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insécurité - Page 657

  • Mali : attaque sans précédent contre les forces françaises. (Add.)

    Au moins 10 soldats de la force Barkhane blessés d'après une source locale : 

    "Des tirs de roquettes, des assaillants déguisés en Casques bleus montés à bord de véhicules piégés, des échanges de coups de feu: les camps de la Minusma et de la force Barkhane à Tombouctou ont été la cible samedi d’une attaque «sans précédent» qui a fait au moins un mort et une vingtaine de blessés.

    L’assaut s’est produit peu après 14 heures (GMT et locales) sur le site aéroportuaire de cette ville légendaire du nord du Mali où sont cantonnés des Casques bleus de la Minusma et des hommes de l’opération française Barkhane. Alors que les deux camps essuyaient une «dizaine de tirs de roquettes», des hommes portant des Casques bleus ont tenté de «s’infiltrer» dans la zone militaire à bord de deux véhicules piégés, a précisé dans un communiqué le ministère malien de la Sécurité.

    L’un des véhicules portait les couleurs des Forces armées maliennes (FAMas) et l’autre le sigle «UN» des Nations unies. Le premier «a explosé», tandis que le second «a pu être immobilisé». Selon la Minusma, un de ses Casque bleus a été tué lors d’«échanges de tirs». Une dizaine d’autres ont été blessés.

    Le ministère malien a indiqué que l’attaque avait également fait une «dizaine» de blessés «côté Barkhane».

    «Les combats ont pris fin vers 18H30», plus de quatre heures après leur début, selon le ministère. Bamako et la Minusma ont assuré que la situation était à nouveau «sous contrôle». Sur Twitter, la force de l’ONU a évoqué une «importante attaque complexe» associant «mortiers»«échanges de tirs» et «attaque au véhicule suicide»«C’est la première fois qu’il y a eu une attaque de cette envergure contre la Minusma à Tombouctou», a relevé une source sécuritaire étrangère.

    «C’est une attaque qu’on n’avait jamais connue», a confirmé un responsable du gouvernorat de Tombouctou".

    Add. : Au moins 7 soldats français ont été blessés.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un commentateur russe : « Une troisième guerre mondiale est en cours, et la Russie n’a pas d’alliés »

    Une troisième guerre mondiale est en cours depuis au moins le bombardement de Belgrade par l’OTAN en 1999 et l’intervention de la Russie en Géorgie en 2008, dit Aleksey Venediktov. Mais il s’agit d’une guerre très différente de celles du passé, où les participants n’essaient pas de s’emparer d’un territoire, mais plutôt de s’assurer une influence sur d’autres États.

    Dans ce conflit, qui peut monter de froid à chaud, le rédacteur en chef d’Ekho Moskvy explique à la Business Gazeta de Kazan, dans une interview dont certaines parties ont été mises en ligne aujourd’hui, que « la Russie n’a pas d’alliés » et ne peut donc dépendre de personne d’autre que d’elle-même au fur et à mesure que se déroulent des événements planifiés et non planifiés.

    Cette guerre ou, espérons-le, ce conflit « est vraiment mondial ; c’est simplement que certains acteurs comme la Chine ne sont pas très visibles, mais ils y prennent une part active ». Le but de ce conflit est différent de celui du passé : les États antérieurs cherchaient à gagner du territoire ; aujourd’hui, cependant, ils ne cherchent pas la redistribution territoriale du monde, mais plutôt celle de l’influence.

    Poutine, poursuit Venediktov, fait constamment référence à la nécessité de revenir au système de Yalta-Potsdam dans lequel « chaque grande puissance a sa propre sphère d’influence ». Mais Ronald Reagan, en 1987, a clairement indiqué qu’il n’y aurait plus jamais de système de type Yalta. Cela est resté la politique américaine.

    Mais il est important que Moscou se souvienne que « dans cette guerre, la Russie n’a pas d’alliés », dit le rédacteur en chef d’Ekho Moskvy. « Poutine, poursuit-il, est un individu extraordinairement prudent…. Par conséquent, je pense que s’il sentait la possibilité d’un passage de la guerre à une phase chaude, il prendrait des mesures », connaissant les capacités des alliés occidentaux et de la Chine.

    Le danger d’escalade jusqu’à un échange nucléaire existe néanmoins en raison de la possibilité d’accidents. Lorsque les militaires des différents pays sont au même endroit, leurs commandants peuvent répondre « sans attendre un appel de Moscou ou de Washington ou de Jérusalem ou de Damas » et les choses peuvent mal tourner.

    Selon Venediktov, les forces de la Russie et des alliés occidentaux « ont reçu l’ordre d’éviter tout affrontement. Mais je suis inquiet parce qu’un accident est possible », un accident qui ressemblait à l’abattement d’un avion russe par la Turquie. Si une telle chose se reproduisait, il y a « une forte probabilité » qu’elle puisse « conduire à une escalade, politique au minimum ».

    Source: traduction d’un article (en anglais) paru sur Window on Eurasia / Paul Goble

    http://grandfacho.com/un-commentateur-russe-une-troisieme-guerre-mondiale-est-en-cours-et-la-russie-na-pas-dallies/

  • Syrie : Les Kurdes ne veulent plus garder la centaine de djihadistes "français"

    Entendu sur Europe 1 :

    "Dans le nord de la Syrie, alors que les grandes batailles contre l’État islamique sont terminées, des centaines de djihadistes étrangers sont toujours aux mains des forces kurdes dont la gouvernance n’a pas d’existence légale. Ils sont gardés dans des camps ou dans des prisons.Les djihadistes français sont environ une centaine dans cette partie de la Syrie. La France ne souhaite pas les rapatrier, mais les responsables kurdes ne veulent plus gérer ces prisonniers étrangers (...)

    Mizkeen Ahmad, une influente conseillère politique au sein de l’administration kurde, en veut à la coalition depuis la prise de la ville kurde d’Afrine par la Turquie. Pour elle, c’est une trahison qui doit avoir une conséquence. "L’Europe ne nous a pas aidés à Afrine, pourquoi on continuerait à s’occuper de vos prisonniers de Daech ? On en a capturé des milliers et personne ne nous a soutenus. Dont acte", s'agace-t-elle au micro d'Europe 1. "On peut libérer tous ces membres de Daech. On va les relâcher hors de nos frontières… dans quels pays ils iront, et où ils commettront une attaque ? Peu importe, il faut prendre cette décision", menace Mizkeen Ahmad."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ILS VEULENT LA GUERRE

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    Une fois de plus l'hydre yankee, en agressant avec l'aide de ses larbins européens la Syrie, montre sa volonté de gérer le monde.

    Les puissances financières et le lobby militaro-industriel ont donc réussi à pousser le crétin qui sert actuellement de président aux Etats-Unis à se conduire comme un vulgaire Bush de base. En déclenchant cette nuit les bombardements sur Damas, le grotesque Trump a au moins le mérite de remettre les choses en ordre en nous rappelant que l'ennemi de l'Europe reste et restera l'Amérique.

    De plus en se conduisant ainsi, Trump, Macron et l'Angleterre s'imposent comme étant, une fois de plus,  les meilleurs alliés de l'islam conquérant.

    Le devoir des nationalistes français et européens est de dénoncer cette nouvelle agression de l'hyper puissance contre un état indépendant et de refuser toutes collaborations avec le bellicisme américain. Le Système veut la guerre : GUERRE AU SYSTEME !

    Synthèse nationale

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Déclaration de Vladimir Poutine suite aux frappes occidentales en Syrie

    Demandant la réunion d’urgence du Conseil de sécurité, Vladimir Poutine a fustigé les frappes portées cette nuit par Washington, Paris et Londres. Ce «geste d’agression» a été fait sans attendre les résultats de l’enquête et sans recueillir de preuves tangibles, a dénoncé le Président russe. Sputnik publie la version intégrale de sa déclaration.

    Déclaration du Président russe Vladimir Poutine

    Le 14 avril, les États-Unis soutenus par leurs alliés ont frappé des sites militaires ainsi que ceux de l'infrastructure civile de la République arabe syrienne. Sans l'aval du Conseil de sécurité de l'Onu, en violation de la Charte de l'Onu, des normes et des principes du droit international, un acte d'agression a été commis à l'encontre d'un État souverain qui se tient à l'avant-garde de la lutte antiterroriste.

    À nouveau, tout comme il y a un an, lorsque les États-Unis ont attaqué la base aérienne de Shayrat, en tant que prétexte a été utilisée une mise en scène d'usage de substances toxiques contre les civiles, cette fois à Douma, banlieue de Damas. Après avoir visité le lieu de l'incident fictif, les experts militaires russes n'ont pas découvert de trace d'utilisation de chlore ou de toute autre substance toxique. Pas un seul habitant n'a confirmé le fait de l'attaque chimique.

    L'Organisation sur l'interdiction des armes chimiques a dépêché ses spécialistes en Syrie afin d'élucider la situation. Or, un groupe de pays occidentaux l'a méprisé de façon cynique en entreprenant une action militaire sans attendre les résultats de l'enquête.

    La Russie condamne avec une extrême fermeté l'attaque contre la Syrie où des militaires russes aident le gouvernement légitime à combattre le terrorisme.

    Par leurs actions, les États-Unis aggravent davantage la catastrophe humanitaire en Syrie, apportent des souffrances aux civils, laissent faire les terroristes qui déchirent depuis sept ans le peuple syrien, provoquent une nouvelle vague de réfugiés en provenance de ce pays et de la région en général.

    L'escalade en cours autour de la Syrie produit des effets destructeurs sur l'ensemble du système des relations internationales. L'histoire remettra tout à sa place et elle a déjà attribué à Washington une lourde responsabilité pour avoir mis en œuvre sa justice sanglante en Yougoslavie, en Irak et en Libye. 

    La Russie convoque une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'Onu afin de discuter des actions agressives d'États-Unis et de leurs alliés.

    https://fr.sputniknews.com/international/201804141035945175-poutine-declaration-frappes-occidentales-syrie/

  • Frappes en Syrie ? Il est urgent que la France se tienne scrupuleusement à l'écart de ces manœuvres oiseuses

    Ce sont des événements graves qui se déroulent en ce moment d'un bout à l'autre du monde, notablement en Syrie. Et qui alimentent comme s'il en était besoin, ce climat de lourde tension internationale qui se développe dangereusement en diverses régions du globe. Et qui, même si l'on trouvera que nous employons de grands mots, évoquent comme une avant-guerre.

    Les présidents Trump et Macron se téléphonent beaucoup ces jours.ci à ce que l'on dit, et nous craignons fort que ce ne soit pas pour de sages décisions. L'envoi de missiles sur la Syrie pour détruire de supposés stocks d'armes chimiques nous paraît être une sottise de plus venant de pays - dont malheureusement le nôtre - qui en ont déjà accumulé un certain nombre et des plus graves. Par exemple en Irak et en Libye. Nous avons eu les conséquences du chaos qui s'y est établi consécutivement aux interventions dites occidentales et sans-doute les aurons-nous encore pour longtemps. 

    On se souvient que pour intervenir en Irak les Américains avaient répandu sans vergogne de très gros mensonges. Les « armes de destruction massive » que Saddam Hussein était censé détenir et qu'il n'avait pas se sont transmuées en « stocks d'armes chimiques » syriennes dont on n'a pas de preuves formelles mais seulement de « fortes présomptions » que le régime de Damas les aurait vraiment lui-même utilisées il y a deux semaines.

    Trump, Macron et sans-doute Theresa May, sans besoin d'aucun mandat dit international, sans-doute impossible à mettre en place, envisagent donc de faire justice, de frapper la Syrie de Bachar el Assad, à titre punitif, et pour lui marquer les limites que les puissances en question lui interdiraient de franchir : la fameuse « ligne rouge » qu'elles ont elles-mêmes fixée. On ignorera longtemps à quel titre. 

    Des paroles martiales viennent d'être proférées et des menaces guerrières échangées. La tweet-diplomatie, dont Trump s'est fait le dérisoire spécialiste, s'est surpassée. Trump a annoncé des tirs de missiles sur la Syrie ; Moscou a répliqué qu'il les intercepterait, affirmant avoir les moyens de les détruire en vol. Trump a surenchéri, claironnant que ses missiles sont « intelligents ». Mais on sait qu’il faudrait en tirer beaucoup pour que quelques-uns peut-être atteignent leur cible... Paris n'est pas en reste sur ces rodomontades. Quoique plus discrètement, Londres est de la partie. A quoi conduit-elle ? Tout bonnement à un risque de confrontation directe avec la Russie ... Nous n'avons rien à y gagner, beaucoup à y perdre. La France n'a pas de conflit d'intérêts avec la Russie. Et aurait au contraire bien des avantages à s’en rapprocher.

    A ce stade, il est probable que ces épisodes ne sont rien d'autre que des gesticulations. Des coups de com' selon la délicate expression en usage dans nos régimes d'opinion. Et il n'est pas tout à fait impossible que les tirs annoncés soient renvoyés aux calendes grecques, d'un moratoire l'autre, ou qu'on finisse par leur substituer à titre compensatoire quelque autre mesure ou sanction moins risquées ...

    Mais c'est une erreur de croire que la gesticulation est signe d'exclusion du conflit ; que les armes n'auront pas à parler ; que la folie de la guerre n'est plus à l'ordre du jour.  L'Histoire montre que les gesticulations semblables à celles dont nous avons en ce moment le spectacle, en sont parfois les prodromes. Vient un moment où un geste de trop finit par déclencher l'engrenage fatal qui conduit au conflit, à la catastrophe, à la guerre, dont peut-être personne n'avait vraiment voulu.

    Notre avis est que la France devrait rester scrupuleusement à l'écart de ces manœuvres oiseuses. Elle n'a ni intérêt à frapper la Syrie ni les moyens d'une guerre de principe, d'une guerre idéologique, morale ou humanitaire. Son intérêt premier est la destruction de Daech et la stabilisation de la Syrie, son retour à une situation d'ordre et de paix relative capable de contenir l'islamisme radical. Frapper Bachar el Assad concourra-t-il à l'un comme à l'autre de ces objectifs ? Nous ne le croyons pas. Au demeurant, les va-t-en-guerre anglo-saxons et français ont-ils trouvé en Syrie quelque force organisée, sérieuse, puissante, non suspecte de plus ou moins secrètes complicités islamistes, qui puisse se substituer au régime d'Assad ? On serait curieux de savoir laquelle, avec un minimum de précision et de détail. Ou bien, comme ils l'ont fait en Irak et en Syrie n'ont-ils songé à aucune perspective d'avenir autre que d'y laisser s'installer l'anarchie et le chaos ?  

    Lire aussi ...

    Notre avant-guerre ? 

    Retrouvez l'ensemble de ces chroniques en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Interview de Macron sur TF1. Pour Marine Le Pen, “la forme est douce mais le fond est terrifiant”

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    “La forme est douce mais le fond est terrifiant”, a déclaré jeudi sur BFMTV la présidente du Front national, Marine Le Pen à propos de l’interview accordée par le président de la République Emmanuel Macron à TF1.

    https://fr.novopress.info/210408/interview-de-macron-sur-tf1-pour-marine-le-pen-la-forme-est-douce-mais-le-fond-est-terrifiant/

  • 48 % des Franciliens ont été agressés !

    Selon une enquête de l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Île-de-France, publiée le 12 avril, 48 % des Franciliens ont été agressés volés ou cambriolés ces trois dernières années. Néanmoins, ce chiffre est en baisse de quatre points par rapport à la dernière étude datant de 2015. Sachant qu’il y a chaque année en France environ 3,7 millions de crimes et délits, cela signifie donc que 55 % de ces derniers sont commis en Ile-de-France alors que cette dernière ne représente qu’environ 20 % de la population. Parmi les délits ou crimes les plus cités, les cambriolages de logements et les atteintes aux véhicules arrivent en tête avec plus d’un tiers de Franciliens touchés. Les vols commis sur les personnes et sans violence touchent 10,5% des personnes interrogées.

    D’autre part, si on en croît la radio étatique France Info, près de 51% des Franciliens déclarent se sentir en insécurité, dont 38 % dans les transports en commun, ce sentiment d’insécurité touchant davantage les habitants de HLM que les autres, avec notamment une crainte d’être seul dans son quartier le soir. 62,6% des Franciliens désignent le risque d’attentat comme étant le problème le plus préoccupant pour la société française.

    Notons que le racisme, poste numéro un de la mobilisation médiatique et étatique, représente très exactement 0,03 % des crimes et délits en France et est en chute libre (-44 % entre 2015 et 2016). Le tout est conforme au vieil axiome de sociologie : « Moins une chose est vitale, plus elle cristallise les antagonisme ».

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/48-des-franciliens-ont-ete-agresses/90283/

  • Moscou: la frappe contre la Syrie ne sera pas sans conséquences

    L'ambassadeur de Russie aux États-Unis a prévenu vendredi soir que les frappes coordonnées déclenchées par Washington, Londres et Paris contre la Syrie auraient des conséquences.

    Les frappes militaires occidentales en Syrie reviennent à "insulter le Président russe", un acte qui aura des conséquences, a averti vendredi l'ambassadeur de Russie à Washington, Anatoli Antonov.

    "Un scénario préconçu est en cours d'exécution", a réagi Anatoli Antonov sur Twitter. "Une fois de plus, on nous menace. Nous avons prévenu que de telles actions ne resteraient pas sans conséquences", poursuit-il. 

    "Les États-Unis, qui détiennent le plus gros arsenal d'armes chimiques, n'ont aucun droit moral à blâmer d'autres pays", poursuit l'ambassadeur.

    À Moscou, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a déploré elle aussi ces frappes contre un "gouvernement souverain qui tente depuis des années de survivre à une agression terroriste".

    "D'abord le 'Printemps arabe' a mis le peuple syrien à l'épreuve, puis Daech, maintenant les roquettes américaines", a écrit Maria Zakharova sur Facebook. 

    "Il faut être anormal pour attaquer la capitale de la Syrie juste au moment où elle avait l'occasion d'un avenir pacifique", ajoute-t-elle.

    Les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ont mené dans la nuit de vendredi à samedi des frappes coordonnées en Syrie en représailles à l'attaque chimique présumée menée le week-end dernier à Douma, dans l'ex-enclave rebelle de la Ghouta orientale.

    Le ministère russe de la Défense a indiqué samedi matin qu'aucun des missiles tirés contre la Syrie n'était entré dans les secteurs de Tartous et de Hmeimim, bases navale et aérienne utilisées par les forces russes et protégées par des systèmes de missiles sol-air.

    https://fr.sputniknews.com/international/201804141035940646-moscou-syrie-frappe-consequences/