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insécurité - Page 867

  • Un Français proche de Merah dans la nouvelle vidéo de l'Etat islamique

    Lu ici :

    "Journaliste pour RFI et auteur du livre Les Français jihadistes (Ed. Les Arènes), David Thomson est formel. Selon ce spécialiste de l’islamisme radical, l’homme qui apparaît sur une vidéo diffusée ce mardi par Daesh, au côté d’un enfant qui exécute un Arabe israélien accusé d'espionnage,est bien le Français Sabri Essid. Ce trentenaire était une figure du milieu salafiste radical toulousain, avant de rejoindre la Syrie fin mars 2014 avec sa famille.

    Sabri Essid était un proche de Mohamed Merah, le tueur de Toulouse et de Montauban, abattu par le Raid dans l’assaut de son appartement en 2012. Il se présentait même comme le «demi-frère» de l'assassin au scooter, puisque son père avait épousé religieusement la mère de Merah. Sabri Essid a organisé l'enterrement de ce dernier en mars 2012. Il est ensuite resté en contact avec la famille de Mohamed Merah, notamment avec sa sulfureuse sœur Souad."

    Les loups solitaires sont décidément bien connectés entre eux.

    Michel Janva

  • Contrairement aux Syriens, les réfugiés chrétiens Irakiens n’imaginent plus rentrer en Irak…

    Sœur Hanan Youssef, religieuse de la Congrégation de Notre-Dame de Charité du Bon-Pasteur, travaille dans un dispensaire situé à Roueissat, un bidonville de la banlieue nord de Beyrouth, au Liban : elle accueille dans cette petite structure des réfugiés irakiens et syriens, notamment des chrétiens qui fuient les persécutions, les attentats, et les menaces des islamistes.

    A l’occasion de la Nuit des Témoins, organisée par l’Aide à Eglise en Détresse (AED), sœur Hanan Youssef est en France pour témoigner de la détresse que vivent ces chrétiens réfugiés au Liban, pour demander le soutien et la prière des chrétiens occidentaux et pour raconter ce que, elle, et les autres sœurs du Bon Pasteur d’Angers, accomplissent au quotidien pour soulager la douleur de toutes ces familles.

    Si depuis quelques mois, les médias occidentaux parlent plus souvent et plus largement de l’exode des chrétiens Irakiens et Syriens à cause de l’avancée de l’Etat islamique, sœur Hanan Youssef rappelle que les premiers chrétiens irakiens à avoir fui leur pays sont arrivés au Liban vers 2007-2008. Depuis 2011, et le début de la guerre en Syrie, elle a vu arriver les chrétiens syriens avant de voir d’autres vagues d’Irakiens chercher refuge à partir de l’été 2014…

    Sœur Hanan Youssef revient sur la différence entre la situation des chrétiens Irakiens, qui n’imaginent pas revenir dans leur pays, et les chrétiens Syriens, qui continuent à espérer… Elle supplie également les Occidentaux de cesser de vouloir vider le Moyen-Orient de ses chrétiens, pointant du doigt la responsabilité de nos gouvernements dans le calvaire de ces chrétiens.

    Le très intéressant témoignage est à écouter ici.

     

    http://www.contre-info.com/

  • Réaction du Tchad et du Niger contre Boko Haram

    La réaction du Tchad et du Niger n’aura pas tardé à l’annonce d’allégeance de Boko Haram à l’État islamique.
    Leurs troupes respectives étaient en poste depuis un bon mois dans la province deDiffa, sous le feu de Boko Haram.
    La faction terroriste a multiplié les exactions ces derniers mois faisant encore 58 morts et 139 blessés dans trois explosions samedi 7 mars à Maiduguri, fief historique de Boko Haram et capitale de l’État de Borno (nord-est).
    Mais, il semble que ce soit surtout l’annonce de l’union entre l’engeance islamique nigériane et l’EI qui ait fait quitter la position défensive des deux armées régulières pour mener une attaque de grande envergure. L’offensive débutée le dimanche 8 mars à  8 heures du matin est actuellement en cours.

    http://fr.novopress.info/

  • Autorités chrétiennes de Syrie censurées ou diffamées par les médias

    Il est remarquable que les journalistes qui réalisaient ces interviews de complaisance, ou rédigeaient des articles à sa gloire, prenaient souvent soin de souligner que le point de vue du père Paolo dall’Oglio était très minoritaire, que les chrétiens de Syrie, majoritairement, ne souhaitaient pas le renversement du régime qu’ils considéraient comme un rempart contre les mercenaires extrémistes venus de l’étranger.

     

    On pouvait se demander alors : si l’opinion du père Paolo était à ce point minoritaire, pourquoi bénéficiait-elle d’une couverture médiatique aussi massive et diversifiée, alors qu’aucun autre témoignage de religieux connaissant bien la Syrie, y vivant, ou y ayant vécu, n’était jamais rapporté.

    Trois explications possibles à ce focus extraordinaire des médias sur ce personnage.

    1. Le père Paolo est l’un des seuls chrétiens lucides de Syrie. Tous les autres, comme il le soutient, sont intoxiqués par la propagande du « régime ». Les médias ont raison de relayer massivement et exclusivement ce témoignage 2. Le père Paolo est l’un des chrétiens les moins lucides de Syrie. Il ne comprend rien à ce qui se passe sur place, mais a choisi cette position tranchée en raison de l’immense amertume qu’il ressent d’avoir dû quitter un lieu sacré qu’il a contribué à redresser, et dans lequel il a vécu pendant 30 ans. 3 ; Le père Paolo dall’Oglio est tout à fait lucide ; quand il lance ses déclarations fracassantes et diffamatoires, il sait qu’il ment, il sait que ses incitations à la haine sont infondées et qu’en les proférant il trahit le Christ, il sait que son analyse de la situation est fausse et orientée, mais pour des raisons qui restent à éclaircir (et sans doute pas très catholiques), c’est la voie du mensonge et de la haine pour laquelle il a opté.

    J’ai déjà donné beaucoup d’éléments d’information en faveur de la 3ème explication, mais avant de trancher pour de bon, passons en revue quelques témoignages d’autorités chrétiennes qui, elles, n’ont bénéficié d’aucune couverture médiatique, ou ont été systématiquement caricaturées et diffamées dans les mêmes médias qui servaient la soupe au père Paolo dall’Oglio. En prenant connaissance de ce qu’ils disent, peut-être comprendrons nous mieux ce silence qui les environne, et le degré de supercherie qu’implique cette focalisation unique et martelée sur le père Paolo dall’Oglio. Donnons la parole à cinq personnalités religieuses syriennes ou très proches de la Syrie. [....]

    La suite sur Arrêt sur Info

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Autorites-chretiennes-de-Syrie

  • La guerre civile est à nos portes. Et si Guillaume Faye avait raison ?

    Il y a deux mois encore, avant les attentats perpétrés par des frères Kouachi et Ahmedy Coulibaly, expliquer que l’immigration massive que subit la France allait engendrer des troubles graves pouvant déboucher sur une guerre civile ethnico-confessionnelle faisait de vous … un déséquilibré ! Un mois après, on ne compte plus les articles parlant à mots couverts, voire même ouvertement, de la possibilité d’un conflit armé en France.

    La guerre civile est à nos portes. Et si Guillaume Faye avait raison ?

    Cliquer sur l’image pour l’agrandir.

    La preuve ? L’hallucinant article « France année zéro : la guerre civile » dans le magazine Lyon Capitale (février). Sous le titre « Islam, romans d’anticipation ? », celui-ci évoque le dernier roman de Jean Rolin, Les Evènements. Le romancier y décrit  « une France en proie au chaos » voyant « s’opposer des fractions identitaires, des milices islamistes, des groupuscules djihadistes et des brigades d’extrême gauche ». Comme le note Lyon Capitale, « l’auteur ne fait pas de politique. Il donne à voir la possibilité d’une guerre civile, chez nous en France. Lui, l’ancien reporter de guerre, a été subjugué de voir à quel point Sarajevo ressemblait à Grenoble. »

    L’écrivain français, Michel Houellebecq, dans son dernier ouvrage, Soumission, aborde directement cette problématique : « Pendant plusieurs années, et sans doute même plusieurs dizaines d’années, Le Monde, ainsi que plus généralement que tous les journaux de centre-gauche, avaient régulièrement dénoncé les “Cassandres” qui prévoyaient une guerre civile entre les immigrés musulmans et les populations autochtones d’Europe Occidentale. » (p55)

    La guerre civile à nos portes : Guillaume Faye avait-t-il raison ?

    Plus de dix ans avant tout le monde, Guillaume Faye, un auteur né dans le sillon de la « Nouvelle Droite » à la fin des années 1970, mais en rupture de ban avec celle-ci après son retour en politique au début des années 2000, avait prédit les évènements. Dans son ouvrage La colonisation de l’Europe, datant de 2000, Guillaume Faye décrivait de manière quasi-prophétique ce que certains découvrent aujourd’hui.

    « La guerre ethnique va commencer, et nous n’avons encore rien vu, comme l’a pressenti Éric Werner dans son livre « L’avant-guerre civile » (L’Age d’Homme). Cette situation prend évidemment aussi le visage d’une guérilla entre bandes ethniques, entre quartiers rivaux, sur le modèle américain. Mais ces affrontements inter-immigrés ne sauraient masquer qu’ils se fédèrent tous contre leur ennemi principal, les autochtones européens et leur État. En s’en prenant à tous les symboles de cet État (police, pompiers, transports), en défiant les lois par l’installation de zones d’économie criminelle, en faisant en sorte que les Européens déménagent sous la menace (même les immigrés portugais et espagnols, ce qui prouve le caractère racial et culturel plutôt que national de la réaction), les “jeunes issus de l’immigration” ont entamé un processus de guerre civile, de colonisation intérieure violente qui s’inscrira probablement dans le psychisme et la mémoire culturelle des générations qui les suivront. “Faire la guerre aux Européens sur leur territoire” : tel est le mot d’ordre qui restera ancré dans l’inconscient collectif de cette population grossissante. »

    Pour Guillaume Faye, « l’Europe est l’homme malade du monde » et la plongée dans les abîmes du chaos une certitude. Face aux risques d’une guerre civile sur des bases ethnico-religieuses, l’auteur, présent aux assises sur la remigration organisée par le Bloc Identitaire en 2014, exhorte à « préparer mentalement et idéologiquement la jeunesse européenne à affronter le chaos probable et à assurer l’après chaos ».

    http://fr.novopress.info/183436/guerre-civile-portes-guillaume-faye-avait-raison/#more-183436

  • Guerre en Ukraine : entretien exclusif avec l’association Vostok France solidarité Donbass

    L’une des conséquences du conflit au Donbass (Ukraine) entre forces de Kiev et séparatistes est la grave crise humanitaire qui touche les populations civiles. Pour leur venir en aide s’est constituée l’association Vostok France solidarité Donbass. Nous avons rencontré sa présidente Elena Ruffo-Kovriguina. L’association dispose, en plus d’un site, d’un compte Facebook et d’un compte Twitter.

    Bonjour, pouvez-vous rappeler l’objet de voter association ? Quel son rôle ?

    L’association Vostok France solidarité Donbass est une association humanitaire qui a été créée au mois d’août dernier afin de venir en aide à la population civile ukrainienne, sans distinction de son origine et de son religion, fuyants ou restants dans les zones de combats militaires à l’est de l’Ukraine.

    A qui venez-vous en aide ?

    Aujourd’hui notre aide est principalement concentrée sur la population civile de la région du Donbass à l’Est de l’Ukraine qui est ravagée par la guerre civile depuis 10 mois. La population que nous aidons ce sont des enfants, des femmes, des personnes âgées. Ces personnes ont survécu sous les bombes et les obus de longs mois, dans le froid, sans alimentation convenable, sans médicaments.

    Pourquoi aidez-vous ces populations ?

    Les villes et les infrastructures sont détruites, le système de santé presque inexistant suite à ces destructions massives et au blocus économique et bancaire instauré par le gouvernement ukrainien. Et au-delà, 5000 morts civiles dons 800 enfants, d’après le rapport de l’ONU… Le 21 janvier le gouvernement ukrainien a instauré l’interdiction de sortie du territoire du Donbass par la mise en place de barrages policiers, empêchant l’acheminement d’aide humanitaire ! Les médias occidentaux et ukrainiens ne parlent pas de cette crise humanitaire dont le représentant officiel de l’UNICEF en Ukraine qualifie comme une crise sans précédent.

    Pourquoi avez-vous manifesté samedi 21 février à Paris devant l’ambassade d’Ukraine ? Avez-vous bénéficié d’une participation importante ?

    Si nous nous sommes réunis le 21 février dernier devant l’Ambassade de l’Ukraine, c’est pour crier au gouvernement ukrainien et au monde entier notre inquiétude, notre douleur, notre compassion pour ces gens qui sont abandonnés à leur sort, mais aussi pour exiger du gouvernement ukrainienne et de la communauté internationale l’organisation de l’aide humanitaire massive en direction de la population civile du Donbass.

     

    Si nous parlions de mobilisation il faut noter trois facteurs :
    - tout d’abord l’opinion publique en France ainsi qu’en Europe est très mal informée et renseignée sur cette crise et la situation de la population civile du Donbass,
    - un grand nombre de personnes qui nous soutient habite dans toutes les régions de France,
    - et ensuite, le 21 décembre a été un jour de chassé-croisé de vacances d’hiver.

    Tenant compte de ces facteurs, on peut dire que la mobilisation a été satisfaisante, d’autant plus que tout au long de la préparation de cette manifestation nous avons reçu de nombreux soutiens sur Facebook. Et depuis le 21 février le nombre de dons a aussi augmenté, donc on peut considérer, que les gens ont entendu notre appel.

    Comment analysez-vous les accords de Minsk ?

    En ce qui concerne des accords de Minsk : pour nous il est très important que les combats militaires s’arrêtent et les gens du Donbass puissent enfin trouver la paix, se reposer dans le calme, sortir dehors des sous-sols et de retrouver la vie normale. Quoi que cette vie normale ne sera pas facile, suite, comme j’ai déjà dit, aux destructions massives des villes, des villages et des infrastructures – donc pas d’électricité, pas d’eau, pas de gaz. Et le pire, c’est la famine et les conditions anti-sanitaires de la vie sur les ruines.

    Cela va-t-il permettre d’améliorer la situation des populations du Donbass, tout au moins de faciliter l’aide humanitaire à destination de ces populations ?
    Est-ce que l’aide humanitaire va arriver plus facilement au Donbass maintenant, après les accords de Minsk ? Oui, à la condition que la communauté européenne s’y mette, à la condition que l’aide humanitaire soit envoyer par les grands ONG qui commencent à arriver sur place.

    Mais aussi que la communauté européenne exige du gouvernement ukrainien la création des couloirs d’accès pour l’aide humanitaire, car au jour d’aujourd’hui la région du Donbass se trouve en état de blocus par les forces de police et de l’armée ukrainienne.

    Dans le cas contraire, la population civile de cette région, qui a déjà subi des pertes importantes par des hostilités, sera exterminée par la famine, les maladies et le froid.

    http://fr.novopress.info/183315/guerre-en-ukraine-entretien-exclusif-avec-lassociation-vostok-france-solidarite-donbass/#more-183315

  • Massacre des Assyriens : les chemins de la barbarie

    L'opinion publique s’est davantage émue des destructions commises par les barbares de l’État islamique dans les musées et sur les sites archéologiques du nord de l’Irak que de l’enlèvement de 220 chrétiens syriens par ces fanatiques. Les deux événements font référence aux Assyriens. Mais l’identité du mot est trompeuse. Les Assyriens d’aujourd’hui sont des chrétiens d’Orient, les héritiers d’un schisme du Ve siècle devenu une hérésie à partir de la définition de la nature du Christ au concile d’Éphèse. Au sens strict, l’église assyrienne est indépendante, contrairement à sa sœur chaldéenne ralliée à la papauté catholique.

    Les Assyriens forment des communautés possédant une culture propre avec notamment la langue araméenne, celle du Christ, et la foi chrétienne. Leur histoire est celle d’une longue persécution depuis la conquête arabe et musulmane à laquelle une autre minorité, celle des Kurdes, a souvent prêté la main. 70 % des Assyriens de l’Empire ottoman auraient ainsi été massacrés en 1915-1916 dans le même temps que les Arméniens au cours d’un génocide méconnu qui aurait tué 750.000 personnes (Sayfo).

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  • 50 % des Français seraient favorables à un rétablissement de la peine de mort

    Je ne méconnais pas que l'atmosphère tragique du mois de janvier, ce climat de sang et de mort qui a bouleversé la France n'ont sans doute pas été pour rien dans cette résurgence significative.

    L’alternative est simple et il n’y a aucun mystère.

    Quand l’État est faible, la société a besoin d’une force. Même dans ses attentes, dans ses espérances.

    Quand l’autorité de l’État est défaillante, la société se révolte parce qu’elle a besoin de combler ce vide qui l’angoisse.

    Quand l’État ne rassure ni ne tranquillise, la société laisse resurgir ses démons et ses obscurités.

    Un récent sondage CEVIPOF sur la psychologie collective des Français présente, sur un certain plan, des résultats aujourd’hui à la fois préoccupants et inévitables (Le Monde, Le Parisien, Figaro Vox).

    L’opinion aspire à un homme providentiel qui saurait susciter la confiance par l’alliage si rare, si précieux entre humanité, exemplarité, fiabilité et fermeté. Il est clair qu’aussi estimable que soit François Hollande, celui-ci est loin, toutefois, de cette image rêvée.

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  • L’aide américaine à DAESH se confirme : des Marines et des hélicoptères Apaches chez les djihadistes

    Les Irakiens continuent de détecter des contacts entre les Américains en Irak et Daesh (Etat islamique-EI) dans les régions que celui-ci occupent.

    Contrairement aux allégations américaines de combattre cette milice wahhabite takfiriste dans le cadre de la coalition internationale, de plus en plus d’accusations sont proférées par des dirigeants irakiens sur des liens qu’ils entretiennent avec elle.

    Selon le site d’information Arabi-Press, deux nouveaux faits ont été révélés cette semaine par le chef des forces de mobilisation populaire qui comptent dans ses rangs les jeunes volontaires irakiens, depuis la prise de Mossoul et d’al-Anbar par Daesh.

    Ces agissements coincident avec les avancées de l’armée irakienne et de ses supplétifs des forces paramiltaires populaires dans ces régions. Mercredi, le ministère irakien de la Défense a affirmé avoir libéré deux régions situées entre les deux provinces Diyala et Salaheddine, Albou Baker et Albou Awwad.

    Selon Thamer al-Khafaji qui s’exprimait pour la correspondante du site d’information Arabi-Press, trois Marines américains ont été parachutés dans la province de Babel ,  et deux hélicoptères d’origine inconnue ont atterri dans deux régions de la province de Diyala, à deux moments différents.

    S’agissant des parachutistes, ils ont été vus à l’aube de mercredi dernier, en train de se jeter à partir d’un hélicoptère Apache dans la région al-Obaidate, dans le caza de Moussayyab, au nord de la province de Babel.

    Concernant le deuxième évènement, il est question d’abord d’un Apache qui avait été vu  dans la nuit de mardi à mercredi en train d’atterrir dans les parages du village al-Safra , dans le prolongement de la région al-Azim, au nord de Diyala

    Quelques heures plus tard, mercredi matin un hélicoptère d’origine inconnu est descendu à son tour au sud de la région de Bahraz du côté de Kanaane, au sud de la province de Diyala. Il y est resté quelques 15 minutes avant de décoller de nouveau.

    Nombreux sont les responsables locaux dans cette province qui ont assuré avoir vu des hélicoptères non identifiés atterrir dans les bastions de Daesh au nord-est de Diyala et avoir largué des armes et des approvisionnements.

    Un législateur irakien, Hamed al-Zameli a rapporté pour l’agence Fars news que l’actuel gouvernement de Bagdad reçoit quotidiennement des rapports des forces de sécurité dans la province d’al-Anbar sur des parachutages d’armes pour Daesh. Et d’accuser les Etats-Unis de vouloir provoquer le chaos en Irak en soutenant l’Etat islamique.

    D’autres députés irakiens se plaignent de cette situation.
    « Nous avons découvert des armes fabriquées aux Etats-Unis, dans les pays européens et en Israël dans les zones libérées du contrôle de l’EI dans la région Al-Baqdadi », écrit le site d’information al-Ahad, citant Khalaf Tarmouz, le chef du Conseil provincial d’al-Anbar. Tarmouz a également dit que des armes fabriquées en Europe et en Israël ont aussi été découvertes à Ramadi.


    « Les Etats-Unis lâchent des armes pour l’EI avec l’excuse qu’ils ne savent pas où sont les positions de l’EI et s’efforcent de tordre la réalité avec ce genre d’allégations », dit-il.

    Selon InfoWars, en décembre, les médias étatiques iraniens avaient affirmé que l’armée de l’air états-unienne avait largué pour la seconde fois des armes dans les zones tenues par l’Etat islamique.

    En novembre, des sources des services de renseignement irakiens ont dit que les Etats-Unis approvisionnent activement l’EI en armes. « Les services de renseignement irakiens ont répété que les avions militaires états-uniens avaient largué plusieurs cargaisons d’aide pour les terroristes de l’EI afin de les aider à résister au siège de l’armée irakienne, des forces de sécurité et du peuple », explique un rapport.

    En octobre, les sources de la coalition avaient reconnu ce qu’elles ont considéré être un parachutage prétendument erroné d’armes qui sont tombées aux mains des combattants de l’Etat islamique à l’extérieur de Kobané en Syrie.

    En juillet (2014), Infowars faisait état de la grande quantité d’armes états-uniennes capturées par l’EI.

    En plus des véhicules de combat et de l’artillerie acquise précédemment par l’armée irakienne, la mine d’armement provenant des bases US incluait plus de 50 batteries d’artillerie de 155mm M-198 et 4000 mitrailleuses PKC.


    - SourceAl Manar

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • MM. Sarkozy, BHL et Hollande, la Libye vous remercie !

    Aujourd’hui, la Libye est un État souverain qui n’a plus d’État… où plutôt qui en a trois. En effet, ce pays se trouve dirigé par trois entités.

    Lors de l’opération Serval, en 2013, l’armée française a repoussé hors des frontières les terroristes qui occupaient le Mali, fort heureusement sans beaucoup de pertes. Mais les terroristes, eux non plus, n’ont pas eu trop de pertes et ils ont conservé leur armement. Nombreux sont restés au Mali, infiltrés dans la population. D’autres ont rejoint Boko Haram. Merci François Hollande !

    Il aurait fallu une opération conjointe afin de les prendre en tenaille et les détruire définitivement mais cette stratégie n’a pu être programmée par défaut de coopération des Algériens, des Libyens et des pays environnants. Ils se sont regroupés et ont reconstitué leurs forces, notamment en recréant à la frontière libyenne, à Madama, extrême nord du Niger, un fief aussi solide que l’était celui de l’Adrar des Ifoghas, à la frontière algérienne.

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