisme comme son adversaire : “Pour vaincre les nationalistes : assumer d’avoir une solidarité européenne”. Pour vaincre les islamistes, il faudra donc attendre avant d’avoir la recette élyséenne. Elle tardera à venir, car Macron redoute visiblement d’avoir à offenser une idéologie totalitaire. Dans le même temps, samedi, Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, évoquait d’ailleurs une “agression”, avant d’employer ensuite, néanmoins, le juste mot d’”attaque”. Quant au député LREM Jean-Michel Fauvergue, ancien patron du Raid, il se risquait dans un débat télévisé à comparer les prêches en arabe dans les moquées aux prêches en latin dans les églises…Bref, ce qui ressort de ces quelques exemples est une volonté de banaliser le terrorisme islamique, compris comme une fatalité. Une telle attitude de renoncement est bien plus dangereuse que la guerre déclarée à la France par l’islam conquérant.

    Israël, qui fête ce lundi les soixante-dix ans de sa renaissance, devrait être un exemple pour la France, ventre mou devenu cible principale du djihad en Europe. La résistance de l’Etat hébreu à l’islamisme ne s’embarrasse pas d’états d’âme. Macron pourrait déjà apprendre d’Israël à désigner l’adversaire par son nom, en se libérant de l’islamiquement correct devant lequel la France se plie. Le président pourrait aussi mesurer la puissance que peut dégager un Etat-nation, même minuscule, quand il retrouve sa langue, sa mémoire, ses frontières, ses racines, son identité.

    Tout ce qu’Israël assume, dans son combat pour sa survie, est vu comme une provocation par le politiquement correct qui tient le haut du pavé en France et qui sévit encore à l’Elysée. Or la capitulation est un état d’esprit qui se corrige, pour peu que les dirigeants en donnent l’exemple. Les mentalités françaises sont prêtes à s’émanciper de la léthargie du bien pensisme. Très rares ont été ceux qui se sont offusqués de voir le tueur abattu par des gardiens de la paix, moins de dix minutes après avoir commencé sa course à la mort. Dans cette intifada des couteaux, sans doute est-il possible d’ailleurs d’écourter encore le temps de la riposte, en s’inspirant du savoir-faire israélien. Il est temps aussi de revoir l’accès à la nationalité, les conditions d’expulsion, la fermeture effective des mosquées salafistes, etc. Le tweet que Macron devrait écrire : “L’islamisme ne passera pas !”.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 2 mai 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Attentat de l’Opéra : Khamzat Azimov, un terroriste comme les autres - Journal du lundi 14 mai 2018