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insécurité - Page 721

  • Le jour où un iman sera assassiné…

    Le roi d’Arabie Saoudite et le recteur de la mosquée Al-Azhar lanceront des appels à la paix, au pardon et à la fraternité. 

    Si l’on en juge par les réactions actuelles à la suite de l’égorgement du père Hamel et de la tentative d’assassinat d’un fidèle catholique de 86 ans, on peut préjuger de ce qu’il adviendra le jour où un iman sera assassiné, non pas par un membre de l’État islamique qui l’aura considéré comme un mécréant, mais par un ultra-nationaliste déséquilibré.

    Chacun, politicien, responsable religieux, responsable associatif ou simple citoyen, fera sa petite déclaration ou son petit tweet de condamnation, ce qui sera tout à fait normal. Les déclarations en question se garderont bien de nommer le nationalisme mais se diront en guerre contre le terrorisme.

    Les journalistes iront interroger la mère du présumé innocent pour qu’elle puisse expliquer que c’était un brave gamin, et ses voisins pour qu’ils témoignent de sa radicalisation récente et du fait qu’au sein des mouvements nationalistes, on se méfiait de lui.

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  • Nos ennemis les islamistes, par Guy Rouvrais

    Les membres du gouvernement, les éditorialistes et l’épiscopat français nous exhortent à ne pas tomber dans le « piège » que nous tend l’Etat islamique : la division, l’affrontement entre chrétiens et musulmans débouchant sur une guerre civile. Que faire alors ? Rester unis et se répandre en baisers Lamourette entre chrétiens et musulmans, gens de droite et de gauche, libéraux et socialistes, citoyens des villes et gens des champs. Alors déconcertés, si ce n’est épouvantés, par tous ces gars de France qui se tiennent la main pour faire une ronde autour de l’Hexagone, les terroristes reculeraient, n’oseraient plus trancher une seule gorge au sein d’un peuple si uni. « Damned ! Ils nous ont vaincus ! » lanceraient-ils en larmes et en arabe.

    Unis, les Français ne le furent jamais autant qu’au lendemain de l’attentat contre Charlie Hebdo qui vit des millions de personnes, de convictions et de conditions diverses, envahir le pavé parisien. Cela fut suivi de votes unanimes au Parlement. Dix mois plus tard, il y eut le 13 novembre et la suite sanglante que l’on connaît. C’est dire si les démonstrations d’unité non seulement n’impressionnent pas les tueurs islamistes mais au contraire les flattent dans leur pouvoir de mobiliser tant de foules avec peu d’hommes et de moyens.

    Mais, surtout, nos moralistes et stratèges d’occasion se trompent sur l’objectif de Daesh. Ce n’est pas la guerre, ce n’est pas de provoquer un affrontement entre chrétiens et musulmans. Le but, que les islamistes proclament depuis toujours, c’est l’instauration du califat partout dans le monde, donc en France, pour la victoire finale de l’islam promise par Mahomet. La guerre sainte n’est qu’un moyen. Si nous nous soumettons volontairement en acceptant la loi islamique ou, en tant que chrétiens, la condition de dhimmi, ils n’auront plus de raisons de nous faire la guerre. Nous pouvons donc y échapper, faire cesser les attentats et les égorgements, il suffit que nous acceptions de vivre à genoux sous le glaive au lieu de nous battre pour mourir debout sous la croix. L’alternative est bien celle-là !

    Nos évêques, eux, nous expliquent qu’en tant que chrétiens nous ne devons pas nous laisser envahir par la haine ou un esprit de vengeance. Certes, mais rappelons que les grands hommes de guerre, souvent chrétiens, combattent sans haine mais par amour de la patrie, la terre des pères. Comme on défend sa famille, son épouse, ses enfants, non par animosité pour ceux qui veulent les agresser mais par amour des siens. « Aimer nos ennemis » ? C’est dans l’Evangile mais cela ne résume pas toute la doctrine de l’Eglise, élaborée au fil des siècles, sur les guerres justes et injustes.

    Aimer nos ennemis, c’est d’abord reconnaître que nous, chrétiens, nous avons des ennemis et que leur hostilité n’est pas soluble dans une accolade fraternelle. C’est aussi les désigner comme tels. Or, avons-nous entendu un seul évêque – ou le pape – dire : « nos ennemis les islamistes » ? Pas les musulmans – car selon Vatican II ce sont nos amis – mais seulement les islamistes ? Même pas ! Comme si, déjà, énoncer la simple vérité était gros d’on ne sait quels belliqueux sentiments ! Comment vaincre nos ennemis si nous n’osons même pas dire que ce sont des ennemis ?

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 30 juillet 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Mobilisation du GUD à Lyon pour dénoncer la collusion entre le terrorisme islamique et le Système immigrationiste

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    L'action remarquée du GUD en plein centre de Lyon

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    Le tract massivement distribué pendant la manifestation

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Soyons terribles pour éviter au peuple de l’être

    Il y a beaucoup de bonnes et intéressantes idées dans cette chronique publiée sur Causeur [26.07]. Certes, il nous est permis de douter, à nous et à beaucoup d'autres, que la République soit capable de la brutaliténécessaire face non seulement au terrorisme mais aussi à l'islamisation de la France. Mais il est vrai qu'aujourd'hui nous ne pouvons l'attendre cette brutalité  - et la réclamer - que de ceux qui occupent le pouvoir, sans trop l'exercer d'ailleurs, on le sait. Nous ne chipoterons pas Guillaume Bigot, sur son opinion, que nous ne partageons pas, selon laquelle De Gaulle serait parvenu à canaliser l'épuration des collabos. C'est aujourd'hui un point d'histoire. La référence finale à l'horrible Danton a-t-elle de quoi nous agacer ? Finalement, non, puisqu'en l'occurrence elle reprend une idée juste. Comme nous paraît juste et bienvenue le fond de cette chronique.  LFAR

     Le sang a à peine fini de sécher sur la Promenade des Anglais. La France a été de nouveau frappée. Bientôt, nous ne compterons plus les attentats islamistes. Que faire pour nous y préparer ?

    Avant tout comprendre la nature de la menace. Ce ne sont pas les attentats qu’il faut redouter, ce sont leurs conséquences qu’il faut anticiper. Les actes de terreur djihadistes, bien qu’épouvantables en eux-mêmes, ne sont pas aussi graves que leurs effets probables.

    Cessons d’ailleurs de poser cette question idiote : que fait la police ? Impossible de mettre un agent de renseignement derrière chaque djihadiste potentiel, on empêche beaucoup, on ne préviendra pas tout. Sortons de notre fantasme du zéro risque ou du caractère prédictif du risque djihadiste. Nous sommes dans la vraie vie, pas dans la série « 24 heures chrono ».

    Il faut ainsi préparer la population à des répliques aussi sanglantes que fréquentes. Nous l’écrivions en 2004 avec Stéphane Berthomet dans Le jour où la France tremblera. A présent que nous y sommes, nous n’allons pas nous dédire : la guerre sera d’usure et nous ferions mieux de nous y préparer.

    Nous n’avons pas de stratégie, nous subissons, pire encore nous amplifions. Lorsque nos médias diffusent des images gores, ils se transforment en service de presse du djihad, amplifiant l’effet de terreur. Cesser de diffuser et de relayer les images les plus anxiogènes et les plus spectaculaires des attentats est essentiel, afin de ne pas participer au djihad psychologique. Les médias, les acteurs de l’Internet et tous les citoyens devraient être mobilisés et appelés à la retenue par un État conséquent qui aurait la juste mesure du défi qui nous est lancé. Mais nos dirigeants peuvent-ils sortir de leur logique de com ? Il est permis d’en douter.

    Ivres de démagogie, rendus fous par la tyrannie de la transparence, la veille de l’attentat de Nice, nos gouvernants allaient jusqu’à rendre publique des projets attentats déjoués, facilitant ainsi la tâche à nos ennemis qui n’ont même plus besoin de réussir leur coup pour faire parler d’eux. N’ayant rien compris, ni rien appris du 11-Septembre et du 13-Septembre, le Premier Ministre, la veille de la réplique, se félicitait de l’absence d’attentats pendant l’Euro accréditant l’idée suivant laquelle nous étions sortis du « pot au noir » djihadiste.

    Nous avons toujours un attentat de retard et notre analyse court après l’événement, sans recul et sans capacité à en saisir la logique d’ensemble et à en cerner la réelle dangerosité.

    Les experts et les politiques constatent que, pour l’instant, tout est calme. Ce calme risque de précéder la tempête. Il est vrai que le peuple français a fait preuve d’une dignité et d’une sérénité exemplaire jusqu’à présent mais c’est sans compter sur l’effet de répétition d’actes qui s’inscrivent dans une guerre d’usure.

    La tragédie qui se prépare…

    Imaginez qu’armé d’une simple fourchette, un forcené vous pique le bras jusqu’au sang. Une fois, deux fois, dix fois. A la onzième blessure infligée, même si vous êtes l’être le plus placide du monde, vous allez à la fois vous en prendre à ceux qui sont censés vous protéger et à ceux dont vous estimez, à tort  ou à raison, qu’ils sont responsables de votre souffrance. Voilà ce qui nous menace. Et ce n’est sûrement pas l’eau tiède du « vivre-ensemble » et du « pas d’amalgame » qui préservera notre concorde.

    Si rien ne change, des Français exaspérés finiront par se faire justice eux-mêmes. Et alors, ce jour là, peu importe qu’ils frappent des musulmans pacifiques, des salafistes antipathiques ou de vrais djihadistes, c’est le monopole de la violence légitime qui sera alors contesté.

    Si cela arrive (et nous sommes bien partis pour), la situation deviendra incontrôlable. Nous serons rentrés dans la spirale du sang. Voilà ce qu’il faut éviter et non faire croire à l’opinion que les attentats pourront être évités, ce qu’il est vain d’espérer.

    Nos dirigeants ignorent l’ampleur de la tragédie qui se prépare car ils ne croient pas à l’esprit gaulois. On va hurler au racisme. À tort. Il suffit de relire la Guerre des Gaule pour découvrir que même si nous avons peu de rapport ethnique avec les tribus celtes décrites par César, le peuple français d’aujourd’hui partage bien des traits psychologiques et culturels avec eux. Les beurs et les blacks des cités sont d’ailleurs bien plus gaulois qu’ils ne l’imaginent.

    Or, l’un des traits de la psychologie française, c’est d’être aussi prompts à se diviser qu’à s’unir face à un ennemi commun. Une autre de leur caractéristique, c’est de se montrer très ouvert aux apports extérieurs mais également très intolérants voire très violents à l’égard de ceux qui entendent imposer leur loi chez eux et d’être capables d’accès de fureur incontrôlé. L’histoire de France est jonchée de cadavres de ceux qui ont essayé de briser l’unité et qui ont pactisé avec l’étranger. La haine des Bourguignons, la répression des huguenots, le  massacre des Vendéens et des émigrés, l’épuration des collabos (que De Gaulle parvint à canaliser).

    Ce qui est à redouter par dessus tout, c’est donc que la minorité prosalafiste en France finisse ainsi réprimée dans le sang ou rejetée à la Méditerranée. La valise ou le cercueil, le sinistre programme du FLN risque un jour d’être imposé à ceux qui, Français de souche ou de fraîche date, voudront vivre suivant la charia en France.

    Pour neutraliser ce risque, la République doit se montrer symboliquement brutale à l’égard de cette minorité dans la minorité musulmane et exigeante à l’égard de l’islam. Ce n’est pas le programme de 1901 qu’il faut appliquer à l’islam mais celui de Bonaparte à l’égard du judaïsme.

    Créer des tribunaux d’exception et expulser les étrangers et les doubles nationaux fichés « S ». Expulser en masse et de manière spectaculaire tous les prêcheurs de haine, condamner pour intelligence avec l’ennemi les militants français de la cause. Créer un moratoire sur le regroupement familial. Plutôt la violence symbolique que physique. Obliger toutes les mosquées en France à condamner sans équivoque les actes de leurs coreligionnaires. Imposer aux imams de prévenir eux-mêmes l’amalgame, en se dissociant sans équivoque avec les djihadistes, mieux vaut heurter la susceptibilité des musulmans pratiquants de France que de les voir un jour brutalisés.

    Il faut aussi expliquer qu’espérer vivre suivant des lois et des mœurs étrangères à la France sur son territoire risque de se transformer en cauchemar. Interdire catégoriquement tout prosélytisme islamiste et protéger préventivement les mosquées.

    Danton a parfaitement anticipé ce programme de salut public : soyons terribles, disait-il, pour éviter au peuple de l’être !  

    Guillaume Bigot
    Membre du Comité Orwell, essayiste

    En 2013 il publie La Trahison des chefs chez Fayard.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La France a tué 164 civils dans un raid en représailles à l’attaque de Nice

    Le représentant permanent de la Syrie auprès des Nations Unies, Bachar Al-Jaafari, a revu à la hausse le bilan des victimes des frappes françaises après l'attentat du 14 Juillet, et alerté sur les conséquences humanitaires des raids de la coalition.
    Profitant de son intervention au Conseil de sécurité des Nations unies lundi 25 juillet, le diplomate syrien Bachar Al-Jaafari a annoncé que le raid aérien français mené en Syrie, en représailles à l'attentat de Nice du 14 Juillet avait causé la mort de 164 villageois – soit près de deux fois le nombre de victimes de la Promenade des Anglais. Le diplomate a regretté le manque de communication entre les autorités syriennes et les forces de la coalition, menée par les Etats-Unis et à laquelle participe la France, qui aurait pu permettre d'éviter ce genre de drame.
    Selon le responsable syrien, les autorités françaises ont souhaité frapper les positions de l'Etat islamique, dans le village de Toukhan al-Koubra au nord du pays, dans le cadre des opérations de la coalition internationale. Or, a-t-il indiqué, «Daesh a pris en otage les [habitants de ce village] et s'en est servi comme boucliers humains».
    «Lorsqu'ils ont appris que le président français avait déclaré que la France allait venger [les attentats de] Nice, les commandants de Daesh ont donné l'ordre [à leurs forces] d'évacuer ce village» a précisé le diplomate. Par conséquent, lorsque les avions militaires français ont bombardé cette position, les combattants djihadistes avaient fuit celle-ci... mais les civils s'y trouvaient encore.
    Des raids dénoncés par Damas auprès de l'ONU

    Le 20 juillet, les autorités syriennes avaient annoncé la mort de 120 civils durant ces frappes aériennes françaises, réalisées mardi 19 juillet près de la frontière turque. A cette occasion, le gouvernement de Syrie avait écrit à l'ONU, l'enjoignant à condamner les frappes aériennes réalisées par la coalition menée par les Etats-Unis, sans l'autorisation de Damas ou sans mandat du Conseil de sécurité des Nations unies.
    Ces raids, ont affirmé les autorités syriennes, ont plus contribué à endommager l'infrastructure du pays qu'à affaiblir les forces de l'Etat islamique.
    Russes et Américains veulent mener une enquête sur ce raid

    Devant le Conseil de sécurité, le représentant de la Russie auprès de l'ONU Vitaly Tchourkine a exprimé ses «inquiétudes profondes» à propos de l'annonce de la mort de civils dans des raids français et américains, et a annoncé que la Russie «espérait une enquête menée par des forces militaires adéquates».
    La représentante des Etats-Unis, de son côté, a déclaré qu'une enquête serait menée par des ONG au sujet de ce raid meurtrier – une option qui n'a guère convaincu Vitaly Tchourkine, selon qui les faits pourraient, de cette manière, «être balayés sous le tapis».
    «De nombreux civils ont pu être tués dans le nord [de la Syrie, durant le raid]», a toutefois admis la représentante américaine.
    Moscou et Washington soutiennent deux camps opposés dans le conflit syrien, le premier portant assistance aux forces gouvernementales, le second appuyant des groupes rebelles dans le cadre de la coalition internationale.

    al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuyAyZuukpHOIQPdVA.shtml

  • I-MEDIA S03E24 : Une semaine d’attentat en Europe, une semaine de bobards dans les médias

  • Et pendant ce temps, l'islam s'installe en France

    Après les mosquées et les écoles, l’Union des organisations islamiques de France s’attaque à un gros chantier : le Centre An-Nour en Alsace, un lieu cultuel, culturel et commercial de plusieurs milliers de mètres carrés à Mulhouse :

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    La démographie est une science prospective qui permet de constater que le remplacement de population en France est un fait : si le suicide démographique des Français et l'immigration massive ne sont pas enrayés, il est indéniable que les chrétiens de France connaîtront le sort des chrétiens d'Orient.

    Michel Janva

  • Amine El Khatmi, élu PS : « Que les musulmans fassent le ménage »

    Amine El Khatmi est adjoint au maire (PS) d’Avignon, et l’un des initiateurs, avec l’universitaire Laurent Bouvet, du Manifeste pour un Printemps républicain. Il a accordé un entretien à La Provence dont nous extrayons ce passage.

    Ne paie-t-on pas aujourd’hui le « politiquement correct » et l’achat de la paix sociale dans certains quartiers ?
    A.E.K. : 
    Bien sûr. Il y a des élus qui ont assuré leur élection et leur réélection en achetant la paix sociale, en se fourvoyant et en s’asseyant sur leurs valeurs pour quelques paquets de voix. Il y a des gens qui expliquaient en tribune qu’ils étaient des républicains et des laïcs et qui, sitôt descendus, allaient s’enfermer dans des caves avec des imams salafistes. Oui, ça existe, et il ne faut pas avoir peur de le dénoncer. Désormais, dès que vous dites un mot sur l’islam, on vous traite d’islamophobe. L’islamophobie, c’est un concept politique créé pour étouffer toute critique de la religion. Moi, dans le pays de la liberté d’expression, j’ai le droit de critiquer la religion, la mienne et celle des autres. Et ceux qui ne croient pas ont le droit de critiquer le fait que, moi, je crois en quelque chose. Aujourd’hui, il y a cette espèce d’épée de Damoclès dès que vous dites un mot sur l’islam. […]

    Le Conseil français du culte musulman est-il un interlocuteur crédible ? 
    A.E.K. : Non. Dès sa création, il était traversé par des tensions entre Marocains, Tunisiens et Algériens. Et puis, je ne suis pas sûr qu’un ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy en l’occurrence à l’époque, ait vocation à créer une structure religieuse. Il fallait que cela émane des musulmans de France spontanément. Autrement, ça ne pouvait pas marcher.

    Faut-il voir naître un « islam européen », comme le souhaite le vice-président de la Conférence des imams de France, Houcine Drouiche ?
    A.E.K. : 
    Il ne faut pas que les musulmans attendent de la sphère politique qu’elle vienne s’ingérer dans leurs affaires. Il faut qu’ils se prennent en main et qu’ils fassent d’abord le ménage chez eux. Qu’ils commencent par ça. Parce qu’il y a trop de complaisances, de choses qu’on laisse passer…

    Peut-on encore tolérer prêches en arabe et financements étrangers ?
    A.E.K. : 
    Non, ce n’est pas acceptable. Et là aussi, la situation récente le rend encore plus nécessaire. Mais je crois aussi, et c’est un point de désaccord avec Manuel Valls, qu’on ne peut pas poursuivre des relations diplomatiques avec l’Arabie Saoudite et le Qatar, qui sont des pays dont on sait qu’ils ont financé des mouvements djihadistes.

    http://fr.novopress.info/

  • LE PRIX DE LA LACHETE

    Pierre Vial Président de Terre et Peuple

    Les Allemands payent, lourdement, le prix du sang. Dont la responsable s’appelle Merkel. Merkel et sa folie idéologique, suicidaire pour le peuple allemand. Mais cette fille de pasteur, employée longtemps par la Stasi avant de s’acheter un passeport d’honorabilité en passant au service des chrétiens-démocrates, ces larbins du Vatican et de la Maison Blanche, n’a que faire du peuple allemand. Qui doit expier pour tous les péchés qu’il a commis, comme le dit l’enseignement de la Bible. Mais il faut, paraît-il, aimer ses ennemis, si l’on en croit les chrétiens. Et ceux-ci doivent ouvrir grands leurs bras à leurs frères musulmans, car l’islam est une religion d’amour, de paix et de tolérance. En a fait l’expérience le malheureux prêtre catholique égorgé le mardi 26 juillet, au cri de « Allah Akbar », alors qu’il célébrait la messe dans l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray, en Normandie. Il avait 86 ans. Bel exploit de ses courageux assassins. Le pape exprime « sa douleur ». Pauvre type. S’il était digne de sa fonction il appellerait à la croisade. Mais il préfère se joindre au chœur des lamentations, qui fait bien rire les fous d’Allah. Tandis que les « autorités musulmanes » dûment estampillées par la République française versent des larmes de crocodile. En serrant quand même un peu les fesses : des fois que les Gaulois finiraient par se réveiller et par appliquer la loi du talion… Mais il faudrait, pour cela, qu’ils s’émancipent de la chape de plomb du politiquement correct, mise en œuvre par les autorités officielles et les media aux ordres. Hollande découvre la lune et déclare, effaré, qu’on est en guerre. Bien.

    Alors il faut faire la guerre. La vraie. Celle qui frappe sans faiblesse, sans hésitation. Mais pour cela il faut avoir quelque chose dans le ventre – et plus bas. Les occidentaux payent leur lâcheté et leur bêtise. Tant pis pour eux. Mais la colère monte contre les incapables et les traîtres censés protéger la population. Aux Européens qui méritent encore ce nom de savoir ce qu’ils ont à faire. En envoyant se faire pendre les pleurnicheurs et les donneurs de leçon de morale.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/07/27/le-prix-de-la-lachete-5830590.html

  • Angela Merkel, divinité maléfique de l’Europe

    MINUTE-2781-251x350.jpg« Angela Merkel, divinité maléfique de l’Europe » : tel est le titre du numéro de cette semaine de l’hebdomadaire Minute, qui consacre son dossier aux liens entre l’afflux de migrants et le développement du terrorisme. Le journal, qui impute à la chancelière allemande l’immense responsabilité d’avoir entraîné l’Europe dans une folle politique migratoire, et à la France celle de l’avoir aveuglément suivie, ne voit le début du salut que dans la chute de l’idole Merkel. Extrait.

    « L’Europe, du moins celle qui ne s’est pas regroupée dans l’alliance de Visegrad, s’en est entièrement remise à Angela Merkel, ou s’y est soumise, ou s’est résignée à accepter ses décisions, tant dans l’ouverture des frontières que dans l’accord passé ensuite avec la Turquie, comme si “Mummi“, le surnom qui lui est donné en Allemagne et qui signifie aussi bien “maman“ que “petite mère“, n’était pas seulement la “Mummi“ des Allemands mais était devenus la “Mummi“ de tous les Européens.

    « Or il s’avère que Mummi, qui, en tant que telle, aurait dû être la protectrice de ses enfants, troquant ta tunique teutonne pour une tenue grecque, a plongé dans la tragédie, et l’Europe avec elle. “La mère kachoube des romans de Günter Grass, dont les jupes amples, déployées au milieu des champs glacés du monde, accueillent et réchauffent ses innombrables enfants“, comme l’écrivait Bruno Le Maire, alors ministre de l’Agriculture, dans Paris Match en septembre 2013 dans un portrait enamouré qui fait sérieusement douter des capacités d’homme d’Etat du candidat à la primaire que l’on présente comme le plus brillant de sa génération,s’est muée en mère livrant ses propres enfants à ceux qui les dévorent.

    « Au moins, en ce début de XXIe siècle, l’Histoire, avec un grand H, est-elle de retour, dans toute sa dimension tragique et sacrificielle, qui demande maintenant à ce que le meurtre – symbolique – de la grande prêtresse soit accompli. C’est le plus difficile tant sont venus se prosterner devant elle tous les grands de ce monde, qui en ont même fait, dans une inversion des valeurs qui prend tout son caractère odieux au fur et à mesure des attentats en Allemagne et en France, une seconde mère Teresa. Le temps est venu de brûler l’idole d’une société qui se meurt, pour que disparaissent avec elles ses serviteurs et ses funestes inspirations. Après quoi pourra naître un nouveau cycle. »

    http://fr.novopress.info/202769/angela-merkel-divinite-malefique-de-leurope/