insécurité - Page 831
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Calais : les clandestins sortent sabres et barres de fer pour casser des voitures
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Priorité dans la persécution = priorité dans l’accueil
Le député Gilbert Collard déclare à Christianophobie Hebdo :
"Souhaitez-vous donc mettre en place une sorte de «discrimination positive » à l’endroit des chrétiens d’Orient ?
Je suis pour cette « discrimination positive ». Aujourd’hui, dans les régions touchées par l’islamisme, être chrétien est un élément identifié de persécution, et même, être chrétien équivaut à être persécuté. Puisqu’ils ont la priorité dans la persécution, ils doivent avoir la priorité dans l’accueil. C’est une évidence."
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Zoom : Pablo Escobar : le monstre de Medellin (01-10-2015)
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La vraie guerre que l'Etat Islamique entend porter sur notre sol n'a pas encore commencé
Ancien responsable du Pôle judiciaire antiterroriste, le juge Marc Trévidic, vice-Président du tribunal de grande instance de Lille, livre une analyse inquiétantede la situation. Nos responsables politiques n'en sortent pas grandis :
"La menace est à un niveau maximal, jamais atteint jusqu'alors. D'abord, nous sommes devenus pour l'Etat islamique [EI] l'ennemi numéro un. La France est la cible principale d'une armée de terroristes aux moyens illimités. Ensuite, il est clair que nous sommes particulièrement vulnérables du fait de notre position géographique, de la facilité d'entrer sur notre territoire pour tous les djihadistes d'origine européenne, Français ou non, et du fait de la volonté clairement et sans cesse exprimée par les hommes de l'EI de nous frapper. Et puis, il faut le dire : devant l'ampleur de la menace et la diversité des formes qu'elle peut prendre, notre dispositif de lutte antiterroriste est devenu perméable, faillible, et n'a plus l'efficacité qu'il avait auparavant.
Enfin, j'ai acquis la conviction que les hommes de Daech ont l'ambition et les moyens de nous atteindre beaucoup plus durement en organisant des actions d'ampleur, incomparables à celles menées jusqu'ici. Je le dis en tant que technicien : les jours les plus sombres sont devant nous. La vraie guerre que l'EI entend porter sur notre sol n'a pas encore commencé.Nous avons en face de nous un groupe terroriste plus puissant que jamais. Bien plus puissant qu'Al-Qaïda à sa grande époque (...)
La France est, de fait, confrontée à une double menace. Celle du déferlement de ce que j'appelle les “scuds” humains du djihad individuel, ces hommes qui passent à l'action sans grande formation ni préparation, agissant seuls, avec plus ou moins de réussite, comme on a pu le voir ces derniers temps. Et celle, sans commune mesure, que je redoute : des actions d'envergure que prépare sans aucun doute l'EI, comme celles menées par Al-Qaïda, qui se sont soldées parfois par des carnages effroyables (...) Les hommes de Daech ont les moyens, l'argent et la faculté d'acquérir facilement autant d'armes qu'ils veulent et d'organiser des attaques de masse. Le terrorisme est une surenchère ; il faut toujours aller plus loin, frapper plus fort (...) Ils sont en train de penser à quelque chose de bien plus large, visant en tout premier lieu l'Hexagone (...)
Les Américains sont plus difficiles à atteindre. La France, elle, est facile à toucher. Il y a la proximité géographique, il y a des relais partout en Europe, il y a la facilité opérationnelle de renvoyer de Syrie en France des volontaires aguerris, des Européens, membres de l'organisation, qui peuvent revenir légalement dans l'espace Schengen et s'y fondre avant de passer à l'action (...)"
Nous ne sommes plus en mesure de prévenir les attentats comme par le passé. On ne peut plus les empêcher. Il y a là quelque chose d'inéluctable. Bien sûr, on arrête des gens, on démantèle des cellules, on a de la chance aussi, comme on a pu le voir avec certaines affaires récentes, mais la chance ou le fait que les terroristes se plantent dans leur mode opérationnel, ou encore que des citoyens fassent preuve de grande bravoure, ça ne peut pas durer éternellement. Quant aux moyens affectés à la lutte antiterroriste, ils sont clairement devenus très insuffisants, et je pèse mes mots. On frise l'indigence à l'heure où la menace n'a jamais été aussi forte (...)
Les politiques prennent des postures martiales, mais ils n'ont pas de vision à long terme. Nous, les juges, les policiers de la DGSI, les hommes de terrain, nous sommes complètement débordés. Nous risquons d'“aller dans le mur”."
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Coordination contre l'EI : les Etats-Unis d'accord avec la Russie
Début d'après-midi : "Poutine veut une coordination face l'EI"
"Le président russe Vladimir Poutine a déclaré qu'il cherchait à mettre en place avec les pays de la région un "cadre de coordination" afin de combattre les jihadistes du groupe Etat islamique en Irak et en Syrie".
Fin de journée : "Kerry appelle à une coordination face à Daech"
"Il est capital de coordonner l'ensemble des efforts de lutte contre le groupe djihadiste État islamique (EI) au Proche-Orient, ce qui n'est pas encore le cas actuellement, a déclaré dimanche le secrétaire d'Etat américain, John Kerry.
"Je crois que l'enjeu crucial, c'est que l'ensemble des efforts soient coordonnés. Ce n'est pas le cas actuellement. Je pense que nous devons réfléchir à la manière dont nous allons continuer".Lien permanent Catégories : actualité, géopolitique, insécurité, international, islamisme 0 commentaire -
Les États-Unis provoquent une nouvelle escalade nucléaire
Source : Russie politics
En annonçant leur volonté de déployer en Allemagne des armes atomiques nouvelle génération, les États-Unis provoquent une rupture de l’équilibre des forces dans la région. La réaction russe est attendue et la réponse américaine est prête. Simplement, personne ne sait où cela va s’arrêter.Les médias allemands, la chaîne ZDF en tête, lâchent l’info qui surprend le pays entier : les États-Unis vont déployer très prochainement sur une base navale allemande des missiles nucléaires américains nouvelle génération, qui rompent la frontière entre armes tactiques et stratégiques.
Cette décision surprenant d’autant plus que, même si des armes nucléaires américaines sont toujours sur le territoire allemand depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la décision avait été prise en 2009 de les faire sortir du pays. Le Parlement allemand ayant pris la décision que le pays ne serait pas en possession d’armes nucléaires. La décision n’a toutefois jamais été appliquée.
Il semblerait que cela ne dérange pas les plans américains dans un pays souverain, car en fait ce pays, aussi fort et puissant semble-t-il vu depuis la France, n’est qu’un pion de plus dans un jeu qui le dépasse.Car la réaction attendue est celle de l’autre grande puissance, qui malheureusement n’est plus l’Europe et ne peut être l’UE. La Russie annonce que si une telle violation de l’équilibre des forces est réalisée par les États-Unis sur le territoire européen, dans ce cas, elle se doit de sortir
Champignon nucléaire
du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire.
Rappelant avec le réalisme brut qui est parfois le sien, que tout pays qui possède l’arme nucléaire risque une réponse nucléaire !
Le président du Comité du Conseil de la Fédération pour la défense et la sécurité nationale, rappelant ainsi que si l’Allemagne veut entrer dans le club des pays nucléaires sous protection des États-Unis, elle se lie totalement les mains en cas de conflit.
Rappelons que le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire a été signé à Washington en 1987 par les présidents Reagan et Gorbatchev, prévoyant le démantèlement par les États-Unis et l’URSS de missiles à charges nucléaires et à charges conventionnelles.La bombe nucléaire B61-12 de nouvelle génération en tests de soufflerie. Cette arme à la fois tactique et stratégique voit sa précision et sa portée accrue par rapport aux précédentes générations. Elle est d’une puissance équivalant à 80 bombes lancées sur Hiroshima.
Dans le contexte actuel, il est évident que les États-Unis ne sont pas dans une logique de désarmement concerté. Leur intérêt est plutôt la relance de l’armement, une fuite en avant est nécessaire de leur point de vue. Or, annoncer la sortie unilatérale du Traité, en termes d’image, ils ne peuvent se le permettre.
Ainsi, le réarmement nucléaire de l’Allemagne, qui ne répond aujourd’hui à aucun besoin défensif réel, permet de provoquer la Russie et ainsi de trouver un argument justifiant, même artificiellement et hypocritement, la rupture de leurs engagements internationaux.
Et en effet, la machine n’est pas encore totalement lancée, que déjà ils annoncent que si la Russie « viole » le Traité, ils seront bien obligés de « répondre » et ne pouvant permettre la prédominance militaire de la Russie, ils seront « obligés » de ne plus tenir leurs obligations internationales liées à ce Traité.C’est simple et efficace. De toute manière, les médias sont disciplinés et n’écriront que ce qu’il faut, donc cette opération permettra de renforcer l’image de la Russie qui veut attaquer l’Europe, ayant pour effet retour de justifier le renforcement des armes nucléaires en Allemagne.
Oubliant juste au passage, que le développement de l’arsenal nucléaire américain en Allemagne n’est pas la conséquence de la sortie de la Russie du Traité de réduction des armes nucléaires, mais la cause. Mais là aussi, combien de médias en parleront ? Une nouvelle « réalité » sera ainsi mise en place. Et l’escalade nucléaire tant nécessaire aux États-Unis pourra reprendre.
http://fr.novopress.info/192852/les-etats-unis-provoquent-nouvelle-escalade-nucleaire/
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Allemagne : immigration de masse et explosion du nombre de viols
EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
Totalement occultée en Europe, une étude américaine relève le lien entre explosion des viols et d’immigration de masse en Allemagne
L’information a fait la une, hier de notre excellent confrère Présent. Dans une étude très détaillée publiée le 18 septembre dernier, le Gatestone Institute, un organisme américain qui se consacre aux questions stratégiques, relève la parfaite corrélation entre la croissance exponentielle du nombre de viols que connaît actuellement l’Allemagne, d’une part, et l’ouverture des frontières de nos voisins d’outre Rhin à une immigration massive, de l’autre.
Gatestone n’hésite pas à incriminer les demandeurs d’asile
Foin du politiquement correct… Dans son étude, Gatestone décrit en effet : « Un nombre croissant de femmes et de jeunes filles hébergées dans des abris pour réfugiés en Allemagne, violées, agressées sexuellement et même forcées à se prostituer par les demandeurs d’asile ». Et l’Institut américain de continuer
Les conditions de vie dans ces centres d’hébergement sont si dangereuses pour les femmes et les jeunes filles que ces dernières sont décrites par les prédateurs mâles musulmans comme du “gibier sauvage” à leur disposition
L’étude recense précisément plusieurs dizaines de cas
Avec la description des agresseurs, les dates, les lieux, les âges des victimes : femmes, adolescentes et même enfants.
Un nombre croissant d’Allemandes à travers le pays sont violées par des demandeurs d’asile en provenance d’Afrique, d’Asie et du Moyen Orient
précise Gatestone. Dans plusieurs villes de Bavière entre autres, à la suite de nombreux viols de jeunes filles, la police a demandé aux parents de ne pas laisser leurs enfants non accompagnés, aux femmes de ne pas sortir seules, ou encore aux lycéennes de ne pas porter de vêtements « révélateurs » afin d’éviter les « malentendus » (sic) avec les réfugiés musulmans.
Et en France ?
Silence radio sur les médias de l’oligarchie. À part quelques cas de viols qui ont fait l’objet d’un encart dans les pages faits divers de Nice Matin ou de La Voix du Nord. Naturellement, pas un mot sur l’origine des violeurs…
http://fr.novopress.info/192807/allemagne-immigration-masse-explosion-du-nombre-viols/
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Exclusif. Deux terroristes présumés arrêtés à la frontière hongroise
Deux meneurs des affrontements ayant eu lieu à la frontière serbo-hongroise (à Horgos et à Röszke) viennent d’être identifiés par la police hongroise, comme des terroristes qui s’apprêtaient à commettre des actions sur le sol européen.
Image d’illustration de combattants d’al-Nosra (branche syrienne armée d’Al-Qaeda). Photo © AFP
Le 16 septembre, Yacir et Ahmed H. ont été interpellés alors que, munis de mégaphones donnant des ordres en arabe et en anglais, ils encadraient les émeutiers qui tentaient d’entrer en Hongrie par la force.
D’après le portail d’information Alfahir.hu, c’est un immigré illégal, manifestement chrétien, qui a reconnu Ahmed H. et envoyé des photos accablantes à la police. On y voit Ahmed H en Syrie brandissant une kalachnikov ou partageant un moment de repos au milieu d’un groupe de djihadistes.
D’après la police hongroise, Ahmed H aurait participé au meurtre de plus de cinquante personnes. Le témoin a révélé que celui-ci avait la réputation d’un « boucher sanguinaire, assassin notoire, tortionnaire ». Après enquête, selon la police, le terroriste présumé, loin d’être un malheureux réfugié, possède une maison à Chypre, un bateau, cinq voitures et venait d’investir 90 000 euros dans la construction d’une nouvelle demeure.
Plus grave, il était lié au Tabligh Jamaat, un groupe fondamentaliste islamiste. Il aurait combattu au sein de l’armée syrienne libre, puis dans les rangs du front al-Nosra (branche syrienne d’Al-Qaeda). Une information annoncée par la police hongroise. [....]
La suite sur Valeurs Actuelles
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Exclusif-Deux-terroristes-presumes
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Prohibition fiscale : des pharmaciens écoulaient l’alcool médical… pour en faire des liqueurs !
Trois pharmacies de la Loire s’étaient transformées en comptoir de distribution d’alcool détaxé. Le tribunal correctionnel de Saint-Étienne doit rendre sa décision le 22 octobre sur le cas de pharmaciens poursuivis pour avoir, de 2008 à 2011, vendu de l’alcool médical à des particuliers qui l’utilisaient pour confectionner leurs liqueurs.
L’affaire, relatée par Le Progrès, s’est ouverte sur un signalement par les services douaniers, lesquels avaient découvert la combine chez des particuliers de Haute-Savoie.
Des milliers de litres en trois ans
En trois ans, estiment les Douanes, les trois officines de Saint-Etienne, Riorges et Montbrison auraient ainsi écoulé 5.000 litres d’alcool médical à des fins non-thérapeutiques. « Il y avait dans ces officines une file indienne de gens qui venaient acheter leur alcool ! », s’est exclamé le procureur à l’audience, jeudi.
Certes, l’alcool médical n’est pas soumis aux droits d’accise, qui taxent habituellement les boissons destinées à la consommation. Mais pour cela,il faut justifier de son usage thérapeutique. Or l’automédication au génépi n’est pas encore remboursée par la Sécu.
« Vous ne tenez pas une droguerie, mais une pharmacie »
Un détail qui a échappé au pharmacien de Saint-Etienne, dont le magasin aurait, à lui seul, vendu plus de 2.800 litres détaxés. Les droits d’accise ? « On ne savait pas. Personne ne nous réclamait ça », plaide le professionnel. Lequel n’oublie pas de mettre carrément toute la profession dans la boucle : « Je n’étais pas informé, ni par le syndicat, ni par l’Ordre (des pharmaciens) ».
Devant tant de candeur, la présidente du tribunal a dû s’employer pour garder son calme : « Monsieur, vous ne tenez pas une droguerie, mais une pharmacie ». L’un des prévenus a d’ailleurs reconnu qu’il utilisait aussi l’alcool pour alimenter un chauffage à l’éthanol, chez lui.
Les deux pharmaciens poursuivis (le troisième est décédé) pourraient avoir à verser plus de 73.000 euros de droits non-payés, en plus des lourdes peines d’amende réclamées par le procureur.
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France : un jihadiste de retour de Syrie projetait un attentat dans une salle de concert
L’homme se prénomme Reda, selon BFMTV qui révèle, vendredi 18 septembre, son arrestation. Agé de bientôt 30 ans, il est soupçonné d’avoir voulu perpétrer un attentat contre au moins une salle de concert en France. Il a été arrêté le 11 août et mis en examen, quatre jours plus tard, pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle », selon une source judiciaire. Voici ce que l’on sait de l’affaire.
Un bref séjour à Raqqa dans les rangs jihadistes
Placé en garde à vue dans les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), l’homme a d’abord refusé de parler. Mais, au troisième jour de sa détention, rapporte BFMTV, il a fini par avouer.
Le terroriste présumé a séjourné brièvement en Syrie, raconte une source policière. Il n’est toutefois resté qu’une semaine à Raqqa, le fief du groupe jihadiste Etat islamique dans le nord de ce pays en guerre. Son séjour a pris fin lorsqu’il a été blessé à la jambe par une grenade au cours d’un entraînement.
Un projet d’attentat commandité depuis la Syrie
Son engagement dans les rangs jihadistes compromis par sa blessure, un commanditaire l’incite à rentrer en France et à y commettre un attentat. Il lui suggère de viser un concert. Outre la France, d’autres pays européens ont été évoqués comme cibles d’un attentat, indique une source judiciaire.
Le suspect reconnaît avoir reçu des consignes précises. On lui détaille même l’itinéraire à emprunter pour son retour à Paris : par la Turquie, via Gaziantep et Istanbul, puis par la capitale de la République tchèque, Prague, et enfin par Amsterdam, aux Pays-Bas.
L’homme conteste toutefois avoir voulu passer à l’action, ajoute cette source. Lors de son arrestation, seule une arme de poing a été retrouvée à son domicile. Et, à ce stade, on ne lui connaît pas de préparation logistique plus avancée, assure une source policière.
Un ex-jihadiste découvert presque par hasard
Tout est parti d’une autre arrestation, relate une source judiciaire : celle d’un homme né au Maroc et soupçonné par les Espagnols d’avoir séjourné dans les rangs de l’Etat islamique. Ce suspect est interpellé en Pologne le 15 juin sur mandat d’arrêt espagnol. Après des échanges d’informations entre services, la DGSI apprend qu’il est rentré en Europe en compagnie d’un autre individu, le dénommé Reda décrit par BFMTV.
Ce dernier n’est pas connu des services de police et n’a pas de casier judiciaire. Les services français découvrent son existence après son retour en France. La DGSI le met alors sous surveillance et l’arrête au bout d’un mois et demi. Selon la police, une nouvelle « action violente » a ainsi été évitée en France, sept mois après les attentats de janvier.
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