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insécurité - Page 877

  • La CEDH soutient les pirates

    La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a condamné la France à compenser le "préjudice moral" subi par des pirates somaliens qui avaient attaqué des navires français en 2008. La France doit payer à chaque pirate 2000 à 5000 euros à titre de dommage moral et à verser 3000 à 9000 euros pour frais et dépens.

    La cour a établi qu'après avoir arrêté les pirates dans les eaux territoriales somaliennes et les avoir placés sous contrôle militaire à bord de la frégate "Courbet", les marins français devaient les "traduire sans délai devant un juge ou un autre magistrat habilité par la loi à exercer des fonctions judiciaires". Or, les pirates ont été présentés à un juge d'instruction avec 48 heures de retard.

    Tout en reconnaissant l'existence de "circonstances tout à fait exceptionnelles", à savoir le fait que "la France intervenait au large de la Somalie, à 6 000 kilomètres de son territoire", la Cour a toutefois établi que "rien ne justifiait un tel délai supplémentaire".

    Ce gouvernement des juges est surréaliste. Nous devrions organiser pour les juges de la CEDH un petit voyage en yacht au large de la Somalie.

    Michel Janva

  • Chaos ethnique et religieux en Allemagne : quand la Guerre Sainte éclate à Hambourg

     Certains quartiers du centre-ville de Hambourg, la seconde plus grande ville d’Allemagne, ont pris l’aspect de zones de guerre après que des centaines de partisans du groupe djihadiste État Islamique [ISIS] ont déclenché des combats de rue contre des Kurdes en octobre dernier.

    La violence, décrite par la police comme d’une férocité rarement vue en Allemagne de mémoire récente, donne une idée des retombées qu’entraînent ailleurs les combats en Syrie et en Irak.

    Certains analystes croient que des groupes musulmans rivaux exploitent délibérément les tensions ethniques et religieuses au Moyen Orient afin de semer le trouble dans les rues européennes.

    Ces troubles ont commencé le soir du 7 octobre, lorsqu’environ 400 Kurdes se sont rassemblés à l’extérieur de la mosquée Al-Nour près de la gare centrale située dans le quartier hambourgeois de St. George pour protester contre les attaques menés par ISIS contre la ville kurde syrienne de Kobani.

    Selon la police, cette protestation initialement pacifique est devenue violente lorsque les Kurdes se sont trouvés confrontés à un groupe rival de quelques 400 salafistes armés de battes de baseball, de coups de poing américains, de couteaux, de machettes et de broches métalliques utilisées pour empaler la viande dans les restaurants kebab.

     

    Dans la mêlée qui a suivi, plus d’une douzaine de personnes ont été blessées, y compris une personne dont la jambe a presque été coupée par une machette, et une autre personne qui a été poignardée à l’estomac par une broche à kebab.

    Quelques 1 300 fonctionnaires de police brandissant des bâtons et accompagnés de canons à eau ont été déployés pour mettre fin aux échauffourées, qui se sont prolongées jusqu’à l’aube du 8 octobre. Au final, des centaines d’armes ont été saisies et 22 personnes ont été arrêtées.

    « J’avais l’impression que nous vivions en Hamburgistan », a dit l’imam de la mosquée Al-Nour, Daniel Abdin, au magazine allemand Der Spiegel. « L’atmosphère était très, très explosive. »

    La police a déclaré être choquée par ce qu’elle a décrit comme un niveau de violence inédit.

    Dans une interview accordée au journal Passau Neue Presse, le président du syndicat de la police allemande, Rainer Wendt, a rapporté que la police à Hambourg a fait l’expérience d’une « force brutale menaçant la vie » par des auteurs qui étaient « armés jusqu’aux dents ». Wendt a prévenu que le conflit entre les Kurdes et ISIS menace de « déclencher une guerre de proximité sur le sol allemand ».

    Un porte-parole de la police à Hambourg, Gerhard Kirsch, a déclaré que le niveau de violence a atteint une nouvelle « dimension dangereuse », que nous n’avons jamais vue à l’occasion d’autres manifestations. »

    Le président du syndicat de la police allemande à Hambourg, Joachim Lenders, a décrit une brutalité sans précédent. « La violence observée tôt le jeudi a été d’une cruauté et d’une inhumanité que j’ai rarement eu l’occasion d’observer, » a-t-il dit, en ajoutant qu’il y aurait certainement eu des morts si la police ne s’était pas déployée à temps. Lenders a ajouté :

    « Si 800 personnes hostiles se combattent les unes les autres en plein Hambourg avec des machettes, des couteaux et des broches en fer, il doit y avoir des conséquences pour les auteurs. Des extrémistes ayant des motivations politiques et des fanatiques religieux ont amené à Hambourg un conflit qui ne peut pas être résolu ici. »

    Le jour même où se déroulaient les affrontements à Hambourg, des dizaines d’immigrés musulmans pour la plupart tchétchènes affrontaient des Yézidis kurdes, une minorité non-arabe et non-musulmane qui a été persécutée par ISIS, à Celle, une ville de Basse-Saxe dans laquelle vivent plus de 7 000 Yézidis. La police a déclaré que les violences, au cours desquelles neuf personnes ont été blessées, avaient été attisées via les médias sociaux par des prédicateurs musulmans radicaux qui ont incité les Islamistes à attaquer les Yézidis.

    Le conflit à Celle a représenté une réminiscence, mais en bien plus violent, desaffrontements entre Musulmans et Yézidis qui s’étaient produits dans la ville de la Westphalie orientale d’Herford en août.

    Des manifestations « Solidarité avec Kobani » ont également eu lieu à Munich, où des manifestants brandissant de grands drapeaux kurdes ont occupé les bureau de l’Union Chrétienne-Sociale [CSU], le pari frère bavarois de l’Union Chrétienne-Démocrate [CDU] actuellement au pouvoir en Allemagne ainsi que dans les villes allemandes de Berlin, Brême, Göttingen, Hamm, Hanovre, Kiel, Oldenburg et Stuttgart.

    Environ 4,3 millions de Musulmans, un million de Kurdes et 60 000 Yézidis vivent en Allemagne. Le rapport annuel 2013 (publié en juin 2014) de l’agence de renseignement intérieur allemande, le Bundesamt für Verfassungsschutz [BfV], l’Allemagne abrite également 30 groupes islamistes actifs et 43 000 Islamistes, dont 950 membres de l’organisation terroriste libanaise Hezbollah, 1 300 membres des frères musulmans et 5 500 Salafistes.

    Le salafisme est une idéologie anti-occidentale qui cherche ouvertement à remplacer la démocratie en Allemagne (et dans d’autres pays occidentaux) par un gouvernement islamique basé sur la charia.

    Bien que les Salafistes ne constituent qu’une fraction des musulmans en Allemagne, les autorités sont de plus en plus préoccupées par le fait que beaucoup de ceux qui sont attirés par l’idéologie salafiste sont des jeunes musulmans impressionnables qui sont susceptibles de perpétuer des actes terroristes au nom de l’Islam.

    Les autorités allemandes ont dû faire face à des critiques pour s’être montrées bien trop complaisantes vis-à-vis de la montée du salafisme dans le pays. Le 2 octobre par exemple, la télévision publique allemande ARD a révélé que les responsables politiques allemands ont poursuivi pendant de nombreuses années une politique secrète consistant à encourager les Islamistes allemands à voyager à l’étranger plutôt que d’investir dans des efforts visant à contrer la radicalisation. Selon l’ARD, l’idée générale était que si les Djihadistes allemands avaient l’intention de commettre des actes terroristes, le mieux serait qu’ils le fassent ailleurs que sur le sol allemand.

    L’objectif visé était de « protéger notre population » en exportant le problème, a déclaré à l’ARD le chef de l’anti-terrorisme de la police bavaroise, Ludwig Schierghofer. Le raisonnement consistait à « amener les personnes présentant un risque à commettre des attaques terroristes en-dehors du pays ». « Si quelqu’un s’était radicalisé et souhaitait partir, la politique consistait à permettre à cette personne de partir et même à accélérer son départ par divers moyens. »

    On estime que 450 Musulmans allemands se sont rendus en Syrie et en Irak, et on pense qu’au moins 100 d’entre eux sont maintenant rentrés en Allemagne.

    Un nombre croissant de politiciens allemands reçoivent entre-temps des menaces de mort de Salafistes présents en Allemagne.

    Un de ces politiciens, Tobias Huch du Parti Libéral-Démocrate (libéral classique) [FDP], a été menacé à plusieurs reprises de décapitation en rétorsion du fait d’avoir mené une campagne de levée de fonds destinés à fournir de la nourriture et de l’eau pour les Kurdes du Nord de l’Irak.

    « Je n’ai pas peur, mais je suis devenu plus prudent, » a déclaré Huch, qui bénéficie désormais d’une protection policière. Il dit qu’il a changé ses allers et venues quotidiens afin d’être moins prévisible. Il a, entre autres changements d’habitudes de vie, renoncé à fréquenter régulièrement les restaurants, les bistrots et autres lieux publics.

    Un autre politicien, Ismail Tipi, membre de la CDU (Union Chrétienne-Démocrate) au pouvoir, paye cher le prix de sa critique de la montée du Salafisme en Allemagne. « Je reçois des menaces quasiment tous les jours, » dit Tipi. « Les menaces de mort à mon encontre ne connaissent pas de limites. Les Salafistes veulent me décapiter, m’abattre, me lapider, m’exécuter et ont imaginé de nombreux autres manières de me tuer. »

    Wolfgang Bosbach, membre éminent de la CDU, pense que les politiciens qui reçoivent des menaces de mort ne doivent pas céder aux intimidations. « Ils ne doivent en aucun cas céder et changer de position politique, faute de quoi les extrémistes auraient atteint leurs objectifs. »

    Le chef du FDP, Christian Lindner, partage cet avis. « Il est inacceptable pour les libéraux d’accepter que des extrémistes religieux portent atteinte aux valeurs centrales de notre constitution. Nous ne cèderons pas aux menaces et aux intimidations. Nous exigerons bien plutôt une réaction déterminée de la loi. »

    Par contraste, la vice-présidente du parlement allemand, Claudia Roth du parti des Verts, croit que la radicalisation croissante des musulmans en Allemagne souligne les problèmes de la société allemande. Celle-ci a en effet déclaré dans le cadre d’un entretien accordé au journal Die Welt : « Les violents affrontements entre les groupes kurdes et les groupes islamistes dans les villes allemandes et dans les rues allemandes trouvent davantage leur origine dans des problèmes internes à l’Allemagne que dans la situation dans le Nord de la Syrie et dans le Nord de l’Irak. »

    « Nous devons nous demander en tant que société : comment se fait-il que des gens qui vivent en Allemagne, sont en grande partie nés et ont grandi ici, soutiennent un groupe terroriste fondamentaliste brutal et inhumain tel que l’IS et se mettent à attaquer des manifestants avec des couteaux, des broches et des machettes. Ici en Allemagne, l’IS menace de devenir un refuge pour des jeunes gens frustrés qui manquent de perspectives d’avenir. »

    Pendant que les politiciens débattent des causes et des solutions du problème de l’Islam radical, la police reste dans toute l’Allemagne en alerte, à l’affût des violences.

    Source : gatestoneinstitute.org – auteur : Soeren Kern – date de publication : 15 octobre 2014

    http://fr.novopress.info/179346/allemagne-guerre-sainte-eclate-hambourg/#more-179346

  • Inondations : « Appeler M. Hulot »

    Un article très intéressant de Stanislas de Larminat (L'écologie chrétienne n'est pas ce que vous croyez (Salvator, 2014), paru sur le site de Liberté politique, au sujet des inondations qui ont récemment dévasté le sud de la France. Où l'auteur pointe du doigt tout le système "écolo", qui fait beaucoup de mal, et qui, selon ses propres mots, voudrait "mettre l’environnement sous cloche et en faire un écomusée au mépris de l’homme."  

    Inondations-Appeler-M.-Hulot-III_visuel

    "À la suite des inondations de janvier 2014, le catastrophiste éclairé Nicolas Hulot tirait la sonnette d’alarme : « Les derniers événements... nous rappellent s'il en était encore besoin les conséquences dramatiques et quotidiennes du changement climatique sur notre planète. » Dans la série « Une catastrophe, il faut appeler M. Hulot », après la transition énergétique (I) et le barrage de Sivens (II), ne faudrait-il pas attirer son attention sur les responsabilités de l’écologisme dans les drames qui se répètent régulièrement dans le sud de la France ? Comme les forêts, les rivières s’entretiennent. Sinon, elles meurent, ou elles tuent.

    DE NOUVELLES INONDATIONS ont causé des morts dramatiques le 30 novembre 2014. Il est urgent de prendre du recul et d’analyser les événements à tête reposée.

    S’agissant des conséquences, il est clair que les constructions qui se sont développées anarchiquement dans les zones à risques, ont aggravé le risque de drames humains et alourdi le montant financier des dégâts.

    Mais il faut aussi remonter aux causes. Or les médias, avec une complaisance coupable, ont l’œil rivé sur les seules prévisions météorologiques. On fait des allusions insidieuses au réchauffement climatique, alors que celui-ci n’a rien à voir dans cette affaire. En effet, la pluie n’est pas la cause première de telles calamités naturelles. Elle n’est que le facteur déclenchant de causes bien connues et qui ont été complètement négligées au fil du temps.

    Dans l’analyse des catastrophes, on réalise toujours qu’il y a un enchaînement de causes. Quelles sont-elles ? En amont, il y a un déficit d’investissement dans les retenues d’eau destinées à réguler les cours d’eau. Plus en aval, de graves défauts d’entretien des berges et du profil des rivières freinent l’écoulement. À l’embouchure, l’accumulation des alluvions sans travaux de dragage empêche les eaux de s’évacuer vers les océans.

    Or les ONG écologistes portent une grave responsabilité dans cet état de fait. Pourquoi ?" (suite sur le site de Liberté politique).

    Marie Bethanie

  • Les coupables du saccage de Lyon le 29 novembre

     

    03/12/2014 – LYON (NOVOpress via le Bloc identitaire Lyon)
    Les graves incidents ayant émaillé la manifestation organisée le 29 novembre dernier par le Collectif de vigilance 69 contre l’extrême droite et Conex (Coordination nationale contre l’extrême droite) ont marqué les esprits par leur violence et leur ampleur. Selon les chiffres donnés par la préfecture, entre 600 à 900 personnes étaient présentes samedi pour en découdre avec les forces de l’ordre et participer au saccage de la cité.

    Comme le Bloc identitaire Lyon l’avait malheureusement prévu, le bilan des violences est lourd : une quinzaine de fonctionnaires blessés, plusieurs dizaines de commerces attaqués, un centre-ville paralysé et une population apeurée. Par contre, le nombre d’arrestations (une quinzaine pour pratiquement un millier de casseurs !) et de comparution immédiate (trois) est totalement ridicule.

    Il est désormais temps de faire le bilan de chacun des coupables de ce fiasco

    orga-casseurs-lyon-mise-au-point- Les organisateurs : « Une attitude équivoque envers les casseurs » selon les propres déclarations du préfet Carenco !Car le Collectif de vigilance 69 contre l’extrême droite, notamment Armand Creus, Hervé Mazure, Katia Buisson et Olivier Borel et le groupe Conex, portent une lourde part de responsabilité dans les violences ! Ils peuvent tenter de se dédouaner en accusant les casseurs extérieurs (des « provocateurs » selon un communiqué) à la manifestation ou même la police (comme Armand Creus), le fait est qu’ils n’ont rien fait pour empêcher l’émeute de se produire. Leur attitude complaisante depuis des années avec la mouvance anarchiste leur a explosé à la figure samedi dernier, car depuis des années ils accueillent dans leurs rangs et à chaque manifestation des groupuscules armés et cagoulés. (Ci-contre Le Progrès du 1er décembre 2014)

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  • Les « zadistes » de Notre-Dame-des-Landes, nouveaux djihadistes verts ?

    Un cap est franchi avec le climat de peur savamment entretenu par des milices dangereuses.

    Patrice Valentin, directeur de Dervenn (entreprise spécialisée en conseil d’ingénierie écologique), s’exprimait au micro de France Info en ces termes : « Ça n’est pas la première fois que l’on reçoit des lettres de menaces. Il y a un site sur lequel on est cité comme étant une cible en appelant tout le monde à venir perturber la vie de l’entreprise et en nous menaçant de faillite. L’objectif des opposants est de créer un climat de peur pour que personne ne réponde. Pour moi, cela s’appelle du terrorisme. » Les opposants à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes dévoilent ainsi une face obscure, qui n’est pas loin de rappeler des méthodes que l’on croyait disparues depuis les années 1970, celles des groupes terroristes Action directe ou des Brigades rouges.

    Déjà, les méthodes des militants « antifas » qui ont protesté à Toulouse et à Nantes étaient assimilables à une forme de para-terrorisme mais là, un cap est franchi avec le climat de peur savamment entretenu par des milices dangereuses.

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  • En marge du Congrès du FN, la violence ordinaire de l’extrême gauche et des antifas

    Venus à Lyon manifester contre le FN réuni en congrès, les « antifas » en profitent comme à leur habitude pour démolir mobilier urbain et vitrines.

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  • Islam et barbarie : le pire est à venir. France en première ligne ? Par Guillaume Faye

    Le surgissement de ce monstre politico-militaro-religieux qu’est l’État islamique en Syrie et en Irak (le ”Califat”, ou ” Dae’ch”) n’est que le dernier épisode d’une montée en puissance, partout dans le monde, d’un islam qui revient à ses origines, qui régresse pour mieux progresser. Comme les éruptions solaires et les volcans assoupis, l’islam (surtout sunnite, c’est-à-dire originel) est entré dans une phase de réveil, c’est-à-dire de retour vers sa véritable nature qui est totalitaire, conquérante, intolérante et violente.

    Véritable ou faux islam ?

    Partout la tension monte : jeunes Français fanatisés s’enrôlant dans les rangs de l’État islamique, attentats du Hamas en Israël,  Talibans afghans qui reprennent joyeusement les attentats, massacres de non-musulmans perpétré du Nigéria au Kenya, chaos terroriste quotidien à Bagdad, bandes armées qui ravagent la Lybie et l’Afrique saharienne, etc. La liste est interminable. 90% des guerres civiles, des affrontements armés, des attentats terroristes dans le monde impliquent l’islam. Simple coïncidence ?

    Face à ces atrocités – surtout celles de ”Dae’ch – à cette barbarie innommable, à cette sauvagerie bestiale, il faut tout de même se poser des questions. Il ne suffit plus de dire : ”tout cela est certes commis au nom de l’islam, mais…ce n’est pas l’islam ! Pas le véritable islam !”, selon la vulgate partout rabâchée. Ah bon ?   Vous croyez ?

    Imaginez qu’on massacre des gens, massivement, dans le monde, et à grande échelle, qu’on fomente des guerres civiles au nom du bouddhisme, du christianisme, du judaïsme, du taoisme de ou n’importe quel ”isme”. On se poserait des questions en légitime suspicion, non ? On assassine, on tue, on s’entretue, on massacre, on torture, on pille, on brûle, on détruit, on viole, on se fait exploser (en martyr), on pose des bombes, bref, on fait couler le plus de sang possible…au nom d’Allah le miséricordieux et  de son prophète si sympathique. Il n’y aurait donc pas de lien de cause à effet ?

    Il faut en finir avec cette hypocrisie géante : ” il ne s’agit pas du véritable islam !” Et si, justement, il s’agissait d’un retour au véritable islam, tel qu’il a été pratiqué à ses origines par Mahomet et ses successeurs ? Cette incroyable indulgence, aveuglée par la naïveté, des élites occidentales envers ces crimes perpétrés ”au nom” de l’islam (en réalitéparl’islam) ressemble, en plus grave encore, à l’indulgence qui avait été manifestée envers les crimes de masse du communisme stalinien, maoïste, albanais, cambodgien. Ce n’était pas le ”communisme” qui était en cause, mais une ”dérive”…Toujours le même sophisme.

    Comme le démontre l’enquête de terrain de Samuel Laurent, sur le ”Califat Dae’ch”, qu’il a pénétré de l’intérieur, les exactions et les exécutions sanguinaires,« les massacres de populations civiles considérées comme non musulmanes », y compris les chiites, la mort immédiate réservée aux apostats, les pillages, etc.« relèvent d’une obligation pour tous les musulmans qui agissent en plein accord avec la charia ». Les crucifixions, par exemple,  couramment pratiquées par Dae’ch correspondent à une peine« parfaitement en règle avec l’islam, Sourate 5 dite de la table servie, verset 33 ». (Samuel Laurent,L’État islamique, Seuil). De multiples autres versets – appris par cœur par les adeptes – confortent ce constat.

    Faiblesse intrinsèque de l’islam ”modéré”

    Bien sûr, il existe, notamment en Tunisie et ailleurs, dans l’opinion publique éclairée et cultivée, des fractions de la population qui rejettent avec horreur l’islam radical. Mais c’est l’arbre qui cache la forêt. Certes, les musulmans se combattent entre eux et surtout, il existe nombre de ”musulmans modérés ” anti-islamistes. En Égypte, le maréchal-président Abdel Fattah al- Sissi, copie conforme de Moubarak, n’éradique-t-il pas les Frères musulmans ? Les régimes de plusieurs pays musulmans ne combattent-ils pas l’islamisme ? Ces remarques doivent être atténuées par deux faits : tout d’abord, il y a des retournements spectaculaires de situation, comme par exemple les militaires irakiens de l’ancienne armée de Saddam Hussein, appartenant au pari Baaslaïc, qui forment maintenant les cadres de l’armée fanatisée du ”Califat”, État islamique en Syrie et en Irak. Ensuite, dans tout le monde musulman et jusqu’en France, on assiste partout à une montée de la radicalisation des esprits, extrêmement préoccupante.  En silence, on approuve les exactions barbares du Califat, ou même de  plus en plus ouvertement. C’est le syndrome du stade de football : les joueurs sont peu nombreux mais dans les tribunes, les supporters sont innombrables.

    Sans parler du double jeu de l’Arabie et des Émirats, ainsi que du régime turc du satrape Erdogan. Les régimes qui luttent contre l’”islamisme” et ses factions terroristes ne le font pas par conviction, par idéal, mais pour préserver leur pouvoir de caste au sommet de l’État.  Ceux qui leur obéissent peuvent facilement se retourner comme un gant.

    Les raisons de ce facile retournement des esprits et de la radicalisation se trouvent dans la nature même de l’islam, au cœur du Qoran. Je m’explique : on peut parfaitement avoir une interprétation violente, fanatique du christianisme. Ce fut, jusqu’à l’Inquisition et à Savonarole, parfois le cas dans l’histoire – bien qu’assez rarement. Mais il est impossible de trouver dans le Nouveau Testament des textes qui incitent à la violence, à l’intolérance directe. Ces interprétations fanatiques du christianisme sont donc facilement récusables et assimilables à des dérives schismatiques. Il n’en va pas du tout de même avec l’islam où, tout à l’inverse, c’est l’interprétation tolérante de ce dernier qui peut être accusée de schismatique.

    En effet, le Qoran, les Haddiths et la jurisprudence religieuse depuis des siècles (notamment les fatwas de mise à mort) valident explicitement l’intolérance et la violence. Donc, il n’y a pas de distance entre les comportements barbares observés et l’enseignement religieux et son prolongement juridique. La Pakistanaise chrétienne, Asia Bibi,  qui est dans le ”couloir de la mort”, accusée (sans preuves) de blasphème par les tribunaux officiels de son pays membre de l’ONU, n’ont pas l’air d’émouvoir les Occidentaux. Tous les pays qui appliquent peu ou prou lacharia, ou loi islamique, violent en permanence la Charte de l’Onu et la Déclaration universelle des Droits de l’Homme. Mais on préfère diaboliser Poutine ou les Israéliens.

    Extension du domaine des métastases

    Avec la naissance de ce Califat EI, on vient d’assister à un précédent extrêmement grave, à fort pouvoir de fascination sur tout le monde musulman. L’EI (”Dae’ch”) dispose d’un vaste territoire, d’une armée et de fonds ; même s’il finit par être battu (pas sûr), il fait rêver, donne l’exemple et fait des émules partout. Bien sûr, la responsabilité américaine est écrasante avec la diplomatie et le bellicisme infantiles de Washington qui ont embrasé le Proche Orient depuis 2003. Mais, même sans cela, le chaos se serait installé.

    On peut parier, sans risque de se tromper, que telles des métastases, des mouvements armés comme le Califat vont se multiplier partout. Ça commence. Mais le plus inquiétant, c’est que des États, comme le Pakistan (qui dispose d’une capacité nucléaire) peuvent se radicaliser. Le XXIe siècle sera inévitablement un siècle d’affrontement global avec l’islam.

    Il est très difficile et peu crédible d’expliquer à un musulman ou à un converti que les très nombreuses sourates du Coran en appelant explicitement au djihad  ne sont pas à prendre au pied de la lettre mais à être ”réinterprétées” dans un sens humaniste. Le problème de l’islam, c’est que tout est dans sa génétique, dans son logiciel fondateur, dans son ADN. Son message, son idéologie sont très clairs et sa dynamique expansive aussi. En histoire, c’est comme en chimie cellulaire : il y a des programmes.

    En Europe occidentale et notamment en France, l’embrasement du Proche Orient va immanquablement avoir des effets de radicalisation sur une jeune population musulmane croissante. Comme je l’ai toujours dit, ce phénomène aura deux conséquence : les revendications abouties d’islamisation de pans entiers du territoire avec capitulation des autorités (ça commence) ; et  la multiplication d’émeutes, d’exactions, d’actes terroristes. Nous n’avons encore rien vu. Mais au moins ces hypothèses plus que probables provoqueront peut-être un réveil des Européens et la prise de conscience qu’ils sont agressés sur leur propre sol.

    Menaces sur la France

    Les autorités molles qui nous gouvernent ont mis en place des mécanismes de ”veille” pour détecter les jeunes qui basculent dans le fanatisme islamiste (”musulman” serait plus approprié) dont près de 2.000 (dont nombre de convertis) sont partis combattre en Syrie ou plutôt s’y livrer à des massacres. On fait de même, sans succès, dans les prisons, pour contrer le prosélytisme – 60% des incarcérés sont musulmans ! De même, on ferme les yeux sur toutes les mosquées (France, Belgique, Allemagne, Pays-Bas, Grande Bretagne…) où la propagande se développe, en parallèle avec Internet. Mais on traite la conséquence, pas la cause. La cause, c’est l’islam lui-même et son enseignement littéral.

    « Les cités d’immigration sont explosives. Des guerres civiles se profilent.[…]Le salafisme se propage dans les banlieues avec l’appui de certaines mosquées »note Ivan Rioufol (Le Figaro, 28/11/2014). Pour un réseau fondamentaliste démantelé, des dizaines d’autres surgissent. La radicalisation islamique se propage dans les prisons, islam et délinquance faisant très bon ménage. Et, compte tenu de l’impunité judiciaire renforcée par les lois Taubira, la répression de l’État français est considérée comme une piqure de moustique.

    Mais l’islamisation de la France a ses collabos ahuris, non seulement dans cette gauche qui fait les yeux doux  au mouvement terroriste islamique Hamas et veut reconnaître unilatéralement l’État palestinien, mais aussi à droite, chez un Alain Juppé. Ce prototype du politicien godilleur qui se donne des postures d’homme d’État, candidat de la gauche bobo à la tête de la droite, se reconnaît deux ennemis : l’”islamophobie” et le Front national. Sans commentaires.

    Le problème est le suivant : sur les plateaux TV, dans tous les médias, on se bouscule pour nous répéter qu’il faut bien distinguer entre ”islamisme” et ”islam ”. Les autorités musulmanes, gouvernées par l’hypocrisie, vont évidemment dans ce sens, en se frottant les mains. Certaines sont évidemment sincères, mais minoritaires ; les autres, non.

    Symbole de l’aveuglement du pouvoir mou français, cette déclaration du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, à la suite des émeutes de Nanterre et de Barbès, avec drapeaux palestiniens, attaques de synagogues et de magasins juifs :« sur le fond, il est évident que la cause pour laquelle les manifestants se sont mobilisés était juste »(déclaration du 15 août à Mediapart, dirigé par l’islamophile Plenel). François d’Orcival eut ces mots justes :« Comment combattre un adversaire quand on pense qu’il a raison ?  »  (Valeurs actuelles, 20-26/11/2014).

    Retour au réel : le tonneau de poudre

    Selon René Marchand, islamologue et arabophone, la religion mahométane représente la forme la plus parfaite de totalitarisme, bien avant les mouvements politiques du même acabit du XXe siècle. Ce mot (”totalitarisme”) ne doit pas être pris de manière péjorative mais descriptive. Pour le musulman, la foi se confond avec la loi ; l’existence privée, la vie civique et politique, la vie religieuse se fusionnent en une totalité ; la pensée personnelle n’a ni liberté ni autonomie par rapport aux prescriptions coraniques ; à terme, l’objectif est l’homogénéisation de l’humanité sous un carcan de soumission uniforme, autoritariste, excluant toute liberté et créativité. C’est pourquoi cette  vision du monde, à la fois violente, intolérante et simplificatrice, a séduit en Europe une certaine extrême-gauche parce qu’elle présente (en plus radical encore) des similitudes avec le totalitarisme communiste marxiste.

    L’islam est un tonneau de poudre sous nos pieds, y compris en France, et dont la mèche est déjà allumée. Du fait d’une immigration de masse, des millions de musulmans résidant en Europe et en France sont travaillés par un islam de plus en plus sourdement hostile et agressif. Des chrétiens de Syrie et d’Irak persécutés et lucides, ont récemment évoqué leurs inquiétudes sur ce qui pourrait nous arriver, malgré notre aveuglement et notre insouciance.

    Il n’y a pas de ”lecture guerrière du Coran ”, il y a une lecture tout court du Qoran, qui est un texte simple et clair, direct, qui ne se prête à aucune interprétation vaseuse. Sauf à se renier, l’islam ne peut procéder à aucune autocritique. Il doit vaincre totalement, soumettre ou disparaître. Sa puissance, c’est sa volonté inébranlable et sa mémoire. Sa faiblesse – comme celle du communisme – c’est de finir par dégoûter même ses adeptes quand il est appliqué et s’impose. Il est temps qu’un orage éteigne la mèche et éventre le tonneau.

    Guillaume Faye

    Source : le blog de Guillaume Faye.

    http://fr.novopress.info/179118/islam-barbarie-pire-venir-france-en-premiere-ligne-guillaume-faye/

  • Mais pour qui roulent les Antifas ?

    Le samedi 29 novembre, les Antifas et autres antiracistes autoproclamés se sont mobilisés pour protester contre la tenue du congrès du FN à Lyon.

    On savait les Antifas assez sots ou assez pervers pour servir de milice au système tout en faisant mine de le combattre. La mansuétude dudit système à leur égard, à Nantes notamment, aurait d’ailleurs dû alerter les plus sincères d’entre eux. Les évènements lyonnais du 29 novembre permettent de se demander si leur situation n’est pas encore plus dramatique.

    Le samedi 29 novembre, en effet, les Antifas et autres antiracistes autoproclamés se sont mobilisés pour protester contre la tenue du congrès du FN à Lyon. Leur petite manifestation de 2 à 3.000 personnes (selon la préfecture comme selon les organisateurs et les journalistes) s’est déroulée comme prévu : manifestants cagoulés et armés de bâtons en tête, slogans haineux au second rang et dégradations en tout genre en arrière-plan.

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  • Contre-offensive de l’armée syrienne sur le front sud

    L’Armée arabe syrienne a lancé une contre-offensive éclair dans certains secteurs du front sud pour libérer les régions prises dernièrement par les groupes armés et sécuriser ses lignes de ravitaillement vers la ville de Daraa et les alentours de Nawa. Les extrémistes commencent déjà à lancer des appels de détresse.

    Téléguidés par une salle d’opération militaire installée en Jordanie et comprenant des experts américains, européens, de pays du Golfe et jordaniens, les groupes extrémistes actifs dans le sud syriens ont lancé une série d’offensives, ces derniers mois, qui leur ont permis de prendre plusieurs localités dans les provinces méridionales de Deraa et de Quneitra. Dans cette dernière province, les groupes extrémistes travaillent en étroite collaboration avec «Israël». Ce n’est plus un secret que l’entité sioniste, qui a classé le «Front al-Nosra» dans la catégorie des «groupes modérés», apporte un soutien militaire, logistique et médical aux terroristes. L’objectif d’«Israël» est d’établir une ceinture de sécurité contrôlée par les groupes extrémistes le long du Golan occupé. Le but de la coalition arabo-occidentale anti-syrienne est de menacer le flanc sud de Damas, où ses milices supplétives sont sur le point de perdre leur dernier point d’ancrage, dans la Ghouta orientale. 

    Les lignes rouges franchies

    Soumis à un cahier des charges très exigeant, dicté par la salle d’opération de Jordanie, les groupes extrémistes ont donc lancé, cet été, une série d’attaques qui leur ont permis de prendre un certain nombre de collines et de localités à Quneitra, ainsi que le point de passage entre cette province et le Golan occupé. Ils se sont même emparés de la colline de Tal al-Hara, que l’armée «israélienne» n’était pas parvenue à occuper lors de la guerre de 1973, en dépit d’une offensive extrêmement violente. Mais la trahison du chef de la brigade 121 de l’armée syrienne, le général Mahmoud Abou Arraj, leur a ouvert les portes de ce site stratégique, qui servait, entre autres, à surveiller les communications de l’armée «israélienne». L’officier traitre a d’ailleurs été exfiltré par des agents «israéliens» vers la Jordanie. 

    Dans la province de Deraa, les groupes armés ont pris plusieurs collines ainsi que la ville de Nawa et, la semaine dernière, la localité de Cheikh Meskine. La prise de cette ville a sérieusement compromis les lignes d’approvisionnement de l’armée syrienne vers ses positions plus au sud, notamment dans la ville de Deraa et autour de Nawa. 

    Toutes ces avancées, bien qu’elles soient importantes, ne menacent pas sérieusement les solides lignes de défense de Damas, défendues par les 5ème, 4ème et 7ème divisions, ainsi que des unités d’élites de la Garde républicaine. Ces lignes sont déployées sur un arc allant de l’est à l’ouest du front sud, en partant de Madinat al-Baas, Khan Arnabé, Hadar (Quneitra), bifurquant vers les localités de Saasaa et Qatba (dans la campagne de Damas), et s’étendant jusqu’à Cheikh Meskine, Kherbet Ghazalé, Ezreh et Sanamein (à Deraa).

    Après la prise de Cheikh Meskine - située non loin de l’autoroute internationale Damas -Deraa -, le commandement syrien a estimé qu’une ligne rouge avait été franchie. Toute la semaine dernière, des renforts en hommes et en matériels ont été acheminés vers cette ville en prévision de la contre-offensive, lancée en début de semaine. Sous un barrage d’artillerie et des raids de l’aviation, les unités syriennes sont entrées dans la ville par le sud et l’est, enfonçant les lignes de défense des extrémistes, qui ont commencé à lancer des appels à l’aide sur leurs réseaux de télécommunications. Des dizaines de terroristes ont été tués lors de la progression de l’armée syrienne, dont le dénommé Samer al-Safadi, chef d’un groupe extrémiste qui se fait appeler les «partisans de la Charia». Parmi les morts figurent un grand nombre de ressortissants de pays arabes, notamment des Saoudiens et des Koweitiens.

    Diversion à Bosra

    Pour tenter de desserrer la pression exercée par l’armée syrienne à Cheikh Meskine, les extrémistes ont tenté d’ouvrir un autre front, en attaquant la ville de Bosra al-Cham (40 kilomètres à l’est de Deraa), inscrite au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco. Les groupes armés qui occupent certains quartiers de Bosra al-Cham ont d’ailleurs provoqué de graves dégâts dans les sites archéologiques exceptionnels de la ville. Les comités populaires qui défendent Bosra ont assuré que l’attaque de diversion avait échoué.

    Un expert militaire explique qu’avant de lancer sa contre-offensive, l’armée syrienne a attendu que des signes de fatigues apparaissent sur les groupes armés, pressés par leurs opérateurs arabo-occidentaux de réaliser des acquis sur le terrain, quelles que soient les pertes dans leurs rangs, leur promettant des récompenses financières pour chaque position prise à l’armée syrienne.

    Effectivement, les signes d’essoufflement se sont multipliés: les extrémistes ne sont pas parvenus à prendre les villes de Deraa-Mahatta, Madina al-Baas et Khan Arnabé, et n’ont pas réussi à élargir leur présence dans la campagne à l’ouest de la province de Deraa. Ils ont, semble-t-il, atteint les limites de leurs capacités sur le front sud, bien que des centaines de combattants fraichement entrainés dans le camp de Aaraar, en Arabie saoudite, ont été jetés sur le champ de bataille. Ils sont, désormais, sur une courbe descendante.

    Samer R. Zoughaid  - Al-Ahednews :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuEZpyZuVEKhgRMiJP.shtml