insécurité - Page 699
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Manifestation des policiers en colère à Versailles.
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Un millier d’immigrés illégaux de Calais campe déjà à Paris depuis le démantèlement de la Jungle
C’est le résultat logique de la politique irresponsable des autorités gouvernementales. Depuis lundi, premier jour du démantèlement de la Jungle de Calais, au moins un millier d’immigrés illégaux a quitté Calais pour s’installer à Paris.
Les abris de fortune s’installent à différents endroits et donnent à la capitale un air de bidonville. De quoi faire fuir les derniers touristes qui envisageaient un séjour parisien.
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Les prétendus « réfugiés syriens » de Calais sont en réalité des envahisseurs Africains
Le mythe des « femmes et enfants syriens fuyant la guerre » a du plomb dans l’aile. Toutes les images en provenance de Calais démontrent, pour les rares naïfs, qu’il s’agit en réalité de masses d’africains ou d’orientaux, essentiellement musulmans.
Source: Thomas Joly
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En 2 mois, les ennemis d'Hillary Clinton sont tous morts naturellement
Le 8 novembre 2016 les élections américaines vont se terminer avec le choix d’un nouveau président ou d’une nouvelle présidente. Comme tous les candidats précédents, Hillary Clinton et Donald Trump montrent au peuple un visage pacifique et ils promettent la paix mondiale.Cela n’a rien à voir avec la réalité, et le passé de Hillary Clinton le montre clairement. Car c’est elle qui a soutenu la guerre en Irak avec beaucoup de zèle sous Georges Bush. De même quand elle était ministre des Affaires étrangères sous Barack Obama elle a joué un rôle clef dans les attaques de l’OTAN contre la Libye. Elle s’est aussi montrée ennemi juré de l’Iran. Elle a dit en 2008 :« Si je deviens présidente, nous attaquerons l’Iran !! »Il est sûr et certain que nous allons voir ce que Donald Trump et Hillary Clinton entendent par paix mondiale. En voici un petit aperçu :Depuis juin 2016 les cas de décès se multiplient dans l’entourage de Hillary Clinton. Les 6 hommes dont les noms suivent sont morts parce qu’ils ont essayé de révéler les pratiques criminelles des Clinton :– John Ashe, ancien président de l’Assemblée générale des Nations Unies entre 2013 et 2014, aurait dû être un témoin pour des transferts d’argent illégaux de l’homme d’affaire chinois Seng vers le Comité démocrate sous le président Bill Clinton. Il n’a jamais pu dénoncer tout cela devant la justice. Selon l’ONU il est mort le 22 juin d’un arrêt cardiaque, ce que les policiers locaux ont démenti.– Mike Flynn, journaliste d’investigation, est mort le 23 juin de manière mystérieuse. Le jour de sa mort, son article sur la fondation des Clinton avec ses nombreuses succursales partout dans le monde y compris à Hong Kong, a été publié. En échange de cadeaux politiques la fondation des Clinton a été soutenue financièrement par des hommes d’affaires chinois et par le gouvernement chinois de Pékin.– Seth Rich a fait des recherches sur le trucage des votes du Comité démocrate. D’après ses recherches, le Comité a manipulé les pré-élections avec des moyens criminels en faveur d’Hillary Clinton. Le 10 juillet il a été tué pour des raisons inconnues.– Joe Montano, ancien dirigeant du Comité démocrate, est mort le 25 juillet à l’âge de 47 ans d’un arrêt cardiaque. Sa mort est survenue juste après que Wikileaks ait publié des informations sur les trucages des élections du Comité démocrate. Des membres de celui-ci disent que Joe Montano savait trop de choses sur le scandale du Comité.– Victor Thorn a écrit des livres sur les abus sexuels de Bill Clinton et sur des preuves de plus en plus nombreuses des meurtres qui ont eu lieu dans l’entourage d’Hillary Clinton. Le 1er août, il se serait suicidé par balle.– Shawn Lucas est mort le 2 août pour des raisons inconnues jusqu’à présent. Il prétendait que les élections étaient une escroquerie.Chers téléspectateurs, d’un côté ces cas de morts sont tragiques, mais d’un autre côté, ce qui est aussi tragique, c’est que les grands médias occidentaux n’en parlent pas. Et pour cette raison la question se pose de savoir s’il s’agit seulement de coïncidences tragiques ou bien d’une conspiration qu’on ne peut plus nier ?Lien permanent Catégories : actualité, élections, insécurité, international, magouille et compagnie 0 commentaire -
Livre Libre : G. Collard / Général Bedou : "Comprendre la délinquance"
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Centres pour migrants : le scandaleux éditorial du Monde !
Le journal bien-pensant Le Mondevient de se surpasser. Dans son éditorial du mardi 25 octobre, il enjoint aux Français et à leurs élus d’ouvrir les yeux et de construire nombre de centres en dur pour accueillir et intégrer les migrants. Pour lui, il faut éviter à tout prix de nouvelles « jungles de Calais ».
Le Monde a un argument prétendument imparable : les réfugiés vont continuer à déferler au même rythme. On ne peut rien faire contre « cette loi naturelle » aussi immuable que la gravitation. Il assène, en outre, que l’immigration génère de la croissance, et est indispensable (au vu de la baisse démographique).
Mais tout ce bel édifice repose sur des mensonges éhontés.
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91 % des Français soutiennent les policiers. Le gouvernement agira-t-il enfin ?
Depuis trop longtemps, malgré les appels au secours répétés, la situation sur la voie publique n’a cessé de se dégrader.
Alors que le mouvement de mécontentement des policiers oscille entre récupération gouvernementale et persistance des intéressés, un récent sondage vient confirmer le large soutien que les Français apportent à leur police. En effet, selon un sondage exclusif IFOP pour Atlantico, 91 % de nos compatriotes estiment que les récentes manifestations sont justifiées, dont 60 % tout à fait justifiées.
Ce chiffre très élevé, en dehors du fait qu’il n’est pas sans rappeler les 94 % de soutien obtenus par les forces de l’ordre lors des manifestations de 2001, s’explique autant par la bienveillance des Français envers cette corporation que par une forte demande sécuritaire. Il traduit également, à n’en pas douter, la crainte de l’ensemble de la population française de voir la situation intérieure du pays dégénérer jusqu’à déclencher des émeutes meurtrières, voire une guerre civile.
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Prisons radicalisées : la panique, par Caroline Parmentier
Ils sont complètement paumés. Après nous avoir dit que c’était ce qu’il y avait de mieux, le gouvernement abandonne son dispositif phare de lutte contre la radicalisation en prison avec ses unités spécialisées qui regroupaient les islamistes dangereux. Au contraire maintenant, total revirement, on va les isoler.
Il faut dire que l’expérimentation menée depuis un an s’est terminée le 4 septembre dernier par la sanglante tentative d’égorgement d’un maton à Osny, l’une des vitrines du programme gouvernemental. Les deux principaux syndicats de surveillants, l’UFAP-UNSA et FO Pénitentiaire, avaient réclamé l’arrêt immédiat des frais à Osny, Fleury-Mérogis, Fresnes et Lille Annœullin où se multiplient les tentatives de mutinerie et de prises d’otages. Le ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, vient d’annoncer qu’il fermait ces cinq unités dédiées. Curieusement, l’effet pervers de ces regroupements de bêtes fauves ne leur avait pas sauté aux yeux.
La réalité c’est que la déradicalisation à grand renfort « de psychologues, de conseillers d’insertion et d’intervenants extérieurs » ne marche absolument pas. Au contraire elle rendait encore plus furieux ces fanatiques qui n’avaient qu’une idée : égorger les kouffars qui voulaient leur faire renier leur folie religieuse.
Au lieu d’expulser dans leur pays d’origine tous les étrangers détenant un titre de séjour qui se rendent coupables de délits ou de crimes (si cela avait été le cas, l’attentat de Nice n’aurait pas eu lieu), tous ceux qui sont en situation irrégulière et tous les étrangers fichés pour leur proximité avec l’islamisme radical et les interdire de territoire, on va garder à nos frais ces centaines de djihadistes comme autant de bombes à retardement. Ils vont désormais être répartis en France et isolés. Facile à gérer pour l’administration pénitentiaire quand la surpopulation carcérale atteint des records.
Précision rassurante : c’est l’effet de masse qui a poussé le garde des Sceaux à changer de méthode. La Chancellerie redoute dans les semaines qui viennent « une déferlante des détenus terroristes » dans les prisons françaises : « En ce moment, les services incarcèrent une demi-douzaine de personnes par semaine ».
Le budget consacré à la sécurisation des prisons est passé de 30 millions en 2016 à 58 millions d’euros en 2017 (contre 17 millions en 2015). Aujourd’hui qu’on les décapite, c’est la tête des surveillants de prison et des policiers qu’il s’agit de sauver.
Caroline Parmentier : Article et dessin parus dans Présent daté du 27 octobre 2016
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Les consignes du ministère préserver le désordre public
Lu dans Minute :
"lundi 17 octobre, pour la première fois en France, une salle de shoot a ouvert ses portes aux drogués, quatre ans après que la décision en avait été prise lors d’une réunion interministérielle à une époque (décembre 2012) où le premier ministre s’appelait Jean-Marc Ayrault. Ce lieu de défonce a été aménagé à l’hôpital Lariboisière, dans le Xe arrondissement de Paris, sur le modèle des dizaines de centres semblables ouverts en Suisse – pays pionnier en la matière –, aux Pays-Bas – où ça pue le shit à tous les coins de rue –, en Allemagne, en Norvège, au Luxembourg et même en Espagne.
Le mardi précédant l’ouverture, Marisol Touraine, ministre de la Santé à l’origine de la loi autorisant la débauche, et Anne Hidalgo, maire socialiste de la capitale, s’étaient rendues sur place pour se féliciter d’une telle innovation, qui est supposée « favoriser l’entrée des usagers de drogues dans un processus de réduction des risques » et, selon Jean-Jacques Urvoas, le ministre de la Justice, « réduire les nuisances et troubles à l’ordre public » ! Moyennant quoi le garde des Sceaux vient de donner pour consignes, comme on va le voir, de surtout préserver le désordre public que cette salle de shoot va engendrer… [...]
Datée du 13 juillet 2016, cette circulaire est relative à l’ouverture des « premières salles de consommation à moindre risque, espace de réduction des risques par usage supervisé » (c’est le nom politiquement correct des salles de shoot). En jouant habilement sur les mots, elle invite les procureurs à définir autour des salles de shoot un périmètre où les camés seront intouchables : « Aux abords de la structure réglementée, seules les personnes fréquentant les salles de consommation pourront bénéficier, non d’une extension d’immunité pénale, mais d’une politique pénale adaptée. » Mais encore ? Dans ce même document, au chapitre des « contrôles de police réalisés aux abords des salles », on comprend que cela veut dire… que les policiers devront regarder ailleurs : «Dans ce périmètre défini par les procureurs de la République, la poursuite des personnes se rendant à la structure pourra être considérée comme inopportune »! Et comment détermine-t-on si le gars qui se trimbale avec de l’héroïne dans la poche se rend à la « structure » ou passe juste dans le coin ? Mystère ! D’ailleurs, d’après une indiscrétion du journal « Le Monde », « les policiers ont en outre reçu pour instruction du procureur de la République de Paris de tolérer les usagers de drogue aux abords de la salle » de l’hôpital Lariboisière, ce qui aura au moins pour avantage de leur éviter de perdre du temps en procédure puisque celle-ci ne peut que finir, comme ils en ont déjà l’habitude, dans la poubelle du Palais de justice… Conséquence de cette « tolérance » ? Dans ce périmètre (qu’il appartiendra au procureur de la République de délimiter sur sa carte – est-ce que je mets aussi les numéros impairs ? Et cette ruelle adjacente, je l’intègre ou je l’intègre pas ?), où la police n’interviendra donc pas, les dealers et toxicos des quartiers voisins vont rappliquer, puisqu’ils bénéficieront de l’immunité accordée aux « clients » de la salle de shoot [...]"
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Manifestations policières : l’impasse de Cazeneuve
La révolte qui gronde chez les fonctionnaires de la police nationale revêt un caractère particulier qui met le gouvernement, et en première ligne Bernard Cazeneuve, dans une situation inédite.
En effet, si le mouvement de protestation des policiers, le 17 octobre à Paris, semble avoir pris de court le ministère de l’Intérieur, sa particularité tient au fait qu’il s’agit d’une initiative lancée délibérément en dehors de toute représentation syndicale.
Ce désaveu peut s’expliquer par deux reproches adressés par les policiers à leurs syndicats : celui de passer plus de temps à s’entre-déchirer qu’à défendre leurs intérêts, et celui d’être coresponsables de la situation qui est aussi la leur, en ce qu’ils gèrent collectivement avec l’administration, par le biais des commissions administratives paritaires, le fonctionnement de la police nationale.