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insécurité - Page 880

  • L’État islamique en Irak et au Levant utilise ouvertement des esclaves sexuelles

    Sous couvert d’une interprétation rigoriste de l’islam d’inspiration wahhabite, ces barbares dénués d’empathie, et de raison, se permettent les pires atrocités.

     

    L’État islamique en Irak et au Levant représente la quintessence même de la négation de la vie. Cette organisation théocratique d’obédience islamique radicale et littéraliste n’hésite pas à tuer, torturer, mettre en esclavage les populations insoumises. Véritable Léviathan totalitaire, ces terroristes veulent soumettre le monde à l’abstraction de la superstition et à une vision terrible d’un dieu vengeur et tortionnaire.

    Dans un document  publié le 3 décembre par le « Département des prisonniers et des affaires de la femme » (sic) du groupe terroriste islamique sont décrits les sévices à infliger aux esclaves sexuelles, en des termes qui donnent la nausée : « Les filles vierges peuvent être violées immédiatement après avoir été achetées par leur propriétaire. Celles qui ont déjà eu des rapports sexuels doivent avoir leur utérus “purifié” en premier. » Il est aussi expliqué, dans ce même document, que « les polythéistes, chrétiennes et juives sont autorisées à devenir esclaves ». Sont particulièrement visées les femmes yézidi (un culte issu de la tradition des premières religions perses dites « zoroastriennes »), régulièrement vendues et violées par ces monstres.

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  • Kaboul : la France visée (Présent 8251)

    Au moins sept morts et plus d’une vingtaine de blessés : c’est le bilan des deux attentats-suicides perpétrés jeudi à Kaboul par les talibans (photo) qui, en frappant au cœur du fameux lycée Esteqlal où fut formé le commandant Massoud, visaient directement notre pays.

    Une cible symbolique

    Une du numéro 8251 de "Présent"Alors que dans la matinée déjà, un premier attentat-suicide avait tué six soldats dans les faubourgs de Kaboul, en fin d’après-midi, un adolescent de 15 à 17 ans dissimulant les explosifs sous ses habits pénétrait dans le centre culturel français et se faisait exploser au milieu des spectateurs qui assistaient à une pièce de théâtre. Dans la foulée, Zabihullah Mujahid, porte-parole des talibans, adressait aux médias un email revendiquant l’attentat et expliquant que la pièce de théâtre en question « désacralisait les valeurs de l’islam » et représentait « de la propagande contre le djihad ».

    Installé dans le centre de la capitale et tout près du palais présidentiel, dans le complexe du lycée franco-afghan Esteqlal, l’une des écoles les plus connues et les plus réputées du pays, ce lieu symbole de la coopération culturelle franco-afghane, inauguré en 1970 et financé par Paris, a appris le français à plusieurs générations d’Afghans, dont le plus célèbre fut le héros de la résistance contre les Soviétiques Ahmad Shah Massoud. Cette attaque était donc hautement symbolique et visait directement la France.

    La guerre n’est pas finie

    Aussi François Hollande a-t-il immédiatement condamné cet attentat dans un communiqué précisant qu’« en prenant pour cible ce lieu de dialogue, c’est la culture et la création que les terroristes ont visées ». De son côté, Manuel Valls devait également condamner « avec force » cette attaque contre « un symbole de la culture et de l’universalité des valeurs portées par la France » et rappeler que « les terroristes montrent une nouvelle fois qu’ils véhiculent un message de haine et d’obscurantisme ». Avant d’ajouter : « Cet acte lâche renforce la France dans sa détermination à lutter contre la barbarie. »

    Bref, deux attaques qui interviennent un peu plus de deux semaines avant la fin de la mission de combat de l’Otan en Afghanistan et laissent présager le pire pour l’avenir. Alors que l’essentiel des forces de l’Otan doit en effet évacuer le pays d’ici à la fin du mois pour céder la place à la mission « Soutien Résolu », mission d’assistance et de formation de l’armée et de la police afghanes en première ligne des combats contre les rebelles talibans, les attentats sanglants ne cessent de se multiplier à travers l’Afghanistan, notamment à Kaboul, et contre les étrangers. Et lorsque l’on voit aujourd’hui le nouveau président afghan Ashraf Ghani tendre la main de manière ridicule aux talibans pour des négociations, on peut légitimement s’inquiéter pour l’avenir de ce pays.

    Franck Delétraz

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  • Délinquance et « victimation » : manipulations médiatiques et statistiques

    « Tout va très bien, madame la marquise… tout va très bien » : les médias à l’unisson se sont félicités de la publication du dernier rapport de victimation de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénale (ONDRP).

     

    Et pour cause ! Tous n’ont que deux sources qu’ils recopient gentiment : l’AFP et le chargé de communication de l’observatoire, Cyril Rizk, un attaché administratif, ancien communicant de la mairie socialiste de Poitiers.

    Et l’article de l’AFP est truffé d’approximations et d’erreurs.

    L’une est de grande taille : tous les médias, à la suite de l’AFP, ont parlé de chiffres de 2014, sous-entendant que la situation ne s’est pas dégradée avec les socialistes. Or, l’enquête a été conduite début 2013 et porte sur les années 2011 et 2012…

    Si stabilisation il y a eu, elle est donc antérieure à l’avènement de François Hollande, Valls et Taubira.

    Au demeurant, cette stabilisation est douteuse. Il faut lire la page 62 du rapport intitulé « point méthodologique » : on y apprend que le nombre de « répondants » a baissé, tombant à 14.500 au lieu de 17.000 les années précédentes. Parce que le « taux de collecte », c’est-à-dire le nombre de gens qui acceptent de répondre par rapport au nombre de logements de l’échantillon, a nettement baissé. Et curieusement, c’est en Île-de–France, où la délinquance est élevée, que le taux chute inexplicablement de 65 % de répondants à 35 %.

    Sans importance, bien sûr, car aucun « journaliste » ne s’est reporté à la source originale (62 pages, plus de 50 tableaux). Et, d’ailleurs, le lien numérique vers celle-ci n’est indiqué nulle part [PDF].

    C’est vrai, c’est dangereux, Internet : les Français pourraient y découvrir des choses qu’il convient de leur cacher. Par exemple, que le nombre de ceux (sous réserve de la validité statistique) qui sont victimes de violences hors de chez eux s’élève en 2011/2012 à 1.626.000. S’il y a une « accalmie », elle est à un niveau élevé : 12,3 % de la population des plus de 14 ans.

    À la lecture du rapport, les Français auraient pu découvrir que beaucoup d’évolutions dont on leur a parlé ne sont pas « statistiquement significatives ». En revanche, la progression du « sentiment d’insécurité dans les quartiers et les villages » progresse bel et bien de manière statistiquement significative selon les auteurs : 22,1 %, en augmentation de 11 % par rapport à 2007. Or, le sentiment d’insécurité, c’est ce qui limite la liberté d’aller et venir et donc le risque d’être agressé à l’extérieur de chez soi…

    L’analyse des chiffres montre aussi la très grande faiblesse des infractions les plus médiatisées : ainsi les injures à caractère « raciste, antisémite, xénophobe ou homophobe » (hou, hou comme c’est vilain !) ne représentent que moins d’une injure sur cinq… et stagnent malgré leur médiatisation frénétique.

    Bref, dans cette affaire comme dans d’autres, les « experts » gouvernementaux ont montré tout leur art de l’enfumage : échantillon biaisé, étude opportunément synthétisée et commentée de manière orientée, temps d’avance donnée à l’AFP et non-médiatisation du lien numérique.

    Quant aux « journalistes » des médias de l’oligarchie, ils ont montré toute l’étendue de leur talent : la paresse au service de la propagande.

    Jean-Yves Le Gallou

    Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuElkluyFEOfGSIYJr.shtml

  • Ban Ki-moon passe aux aveux: «Israël» coopère avec Al-Qaïda

    Avec plus d'un an et demi de retard, les Nations unies ont finalement évoqué les étroites relations qui existent entre les groupes terroristes actifs dans le sud syrien, plus particulièrement dans les provinces de Quneitra et Deraa, et «Israël».

    Dans son rapport trimestriel présenté au Conseil de sécurité, il y a quelques jours, le secrétaire général de l'Onu, le très docile pro-américain Ban Ki-moon, a révélé un secret de polichinelle, qu'ilBan Ki-moon passe aux aveux: «Israël» coopère avec Al-Qaïda n'était plus en mesure de protéger tant il frôlait le scandale. Le rapport reconnait que les «Israéliens» entretiennent des rapports avec les «rebelles syriens» depuis plus de 18 mois, facilitant le traitement médical des combattants blessés. Le document souligne que l'entité sioniste a soigné plus de 1000 combattants syriens.

    Le texte présenté par Ban Ki-moon se base essentiellement sur les rapports fournis par les contingents de l'Undof, déployés sur le terrain dans le Golan occupé. Ces rapports font état d'une «coordination quotidienne entre Israël et les rebelles syriens, y compris les groupes islamistes affiliés à Al-Qaïda», grâce à des «canaux de communication ouverts en permanence».

    Les rapports des Casques bleus précisent que «soldats israéliens ont été observés permettant à des personnes de passer de la ligne ‘Bravo' -du côté syrien- à la ligne ‘Alpha' du côté israélien, ainsi que des discussions entre des membres de l'opposition armée et des militaires de Tsahal à travers la ligne de cessez-le à proximité de la position 85 des Nations unies».

    Le rapport trimestriel de l'Onu ne nous apprend rien de nouveau. Mais il a l'avantage d'inscrire dans la documentation officielle de l'organisation internationale ce que les analystes savaient depuis longtemps, et que nous avions évoqué à plusieurs reprises sur notre site.

    Coopération dans le renseignement

    En réalité, la coopération entre «Israël» et les groupes terroristes va bien au-delà des soins médicaux apportés aux blessés, et qui ont déjà coûté au contribuable «israélien» plus de 14 millions de dollars, selon l'édition de dimanche dernier du quotidien Maariv.

    L'armée syrienne dispose de preuves irréfutables sur l'assistance militaire directe apportée parUne coopération qui va bien au-delà des soins médicaux apportés aux blessés les «Israéliens» aux groupes extrémistes lors de leur offensive de l'été dernier à Quneitra. Cette aide a permis aux terroristes de prendre, entre autres, les collines stratégiques appelées al-Touloul al-Homr, où l'armée syrienne disposait de matériel de guerre électronique sophistiqué lui permettant de surveiller les réseaux de télécommunication de l'armée «israélienne». Cette aide s'est manifestée par un bombardement à l'artillerie et des raids aériens contre des positions de l'armée syrienne, afin d'ouvrir la voie aux combattants extrémistes. «Israël» est même allé plus loin en abattant, à l'aide d'un missile Patriot, un chasseur syrien au-dessus du Golan, au plus fort de l'attaque terroriste.

    Des sources bien informées en Syrie et à Beyrouth font également état d'une coopération étroite entre les groupes terroristes d'un côté, le Mossad et les autres agences du renseignement «israélien», de l'autre, pour la collecte et le transfert d'informations au sujet des programmes d‘armement et de recherche en Syrie. C'est grâce à cette coopération que l'entité sioniste est parvenue à éliminer plusieurs savants syriens ces trois dernières années. L'opération la plus récente remonte au 10 novembre dernier, lorsque cinq ingénieurs travaillant dans l'énergie nucléaire au Centre de recherches scientifiques à la périphérie de Barzé, dans le nord de Damas, ont été tués dans l'attaque de leur bus par des terroristes.

    En juillet 2013, six fonctionnaires de ce même centre avaient trouvé la mort dans une attaque au mortier menée par les «rebelles». Le 24 août 2012, Nabil Zoughaib, considéré comme l'artisan du programme balistique syrien, a été assassiné par des inconnus. Un an plus tôt, Aws Abdel Karim Khalil, physicien nucléaire et professeur à l'Université al-Baas, à Homs, avait subi le même sort. Et la liste est longue.

    «Israël» viole la résolution 2178

    «Israël» se trouve donc en porte-à-faux avec la fameuse «légalité internationale». En effet, le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté, le 24 septembre dernier, à l'unanimité de ses 15 membres, la résolution 2178, imposant des sanctions contre Daech et le Front el-Nosra.

    Dans cette résolution, les membres du Conseil se disent très préoccupés par le fait qu'une partie du territoire d'Irak et de Syrie est «sous le contrôle de l'Etat islamique et du Front el-Nosra» et que leur présence, leur idéologie extrémiste violente et leurs agissements sont préjudiciables à la stabilité de ces deux pays et de la région.

    Le Conseil de sécurité se déclare disposé à inscrire sur la liste de sanctions les individus, groupes, entreprises ou entités qui apportent leur appui à l'un ou à l'autre de ces deux groupes terroristes.

    Le Conseil prie instamment tous les Etats de coopérer aux efforts faits pour trouver et traduire en justice les individus, groupes, entreprises et entités associés à Al-Qaïda, y compris l'EI et le Front el-Nosra, «qui perpètrent, organisent et commanditent des actes terroristes.»

    Le Conseil de sécurité demande aussi à tous les Etats membres de prendre des mesures nationales pour endiguer le flux de combattants terroristes étrangers qui rejoignent les rangs de l'EI et du Front el-Nosra.

    Le Conseil de sécurité rappelle également, qu'en vertu d'une précédente résolution adoptée cette année, tous les Etats doivent prévenir et réprimer le financement des actes de terrorisme et doivent veiller à ce qu'aucuns fonds, autres avoirs financiers ou ressources économiques ne soient mis directement ou indirectement à la disposition de ces deux groupes extrémistes.

    On voit bien qu'en apportant un soutien au Front al-Nosra et en coopérant avec lui -de l'aveu même de Ban Ki-moon-, «Israël» est en train de violer la plupart des dispositions de la résolution 2178. Y aura-t-il quelqu'un qui osera lui demander des comptes ?

    Samer R. Zoughaib

    Al-Ahednews :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuElFEVkAVFmJieEKs.shtml

  • Les Verts face aux pages les plus sombres de leur passé : la pédophilie

    Un reportage de 1mn20 de Euronews, citant le livre "Der grosse Basar" ("Le grand bazar") d'un certain Daniel Cohn-Bendit...

    Michel Janva

  • Dégradations à Lyon : les casseurs gauchistes mentent

    LYON (information exclusive Bloc Identitaire Lyon)
    Dans une tribune libre publiée sur le site Lyon Capitale intitulée « Nous détruisons pour passer un message », des militants d’extrême gauche tentent de justifier politiquement les violences commises (une quinzaine de policiers blessés, des dizaines de vitrines brisées, etc.) lors de la manifestation organisée par le Collectif de vigilance 69 contre l’extrême droite et Conex le 29 novembre dernier dans le centre-ville de Lyon.

    Selon les auteurs anonymes, « les cibles avaient une signification politique » et « aucun pillage n’a eu lieu et aucun commerçant “ordinaire” n’a été touché. Non. Seulement les banques, les panneaux publicitaires, les abris-bus, les agences d’intérim, les agences immobilières et McDo ont été touchés. »

    FAUX ! Puisque des militants du Bloc Identitaire Lyon ont pu constater les dégâts et discuter avec le soir même avec les commerçants attaqués dans la rue du Plâtre, et sont allés à la rencontre des victimes le week-end dernier avec un accueil très favorable de leur part.

    Liste non exhaustive :
    - Un magasin de vêtements pour femme : la porte vitrée a été brisée et quelques individus se sont introduits pour voler des affaires.
    - Boutiques ayant subi des coups de marteau dans leurs vitrines : un magasin de caleçons, une boucherie et un commerce d’ustensiles de cuisine !
    - Vitrines brisées pour un magasin de vêtement dans le secteur de Saxe-Gambetta.

    On est donc bien loin des « gentils militants » qui choisissent leurs cibles pour des considérations politiques… Les membres violents de la manifestation organisée par le Collectif de vigilance 69 contre l’extrême droite et Conex ressemblent plutôt à des casseurs incapables de la moindre réflexion politique. Une mouvance hétéroclite qui bénéficie d’une quasi-impunité judiciaire depuis plusieurs années, d’une coupable bienveillance journalistique et menaçant clairement de s’en prendre au local des Identitaires, « La Traboule ».

    http://fr.novopress.info/179660/degradations-lyon-les-casseurs-gauchistes-mentent/

  • 11 millions de personnes en France se sentiraient en insécurité

    C'est ce qui ressort de la dernière enquête dite de «victimation», sondage annuel de grande ampleur, réalisé auprès d'un panel de 17000 ménages, par l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) et l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).

    Concernant les faits déclarés, la délinquance vécue et non plus ressentie, on note une hausse significative des victimes de vols ou tentatives de vols avec violences ou menaces: de 280.000 à 360.000 victimes estimées en une seule année (+ 28 %). 

    Le taux de plainte des femmes se déclarant victimes de ce type d'infractions explose : de 38,5 % pour les années 2007-2008 ou 2008-2009 à 53,3 % pour les années 2011-2012 et 2012-2013.

    Plus d'une victime sur deux juge désormais qu'une plainte est «inutile». La loi Taubira, censée faire de la probation la règle et de la prison l'exception, pourrait bien aggraver la situation.

    Michel Janva

  • Syrie – Des femmes djihadistes sadiques parfois venues d’Europe

    L’État islamique a mis en place une force de police de sexe féminin dont la mission est de veiller au respect de la charia et de gérer les lieux où sont rassemblées les femmes contraintes à l’esclavage sexuel.

    Cette police féminine de la charia recrute ses effectifs dans la Brigade Al-Khansa. Cette brigade de femmes djihadistes est basée à Raqqa, ville décrite comme la capitale de l’Etat Islamique en Syrie.

    Parmi ces femmes, certaines sont venues de Grande-Bretagne et se plaisent à afficher avec fierté sur les réseaux sociaux leurs pires comportements, notamment des passages à tabac de leurs victimes.

    Ces femmes djihadistes montrent aussi comment elles humilient des femmes yézidis et les traitent en esclaves.

    Ces patrouilles de la police de la charia battent des femmes pour le simple motif de ne pas porter des chaussures qui conviennent à ces fanatiques barbares.

    http://www.medias-presse.info/syrie-des-femmes-djihadistes-sadiques-parfois-venues-deurope/19973

  • Notre-Dame-des-Landes : une des plus grosses opérations de police sous la 5ème République

    Les moyens engagés vont être impressionnants – même si le détail, à ce moment, n’est pas connu : « Un hélicoptère EC135, des équipes cynophiles, des brigades motorisées, le service des SIC [systèmes d’information et de communication], la cellule d’appui à la mobilité, le véhicule Œil et deux véhicules blindés à roues », détaillera la gendarmerie, qui oublie un deuxième hélicoptère, des grimpeurs, une équipe de déminage, et la mobilisation des renseignements généraux. Combien d’hommes et de femmes auront été déployés ? Cinq cents sur le terrain et mille deux cents en tout dira le ministère de l’Intérieur, mais jusqu’à deux mille deux cents selon le principal syndical de police, Unité SGP Police, majoritaire chez les CRS. C’est en tout cas une des opérations policières les plus importantes des dernières décennies, voire la plus importante. 

    Hervé Kempf, Notre-Dame-des-Landes

    http://www.oragesdacier.info/

  • USA : mensonges et manipulations autour de l’histoire de Ferguson

    Depuis quelques jours, des faits divers américains servent la propagande raciale de tous les pourfendeurs de l’amalgame.

    Deux délinquants noirs ont été tués par un policier, les blancs sont racistes. On connaît la musique, mais l’instrumentalisation de ces faits est devenue internationale jusqu’à notre indépendantiste guyanaise nationale Christiane Taubira qui n’a pu s’empêcher de venir pleurer sur une décision de justice américaine (celle de ne pas poursuivre le policier Darren Wilson après la mort du jeune Michael Brown à Ferguson), elle qui n’a jamais un mot pour les multiples victimes Française de la racaille immigrée.

    Qu’en est-il vraiment ?

     Premier cas, Michael Brown

    Ce jeune noir et délinquant notoire a été tué à Ferguson par un policier blanc, Darren Wilson. La presse affirmait qu’il était désarmé et qu’il allait se rendre, le policier affirmait qu’il avait tenté de lui voler son arme et recommençait à attaquer quand il a tiré. Le rapport d’autopsie a donné raison au policier, quelques témoignages de personnes noires (sous anonymat tant elles avaient peur des représailles) devant le Grand Jury le confirment également.

    Ce dernier a donc décidé de ne pas poursuivre le policier. Aucune problématique raciale, si ce n’est dans l’instrumentalisation politique et dans les slogans anti-blancs hurlés dans les rues de Ferguson depuis.

    Deuxième cas, Eric Garner

    Cet homme noir de 43 ans a été tué à New-York par un policier blanc, Pantaleo. Une vidéo d’un ami de Garner a montré la scène : Garner, qui pesaient quelques 180 kilos, était confronté à la police pour avoir vendu illégalement des cigarettes. La vidéo montre Garner résister à la police avant que Pantaleo ne l’attrape par derrière et lui passe son bras autour du cou. Trois officiers l’ont tenu, lui ordonnant de mettre ses mains derrière la tête.

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