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insécurité - Page 879

  • Suède : les secours réclament un équipement militaire pour aller dans certains quartiers

    Les secours suédois ont affirmé récemment qu’ils avaient besoin de matériel pour aller dans des quartiers musulmans dans lesquels la population n’attaque plus seulement la police mais également les secours…

    Le directeur de Ambulansförbundet, un centre de secours paramédical, Henrik Johansson confiait à un journal suédois : « ils (les secours) sont visés avec tout et n’importe quoi, des armes à feu aux machettes… Nous ne sommes plus protégés comme nous l’étions avant ».

    Avant de poursuivre : « Certains secours sont prêts à aller dans ces quartiers sensibles, avec des casques anti-émeutes, des gilets pare-balle, des protège-tibia et bien sûr des masques à gaz. Ils devraient avoir un équipement adapté au travail dans ce genre d’environnement ».

    Alors que le journaliste lui demandait s’ils désiraient donc plus ou moins le même équipement la police anti-émeutes, il a répondu : « Non, comme les militaires ».

    Toute ressemblance avec des situations en France…

    http://www.contre-info.com/

  • Deux nouveaux terroristes sur le sol français

    Hassan Diab Le principal suspect dans l’attentat contre la synagogue de la rue Copernic qui avait fait quatre morts en 1980 est arrivé en France samedi matin. L’ancien terroriste du FNL, assassin du peuple algérien et de nombreux français, Abdelaziz Boutéflika, ,est en France lui aussi,, hospitalisé à Grenoble depuis la semaine dernière.

    La simultanéité des deux événements est elle fortuite ou bien témoigne-t’elle d’un zèle nouveau de nos services de sécurité ? Car , sans être rabat joie, si aujourd’hui la culpabilité d’Hassan Diab n’est pas encore juridiquement établie, on ne peut oublier les bombes dans les bars et devant les écoles même, qui explosèrent à l’instigation du FNL, dans les rues d’Alger d’Oran ou de Constantine il ya à peine plus de cinquante ans. On ne peut oublier non plus la disparition de milliers d’Européens après la signature des accords d’Evian sensés assurer leur sécurité, pour ne parler que de cela sans s’attarder sur les plus atroces barbaries qui émaillèrent ce qu’on a fini par appeler la guerre d’Algérie. D’autant moins que le personnage, devenu président, ne cesse de réclamer réparation à la France à chacun de ses déplacements. Depuis la grave maladie qui l’affecte, ce boucher recyclé semble toutefois avoir baissé, ces derniers temps, d’un ton, comme si soumettre son corps à des scalpels français l’invitait à une attitude moins polémique. On sait cependant que le vieillard n’est plus aujourd’hui qu’une marionnette exténuée de l’armée algérienne, laquelle fait de son mieux pour maintenir un semblant de cohésion dans ce pays en proie aux appétits multiples des capitalistes d’outre atlantique et des islamistes les plus radicaux qu’elle contient au sud , se positionnant ainsi comme un rempart de l’Occident. Garder le vieux en couveuse le plus longtemps possible, permet de gagner du temps pour préparer l’après Boutéflika qui entame à l’article de la mort son quatrième mandat. « La vacance du pouvoir – énergiquement niée par l’entourage du chef de l’Etat – exaspère et inquiète. L’élite se dit humiliée, » nous rapporte Florence Baugé envoyée spéciale du monde à Alger (15/11). Il manquerait plus qu’avec son brio habituel, et sa connaissance fine de la politique étrangère en Méditerranée, dans ce contexte algérien fragile, la CIA nous concocte, avec l’appuie de la France, un « printemps arabe » dont elle a le secret, histoire de rejouer à nos portes la calamiteuse affaire lybienne.. Je doute que l’armée algérienne gouterait ce genre de plaisanterie. Elle n’aurait, en outre, aucun complexe à écraser dans le sang toute velléité de révolte. Mais il faut toujours se méfier des docteurs Folamour téléguidés par Washington, on n’imagine pas le plaisir qu’ils ont à jouer aux allumettes sur les poudrières. Compte tenu par ailleurs, de la nullité actuelle du locataire de l’Elysée et de celui du quai d’Orsay, j’ai du mal à croire que ces messieurs mesurent l’importance capitale que revêt aujourd’hui encore la question algérienne. Du reste, il semble bien que rien n’ait plus beaucoup d’importance, puisque depuis Sarkozy, les ordres viennent d’outre atlantique. Ainsi, la politique globalement et plus particulièrement la diplomatie ne consistent t’elles pas à toutes fins à régler nos comptes avec l’Histoire, aussi légitimes soient-ils, encore moins, dans la tradition française, de se mettre au service d’un empire, mais d’assurer le bien commun général et plus précisément celui de notre patrie en tenant compte des données objectives et actualisées. Une France forte avec à sa tête un état indépendant et durable, n’aurait aucun mal à mener une politique méditerranéenne cohérente et féconde.

    Olivier Perceval

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Deux-nouveaux-terroristes-sur-le

  • Marchandisation du corps : des morceaux de bébés dans des colis

    L'inimaginable escalade du mépris de la vie et de l'homme : 

    "C’est en passant les colis au scanner que les employés du transporteur DHL ont fait la terrible découverte. Dimanche, la police de Bangkok a annoncé que les restes humains de plusieurs bébés avaient été trouvés alors qu’ils devaient être envoyés vers les Etats-Unis. Le «Bangkok Post» indique que dans le premier paquet se trouvait une partie de la tête et du visage d’un enfant. Dans le second se trouvait un pied droit coupé en trois morceaux. Le dernier colis était de son côté rempli de morceaux de peau et d’un coeur. Un morceau de peau prélevé sur un adulte et arborant un tatouage a également été retrouvé. Les paquets avaient été enregistrés comme contenant des «jouets».

    Deux suspects ont été arrêtés. Les deux hommes, considérés comme les expéditeurs, ont été interrogés pendant plus de trois heures samedi. Ils ont expliqué avoir acheté les restes des corps et d’autres organes dans un marché de nuit près de Saphan Phut" (suite).

    Le Salon Beige

    Posté le 17 novembre 

  • Quand l'extrême gauche redescend dans la rue

    Sur le site de "Libération", ce 16 novembre, la description de la manifestation de la  veille (1)⇓ commençait par deux paragraphes, dont le décalage laisse perplexe :

    Premier paragraphe [en plus gros caractères] :Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté samedi à Paris et dans toute la France à l’appel de la gauche de la gauche pour protester contre la politique de Manuel Valls.

    C'est, soulignons-le quand même, par pure complaisance que l'on a pris l'habitude et qu'on nous impose presque de parler de "gauche de la gauche". Dans cette nov'langue seuls les libéraux sont ultras, seule la droite est extrême.

    Deuxième paragraphe [en plus petits caractères] : "Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi à Paris à l’appel du collectif 'Alternative A l’Austérité' (3A)."

    141117aSoulignons donc aussi que ledit collectif "3A" organisait le même type de défilé dans quelque 18 villes dont Toulouse, Bordeaux ou Strasbourg.

    Annoncée par "L'Humanité" du 14 novembre, la cible commune était définie, en théorie "contre le budget d’austérité inefficace".

    Soulignons donc enfin que ces gens appellent, sans rire, "politique d'austérité" un budget qui prévoit, pour 2015, une hausse de la dépense publique de 0,8 %, avec 0,1 % une inflation de et une croissance globale de 0,3 %.

    Les programmateurs de cette agitation tiennent en fait le plus grand compte des calendriers parlementaires, car se propose de les influencer et de les intimider. 

    Le 18 novembre l'ordre du jour de l’Assemblée nationale prévoit en effet les "explications de vote et vote par scrutin public sur le projet de loi de finances. Selon la bonne vieille méthode coco on avait ajouté un autre sujet de mécontentement : la "répression accrue des mouvements sociaux, écologiques et citoyens, suite à la mort de Rémi Fraisse."

    D'autre part, le 4 décembre,les élections syndicales de la fonction publique revêtiront une grande importance pour la CGT.

    En fait on se trouvait donc en présence d'une mobilisation destinée à assurer le relais entre ce scrutin et les mobilisations anti-austérité du 16 octobre, déjà pas très réussies.

    Dans la capitale, le défilé partait de la Place Denfert-Rochereau et il se déplaçait jusqu'à l’Assemblée nationale. Il aurait réuni entre 7 500, évaluation de la Préfecture de police, et 30 000 personnes, à en croire les enthousiastes. Au total, certains vont jusqu'à prétendre que, dans tout le pays, "100 000 personnes" seraient descendues dans la rue. Cette petite évaluation bidonnée vient du "parti de gauche". Pas sûr que le nombre, plus modeste, de 20 000 ait été effectivement atteint.

    Les basses eaux, en quelque sorte.

    Pourquoi les manifestations prévues dans un nombre de villes inférieur de régions n'ont-elles reçu que cet écho extrêmement limité en ce 15 novembre ?

    D'Avignon à Quimper en effet elles prétendaient faire reculer le gouvernement Valls, et en dénoncer la volonté réformiste. Or, en recherchant les informations dans les pages locales des journaux régionaux, en général moins menteuses que les moyens de désinformations "nationaux", on découvre que la majorité d'entre eux n'ont publié aucune recension des rassemblements pourtant prévus. 

    Les abonnés du "Dauphiné libéré" par exemple pouvaient, seuls, accéder au détail d'un décompte selon lequel 500 personnes (?) se seraient déplacées dans le chef-lieu du Vaucluse, haut lieu de l'intermittence et de l'assistanat.

    Les lecteurs du "Télégramme de Brest" ont pu voir les photos d'un regroupement assez pathétique comptabilisé à hauteur 150 personnes, d'après le rédacteur. Mais sur la photo on les imagine 50, pas beaucoup pour le chef-lieu du Finistère.

    À Nice, pas une ligne dans "Nice-Matin" beaucoup plus attentif au déplacement du maire Estrosi à Saint-Pétersbourg.

    À Strasbourg les "Dernières Nouvelles d'Alsace" font plutôt écho à la protestation de la région contre une réforme absurde qui projette de l'agglomérer à la Champagne et à la Lorraine, et aux quelques élus qui défendent le droit au bilinguisme franco-allemand.

    À Lille, on n'entend parler ni des manifestants de la fameuse "gauche de la gauche" ni des frondeurs que Martine Aubry cherche à ranger derrière son fanion. À peine avait-on noté le 14 novembre : "Lille : une vingtaine d’InterLuttants brave la pluie pour défendre les droits des chômeurs. Ils sont actuellement une petite vingtaine à manifester dans les rues du centre-ville de Lille. Un petit groupe d’InterLuttants brave la pluie, à vélo ou à pied, pour la Journée d’action européenne des droits des chômeurs." Autrement dit, s'agissant de "couvrir" une manifestation de gauche la Voix du nord ne méprise pas l'infiniment petit. 

    Or l'Humanité du 14 novembre annonçait pour le lendemain que "les forces anti-austérité ont rendez-vous dans la rue". La rhétorique du PCF, force centrale de ces mobilisations consiste à soutenir que "dans son immense majorité le peuple rejette cette politique imposée sans débat et avec autoritarisme."

    Mais ces porte-parole autoproclamés du peuple, n'ont enregistré, depuis la victoire socialiste de mai 2012, que des défaites électorales. La liste impressionnante des organisations participant à leur manœuvre ne se retrouve pas dans le nombre réel des manifestants. Enfermés dans leur négation, ou leur simple ignorance des réalités économiques ces gens n'ont d'ailleurs voté Hollande qu'au second tour.

    Leur grand argument actuel consiste à dire qu'ils n'ont "pas voté Hollande pour ça". S'ils étaient dotés d'un minimum de bon sens, ils auraient dû réfléchir à leurs propres arguments et suivre le conseil de Molière dans Les Femmes savantes : "Si n'être point cocu vous semble un si grand bien/ Ne vous point marier en est le vrai moyen." 

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1.  Copiée collée de la dépêche AFP du 15 novembre à 17 h 47 mise à jour le 15 à 18 h 24.

    http://www.insolent.fr/

  • Quand des parents doivent se battre pour que leurs enfants puissent aller en cours

    Au lycée Montaigne (Paris VI), des élèves venant du lycée ou de lycées avoisinants, ont bloqué l’accès aux cours afin de manifester contre les violences policières dans le cadre de la mort de Rémi Fraisse. Des parents, exaspérés que leurs enfants ne puissent pas aller en classe en pleine année scolaire, s'en sont pris aux manifestants qui les aspergeaient de neige carbonique. Un père attrape l'extincteur et le lance sur un manifestant (0'14") :


    Un parent délève frappe un lycéen au lycée... par Stphane_Aknin 

    La présidente de la fédération des parents d’élèves de l’enseignement public (PEEP) de Montaigne :

    "«L’établissement fait tout son possible pour maintenir l’ordre. Mais il ne peut rien faire de plus que d’appeler la police, et celle-ci ne veut pas intervenir parce qu’elle a reçu un ordre en ce sens. Elle ne veut pas d’une bavure qui relancerait la machine.» Pourtant, «l’accès à l’école publique est un droit fondamental, il doit être respecté» conclut-elle."

    Donc, pour éviter des bavures, la police laisse volontairement les parents se faire justice eux-même, quitte à les sanctionner par la suite. La justice, la vraie, veut que les lycéens soient en cours et non dans la rue, à empêcher leurs camarades de travailler, et le rôle de la police est de veiller à ce que ceci se fasse comme le prévoit la loi. Etat démissionnaire : tout cela va mal finir.

    Marie Bethanie

  • Témoignage : vol et agression sexuelle en réunion par des migrants à Calais…

    Alice* était « la première à les défendre, à dire que leur vie n’est pas facile ». « Les », ce sont les migrants de Calais.

    « Je les vois encore… Je crois que je suis encore sous le choc, je n’ai pas encore réalisé que j’ai eu de la chance. On se dit toujours que ça n’arrive qu’aux autres… » raconte cette jeune fille de 20 ans, qui a déposé plainte pour vol et agression sexuelle en réunion lundi matin.

    Elle vient de rater le train qu’elle prend pour rejoindre l’Université, décide d’attendre le prochain en allant fumer une cigarette. « Il y avait des migrants en retrait, sur un carré d’herbe. Je ne faisais pas attention à eux. Ensuite, j’ai senti qu’on m’attrapait le bras, ils m’ont collée contre le mur. L’un a fouillé mon sac, il l’a vidé à terre. Un autre m’a attrapée à la gorge pour que je ne bouge pas et m’a touché le haut du corps. »

     

    Avec pudeur, elle décrit des caresses au-dessus de ses vêtements, « des gestes brusques » puis ajoute que le troisième l’aurait touchée « à l’entrejambe. J’étais tétanisée, je ne savais pas quoi faire. Il a déboutonné mon jean et ensuite ils sont partis quand l’autre avait fini de fouiller mon sac. Ils m’ont volé l’argent liquide que j’avais et un paquet de cigarettes. Ils sont sortis du côté de l’hôtel Métropole… »

    Elle appelle immédiatement sa mère, puis sa grand mère, prévient la SNCF mais aucune caméra n’est postée ailleurs que sur les voies… Elle est ensuite partie déposer plainte : « Je sais qu’ils ne sont pas allés très loin… Tout le monde me dit pourquoi tu n’as pas crié ? Mais je ne faisais que pleurer, j’avais tellement peur que ça dégénère. Il n’y avait personne sur les quais, les trains venaient de partir. Je ne sais plus quoi penser… »

    Elle ne sait plus quoi penser, parce qu’elle croyait sans doute, elle aussi, au « vivre-ensemble »…

    Source

    http://www.contre-info.com/temoignage-vol-et-agression-sexuelle-en-reunion-par-des-migrants-a-calais#more-35446

     

     

  • EI : condamnation à mort par piétinement de trois soldats syriens…

     

    C’était le 8 novembre 2014 à Rakka, la capitale de l’« Émirat islamique ». Un « tribunal islamiste », composé d’un Tunisien et d’un Libyen, « jugeait » trois officiers de l’Armée arabe syrienne.

    Les trois hommes avaient été vendus à l’Émirat islamique par une tribu qui avait feint de leur offrir l’hospitalité, lors d’une bataille autour d’un champ gazier.

    Ils étaient accusés de servir un président alaouite, donc hérétique, et d’être de ce fait co-responsables des bombardements de l’Armée de l’air syrienne qui ont tué des combattants de l’Émirat islamique et des membres de leurs familles.

    Les juges les ont condamnés à mort en tant qu’alaouites, alors que deux d’entre eux étaient sunnites. Ils ont décidé de ne pas exécuter la sentence d’une balle dans la tête, ni par égorgement, mais ont demandé à la foule de les piétiner.

    Plusieurs milliers d’habitants de Rakka assistaient à ce « procès islamique ».

    La foule a piétiné les officiers jusqu’à ce que leurs corps ne soient plus que de la pâte. Puis, des combattants de l’Émirat islamique ont traîné leurs cadavres à moto dans la ville.

    Source : Réseau Voltaire

    http://www.contre-info.com/

  • Vers une mutation des émeutes écolos en guerre ethnique ?

    Les blocages des lycées semblent continuer de s’amplifier en ce début de semaine.   

    Après les violentes manifestations de Rennes et de Toulouse par des « étudiants » dénonçant les violences policières, les blocages des lycées semblent continuer de s’amplifier en ce début de semaine.

    Lundi 10 novembre, de violents incidents ont eu lieu en banlieue nord de Paris, dans les villes de Saint-Denis et Saint-Ouen. Des manifestants ont mis le feu aux abords du lycée Suger à Saint-Denis : plusieurs poubelles ont été enflammées devant l’entrée de l’établissement. Le feu a noirci la façade et endommagé les grilles et les fenêtres. Au moins deux véhicules de pompiers se sont rendus sur place pour maîtriser l’incendie.

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  • Les entreprises françaises victimes d’une vague d’escroqueries venue d’Israël

    Il y a un mois et demi, nous vous présentions le dernier livre d’Hervé Ryssen, Les milliards d’Israël escrocs juifs et financiers internationaux.C’est peu dire que la lecture de ce livre s’impose, tant les affaires se multiplient aujourd’hui, au point que le très officiel quotidien Le Monde, journal baptisé de référence est obligé d’en faire un article au titre sans ambiguïté : Les entreprises françaises victimes d’une vague d’escroqueries venue d’Israël.

    Il est vrai que ces derniers temps, les affaires se multiplient : la plus médiatisée fut la faillite de la société LSK (Leyne Strauss-Kahn) avec le suicide de son dirigeant à Tel Aviv, Thierry Leyne le 23 octobre dernier, faillite qui fera perdre l’épargne de ceux qui avaient eu confiance en cette société. Il est à noter que DSK lui-même aurait perdu plusieurs millions d’euros bien qu’il eût un rôle dirigeant dans la société et fût le gage du sérieux de la société, lui, l’ancien directeur du FMI. (Il démissionna quelques jours avant le suicide de Thierry Leyrne et il est à noter que sa fille, Vanessa Strauss-Kahn, eut également un rôle éminent au sein de LSK). Ceci ne surprendra guère les lecteurs d’Hervé Ryssen qui savent que si le goy est le pigeon préféré de ces escroqueries (d’ailleurs combien sont-ils dans ce cas ?), certains membres de la communauté ne se privent pas de larcins entre eux.

    Mais cette faillite ne doit pas nous faire oublier les autres, telle l’escroquerie frauduleuse dont a été victime, par exemple, la société de pneumatiques Michelin, escroquerie d’un montant de 1,6 million d’euros. Cette fois-ci, l’escroc s’est fait passé pour un fournisseur et a fait croire qu’il avait changé de compte. Le comptable a effectué les paiements sur le nouveau compte pensant payer son fournisseur alors qu’il envoyait l’argent sur le compte d’un aigrefin…

    Ceci ne sont que des exemples des innombrables filouteries que toute personne censée devrait connaître pour essayer de s’en prémunir. Et pour ce faire, la lecture du livre d’Hervé Ryssen est conseillée.

    http://www.contre-info.com/

  • Immigration et délinquance

    Le rapport entre immigration et insécurité est un sujet des plus explosifs. Alors qu’il apparaît comme évident à de nombreux Français, qui constatent l’origine ethnique de bandes dealant dans les halls d’immeubles ou celle des personnes recherchées par la police1, ce lien est nié par un certain nombre de personnalités politiques, de médias nationaux et d’associations subventionnées.

    Pour celles-ci, la surreprésentation des personnes d’origine immigrée dans les prisons ne serait due qu’à la pauvreté : les pauvres sont plus délinquants que la population générale ; les immigrés sont plus pauvres que la population générale ; il est donc logique que les immigrés soient plus délinquants que la population générale.

    Cette question de la pauvreté, et de son lien supposé avec la délinquance, a pendant longtemps parasité l’étude du lien entre immigration et délinquance. Aujourd’hui encore, c’est un argument massue que l’on oppose à ceux qui font un lien entre les deux – quand on n’explique pas que cette sur-délinquance est causée par le soi-disant racisme institutionnel de l’appareil d’État.

    Or, deux universitaires réputés ont, depuis plusieurs années déjà, abordés la question de façon sérieuse.

     

    Le premier est le sociologue Sébastian Roché. Docteur en sciences-politiques, directeur de recherche au CNRS, ses travaux sur le sentiment d’insécurité et les incivilités ont révolutionné la criminologie française. Il a abordé le lien entre immigration et délinquance dans deux ouvrages.

    Dans Sociologie politique de l’insécurité, publié en 1998, Sébastian Roché a notamment cherché à expliquer les différences de criminalité entre les différents départements français, en prenant en compte de multiples variables. Et il a identifié « trois types de variables qui sont systématiquement (mais pas toujours dans le même sens) associées avec le taux de délits dans les départements : le taux de chômage (global, ou des jeunes), le taux d’étrangers et le taux d’urbanisation » (p. 61-62).

    En clair, d’après Sébastian Roché, la proportion d’étrangers dans un département est un facteur plus important pour expliquer son taux de délinquance que sa richesse ou la part des jeunes dans sa population. Le moins que l’on puisse dire est que c’est intéressant.

    Mais ce n’est pas terminé. A la fin des années 1990, Sébastian Roché a mené une enquête importante consistant à interroger une cohorte très large de jeunes âgés de 13 à 19 ans, leur demandant de raconter leurs délits, ceci afin de mieux connaître La Délinquance des jeunes, titre de l’ouvrage publié en 2001 présentant cette enquête. Au chapitre 9, Sébastian Roché s’est posé la question de la part des jeunes d’origine étrangère dans la délinquance. Et les résultats parlent d’eux-mêmes.

    Sébastian Roché a tout d’abord isolé les jeunes d’origine française (dont les deux parents sont nés en France) et les jeunes d’origine maghrébine (dont les deux parents sont nés au Maghreb). Les autres catégories, d’un nombre trop faible pour constituer un échantillon suffisant, ont été écartées.

    Et que constate-t-on ? Que parmi les enfants de cadres et professions intermédiaires, les Maghrébins sont 43% à avoir réalisé au moins trois délits simples2 au cours des deux dernières années, contre 30% des Français ; que les jeunes d’origine maghrébine sont 21,5% à avoir réalisé dix délits simples ou plus, quand les jeunes d’origine française ne sont que 12% dans ce cas. Quant aux actes graves3, 21% des maghrébins en ont commis au moins un, contre 9% des français.

    Cette différence se retrouve également parmi les enfants d’ouvriers et d’employés. Dans ces familles, 43% des maghrébins ont réalisé au moins trois petits délits, contre 30% des français ; 24% des maghrébins en ont réalisé dix ou plus, quand les français ne sont que 15,5%. 18% des adolescents d’origine maghrébine ont commis au moins un acte grave, contre 11,5% des adolescents d’origine française. 10,5% des jeunes Maghrébins ont commis au moins trois actes graves, contre 5% des Français.

    En résumé, une fois pris en compte l’origine sociale des adolescents, l’on constate que les jeunes d’origine maghrébine sont, quel que soit le type de délit, plus délinquants que les jeunes d’origine française.

    Et ces chiffres ne peuvent être causés par un éventuel racisme policier, qui pousserait les forces de l’ordre à se concentrer sur les Maghrébins au détriment des délinquants français, dans la mesure où ce sont les jeunes eux-mêmes qui parlent des délits qu’ils ont commis (Sébastian Roché montre même que les délits commis par des jeunes d’origine maghrébine sont très légèrement moins surpris par la police que ceux commis par des jeunes d’origine française, mais la différence est trop faible pour être significative).

    Ce tableau ne serait pas complet sans parler des travaux, ayant fait la polémique, d’Hugues Lagrange. Sociologue, directeur de recherche au CNRS, c’est un homme de gauche, proche des Verts, défenseur de l’émancipation des femmes. En 2010, il a publié Le Déni des cultures, livre complexe et passionnant, traitant de l’influence des cultures d’origine dans la vie des immigrants de plusieurs quartiers.

    Au détour d’un chapitre, sans vraiment s’attarder sur la question, Hugues Lagrange présente le pourcentage d’auteurs de délits selon l’origine culturelle de la famille (française sans ascendance migratoire, européenne, maghrébine, Afrique noire hors Sahel, Afrique sahélienne, Turquie), tout en tenant compte de l’origine sociale de la famille (p.146).

    Que constate-t-on ? Déjà qu’Hugues Lagrange n’est vraiment pas à l’aise avec ces chiffres car, s’il les présente, c’est sous la forme d’un tableau assez illisible. Ensuite, que quelle que soit la catégorie sociale, la proportion d’auteurs de délits est beaucoup plus importante chez les jeunes d’origine sahélienne que chez les autres.

    Étudions cela plus en détail :

    Pour les familles d’ouvriers, employés ou artisans, les Français et Européens sont à peu près 6% à avoir commis un délit ; les Maghrébins 12% ; les Africains hors-Sahel et les Turcs plus ou moins 10% ; les Sahéliens 18%.

    Pour les familles de cadres ou intermédiaires, les jeunes français et européens ne sont pas plus de 2% à avoir commis un délit ; les Maghrébins 5% ; les Africains hors-Sahel 4% ; les Sahéliens 13% ; les Turcs 12%.

    Pour les familles de chômeurs, inactifs et retraités, les Français sont 13% à avoir commis un délit ; les Européens et les Turcs à peu près 10% ; les Maghrébins 20% ; les Africains hors-Sahel 14% ; les Sahéliens 28%.

    Ces résultats confirment les travaux de Sébastian Roché, en démontrant une nouvelle fois que les populations immigrées sont proportionnellement plus délinquantes. Ils démontrent également que la sur-délinquance des jeunes d’origine immigrée n’est pas causée par un éventuel racisme institutionnel de la part de l’État Français : si c’était le cas, comment expliquer des différences aussi importantes entre Sahéliens et Africains hors-Sahel ?

    Il ne s’agit pas ici de prétendre que les immigrés et leurs descendants sont tous, ni même majoritairement, des délinquants, cela serait bien évidemment faux. Mais tout simplement de montrer que, d’après des chercheurs en sciences sociales réputés, que les populations d’origine immigrée sont statistiquement plus délinquantes que les populations d’origine européenne. Quant à ceux qui prétendent le contraire, ce sont au mieux des ignorants, au pire des menteurs.

    Bibliographie

    • LAGRANGE Hugues (2010), Le déni des cultures, Paris, Seuil.
    • ROCHE Sébastian (1998), Sociologie politique de l’insécurité, Paris, Presses Universitaires de France, 1ère édition « Quadrige », 2004.
    • ROCHE Sébastian (2001), La délinquance des jeunes : les 13-19 ans racontent leurs délits, Paris, Seuil.

    Notes

    1. http://www.avisderecherches.interieur.gouv.fr/personnes1.asp?T=R
    2. Les délits simples comprennent les dégradations simples, les vols sans violence et les bagarres sans blessure.
    3. Les actes graves comprennent le racket, les vols avec violence, les vols de voiture, les cambriolages, les caillassage, les coups et blessures.

    http://fr.novopress.info/178215/immigration-delinquance/