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insécurité - Page 880

  • Directives de Fabius à la presse : « terroristes » plutôt que « islamistes »

    Une fois n’est pas coutume, Fabius passe les consignes à la presse aux ordres. Après « Daech » plutôt que « Etat Islamique » c’est « terroristes » à la place « d’islamistes ». Bêêêêêh répondirent les moutons...

    Dans ce refus de l’amalgame, Laurent Fabius préconise d’aller plus loin encore, en l’espèce en bannissant le mot « islamiste ». Invité ce dimanche matin duGrand Rendez-vous Europe 1-iTélé-Le Monde, le ministre des Affaires Etrangères précise sa pensée :

    Je n’aime pas… Je ne veux pas faire le censeur (sic), mais je pense que l’expression islamiste – et j’en avais aussi fait la remarque dans l’expression Etat islamique – est probablement pas celle qu’il faut utiliser. J’appelle ça des terroristes. Parce dès lors que vous utilisez le mot islam, vous favorisez une espèce de vision de continuité entre le musulman, qui pratique sa religion qui est une religion de paix, et puis quelque chose qui serait une certaine interprétation de la religion musulmane.

  • Boko Haram s’attaque au Cameroun et se casse les dents, pour l’instant

    Ayant pour but de créer un califat islamique à cheval sur le Nigéria et le Cameroun, Boko Haram engage les hostilités à la frontière camerounaise. 

    http://www.contre-info.com/

     
  • Malaise à l’école : ils sont Kouachi (Présent 8271)

    Les médias pourront toujours diffuser en boucle les discours d’apaisement de Boubaker ou de Chalghoumi, ils pourront bien marteler qu’il ne faut « surtout pas faire d’amalgame », il n’en restera pas moins que, sur le terrain, la majorité des « jeunes » musulmans cautionnent les crimes perpétrés par les Kouachi et autre Coulibaly. Comme l’ont montré les nombreux incidents qui ont accompagné vendredi dernier l’évocation des attentats dans les établissements scolaires.
    Malaise à l’école : ils sont Kouachi (Présent 8271)

    « Au moins 80 % »

    Dans le courrier qu’il avait adressé le 7 janvier à l’ensemble du personnel enseignant, le ministre de l’Education, rappelant que « la République a confié à l’Ecole, dès son origine, la mission de former des citoyens, de transmettre les valeurs fondamentales de liberté, d’égalité, de fraternité et de laïcité », avait invité les profs « à répondre favorablement aux besoins ou demandes d’expression qui pourraient avoir lieu dans les classes »Et ils n’ont pas été déçus !

    Quand ils n’ont pas tout bonnement éludé la question, conscients qu’ils étaient des risques de dérapage, ils se sont heurtés aux réactions les plus hostiles. Ainsi, sur son compte Facebook, une enseignante raconte-t-elle comment, lors de son arrivée jeudi dernier à l’école, elle a été accueillie par des « Moi j’suis pour ceux qui l’ont tué »… Dans une classe de 3e d’un collège du XIIIe arrondissement de Paris, huit élèves sur 26 ont rejeté la décision de décréter un jour de deuil national, l’un d’eux expliquant même au prof de français qu’« ils l’ont bien cherché ». Mieux : dans une école élémentaire de Seine-Saint-Denis, ce sont « plus de 80 % des élèves d’une classe » qui ont refusé la minute de silence en hommage aux douze personnes assassinées ! Et dans un lycée professionnel de Bobigny, ladite minute s’est faite sur fond de « Allah Ouakbar »

     

    « Je suis Kouachi »

    Cette minute de silence ayant été laissée à l’appréciation des proviseurs, un prof d’anglais de l’Académie de Versailles s’est même vu demander de ne pas la faire respecter pour… « éviter les troubles » ! C’est que les risques sont réels. Comme l’a découvert à ses dépens cet élève de quinze ans d’un lycée technique de Châteauroux qui, pour avoir défendu la tolérance et la laïcité sur Facebook, s’est fait roué de coups vendredi par trois élèves de son lycée. Bilan : huit jours d’ITT. Et puis il y a cette enseignante de Lille, qui s’est entendu dire par un élève de quatrième : « Si tu fais la minute de silence, je te bute à la kalach »

    Surprise ? Pas vraiment. A l’instar de ceux du 11-Septembre, de Mérah ou encore de Nemouche, il est clair que les attentats perpétrés par les frères Kouachi et Coulibaly ont été largement applaudis dans les banlieues abandonnées à l’immigration, aux imams salafistes et à l’argent des Qatari.

    Franck Deletraz

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  • Emil Shimoun, archevêque de Mossoul : « Notre souffrance est un prélude à ce que vous, allez souffrir dans un proche avenir »

    L’archevêque de Mossoul, Mgr Amel Shimoun Nona, fait partie de ces réfugiés irakiens de confession chrétienne qui ont fuit la barbarie islamique du « califat ». Dans un article publié le 10 août par le journal italien Corriere della Sera, il lance un avertissement aux Occidentaux.

    « Notre souffrance est un prélude à ce que vous-mêmes, chrétiens européens et occidentaux, souffrirez dans un futur proche », a crié l’archevêque à ses frères chrétiens d’Occident. « S’il-vous-plaît, il faut que vous compreniez. Vos principes libéraux et démocratiques n’ont aucune valeur ici. Vous devez reconsidérer la réalité du Moyen-Orient, car vous accueillez un nombre croissant de musulmans. Vous aussi, vous êtes en danger. Il vous faut prendre des décisions courageuses et dures, y compris en allant à l’encontre de vos principes. Vous croyez que tous les êtres humains sont égaux, mais ce n’est pas une chose certaine. L’Islam ne dit pas que tous les êtres humains sont égaux. Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs. Si vous ne comprenez pas cela rapidement, vous tomberez victimes d’un ennemi que vous aurez accueilli dans votre maison. »

    Source en français : ndf.fr / Source originale : corriere.it

    http://fr.novopress.info/

  • Analyse de l’affaire Charlie Hebdo

    Voici un roboratif communiqué du Renouveau français :

    « Le bal des tartuffes

    Les réactions ayant suivi les assassinats de la semaine dernière ont bien illustré le culot et le cynisme absolus du Système politico-médiatique.

    Instrumentalisant sans scrupule l’émotion populaire, l’oligarchie en place a tout tenté pour détourner l’attention des citoyens des véritables enjeux et problèmes.

    Elle n’a pas oublié non plus de promouvoir l’idéologie cosmopolite et mondialiste dont certains effets pervers commencent pourtant à se faire douloureusement sentir.

    Le souci de la vérité nous oblige à rappeler pour notre part que :

    - l’invocation d’une « liberté d’expression » inviolable relève de l’hypocrisie la plus pure, tant de la part des gouvernants (songeons à la récente affaire « Dieudonné ») que de celle des partisans d’un journal qui, par exemple, soutenait la loi liberticide Fabius-Gayssot ou qui avait réclamé l’interdiction du Front national.

    – ces effusions de sang (comme d’autres, moins spectaculaires, mais qui touchent chaque semaine des Français sans que les médias ne le soulignent) sont liées à l’invasion migratoire que subit la France.

    – le système politico-médiatique et son multiculturalisme ont une responsabilité écrasante dans les tragédies que connaît notre pays et qui se multiplieront, toujours plus graves, leurs causes n’étant pas traitées mais au contraire favorisées. L’immigration de masse et la prolifération de foyers de guerre intérieure, avec leurs caches d’armes et leurs voyous déshumanisés, sont imputables à ceux qui se succèdent au pouvoir depuis des décennies.

    - profitant de l’émotion et de la peur, le Système va sans scrupules renforcer ses moyens de flicage et de censure de la population (notamment des patriotes), comme il le fait en pareil cas et à l’instar du gouvernement américain après les attentats du 11 Septembre. Le totalitarisme actuel va se renforcer, sous prétexte de sécurité et par la manipulation de la mémoire des morts.

    – les Français doivent sortir de la fausse alternative qu’on leur présente entre d’un côté la barbarie islamiste, et de l’autre la décadence libertaire et antispirituelle.
    Dans une société civilisée, un torchon comme l’était Charlie Hebdo n’aurait pas la capacité de répandre ses ignominies agressives, comme il l’a fait encore récemment avec des affiches blasphématoires antichrétiennes affichées partout au moment de Noël.

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  • Contre les djihadistes, il faut renouer avec la Syrie

    L'ancien patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), Bernard Squarcini, préconise une nouvelle loi-cadre sur le contre-terrorisme. Extrait de sa déclaration au Figaro :

    "Il faut légaliser les opérations spéciales. En amont du travail judiciaire, il faut autoriser administrativement les balises et les sonorisations, c'est-à-dire la pose de micros et de caméras directement dans les lieux de vie ou de réunions conspiratives, pour savoir ce qu'ils se disent. Car, on l'a bien vu avec les frères Kouachi, les écoutes téléphoniques en phase administrative ne donnent pas toujours."

    Il est vrai que Nicolas Sarkozy n'avait pas eu cette prudence et avait été longtemps (toujours ?) écouté sur son téléphone, les autorités n'ayant pas plus grave à surveiller...

    Plus concrètement, l'ancien préfet propose :

    "En termes pratiques, il faut renouer en urgence la coopération avec la Tunisie, l'Égypte, la Turquie, qui fluctuent, et, plus encore, la Syrie et le Maroc, pays avec lesquels les liens sont totalement rompus. Derrière le Maroc, par exemple, il y a la Mauritanie, à l'instabilité extrême. Comment frapper des cibles sans renseignement opérationnel en Syrie, par exemple? Comment tenir à jour la liste des djihadistes sans l'appui des Syriens?"

    La rupture des relations avec la Syrie et la volonté française de faire tomber Assad, au mépris de la plus élémentaire prudence fait porter sur nos autorités la lourde responsabilité des échecs récents de nos services de renseignement. Alors ? Hollande démission ?

    Michel Janva

  • A quel stade Hollande se posera la question de la démission de Taubira ?

    Résumons :

    Et on apprend aujourd'hui qu'il avait une planque à Gentilly avec de la dynamite, plusieurs armes automatiques, des détonateurs, des papiers d'identité, de l'argent en liquide et des drapeaux à l'effigie de l'État islamique.

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’énorme faille dans les services de sécurité c’est eux !

    « Le retour du terrorisme dans ce pays c’est vous » !

    Souvenez-vous, c’est ce que le « p’tit goebbvalls », alors ministre de l’intérieur, avait vomi sur les députés de droite, à l’Assemblée Nationale, le 13 novembre 2014, en réponse à une question d’Eric Ciotti !

    « C’est vous qui avez échoué et les Français aujourd’hui paient dix ans d’une politique de sécurité faite de lois qui n’ont servi à rien, qui n’ont pas été appliquées. L’esbroufe c’est vous, l’échec c’est vous, la hausse de la délinquance c’est vous, les suppressions de postes de policiers et de gendarmes c’est vous », avait lancé Manuel Valls avant de conclure « le retour du terrorisme dans ce pays c’est vous ».

    Puis d’éructer sur la « commission d’enquête sur l’affaire mohamed merah » !

    Il fallait faire tomber des têtes !

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  • Hommage aux policiers - soutien aux armées

    Si les autorités publiques peuvent se féliciter des immenses manifestations de quasi-unanimité civique de ce 11 janvier, elles n'ont pas le droit de les décevoir. Car les vraies questions réapparaissent très vite.

    Ne doit-on pas d'ailleurs tenir pour significatif que les voix discordantessoient venues des gens qui ont toujours dénoncé le danger et que l'on a toujours cherché à faire taire ? Citons ainsi : Christopher Caldwell, Michèle Tribalat, Mezri Haddad ou encore Ayaam Hirsi Ali.(1)⇓

     Ne faut-il pas se montrer vigilants vis-à-vis du détournement émotionnel tendant à dénaturer l'aspiration même à la cohésion nationale, au profit des «partis de gauche» ?

     Comment ne pas trouver récupérateur et provocateur, par exemple, le message recyclé venant de l'odieuse petite bolchotte, idiote, prétentieuse, – mais tellement représentative ! – Clémentine Autain éructant ainsi, depuis Montreuil, sur le site dédié aux gazouillis,  ce 9 janvier : « Oui, nous marcherons contre les attaques envers les musulmans. Contre toutes les formes de racisme et de xénophobie. Contre les fascismes… » (2)⇓

     La même avait bien marqué sa ligne politique en octobre 2014 :

     « Je suis consternée. […] Manuel Valls n'est pas, affirmait-elle, contrairement à ce qu'il dit, un socialiste moderne, il est en réalité un homme de droite traditionnel. Il a dit, vous vous souvenez, 'la gauche peut mourir'. Je crois qu'il en sait quelque chose parce que c'est lui qui tient le fusil. »

    Ne méprisons donc pas l'aspiration civique massivement manifestée par nos compatriotes. Craignons seulement, noyée dans le marasme «républicain», qu'elle ne serve pas vraiment au redressement durable du pays.

     Le premier hommage que l'on aurait pu, que l'on aurait dû rendre, devait hier, et devra demain, s'adresser aux policiers qui ont payé un si lourd tribut à la défense de l'ordre public et de la liberté des autres.

     « Ouest France » évoquait ainsi, ce 9 janvier, le cas du brigadier Franck Brinsolaro, policier tué en protégeant le patron de Charlie Hebdo dont il était le garde du corps :

    « Un policier chargé de protéger un croqueur de flics... C'était le métier du brigadier Franck Brinsolaro, 49 ans, et il adorait son job, nous raconte sa femme. Il est mort près de Charb, mercredi, lors de l'attaque des tueurs. Une semaine sur deux, Franck Brinsolaro accompagnait Charb dans toutes ses sorties : à la rédaction de Charlie Hebdo, chez ses amis, au restaurant. Partout. Il ne lâchait le dessinateur qu'à la porte de son appartement. Et cette mission périlleuse, le policier l'aimait particulièrement, nous confiaient hier ses proches. »

    Et le grand quotidien breton soulignait, avant que tout cela retombe dans l'oubli : « le garde du corps sentait venir la catastrophe. Après un dessin virulent de Charb en 'Une' du journal, il avait lâché à Samuel : 'Ça va péter un jour ou l'autre.' Et à sa femme : 'Vu ce qu'il a sorti, faut pas qu'on le lâche d'une semelle.' Il ne l'a pas lâché. »

    Respecter son sacrifice, désormais, cela veut dire aussi que notre société doit manifester un peu plus de considération pour ceux qui nous défendent, et je ne crois pas que le contenu du journal en ait encouragé jusqu'ici la moindre conscience.

    Allons jusqu'au bout : la France et l'Europe dans les années à venir vont devoir réinvestir puissamment non seulement dans la considération morale, ce qui est très important, mais aussi dans les efforts matériels, les moyens financiers, les arbitrages budgétaires, en faveur des fonctions régaliennes de l'État.

    Réhabiliter les tâches d'une justice plus soucieuse de la protection des honnêtes gens, devra se compléter par de plus gros sacrifices, en faveur de la Défense et du Maintien de l'Ordre.

    La partie de l'opinion qui se sensibilise sur la patrie et de la liberté doit donc se préparer à se mobiliser en faveur de la Police, de la Gendarmerie, mais aussi de l'Armée de l'Air, de la Marine, des Unités aéroportées, des Services de Renseignement, mais aussi des industries de défense, mais aussi de toutes les technologies indispensables à notre survie en Europe et à la victoire sur les théâtres d'opérations extérieures. Je dis bien : victoire, car c'est une guerre globale qui est engagée. Il s'agit donc de l'emporter sur ceux qui nous l'ont déclarée. 

    JG Malliarakis  http://www.insolent.fr/

    Apostilles

    1.  À lire au titre des voix discordantes :
      "Le désir d'union ne doit pas nous empêcher d'affronter la réalité" par Jean-Pierre Le Goff in Figaro Vox. 
      "Terrorisme islamiste: cette guerre qui commence était hélas prévisible !"par Mezri Haddad, ancien ambassadeur de la Tunisie auprès de l'UNESCO, philosophe, auteur d'essais sur la réforme de l'islam. 
      "La France ne doit pas rester désarmée face au terrorisme" in Le Monde du 9 janvier par Christopher Caldwell, auteur d’Une Révolution sous nos yeux (Toucan, 2011). 
      - Michèle Tribalat : "Non, nous ne sommes pas Charlie" in Figaro Vox le 11 janvier. Michèle Tribalat a publié (avec Pierre-André Taguieff), Face au Front national : arguments pour une contre-offensive, La Découverte, 1998; (avec Jeanne-Hélène Kaltenbach), La République et l'islam : entre crainte et aveuglement, Gallimard, 2002; Les Yeux grands fermés : L'Immigration en France, Denoël, 2010; avec Christopher Caldwell) Une révolution sous nos yeux, Paris, Le Toucan, 2011; “Assimilation : la fin du modèle français”, Toucan 2013. 
      "The West must stand up for freedom—and acknowledge the link between Islamists’ political ideology and their religious beliefs" par Ayaan Hirsi Ali dans le Wall Street Journal.
    2.  cf. sur son compte  "Twitter" 
  • Comdamné par la "justice" de son pays, ami de la France, à 1000 coups de fouet pour insulte à l'islam

    Le 9 janvier 2014 en Arabie Saoudite : les 50 premiers coups de fouet ont été donnés en public ce vendredi après la prière à Raif Badawi condamné à 1000 coups de fouets sur 20 semaines et à 10 ans de prison pour avoir critiqué l'islam et le régime saoudien sur son blogue. Il a aussi désobéi à son père.

    De Numérama : 

    "Il risquait la peine de mort, et c'est finalement une peine peut-être plus douloureuse encore qui lui a été infligée. Alors que le monde entier s'unit pour défendre la liberté d'expression après l'assassinat de sang froid à Paris de douze personnes liées directement ou indirectement à Charlie Hebdo, le blogueur saoudien Raif Badawi a reçu vendredi ses 50 premiers coups de fouets après sa condamnation pour "insulte à l'islam". Le régime dans lequel s'applique le courant le plus intolérant mais aussi le plus minoritaire de l'islam, le wahhabisme, a condamné l'homme à recevoir au total 1000 coups de fouets sur deux semaines, et à passer dix ans en prison

    Enfermé depuis le 17 juin 2012 dans les geôles saoudiennes, Raif Badawi avait été le fondateur en 2008 d'un site intitulé "Free Saudi Liberals", sur lequel il critiquait des figures de l'autorité religieuse en Arabie Saoudite, et demandait une libéralisation morale du pays. Il avait été arrêté et mis en accusation pour avoir "insulté l'islam à travers un moyen de communication électronique", et fut également poursuivi du crime d'apostasie, c'est-à-dire de renoncement à l'islam.

    Le 11 janvier 2014 en France : "on" manifeste pour la liberté d'expression. Mais personne ne connaît son histoire sauf la poignée de Français qui lit la presse étrangère...

    Ici :

    "Le jeune blogueur de 31 ans a été condamné à dix années de prison et à 1000 coups de fouet sur une période de plusieurs mois.

    Il avait été arrêté en juin 2012 après avoir critiqué le régime saoudien et s'être exprimé sur l'islam sur son blogue. Il a été inculpé de cybercrime, d'apostasie et de désobéissance à son père, ce qui constitue un crime dans le royaume. Une fois la peine de prison purgée, il lui sera interdit de voyager pendant dix ans.

    Selon l'épouse de M. Badawi, l'homme est très mal en point après avoir reçu ses premiers coups de fouet. « Sa femme en ce moment ne va pas très bien. Elle se sent très loin, très impuissante. Elle est vraiment atterrée », explique l'agente de développement à Aministie internationale, Mireille Elchacar".

    L'article d'Amnesty international.

    Où est la cohérence dans la France des Charlie? Il doit y avoir des libertés d'expressions plus libres que d'autres, surtout quand les amis saoudiens s'en mêlent...

    Le Salon Beige