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Têtes à clash #3 : le débat de BFM, Florian Philippot et construction de prisons
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Terrorisme / Au tour de la Russie - Journal du mardi 4 avril 2017
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La Gauche organise-t-elle une guerre civile en Grèce ? L’assaut de l’extrême gauche sur le quartier général de l’Aube Dorée
Nous recevons de notre consœur Irène Dimopoulou, Directrice du journal EMPROS, cet article interpellant.
La Gauche organise-t-elle une guerre civile en Grèce ?
L’assaut de l’extrême gauche sur le quartier général de l’Aube Dorée
Le gouvernement d’Alexis Tsipras, se voit démuni chaque jour dans les sondages. Malgré le soutien populaire reçu dans deux élections, en février et en septembre 2015, et le NON majoritaire de plus de 60% des voix lors du référendum de juillet 2015, contre les mesures de l’ infâme « Mémorandum », SYRIZA, formé par une coalition d’organisations de la Gauche radicale, n’a pas pu tenir ses promesses pour une sortie du pays du programme d’austérité imposé par le Fonds Monétaire International et la Banque Centrale Européenne. Avec le taux de sans emploi montant à 23 % de la population, (plus de 45 % chez les jeunes), et les salaires et pensions taxés à un tiers, le parti gauchiste cherche à consolider sa base électorale qui lui échappe. Selon les sondages, SYRIZA serait en troisième position derrière son prédécesseur au pouvoir, le parti du Centre-droit, Nouvelle Démocratie, alors que la droite nationaliste de l’Aube Dorée qui se trouve en troisième position a cimenté une base électorale de 7 à 10% qui monte à 15% et même 19% dans certaines régions du pays.
Ayant déjà souffert deux départs de cadres et députés, dont l’ex-présidente du parlement grec, qui ont ensuite fondé des partis gauchistes contre l’euro et l’adhésion du pays à l’Union Européenne, SYRIZA, cherche à rattraper le territoire perdu. Il devrait donc polariser le climat pour retenir ses adhérents, en soulignant son profil anti-patriotique, anti-droite, anti-nationaliste et en même temps soutenir ses groupuscules qui se nourrissent de jouer à la guérilla urbaine.
Il est évident, par exemple, que la lutte en faveur des immigrés clandestins est dans les mains d’un groupuscule de l’extrême gauche, dit ANTARCIA (Mutinerie), qui soutient toute action pro-islamiste et anti-identitaire. Le ministre de l’intérieur, a même répondu au parlement que les « jeunes gens » qui détruisent systématiquement la propriété publique, ne seraient interpelés « que s’ils dépassaient certaines limites », qu’il ne voyait pas, évidemment, dépassées par les incendies et les cocktails molotov lancés contre des véhicules du transport public, par exemple.
C’est dans ce climat que le matin du 31 mars 2017 à 9h30, des hommes masqués et portant des massues ont attaqué la siège de l’administration centrale d’Aube Dorée a la rue Mesogeion, juste en face de l’école de Police, et a quelques mètres du ministère de l’intérieur.
L’attaque s’est déroulée en pleine heure de pointe sur la grande avenue Mesogeion. N’ayant pas pu forcer l’entrée blindée de l’immeuble, les assaillants ont endommagé la librairie-boutique d’Aube Dorée, au rez-de-chaussée, aspergeant aussi la façade de peinture rouge.
La police arrivée sur les lieux une bonne dizaine de minutes plus tard, a interpellé onze personnes mais les a finalement relâchées. Des militants du groupuscule ANTARCIA, également sympathisants de SYRIZA, comme le président de la communauté Pakistanaise, sont des témoins au procès en cours contre l’Aube Dorée, initié en septembre 2013, après son ascension dans les sondages qui, selon le Secrétaire du gouvernement de la Centre-Droite de l’époque, « lui enlevaient des votes »…
Il est également intéressant de noter que la date choisie pour une attaque contre la seule voix politique et militante des nationalistes en Grèce, qui revendique la victoire des forces nationales contre l’ insurrection communiste, dite « guerre civile » qui finira avec la victoire des forces patriotiques en 1949, n’est autre que celle de l’ attaque des communistes contre la Gendarmerie de la ville de Litohoro, tuant 9 gendarmes et deux soldats. L’attaque avait signifié le début de la guerre civile…
Faisant preuve de leur esprit combattant, des militants Aube Dorée ont organisé le 1er avril, une action politique au centre du Pirée ainsi qu’au quartier d’Ampelokipi, près de siège du parti, avec grand succès, distribuant des centaines de documents d’information imprimés aux passagers, qui les ont reçus avec enthousiasme.
Contre le terrorisme et la dictature ténébreuse des médias, l’Association Populaire Aube Dorée poursuit son activité politique légitime.
IRENE DIMOPOULOU Directrice du journal EMPROS
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Attentat dans le métro de Saint-Pétersbourg : encore un islamiste
L'attaque commise dans le métro de Saint-Pétersbourg est imputable à un islamiste suicidaire, qui a fait exploser une bombe. Les autorités ont identifié l'auteur de l'attaque et le suspect, âgé de 23 ans, est originaire d'Asie centrale. Ses explosifs étaient dissimulés dans un sac à dos. Il serait lié à l'islam radical. Le président russe, Vladimir Poutine, s'est rendu sur les lieux de l'attentat pour y déposer des fleurs. L'attentat a fait 11 morts et 45 blessés.
Vladimir Fédorovski, écrivain et ancien diplomate russe, estime que Vladimir Poutine était directement visé :
"C'est lui qui est visé à travers cette attaque. Le choix de la ville a une dimension symbolique. Non seulement l'attentat a eu lieu au moment de sa venue à Saint-Pétersbourg, mais on sait aussi à quel point il est attaché à cette ville, où il est né et a longtemps vécu. C'est sa ville natale qui a été frappée, au moment où il s'y trouvait. Il s'agit clairement d'un défi personnel. Le choix de l'endroit et du moment s'explique par ce lien privilégié entre qui unit le Président russe à Saint-Pétersbourg, et peut-être aussi par le fait que Vladimir Poutine a toujours comparé le terrorisme islamiste au nazisme. Or, on sait que Léningrad fut une ville martyre du régime nazi.
Pourquoi Vladimir Poutine est-il la cible privilégiée des terroristes?
Parce qu'il en est ouvertement l'ennemi, et ne fait pas de concessions à ce sujet. Entre la Syrie, où il s'est opposé au renversement de Bachar El Assad car il craignait que Daech prenne le pouvoir, et son sempiternel refus de faire alliance avec l'Arabie Saoudite et le Qatar à cause de leurs liens avec certaines organisations terroristes, Vladimir Poutine a toujours annoncé très clairement la couleur. Pour les terroristes islamistes, il représente l'ennemi par excellence. Il veut depuis longtemps faire de la Russie le fer de lance de la guerre mondiale contre le terrorisme. À cause de cela, de nombreux attentats ont visé la Russie ces derniers mois, et ont été déjoués par les services russes. Cette fois, l'attentat a eu lieu. [...]"
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Manifestation anti-Le Pen à Bordeaux : la stratégie de la violence
Selon un rituel maintenant solidement établi, c’est en fin de manifestation que des éléments cagoulés s’en sont pris aux commerces et aux forces de l’ordre.
Comme à Nantes il y a quelques semaines, une manifestation contre la tenue d’une réunion publique de Marine Le Pen s’est déroulée à Bordeaux dimanche après-midi. Selon un rituel maintenant solidement établi, c’est en fin de manifestation que des éléments cagoulés s’en sont pris aux commerces et aux forces de l’ordre qui sécurisaient ce rassemblement. Plusieurs casseurs ont été interpellés, sans que les motifs de ces arrestations n’aient été dévoilés par les autorités. Gageons qu’ils n’ont pas dû rester longtemps dans les locaux de la police bordelaise, ce qui n’aurait sans doute pas été le cas s’il s’était agi de militants du Front national !
Une fois encore, c’est sous le regard bienveillant d’une classe politique complaisante – on attend encore les déclarations de monsieur Cazeneuve condamnant ces agissements – que des organisations ultra-minoritaires en voix dans le pays se permettent de contester par la violence l’expression de la démocratie. Mais il est vrai que, sous le quinquennat Hollande, la violence est devenue un mode d’expression courant. Qu’il s’agisse de mouvements sociaux, comme la loi Travail, de mouvements revendicatifs, comme actuellement en Guyane, de mouvements sociétaux, comme ceux observés à de multiples reprises contre la police, ou de toutes autres formes d’expression publique, chaque manifestation se termine immanquablement par des destructions, des dégradations et l’agression des forces de l’ordre. Notre pays, à cause de l’incapacité de ceux qui nous gouvernent à instaurer un dialogue social digne de ce nom, a fini par sombrer dans un chaos systématique dont nul ne peut dire, aujourd’hui, où il nous conduira.
Mais les manifestations violentes contre le Front national poursuivent aussi un autre but. Elles sont destinées à instaurer, chez les Français, un climat de méfiance et de peur afin de les dissuader de voter pour Marine Le Pen.
En effet, de nombreux électeurs tentés par ce vote craignent encore les troubles qui pourraient survenir en cas d’accession au pouvoir de la présidente du parti frontiste. Pourtant, les casseurs sont toujours du même côté. Ils proviennent de partis et de mouvements qui ont juré la perte de notre pays. Et qui, à défaut de participer loyalement au débat politique en développant des idées, ont choisi de lutter par tous les moyens contre nos institutions. Car il ne faut pas s’y tromper : Philippe Poutou, candidat à la présidentielle pour le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), et présent à Bordeaux au sein des manifestants, ne se fait aucune illusion quant à sa victoire par les urnes. Comme ses devanciers de l’extrême gauche, il sait qu’il ne pourra prendre le pouvoir que par la révolution. Ce projet est même dans l’ADN de son parti et de ceux qui lui ressemblent.
Pour parvenir à leurs fins, ces contempteurs de la République ont parfaitement compris qu’il fallait, au préalable, neutraliser toute forme de patriotisme et marginaliser, aux yeux d’une opinion parfois bien naïve, ceux qui se battent encore pour une France libre et souveraine. Ceux-là mêmes qui renient « La Marseillaise » pour chanter « L’Internationale » ne reculeront donc devant aucun moyen pour faire gagner leur cause. Dès lors, la violence assumée, qu’ils propagent dès qu’ils en ont l’occasion, fait partie intégrante de leur stratégie. Soutenus par une classe politique de gauche, dont certains des membres sont passés par ces mouvements révolutionnaires, ils affirment ainsi, en toute impunité, leur totale capacité de nuisance.
http://www.bvoltaire.fr/manifestation-anti-pen-a-bordeaux-strategie-de-violence/
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Quand Beauvau met le RAID au piquet pour... un livre sur le Bataclan
Cinq mois après la parution d'un livre-témoignage sur la nuit du Bataclan, le médecin chef du RAID, Matthieu Langlois, est convoqué devant le conseil de discipline. Le patron du service, lui, a déjà été limogé. Ambiance à l'Intérieur...Et pendant ce temps là, alors que l’état d’urgence se prolonge en France et que les services de renseignement britanniques et américains sentent poindre la menace, la Place Beauvau, elle, se concentre sur un livre. Oui, vous avez bien lu : un livre.Le témoignage publié par le médecin-chef du RAID, Matthieu Langlois, qui a raconté ce qui s’est vraiment passé au Bataclan, dans la nuit du 13 novembre 2015 (co-écrit avec notre collaborateur à Marianne, Frédéric Ploquin). Un livre dont le projet avait été validé (oralement) par le service de communication de l’Intérieur, avant que le manuscrit n’obtienne le feu vert du chef du RAID, Jean-Michel Fauvergue, à la veille de sa publication au mois d’octobre dernier (chez Albin Michel). Sauf que ces vérités n’ont pas plu à tout le monde et que le ministre de l’Intérieur de l’époque, Bernard Cazeneuve a aussitôt sommé le directeur général de la police (DGPN), Jean-Marc Falcone, de sévir. Ce qu’il a fait séance tenante en saisissant l’inspection générale de la police nationale.Jean-Michel Fauvergue limogéBernard Cazeneuve envolé pour Matignon, le bras armé n’a pas molli. Et le premier couperet est tombé cinq mois plus tard, le 6 mars. Comme une urgence à régler avant l’élection présidentielle, le DGPN a convoqué le patron du RAID pour lui dire qu’il était limogé. A cause de ce livre qu’il n’a pas su, ou pas voulu, censurer, comme on le lui avait demandé oralement. Parce qu’il n’a pas su empêcher le docteur Langlois de s’exprimer dans les médias, sachant que sa première interview, au Figaro Magazine, avait été accordée avec l’aval de la direction de la communication du ministère. Limogé, donc, en pleine crise terroriste et malgré des états de service largement honorables.Premier coup de fusil parti sans que Bruno Le Roux n’ait vraiment eu le temps de découvrir les tenants et aboutissants de ce dossier « sensible ». Ni de comprendre quels égos avaient été froissés par cet ouvrage au demeurant peu polémique et plutôt bon pour le moral d’une police au bord de l’épuisement et de la crise de nerfs, face à des hiérarques plus prompts à manier la matraque que la décoration –même après les coups durs.Le second coup de feu est à venir, puisque le médecin-chef, qui n’est pas policier mais employé de façon contractuelle par l’Intérieur, est convoqué le 23 mars devant le conseil de discipline, entre un voyage à Londres et un autre à Oslo, pour partager avec ses homologues étrangers le savoir-faire des médecins français en matière de tuerie de masse. Il comparaitra accompagné d’un avocat et épaulé par un syndicaliste, face à un conseil en service commandé. Un coup dur pour un service, le RAID, qui a beaucoup enduré depuis les attentats de 2015, mais qui fait face à sa mission - on l’a encore vu samedi dernier lors de l’attaque perpétrée dans l’enceinte de l’aéroport d’Orly. Une maladresse de plus à l’encontre d’une police que cette gauche aura décidément peu comprise – disons tout de suite que Matthias Fekl, ministre de l’Intérieur pour les deniers instants du quinquennat, n’y est strictement pour rien ! -
L'AF Clermont-Ferrand perturbe la conférence européiste du pédophile Cohn-Bendit
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REVUE DE PRESSE Guyane. « La population compare ce mouvement aux Bonnets rouges »
Cayenne (Breizh-Info.com) – La grève générale a été déclenchée en Guyane depuis lundi 27 mars 2017. Cela fait suite à de nombreuses semaines de mouvements de protestation divers, aux revendications principalement économiques, sociales, sécuritaires, mais aussi éducatives et sanitaires. Bernard Cazeneuve, le Premier ministre, a annoncé lundi l’envoi d’une délégation interministérielle avec un préalable : que des garanties soient données pour obtenir le « respect de l’ordre républicain ».
Pas de quoi convaincre les acteurs de la contestation – qui n’entendent pas se laisser intimider par le Gouvernement et qui veulent que leurs revendications soient entendues, et appliquées. Une grande marche a eu lieu, ce mardi 28 mars 2017, dans les deux plus grandes villes de Guyane.
Une coordination des collectifs a rendu publique, lundi, une synthèse des revendications encore provisoire :
- Création d’une cité judiciaire ; mise en place d’un préfet de police ; éradication des squats.
- Construction de cinq lycées, dix collèges et cinq cents classes de primaire – pour faire face à la croissance démographique.
- Recrutement de quatre cents intervenants en langues maternelles, des assistants des enseignants du primaire qui permettent de commencer la scolarisation des enfants dans leur langue maternelle, puis de passer au français
- En matière de santé, ils demandent la transformation du centre médico-chirurgical privé de Kourou en hôpital public, et un soutien exceptionnel pour l’hôpital de Cayenne.
- Les collectifs proposent aussi une zone franche sociale et fiscale sur dix ans, la construction d’une route pour désenclaver l’intérieur et un réseau téléphonique sur tout le territoire.
- D’autres revendications concernent l’énergie, l’accès au foncier et la reconnaissance des droits des peuples autochtones.
Pour faire le point sur la situation, pas toujours très bien comprise ou analysée par la presse métropolitaine, nous avons contacté Mathilde Romagnan, journaliste pour Radio Péyi, première radio privée généralisation d’information de Guyane, en pointe dans la couverture de la contestation populaire.
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Les « 500 frères » guyanais : « Si les voyous veulent la guerre, on la fera »
Pierre Barbey le rappelait hier dans Présent : après des années d’un incroyable laxisme migratoire et judiciaire, mais aussi d’abandon par la métropole, la Guyane est aujourd’hui en passe d’exploser. Depuis lundi, en effet, une grève générale paralyse le département, à l’appel de la plupart des syndicats et de nombreux collectifs, dont celui des mystérieux « 500 frères ».
Un département à la dérive
Rappelons d’abord que la Guyane est le département français le plus victime de l’immigration-invasion. Originaires du Suriname, du Guyana, du Brésil et même d’Haïti, les clandestins, attirés par les pompes aspirantes de l’immigration, y débarquent chaque année par dizaines de milliers. Au point que, en novembre dernier, le préfet a dû suspendre l’enregistrement des demandes d’asile. Un afflux massif qui vient encore aggraver un chômage catastrophique, mais surtout la criminalité.
Ici, en effet, on n’enregistre pas moins d’un homicide par semaine (49 sur les douze derniers mois), près de 200 viols en un an, 428 vols à main armée en 2016. Le taux de criminalité y était en 2014 de 90 pour mille habitants, alors qu’il est de 56 ‰ en France métropolitaine. Une criminalité dans laquelle les clandestins jouent un rôle majeur, puisque ceux-ci représentent 50 % des détenus en Guyane.
« Si les voyous veulent la guerre, on la fera »
C’est contre cette grave dérive et à la suite du meurtre d’un habitant d’un quartier populaire en février dernier que plusieurs dizaines de personnes ont décidé de former ce collectif des « 500 frères ». Mais, avec eux, pas de niaiseries du genre de celles auxquelles nous assistons depuis des années dans nos banlieues ethniques.
Encagoulés, vêtus de noir et plutôt costauds, ils n’hésitent pas à faire le coup de poing dans les rues de Cayenne et multiplient les coups d’éclats pour demander l’éradication des squats, le maintien d’un escadron de gendarmes mobiles affecté en renfort ou encore le renvoi dans leur pays des détenus étrangers pour y purger leur peine.
Après une première apparition le 22 février dans une manifestation à Cayenne contre la délinquance, le collectif ne cesse de s’inviter un peu partout. Ainsi, le 17 mars, ses militants ont-ils envahi le bâtiment de la collectivité territoriale de Guyane, entraînant la fuite de Ségolène Royal… Le 23, ils faisaient fermer la mairie de Cayenne, qui ne respectait pas l’appel à la grève générale. Et, samedi encore, rencontrant le chef de la mission gouvernementale dépêchée sur place, ils refusaient d’entamer le dialogue avec lui, demandant à s’entretenir directement avec Cazeneuve.
Interrogé récemment, l’un d’eux a expliqué : « Aujourd’hui, on dialogue. On fait tout pour empêcher une guerre civile. […] Mais si les voyous veulent la guerre, on la fera. »
Franck Deletraz
Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 29 mars 2017
https://fr.novopress.info/204631/les-500-freres-guyanais-si-les-voyous-veulent-la-guerre-on-la-fera/
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Les journalistes s'inquiètent des arrestations suite à une manif en Russie. Et la France avec LMPT alors ?
VIDEO: @NicolasBayFN à @RuthElkrief qui dénonce l'arrestation de manifestants Russes : «Y'a eu 300 arrestations durant @LaManifPourTous !»