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insécurité - Page 701

  • Qatar, Arabie Saoudite : Quand la France entretient des relations avec des pays qui financent l’islamisme

    « Nos très chers Emirs ». Tel est le titre d’un livre consacré aux relations qu’entretiennent la France avec les monarchies du Golfe.

    Pour les journalistes et ex-otages Christian Chesnot et Georges Malbrunot, les gouvernements français successifs se sont montrés complaisants avec des pays qui financent une idéologie qui nous menace et des réseaux terroristes que nous ciblent.

    Sous Sarkozy, c’est la lune de miel avec le Qatar. Leur ambassadeur arrose Paris. Subventions, financements, cadeaux personnels. A chaque Noël, il envoie des paquets à une trentaine de personnalités, d’une valeur de 10 000 euros à peu près. Aucun sac de grand luxe n’a été retourné à l’ambassade. Certains élus français se plaignent même lorsque le cadeau n’arrive pas ou les Qataris refusent de payer tel ou tel voyage.

    Le Qatar et l’Arabie Saoudite ont pourtant joué un rôle important dans le financement du terrorisme islamiste :

    Depuis la révolution iranienne en 1979 et l’aide apportée aux mudjaïdines en Afghanistan, des réseaux financiers se sont créés pour financer le djihad dans le monde. Les rapports américains, du FBI et de la CIA, le disent clairement.

    http://fr.novopress.info/201217/qatar-arabie-saoudite-quand-la-france-entretient-des-relations-avec-des-pays-qui-financent-lislamisme/

  • La peur doit changer de camp : soutenons les policiers !

    Le paysage effarant dessiné par nos dirigeants politiques montre des policiers qui ont peur plus que jamais
    Les policiers aujourd’hui, comme les militaires de tout temps, risquent leur vie. On vient les assassiner chez eux. On les achève lorsqu’ils sont blessés. On leur lance des cocktails Molotov quand on ne leur tire pas dessus. Des manifestants violents les prennent directement pour cibles. Des slogans meurtriers sont lancés à leur encontre. Des magistrats semblent plus enclins à les poursuivre et à les condamner qu’à donner suite rapidement et efficacement aux procédures qui leur ont demandé beaucoup de travail.

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  • Policiers en colère : « Viry, c’était prévisible »

    Après une semaine de manifestation nocturnes suite à la violente agression au coktail molotov dont ont étés victimes leurs collègues à Viry-Châtillon il y a quinze jours, une centaine de policiers se sont rassemblés devant la mairie d’Evry, accompagnés pour certains de leur familles afin de montrer qu’il y a « des hommes derrière l’uniforme ».

    http://fr.novopress.info/

  • Cazeneuve a préféré protéger une bouffe privée de Hollande que les Niçois : 86 morts !

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    Paul Le Poulpe Riposte laïque cliquez ici

    C’est seulement maintenant que nous prenons connaissance de l’audition de la directrice de l’Inspection Générale de la Police Nationale (IGPN), Marie-France Moneger-Guyomarc’h, le 6 septembre dernier, par une mission parlementaire présidée par Eric Ciotti. On sent que ce dernier, impitoyable, cherche à comprendre pourquoi les Niçois n’ont pas profité de la protection de forces mobiles, comme les années précédentes. Il rappelle que cette ville est la cinquième de France, que nous étions en plein état d’urgence, et qu’il y a plus de 500 fichés S dans le département.

    La directrice bafouille lorsqu’elle est prise, les doigts dans le pot de confiture du mensonge, à imaginer un prétexte bidon pour justifier le fait que ses services ont préféré mentir par omission afin de ne pas avouer que des forces mobiles avaient été utilisées pour assurer la sécurité du soi-disant président de la République en déplacement privé au Festival d’Avignon (on ne peut rien refuser à Julie Gayet), plutôt qu’à Nice, pour le feu d’artifice du 14 Juillet (à partir de 3 mn sur la vidéo), avec les conséquences que l’on connaît.

    Cazeneuve et ses sbires ont donc pensé que la sécurité d’un repas privé de Hollande à Avignon, avec des artistes du système, était plus importante que la sécurité des Niçois. Conséquence : 86 morts et des centaines de blessés mutilés à jamais.

    Et le pire est que, en outre, Cazeneuve, comme d’ailleurs Estrosi, a grossièrement menti aux Français, par la suite, comme le démontre notre contributeur Jacques Chassaing.

    Attentat de Nice : Cazeneuve et Estrosi ont menti cliquez ici

    Ils ont voulu cacher aux Français que l’assassin musulman a pu rouler pendant 2 kilomètres avant de caler, et seulement abattu à ce moment là. Il a fallu 4 minutes et 17 secondes pour tuer le conducteur. 4 minutes et 17 secondes, vous vous rendez compte. Des gens écrasés par centaines, et personne pour intervenir ! Comme le disait Jacques, en Israël ou aux Etats-Unis, le camion n’aurait pas fait cent mètres. Et nous étions en plein état d’urgence ! Mais il faut respecter l’Etat de Droit, et protéger les repas privés du président avec ses amis artistes…

    Dans n’importe quel pays au monde, après une telle incompétence, le ministre de l’Intérieur aurait été viré sur le champ, après les troisième attentat musulman de masse ! En France, il a fallu attendre un mois et demi pour avoir connaissance de ces images accablantes.

    Cet homme, qui ose se dire ministre de l’Intérieur, est en fait le ministre de l’Invasion. Il organise, avec des méthodes dignes d’une dictature, s’appuyant sur des préfets aux ordres, la mise à mort de nos villages, à qui il impose la présence des clandestins de Calais par dizaines, voire parfois par centaines. Il ose interdire aux maires de voter.

    Il méprise tellement ses policiers que, quand ils se font griller dans leur voiture par des racailles, il minimise la gravité des faits, et les laisse aller au massacre quotidiennement.

    Ce plus mauvais ministre de l’Intérieur que l’Histoire ait connu – mais aussi le plus arrogant – est responsable de deux crises majeures, celle des migrants et celle de la police, peut-il rester à son poste ? Comme tous ses complices socialistes, il a sur les mains le sang de 250 victimes de l’islam, à cause de sa politique migratoire et de la fermeture de nos frontières, comme le dit Philippe de Villiers.

     

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Invasion migratoire : les migrants de Calais dispersés partout en France !

    L’évacuation totale de la « Jungle » de Calais va donc débuter lundi 24 octobre à 8H00. Une opération qui devrait durer une semaine. Alors que la logique aurait été de tous les expulser, le gouvernement a donc décidé de disperser plus de 7 000 migrants dans des centres d’accueil et d’orientation (CAO) répartis sur tout le territoire.

    60 cars prendront la route lundi, 45 mardi et 40 mercredi. Au total, ce sont près de 145 autocars qui devraient embarquer jusqu’à 50 migrants et avec deux accompagnateurs à bord.

    Une fois arrivés dans ces centres, les migrants seront appelés à « réfléchir à leur projet personnel » (sic).

    Dès lundi, une soixantaine de bus vont disperser des de Calais vers 454 centres d'accueil à travers toute la France.

    Lisez cet article, il démontre à quel point l'immigration incontrôlée est un fardeau pour la France et les Françaishttp://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/jungle-de-calais-comment-va-se-derouler-le-demantelement-du-24-octobre-7785398779 

    Photo published for 7 jours, 1.250 policiers... L'évacuation hors-norme de la "Jungle" de Calais

    7 jours, 1.250 policiers... L'évacuation hors-norme de la "Jungle" de Calais

    ÉCLAIRAGE - Le gouvernement a annoncé que l'opération, supervisée par 1.250 policiers et gendarmes, devrait durer sept jours.

    rtl.fr 
  • Terrorisme, islamisme, immigration ? (Elie Hatem)

  • Les autorités camouflent les 250 clandestins installés à Lourdes

    Selon Olivier Monteil, conseiller Régional FN de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées et Secrétaire départemental du Front National des Hautes-Pyrénées :

    6a00d83451619c69e201bb09493ded970d-250wi.png"Qui informe la population sur le fait que ce sont désormais 250 « migrants », réfugiés douteux mais authentiques clandestins, qui sont logés dans Lourdes ? Sans parler de ceux répartis sur les communes voisines, comme Argelès-Gazost...

    Ce sont aujourd’hui plusieurs dizaines de sites qui accueillent gratuitement des « migrants » à Lourdes : 3 appartements au Turon de Gloire, 2 autres à l’Astazou (route de Bartrès), 1 autre à l’Ophite, 7 autres à Lannedarré, puis bien d’autres encore rue de Langelle, rue des Chalets, route du Stade, avenue Leclerc, rue Béni ou rue des Arrious, etc., etc...

    Qu’attendent la commune de Lourdes et la Préfecture pour communiquer sur ce sujet ? Comment sont assurés les contrôles et la sécurité ? Les Lourdais et les Bigourdans sont-ils donc indignes de savoir qui vient dans leur ville et où vont leurs impôts ? Car ce sont bien les contribuables qui payent ces logements réhabilités ou refaits à neuf pour loger les « migrants » que l’Etat nous impose !

    Plus scandaleux encore, comme l’indique une note d’information destinée aux agents de Police : il est demandé aux Policiers, en cas d’intervention sur un site d’hébergement de « migrants » à Lourdes, de se contenter de rédiger une simple « main courante d’événement » ! Pas de plainte donc ? Même en cas de « délit grave, que le demandeur d’asile soit auteur ou victime », l’administration n’enjoint aux Policiers que d’appeler...la directrice du CADA (Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile)! Jusqu’où ira cette volonté malsaine de cacher la vérité aux Lourdais?"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/10/les-autorit%C3%A9s-camouflent-les-250-clandestins-install%C3%A9s-%C3%A0-lourdes.html

  • Police : la contestation enfle

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    Ils partirent plusieurs centaines de la place du Trocadéro pour arriver plus d’un millier devant les grilles de l’Elysée.

    Les policiers se sont encore une fois rassemblés jeudi soir pour exprimer leur ras-le-bol. « Descendre dans la rue ? Ça nous travaillait depuis un certain temps », me glisse une policière affectée à Nanterre. « Cazeneuve et Falcone [ndlr : directeur de la police nationale] sont complètement déconnectés de la réalité, je les invite à aller sur le terrain. Ils ne se rendent pas compte, la guerre civile, on est en plein dedans ! »

    Les collègues rassemblés ont d’autres projets pour leurs supérieurs hiérarchiques. Ils réclament purement et simplement leurs démissions. En direction de la place de l’Etoile, le cortège enchaîne les slogans : « Falcone t’es foutu, la police est dans la rue. » Et les policiers d’entonner La Marseillaise sous les fenêtres des gens saluant le cortège. « Les citoyens avec nous », ont-ils appelé plusieurs fois. Certains sont venus leur apporter leur soutien, arborant une pancarte : « Gazé en 2013, mais pas rancunier », en référence aux répressions policières post-Manifs pour tous. A noter également le soutien de nombreux chauffeurs de taxi, organisant des navettes pour raccompagner gratuitement les policiers chez eux.

    Arrivé en bas des Champs-Elysées et après négociation avec le commissaire faisant l’intermédiaire entre les manifestants et le gouvernement, le cortège s’est dispersé dans le calme après avoir obtenu la promesse d’une rencontre d’une délégation au ministère de l’Intérieur. « Mais ce ne sera pas les syndicats, prévient un des organisateurs, ils sont tous corrompus. » A suivre…

    Louis Lorphelin

    Article paru dans Présent daté du 22 octobre 2016

    http://fr.novopress.info/201184/police-la-contestation-enfle/#more-201184

  • La guerre civile ethnique se prépare – par Guillaume Faye

    Le samedi 8 octobre 2016, à Viry–Châtillon, en banlieue parisienne, dans une de ces zones de non-droit qui se multiplient, deux voitures de patrouille ont été attaquées, vitres brisées, et incendiées au cocktail Molotov et les policiers volontairement bloqués à l’intérieur. La tentative d’homicide est évidente. Les policiers ont été gravement brulés et l’un d’entre eux demeurait entre la vie et la mort.

    Le 17 octobre, par une évidente contagion, des pompiers, attirés après des incendies volontaires, puis des policiers ont été pris dans un guet-apens à Mantes-la–Jolie, avec jets de pierres et de cocktails Molotov. Représailles après la saisie de 35kg de résine de cannabis la semaine précédente ? En tout cas, l’ambiance était insurrectionnelle, impliquant une centaine d’émeutiers. Du mobilier urbain a été détruit, des voitures de police endommagées et une annexe de la mairie vandalisée. Ce genre d’épisode se multiplie quotidiennement, se banalise, devient endémique, jusqu’à ne plus être maîtrisable.

    La fronde policière contre l’État

    Patrice Ribeiro, président du syndicat Synergie–Officiers parle, à propos du guet–apens de la Grande Borne, d’une « tentative de meurtre d’une sauvagerie inouïe ». Selon Céline Berthon, du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN), majoritaire, « il s’agit d’une tentative d’assassinat en bande organisée ». Gravissime, le syndicat Alliance a organisé une « grève du zèle » le 11 octobre dans tous les commissariats de France. Les fonctionnaires de police, dégoutés, affrontent l’État, dont la haute hiérarchie semble les mépriser. Et, hors syndicats, des centaines de policiers surchauffés ont spontanément manifesté sur les Champs–Élysées dans la nuit du 17 au 18 octobre, souvent pendant leurs heures de service, à deux pas du ministère de l’Intérieur où soufflait un vent de panique. Le mouvement de fronde s’est amplifié dans les autres villes de France, et le patron de la police, J–M. Falcone, a été hué par ses fonctionnaires qu’il rappelait à l’ordre. Ce début de lâchage de l’État par sa police, qui désobéit aux ordres, y compris syndicaux, est un symptôme annonciateur du chaos de la guerre civile. Les déclarations du ministre de l’Intérieur, le pitoyable et incompétent Cazeneuve, minimisant les agressions, auront été la goutte qui fait déborder le vase.

    La réalité de cette guerre civile ethnique qui se prépare est confirmée par la forte hausse des policiers blessés en mission, dont aucune statistique officielle ne fournit l’origine des auteurs, pourtant parfaitement connue : 544 policiers blessées en moyenne par mois. Au premier trimestre 2016, 3267 policiers et gendarmes ont été blessés en opération (+14% par rapport à 2015). En 2015, 6.854 gendarmes ont été victimes d’agressions physiques ou verbales. Et 5736 policiers ont été blessés en service. Sans parler des pompiers… Depuis dix ans, la progression est constante.

    On assiste à deux mouvements parallèles : augmentation des populations immigrées qui fournissent presque 100% des délinquants violents et baisse de la réponse pénale. Mme Taubira, ancienne ministre de la Justice, ver dans le fruit, en bonne militante subversive, aura servi à quelque chose. La situation explosive des prisons, où la majorité des détenus sont des délinquants musulmans, est un facteur aggravant. Les réponses pénales à toute cette criminalité sont ridiculement basses, parce que le corps judicaire est atteint par cet islamo–gauchisme de collaborateurs dont Mme Taubira ou Edwy Plenel sont d’éminents représentants. Et parce qu’il y a un manque criant (volontaire) de places de prison.

    Invasion territoriale intérieure

    En Europe, il n’y a qu’en France (« douce France »…disait la chanson bien anachronique de Charles Trenet) où ce genre de faits atteint une telle intensité. Mais les autres pays voisins connaîtront la même situation dans peu de temps, si rien ne change, si le déversement migratoire à majorité musulmane continue –ce qui est la vraie clé du problème.

    Les auteurs des agressions, des bandes organisées de voyous cagoulés, visent à protéger et à marquer leur territoire, dans ces zones de plus en plus en plus nombreuses où le droit français, la fameuse ”République” comme les Français de souche ont disparu. Ils voulaient aussi interdire à la police de pénétrer dans des quartiers où le trafic de drogue (notamment le cannabis marocain) atteint une dimension considérable.

    On parle de « zones de non droit » ; certes, mais ce sont aussi des zones envahies, portions du territoire national occupées par l’immigration extra-européenne à majorité musulmane. Y prospèrent en parfait parallélisme la délinquance et la radicalisation islamique, sous direction salafiste. Ces zones gagnent chaque année du terrain, dans les banlieues, les villes et, demain peut-être dans les terres rurales. La France est rongée de l’intérieur, avec la complicité de l’État, qui s’ingénie à imposer des ”migrants” –clandestins illégaux mais entretenus– dans les petites communes, derniers refuges des Français de souche. Cette évidence est à a fois connue de tous et dissimulée par les discours de l’idéologie d’État.

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