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insécurité - Page 868

  • Après AQMI, Boko Haram et DAESH, c’est au tour des Shebabs somaliens de menacer la France !

    Certains ne se souviennent peut-être pas de qui sont les Shebabs. Ce sont ces rebelles islamistes somaliens auxquels ont été attribuées les attaques sanglantes d’un supermarché de Nairobi qui a fait plus de 60 morts en Septembre 2013.

    Près d’un an et demi après cet épisode, ils viennent à nouveau de faire parler d’eux, mais cette fois à la manière Daesho-Al-Qaidienne, par vidéo interposée. Ils viennent de diffuser en ligne une vidéo, qui reste cependant à authentifier, dans laquelle ils menacent d’attaquer des centres commerciaux du monde entier, dont notamment deux des plus célèbres de Paris, celui de La Défense et celui du Forum des Halles, en plein centre de la capitale. Si l’Etat Islamique est spécialisé dans les égorgements et Boko Haram dans l’enlèvement de jeunes filles juvéniles, eux semblent avoir un tropisme pour les attaques de supermarchés.

    Dans cette vidéo de plusieurs minutes, un homme au visage masqué exhorte les djihadistes à prendre les armes et à mener des attentats dans les pays occidentaux contre « les mécréants où qu’ils vivent ». Des mécréants, ce n’est pourtant pas ce qui manque tout autour d’eux. Alors pourquoi aller chercher si loin, dans les pays occidentaux ?

    La France n’est pas le seul pays menacé, On retrouve dans leur liste plusieurs villes des Etats-Unis, du Royaume Uni, et du Canada. L’on pourrait, cependant se demander pourquoi les Shebabs menacent la France qu’i n’a que très peu de relations avec eux. Effet de mode ? C’est comme si, désormais, toute menace crédible se devait de placer la France en tête de liste. Bien qu’ils ne sachent probablement même pas où situer la France, de la même manière qu’un Français moyen ne saurait situer la Somalie, il faut tout de même prendre leurs menaces au sérieux, car ceux qui sont réellement derrière ces menaces savent au mètre près où se trouvent les supermarchés ciblés. Les menaces proférées par les groupes djihadistes ne sont jamais anodines, même si eux-mêmes sont complètement inoffensifs dans leur brousse. Le danger n’en est pas moins réel car ceux qui sont préparés à agir attendent tranquillement leurs ordres à Paris, Londres, Bloomington dans le Minnesota (Etats-Unis), ou Edmonton (Canada).

    Etant donné les objectifs visés par d’éventuels attentats, on sait, d’ores et déjà que les candidats djihadistes ont de fortes chance d’appartenir à la communauté des enfants d’immigrés musulmans et, pour ne pas nous laisser dans l’ignorance et le doute, qu’ils nous fourniront toutes les pièces à conviction avant de se faire exécuter en direct à la Télé.

    Avic – Réseau International

     

    Source Article from http://reseauinternational.net/apres-aqmi-boko-haram-et-daesh-cest-au-tour-des-shebabs-somaliens-de-menacer-la-france/

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • On combat Daech en Irak mais pas en Syrie

    Serait-il si choquant d'admettre qu'Assad dorénavant "n'est plus notre adversaire" ?

    Antigone n’a pas sa place en Syrie.

    À dire vrai, dans le monde d’aujourd’hui, Antigone n’a plus sa place nulle part.

    Deux députés et deux sénateurs français se sont rendus en Syrie et, comme il était prévisible, leur visite qui n’avait pas de caractère officiel a été exploitée par le pouvoir de Bachar el-Assad. Celui-ci les a reçus durant une heure, dans un très bon climat, paraît-il.

    L’initiative de ce quatuor a été, à quelques exceptions près, vivement critiquée en France. Le PS, jamais en reste d’une bêtise, promet des sanctions. Le président de la République – on ne rencontre pas « un dictateur » ! – et le Premier ministre l’ont condamnée et le pouvoir a regretté une brèche dans la cohérence de sa politique internationale (Le Monde).

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  • Ce chef d’entreprise anglais parti combattre l’État islamique en Irak

    Choqué par les exactions commises par les djihadistes, Tim Locks a décidé de tout plaquer pour aller combattre l’État islamique en Irak.

    Celui-ci a déclaré au quotidien Daily Mail : “J’étais un homme comblé. Je vivais dans une maison splendide avec piscine, je me rendais huit fois par an en vacances. Clairement, je pouvais me permettre tous ce que je voulais.”

    Il a vendu sa maison puis avant de prendre l’avion pour Souleimaniye, grande métropole située au sud du Kurdistan. Aujourd’hui, il combat au sein d’une milice chrétienne appelée «Dwekh Nawsha» (qui signifie en langue assyrienne, «les auto-sacrificateurs»).

    Il est également possible de suivre Tim Locks sur sa page Facebook :https://www.facebook.com/el.locks

    http://fr.novopress.info/183074/ce-chef-dentreprise-anglais-parti-combattre-letat-islamique-en-irak/#more-183074

  • TVL : Les coulisses du voyage de 4 parlementaires en Syrie

  • Qui est «Jihadi John», le bourreau de l’État islamique ?

    «Jihadi John», le bourreau de l’État islamique, a été identifié comme étant Mohammed Emwazi, un citoyen britannique qui résidait à Londres. Une révélation que l’on doit notamment au Washington Post et à la BBC même si la police n’a pas souhaité confirmer l’identité du tueur.

    «Jihadi John» s’est rendu célèbre en menaçant – avec un fort accent britannique – les pays occidentaux dans plusieurs vidéos de décapitation. On le voit notamment avant les supplices des otages américains James Foley, Steven Sotloff et Peter Kassig, des Britanniques David Haines, Alan Henning, mais aussi du Japonais Kenji Goto.

    http://fr.novopress.info/

  • "Génocide des chrétiens d'Orient : où sont passés les défenseurs des droits de l'homme?"

    Maxime Tandonnet, dans le Figarovox, reprend à son compte le terme de "génocide" appliqué par Jean d'Ormesson aux Chrétiens d'Orient :

    [...] "Ce génocide, comme tous les grands génocides de l'histoire, se déroule dans la passivité et la lâcheté de la communauté internationale. Une poignée de Kurdes déterminés, dont de nombreuses femmes, a montré que l'État islamique était loin d'être invincible. Dès lors, l'échec de la communauté internationale à mettre fin au massacre, ou bien son indifférence, est incompréhensible. L'histoire retiendra les noms des dirigeants qui n'ont pas bougé le petit doigt face à ce génocide. La France a certes pris des initiatives, dont l'envoi du porte-avion Charles de Gaulle, mais elle ne peut pas être seule, engagée sur tous les fronts, dans la lutte contre la barbarie. Le silence des milieux politiques et intellectuels, en Europe et dans le monde, est une abomination. Où sont-ils passés les défenseurs des droits de l'homme? Pourquoi une telle indifférence face au sort de minorités chrétiennes ?

    Serait-ce la vieille haine de la religion chrétienne -écraser l'infâme- qui s'exprime dans cet abandon? Une intervention armée d'une coalition internationale, pour mettre fin à un génocide, cela n'aurait strictement rien à voir avec les opérations militaires passées qui ont eu pour effet de déstabiliser des États et de répandre le chaos au Moyen-Orient. Cette fois-ci nous sommes dans une situation radicalement différente, celle d'un génocide en cours, comparable au «Kamputchéa» des Khmers rouges dans les années 1976-1979, ou au Rwanda dans les années 1990, pour ne parler que des génocides récents. Le refus d'agir, dans de telles circonstances, relève de la non assistance à personne en danger, voire de la complicité passive de la part de la communauté internationale." [...]

    Marie Bethanie http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le président du CRIF reconnaît que les violences antisémites sont le fait de musulmans

    Le président du Conseil représentatif des institutions juives, Roger Cukierman (photo), a affirmé lundi que « toutes les violences [antisémites] aujourd’hui sont commises par des jeunes musulmans ». Il a ajouté que, en matière d’antisémitisme, Marine Le Pen est « irréprochable personnellement ».

    Le FN « dédiabolisé » est‑il en passe de gagner ses galons de respectabilité républicaine ?

    On en est loin ! Le propos tenu, presque anodin, était noyé dans une phrase ne manquant pas de rappeler que le FN comptait encore, selon lui, des « négationnistes », des « vichystes » et des « pétainistes ». M. Cukierman s’est empressé de compléter qu’il ne voterait jamais Front National et que Mme Le Pen n’avait pas sa place au dîner du CRIF.

    Les représentants des musulmans et leurs affidés se sont néanmoins offusqués de ces déclarations

    Les représentants du Conseil français du culte musulman (CFCM), qui sont, eux, des habitués de la grand’messe annuelle du CRIF, ont immédiatement annulé leur venue. Quant à Jack Lang, il a affirmé que Cukierman était : « En infraction avec l’esprit du 11 janvier » ! Jack Lang sous‑entend donc que faire usage de sa liberté de penser et d’expression peut constituer une infraction !

    C’est justement le projet du président de la République qui, à la différence du CRIF, n’est pas prêt de changer de logiciel

    Comme le bulletin de réinformation en rendait compte hier, François Hollande a rappelé son projet de pénalisation de toute pensée déviante : il souhaite « que toutes les paroles, tous les écrits de haine, qu’ils soient antisémites, racistes, homophobes, ne relèvent plus du droit de la presse, mais du droit pénal ».

    http://fr.novopress.info/

  • Les paroles de "paix" de l'imâm de Copenhague la veille des attentats

    L'imâm de Copenhague a prescrit la guerre plutôt que le dialogue avec les Juifs... la veille des attentats. Une vidéo proposée par l'Observatoire de l'islamisation (sous-titres en anglais) :

     

    "Notre prophète Mohammad avait des voisins juifs à Médine. A-t-il appelé à des relations plus étroites, à l’harmonie et au dialogue avec eux, selon les méthodes de l’ONU et de ceux qui appellent à concilier le Vrai et le Faux ? Ou bien les a-t-il appelés à adorer Allah ? Lorsqu’ils ont violé leur serment et qu’ils n’ont pas accepté son appel – vous savez très bien ce qu’il leur a fait. Cela figure dans sa biographie (Sîra). Il a déclaré la guerre aux Juifs."[...]

    Mais à part ça, il va de soi que l'islam n'a rien à voir avec l'antisémitisme. Padamalgam.

    Marie Bethanie http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une justice d’apartheid en Yougoslavie

    Dans une démocratie digne de ce nom, la loi doit être la même pour tous, c’est le principe de l’égalité devant la loi. Elle ne saurait comporter d’exception. 
         Or, l’existence même du TPIY [tribunal pénal international pour la Yougoslavie] réservé aux Yougoslaves contredit ce principe d’universalité. 
         Le TPIY, c’est l’apartheid judiciaire : on poursuit les Serbes des exactions commises au Kosovo mais pas les Américains pour faire céder le gouvernement serbe sans risquer la vie d’un seul soldat allié, ont multiplié les crimes contre l’humanité contre les civils serbes : destructions d’écoles, d’hôpitaux, de centrales électriques, d’œuvres d’art, etc. 
         Dans une interview au Herald Tribune en date du 1er février 2001, Mme Del Ponte, procureur général du TPIY ne cache pas sa priorité : « Notre priorité est de poursuivre les génocides et les crimes contre l’humanité. Karadzic, Milosevic et Mladic doivent passer en jugement. C’est ça notre priorité actuelle. 
         Bien sûr, les 16 morts [suite au bombardement du quartier général de la télévision] ne sont pas sans importance, mais ils ne sont pas ma priorité. » 
         Une autre illustration de la partialité du TPIY se trouve dans le traitement par le TPIY et par Mme Arbour, procureur général auprès du TPIY avant Mme Del Ponte, d’un rapport de 150 pages concernant les crimes de guerre commis par les forces armées croates contre les Serbes dans la province de Krajina (200 000 personnes déplacées, 150 exécutions sommaires, plusieurs centaines de disparus). 
         Ce rapport, divulgué grâce à une fuite au New York Times (à la consternation des officiels du Tribunal), estimait que les assassinats croates et autres actes inhumains étaient « nombreux et systématiques », et qu’une « matière suffisante » était disponible pour rendre trois généraux croates, nommément désignés, responsables devant la loi internationale (New York Times, 21 mars 1999). 
         Mais l’article du New York Times rapporte aussi que les États-Unis, qui soutenaient le nettoyage ethnique des Serbes de Krajina par les Croates, non seulement ont défendu les Croates devant le Tribunal, mais ont refusé de communiquer les photos satellite des régions de Krajina attaquées par les Croates ainsi que les autres documents demandés. 
         Le résultat a été que les trois généraux croates cités dans le rapport sur l’Opération Tempête n’ont jamais été inculpés, et que – bien que le nombre de Serbes exécutés et disparus ait été au moins égal au chiffre des 241 victimes des Serbes cités dans l’inculpation de Milosevic – aucune inculpation parallèle du président croate Tudjman n’a jamais été dressée par le Tribunal. 
    Jacques Vergès 
    Pierre-Marie Gallos et Jacques Vergès, L’apartheid judiciaire. Le tribunal pénal international arme de guerre