En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
29. Combattez ceux qui ne croient ni en Dieu ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce que Dieu et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humilies. 30. Les Juifs disent : « Uzayr est fils de Dieu » et les Chrétiens disent : « Le Christ est fils de Dieu ». Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu'Dieu les anéantisse ! Comment s'écartent-ils (de la vérité) ? 31. Ils ont pris leurs rabbins et leurs moines, ainsi que le Christ fils de Marie, comme Seigneurs en dehors de Dieu, alors qu'on ne leur a commandé que d'adorer un Dieu unique. Pas de divinité à part Lui ! Gloire à Lui ! Il est au-dessus de ce qu'ils [Lui] associent. 32. Ils veulent éteindre avec leurs bouches la lumière de Dieu, alors que Dieu ne veut que parachever Sa lumière, quelque répulsion qu'en aient les mécréants. 33. C'est Lui qui a envoyé Son messager avec la bonne direction et la religion de la vérité, afin qu'elle triomphe sur toute autre religion, quelque répulsion qu'en aient les associateurs.
Il faut se demander si nous ne sommes pas, une fois de plus, en train de céder à l’ivresse des mots et à l’euphorie d’une cohésion nationale miraculeusement retrouvée.
Ils mangèrent du raisin vert et leurs enfants ont eu les dents agacées 1…
Comme le disait volontiers Edouard Balladur, « Il ne faut pas bouder son plaisir ». Ne boudons donc pas notre plaisir de voir la France, pour une fois, rassemblée. Mais il faut se demander si nous ne sommes pas, une fois de plus, en train de céder à l’ivresse des mots et à l’euphorie d’une cohésion nationale miraculeusement retrouvée. Or, c’est précisément là que le bât blesse. Car la France reste coupée en deux.
En fait, si nous n’y prenons pas garde, nous sommes aujourd’hui, et encore plus demain, confrontés à une situation de guerre civile latente ou potentielle à caractère religieux.
Depuis plusieurs semaines, l'affaire empoisonnait les relations entre le sommet de l'exécutif et les deux principaux services de renseignements français, la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure) et la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure). Bien avant les attentats contre Charlie Hebdo et le supermarché casher de la porte de Vincennes, les chefs de ces deux services - Patrick Calvar (DGSI) et Bernard Bajolet (DGSE) - avaient fait connaître leur mécontentement.
En cause, selon des sources concordantes : les interdictions de procéder à des interceptions de communications à l'intérieur et à l'extérieur du territoire français, édictées par une proche collaboratrice du Premier ministre Manuel Valls, chargée de les autoriser ou de les interdire, après avis consultatif de la CNCIS (Commission nationale consultative des interceptions de sécurité). Selon les cas qui nous ont été rapportés, ces interdictions préalables ont frappé des écoutes sur au moins une ambassade étrangère en France et sur des "cibles" de nationalité française se trouvant en territoire étranger.
403 ou BMW ?
Dimanche 11 janvier, l'ancien directeur de la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur), avant d'être transformée en DGSI, le préfet Bernard Squarcini, a lâché le morceau lors de son passage dans l'émission Le Grand Rendez-vous Europe 1-i>Télé-Le Monde. Selon ses propos, confirmés au Pointpar d'autres sources, les services avaient bien écouté l'un des frères Kouachi,"mais ça ne donnait rien, et ensuite intervient le gros dispositif juridique qui existe en France : le président de la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS) vous dit de vous arrêter parce que l'objectif que vous avez demandé dans cette écoute n'apparaît pas ou n'est pas actif".
Aux yeux de Squarcini, il s'agit bel et bien d'"une faille du dispositif dans son ensemble". "Le service de renseignements ne peut travailler qu'avec la boîte à outils qu'on lui fournit. Si vous devez réparer une 403, ça va, si vous devez réparer une BMW, il faut peut-être changer de boîte à outils."
"Ils sont stricts, limite obtus"
En clair, les services auraient demandé à ce que les écoutes qui leur avaient été accordées sur la "cible" Kouachi soient étendues à son entourage. Cette mesure aurait été refusée. Une source connaissant cette affaire explique : "Ils sont extrêmement stricts, limite obtus. Ils autorisent la cible stricto sensu en appliquant les textes à la lettre : pour eux, c'est l'individu qui peut être écouté, pas le clan. Alors qu'on est en guerre !" Pourtant, les exégètes avaient remarqué que, dans ses rapports d'activité, la CNCIS avait fait évoluer ses textes.
En évoquant ces dernières années des "cibles" et non plus des "lignes" téléphoniques, elle indiquait implicitement que, justement, une écoute pouvait concerner tous les téléphones d'une personne, ses ordinateurs, le tout pouvant être étendu à son entourage. Sauf que ça, c'était avant que le précédent président de la CNCIS Hervé Pelletier, désigné par Nicolas Sarkozy et "démissionnaire", ne soit remplacé en juin 2014 par Jean-Marie Delarue. Le décret signé du président de la République François Hollande nomme Jean-Marie Delarue pour six ans, jusqu'en juin 2020.
"Des gars madrés"
Fils d'Émile Pelletier, ancien ministre de l'Intérieur du général de Gaulle, Hervé Pelletier fut président de la chambre criminelle de la Cour de cassation. À la CNCIS, il fut un interlocuteur comme les apprécient les services de renseignements, n'aimant rien tant que les "gars madrés, qui connaissent la vie". Jean-Marie Delarue, conseiller d'État honoraire et ancien contrôleur général des lieux de privation de liberté, est quant à lui un "vrai juriste, engagé dans un rapport de force avec le gouvernement".
Cet expert connaissant l'affaire estime que Jean-Marie Delarue "veut poser la question de la place de la CNCIS et transformer cette autorité administrative qui fournit des avis consultatifs au gouvernement en véritable organisme de contrôle des interceptions techniques". Combat de titans pour le contrôle des services...
Guerre souterraine
Dans la technostructure du renseignement français, on évoque une guerre souterraine, très secrète et qui aurait dû le rester, qui opposerait actuellement deux tendances lourdes : d'une part, celle des services qui souhaitent qu'au nom du "pragmatisme" on leur lâche un peu la bride en ces temps troublés ; d'autre part, celle de juristes représentés par le président de la commission des Lois de l'Assemblée et président de la délégation parlementaire au renseignement, le député socialiste Jean-Jacques Urvoas, membre de la CNCIS, en phase avec Jean-Marie Delarue.
Les récriminations des premiers sont fortes à l'égard des seconds. À tel point que les services estiment qu'ils font l'objet de la part de la CNCIS de mesures de pure "rétorsion". Alors que la pratique du contrôle des écoutes consistait auparavant en un contrôle de conformité a posteriori, elle est passée progressivement à un contrôle a priori. Concrètement, la CNCIS remet son avis avant que l'interception ne soit mise en place. Et, à tout le moins jusqu'à l'attentat contre Charlie Hebdo, ses avis positifs ou négatifs ont toujours été suivis à la lettre par Matignon. Qui n'y a pourtant jamais été tenu...
Des écoutes jamais commencées
Ce point est d'ailleurs rappelé dans un communiqué très inhabituel diffusé le 12 janvier, lendemain de l'intervention de Bernard Squarcini, par la CNCIS. Signé par les trois membres de la commission, à savoir le sénateur UMP François-Noël Buffet, le député PS Jean-Jacques Urvoas et le président Delarue, ce texte, ciselé au millimètre, dément les accusations de Squarcini, mais de façon curieuse. Il souligne que les accusations porteraient sur le fait que des écoutes sur les auteurs des attentats "avaient cessé", alors même que les services jurent qu'elles n'ont jamais pu avoir lieu. "À aucun moment, la CNCIS n'a manifesté d'opposition dans ces affaires sur des demandes présentées", affirme-t-elle dans le communiqué.
Des sources bien informées ne citent d'ailleurs pas seulement des affaires de terrorisme, mais aussi d'autres, également récentes et tout aussi étonnantes. La CNCIS s'est repliée aux abris en précisant dans son texte qu'elle n'évoquera ces affaires qu'avec "des autorités publiques, quelles qu'elles soient, dès lors qu'elles sont habilitées au secret de la défense nationale". Ce qui exclut la presse ! Circulez, y a rien à voir !
Le raid mené jeudi soir par la police belge, et qui s’est soldé par la mort de deux jihadistes présumés, a remis en lumière la menace que représentent pour la Belgique les djihadistes de retour de Syrie.
La vaste opération antiterroriste menée hier en Belgique a permis d'arrêter 13 personnes, dans le cadre du démantèlement d'un groupe qui s'apprêtait à commettre des attentats pour tuer des policiers. Deux autres personnes visées par l'enquête auraient été appréhendées en France. L'opération menée hier à Verviers a permis la saisie d'armes et d'explosifs ainsi que la découverte d'uniformes de la police.
En France, le Quai des Orfèvres et la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) ont placé en garde à vueune douzaine de personnes soupçonnées d'être en lien avec Amedy Coulibaly et les frères Kouachi. Les suspects, pour la plupart bien connus des services de police, animaient un «réseau de soutien logistique très actif», susceptibles d'avoir notamment fourni des armes, des planques et des véhicules aux terroristes. Il s'agirait de huit hommes et de quatre femmes. Plusieurs perquisitions sont menées depuis vendredi matin, à Grigny et à Fleury-Mérogis (Essonne), à Montrouge (Hauts-de-Seine) ainsi qu'à Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). Les gardés à vue peuvent être entendus pendant une durée de 96 heures.
Belgique – Deux ou trois personnes ont été tuées à Verviers (Liège) dans une opération de la police contre le terrorisme djihadiste. L’action fait partie d’une opération anti-terroriste majeure contre des djihadistes revenus de Syrie.
Une dizaine de raids policiers seraient en cours depuis le début de la soirée. Le procureur fédéral affirme que les suspects abattus à Verviers préparaient une importante attaque en Belgique.
« Lors d’une perquisition de Verviers, des suspects ont immédiatement ouvert le feu avec des armes automatiques et des armes de guerre avant qu’ils ne puissent être neutralisés», a déclaré le procureur. « Ils s’apprêtaient à commettre une attaque terroriste majeure en Belgique. »
Dans une vidéo, Aymeric Chauprade, député français FN/RBM au Parlement européen, explique que suite aux attentats qui ont touché notre pays la semaine dernière la France est en guerre. Voici la vidéo et le texte coup de poing de l’intervention d’Aymeric Chauprade
Les phénomènes ont des causes. Ce qui frappe la France aujourd’hui porte un nom et est le résultat de causes identifiables.
Ce premier volet est consacré à la définition du Mal qui nous frappe et à ses causes. Le second volet sera consacré aux solutions…
La France est en guerre avec des musulmans, elle n’est pas en guerre avec les musulmans, mais avec des musulmans.
L’islam est un monde complexe. Il nous faudrait des heures pour y expliquer les variantes, chiites, sunnites et à l’intérieur des sunnites, les différentes écoles juridiques, et le soufisme aussi. Mais nous sommes en politique et en politique, il nous faut des raisonnements opératoires, des raisonnements qui peuvent déboucher sur des solutions efficaces.
Nous sommes en guerre contre cet islam là. C’est bien cet islam qui nous fait la guerre, que nous le voulions ou non. Le philosophe Julien Freud écrivait en 1965 : « Vous pensez que c’est vous qui désignez l’ennemi, or c’est l’ennemi qui vous désigne ». Notre classe politique offre en ce moment le spectacle pathétique du débat « sommes-nous en guerre ou pas ? ». Mais ce n’est pas nous qui décidons de cela, ce sont ceux qui nous attaquent ! Evidemment que nous sommes en guerre puisqu’ils l’ont décidé !
De manière simple, je diviserais l’islam en deux. Ce que j’appelle l’islam acclimaté par les nations, par les cultures nationales, par les Etats, et qui fait que les islams marocain, indonésien, saoudien ne sont pas les mêmes.
Et l’islam global, l’islam qui est resté fidèle à ses fondements djihadiques, à ses fondements historiques, et qui dit fondements dit fondamentalisme, l’islam qui refuse de s’inscrire dans les nations, qui ne reconnaît pas ou peu de légitimité aux chefs d’Etat, qu’ils soient musulmans ou non, l’islam qui veut restaurer le califat et établir la loi islamique sur la terre entière.
Nous sommes en guerre contre cet islam-là. C’est bien cet islam qui nous fait la guerre, que nous le voulions ou non. Le philosophe Julien Freud écrivait en 1965 : « Vous pensez que c’est vous qui désignez l’ennemi, or c’est l’ennemi qui vous désigne ». Notre classe politique offre en ce moment le spectacle pathétique du débat « sommes-nous en guerre ou pas ? ». Mais ce n’est pas nous qui décidons de cela, ce sont ceux qui nous attaquent ! Evidemment que nous sommes en guerre puisqu’ils l’ont décidé !
Revenons à ce conflit entre ces deux camps de l’islam. L’islam acclimaté par les nations et l’islam qui ne l’est pas, qui est l’islam radical en guerre partout contre les autres civilisations, contre les Etats-Unis, l’Europe, la Russie, la Chine, l’Inde, Israël, et les régimes musulmans modérés aussi. Ces deux camps ne sont pas figés. Le nombre de leurs combattants respectifs change à travers l’histoire.
Les services de renseignement occidentaux estiment la proportion d’adeptes de l’islam radicalisé de 15 à 25 % des musulmans du monde, y compris parmi les musulmans vivant sur le sol européen. Minorité nous dit-on, certes ! Mais 15 à 25 % de 1,5 milliards de musulmans cela veut dire entre 225 et 375 millions de musulmans dans le monde, ce qui, en moins ou en plus, représente le poids démographique des Etats-Unis d’Amérique ! Ce qui, en France avec 6 millions de musulmans, peut-être beaucoup plus d’ailleurs, ce qui représente entre 900.000 et 1 ,5 million de musulmans convaincus que l’Oumma est supérieure à leur appartenance à la nation française, convaincus que la Charia, la Loi islamique, a vocation à se substituer à la Loi française, convaincus que le Coran deviendra un jour leur Constitution à la place de notre Constitution.
L’argument du fait minoritaire ne tient pas. L’idéologie ressassée du « pas d’amalgame » est non seulement fausse mais dangereuse. Car la situation est très grave. Car l’islam fait planer sur la France une menace très grave sur son avenir. Déjà de nombreux Français sont en train de partir, et pas seulement des Juifs, parce qu’ils pensent que c’est fichu, que la démographie est contre nous, qu’ils vont gagner. Ces Français ne fuient pas que le socialisme, le fiscalisme, l’étatisme, ils fuient l’invasion lente et cela personne ne le dit.
Le vivier du terrorisme islamique, c’est-à-dire du passage à l’acte djihadique, est énorme, il est de l’ordre du million, ce qui ne veut pas dire que nous ayons 1 million de terroristes potentiels sur notre sol, mais ce qui veut dire qu’une 5ème colonne puissante vit chez nous et peut, à tout moment, se retourner contre nous en cas de confrontation plus générale. Souvenons-nous des refus de servir en Afghanistan de la part de militaires français musulmans. Aujourd’hui on parle des refus, dans les écoles, de la minute de silence, pour les victimes des attentats récents. C’est la même logique : pour ces gens la loi de l’islam est supérieure aux lois françaises, l’allégeance à l’islam est supérieure à l’allégeance à la France. C’est la définition même d’une 5ème colonne.
Les services de renseignement occidentaux estiment la proportion d’adeptes de l’islam radicalisé de 15 à 25 % des musulmans du monde, y compris parmi les musulmans vivant sur le sol européen. Minorité nous dit-on, certes ! Mais 15 à 25 % de 1,5 milliards de musulmans cela veut dire entre 225 et 375 millions de musulmans dans le monde, ce qui, en moins ou en plus, représente le poids démographique des Etats-Unis d’Amérique ! Ce qui, en France avec 6 millions de musulmans, peut-être beaucoup plus d’ailleurs, ce qui représente entre 900.000 et 1 ,5 million de musulmans convaincus que l’Oummaest supérieure à leur appartenance à la nation française, convaincus que la Charia, la Loi islamique, a vocation à se substituer à la Loi française, convaincus que le Coran deviendra un jour leur Constitution à la place de notre Constitution.
Il est probable, et même certain, qu’une majorité de musulmans en France condamnent les attaques qui ont visé les Juifs et les policiers, parce que beaucoup de musulmans considèrent qu’elles sont injustes. Mais tel n’est pas le cas de l’attaque de Charlie Hebdo. Les ambassades et les services occidentaux ont rapporté de nombreuses scènes de liesse dans l’ensemble du monde musulman, à l’annonce que les caricaturistes du Prophète Mahomet avaient été assassinés. Le sentiment majoritaire chez les musulmans, c’est : « Ils l’avaient cherché en insultant notre Prophète » et faut-il rappeler qu’en effet, dans l’islam, le blasphème est puni de mort ce qui est d’ailleurs appliqué dans de nombreux pays musulmans aujourd’hui, comme au Pakistan. C’est aussi ce qui explique que le Maroc se soit abstenu de participer à la manifestation de dimanche, parce que des caricatures du Prophète s’y trouvaient et que, pour un Roi commandeur des Croyants, il n’était pas possible de prendre ce risque politique face à la pression islamiste dans son pays. Et soyez certains que si les médias français se sont décidés à parler de ce qui s’est passé dans les écoles où les enfants issus de l’immigration extra-européenne sont nombreux, c’est que le phénomène est massif. Alors pourquoi en sommes nous là ? Il faut bien faire le diagnostic juste si nous voulons soigner la maladie. Le contraire de ce que font en ce moment nos médias et les politiciens de l’UMPS !
Au niveau mondial nous en sommes là parce que la globalisation à dominante occidentale, en s’attaquant aux nations, à leur identité, à leur souveraineté, a affaibli l’islam acclimaté aux nations au profit du fondamentalisme islamique, par définition transnational et globalisé.
Les politiques américaines et européennes ont détruit ou affaiblis tous les régimes arabes qui tentaient de s’imposer au détriment de la Charia et ont donc libéré ainsi les forces islamistes. Les gouvernements mondialistes UMPS qui se sont succédés en cautionnant les guerres en Irak, en Libye, en affaiblissant le régime syrien, en isolant l’Iran, portent une lourde responsabilité. Le mondialisme a fait le lit de l’islam radical, il a fait le lit du fondamentalisme quand il ne le soutenait pas directement par le biais de ses services spéciaux, et ceci parce qu’il est, comme lui, une idéologie globale qui veut tuer les nations. Au niveau national, la situation est la combinaison d’un phénomène quantitatif, l’immigration extra-européenne massive depuis 40 ans, avec un phénomène qualitatif, le réveil de la conscience islamique de nombreux musulmans en France. Nombreux en effet sont ces musulmans qui sont passés dans le camp de l’islam global ce qui rend totalement impossible leur assimilation.
Les partis politiques et leurs soutiens médiatiques qui ont organisé la manifestation parisienne de dimanche sont en fait les premiers responsables de la situation actuelle . Il faut le dire, ils ont organisé l’invasion de la terre de nos ancêtres par une culture étrangère contre laquelle l’Europe, durant des siècles, avait lutté avec lucidité et efficacité. Ils n’ont aucune excuse, car des siècles d’histoire attestaient de ce qui allait se passer. Les Allemands ne pouvaient pas forcément entrevoir ce que le national-socialisme allemand allait produire comme crime inouï, car c’était une idéologie nouvelle. L’islam radical lui n’est pas une idéologie nouvelle. Il est en guerre contre les autres civilisations depuis le VIIe siècle et cela n’a jamais cessé.
Les politiques américaines et européennes ont détruit ou affaiblis tous les régimes arabes qui tentaient de s’imposer au détriment de la Charia et ont donc libéré ainsi les forces islamistes. Les gouvernements mondialistes UMPS qui se sont succédés en cautionnant les guerres en Irak, en Libye, en affaiblissant le régime syrien, en isolant l’Iran, portent une lourde responsabilité. Le mondialisme a fait le lit de l’islam radical, il a fait le lit du fondamentalisme quand il ne le soutenait pas directement par le biais de ses services spéciaux, et ceci parce qu’il est, comme lui, une idéologie globale qui veut tuer les nations.
Alors, on nous dit qu’il faut être optimiste, que cet islam de France traverse une crise à laquelle les éducateurs et les sociologues vont remédier. A cela je réponds premièrement que je ne ferai jamais confiance, pour remédier au Mal, à ceux qui ont inoculé le Mal et encouragé son développement durant 40 ans. Deuxièmement que la France compte trop à mes yeux pour que je puisse accepter de prendre un risque aussi considérable que la réformation de l’islam, que son acclimatation finale aux valeurs et aux institutions françaises. Il y a peu de chance que cela arrive tout simplement parce que le Coran est, aux yeux même des musulmans, le Verbe incréé de Dieu, qu’on ne peut donc y changer une virgule. Les racines de la violence et du totalitarisme se trouvent dans l’islam même, dans ses textes sacrés, Coran et hadith surtout, comme le disent d’ailleurs de nombreux philosophes musulmans modérés, je pense à Abdennour Bidar qui dans une Lettre ouverte au monde musulman, en octobre 2014, invitait les musulmans à ouvrir les yeux, à comprendre que si le monstre n’est pas l’islam, il est néanmoins dans l’islam et plus précisément dans ses textes sacrés.
Nous devons, de manière ferme et claire, engager la lutte pour la dé-islamisation de notre pays. Sinon notre fière civilisation française mourra, démocratiquement, comme nous le conte le roman tragique de Houellebecq, lorsqu’une sorte d’Henri IV musulman aux apparences paisibles finira par convaincre une majorité de Français qu’il est la solution de compromis idéale pour sortir du conflit entre l’islam radical et le réveil identitaire.
Alors est-ce qu’une vieille nation chrétienne qui a 1.500 ans, la nation des cathédrales, du Mont-Saint-Michel, des Lumières aussi qui font partie de notre histoire récente, est-ce que cette nation qui a tant compté dans l’histoire mondiale et qui compte encore, devrait livrer son avenir au pari que l’islam va se réformer et que le mauvais génie qu’il a produit va finir par rentrer dans sa bouteille ?
On nous dit qu’une majorité de musulmans est pacifique. Certes mais une majorité d’Allemands l’était avant 1933 et le national-socialisme allemand. Une majorité de Russes, de Chinois, de Khmers étaient pacifiques avant qu’ils ne réalisent d’abominables crimes au nom du communisme. Quand le totalitarisme s’empare d’une minorité conséquente et active, l’argument de la majorité pacifique ne tient plus.
Je refuse de faire ce pari là sur le dos de nos enfants et c’est tout le sens de mon engagement au Front national parce que je vois dans le Front national le seul recours possible pour stopper l’islamisation de la France.
Nous devons, de manière ferme et claire, engager la lutte pour la dé-islamisation de notre pays. Sinon notre fière civilisation française mourra, démocratiquement, comme nous le conte le roman tragique de Houellebecq, lorsqu’une sorte d’Henri IV musulman aux apparences paisibles finira par convaincre une majorité de Français qu’il est la solution de compromis idéale pour sortir du conflit entre l’islam radical et le réveil identitaire.
Le père Samir Khalil Samir, jésuite né en Egypte, qui a vécu au Liban, professeur à l'Université Saint Joseph de Beyrouth et à l'Institut Pontifical Oriental de Rome, réputé être un des plus grands islamologues vivants, déclare (traduction par Benoît-et-moi) :
«Les imams affirment qu'il ne faut pas confondre les terroristes avec l'islam, qui est au contraire une religion prêchant la paix et la non violence. C'est trop facile ainsi, c'est trop peu». «On ne peut pas s'excuser de cette façon là, et tant qu'on entendra de la part des savants musulmans toujours le même refrain, rien ne changera». «Les imams devraient, pour commencer prendre leurs distances de ceux qui entrent les armes à la main dans une rédaction de journal, affirmant que ceux-là sont des terroristes qui entendent reconquérir le monde à l'islam. En revanche ils ne le font pas, ils ne prennent pas acte du fait qu'au moins 80 pour cent des actions terroristes sur la planète sont commises au nom du Prophète».
Le problème fondamentale est que
«dans le Coran, la violence existe, à la différence de l'Evangile. Lorsque le musulmans envahissent la Terre Sainte ils passent les infidèles au fil de l'épée».
C'est là que doit commencer le travail des imams, appelés à
«expliquer qu'une chose est le texte écrit que personne ne veut toucher, une autre est l'interprétation de ces phrases. Si nous prenons l'Ancien Testament, il contient des passages d'une violence inouïe». «En 2000 ans l'Eglise a su enseigner l'interprétation des Ecritures, sans cela nous serions encore à prendre à la lettre les versets sur le Dieu des armées et les enfants jetés sur les rochers. Toutes les civilisations on connu ce stade, et l'ont dépassé. L'islam non».
«Ce qu'il faudrait de la part des communautés islamiques c'est une saine autocritique, mais ils ne le font pas, ils se taisent si un acte contre les autres est commis au nom de l'islam. Il est inutile alors d'affirmer qu'ils se sentent opprimés et inférieurs. C'est vrai en partie, mais que font-ils afin de changer cette condition ? Rien. Ce n'est pas l'occident qui les a mis dans cette situation, ils s'y sont mis eux-mêmes, ruinant également la réputation des musulmans qui ne désirent que de vivre en paix avec tous».
«On ne peut pas accepter que ceux qui viennent en occident veuillent imposer leur propre système de règles. L'intégration suppose l'acceptation de la culture des populations d'accueil, l'adoption des habitudes de ce peuple, même si elles sont différentes des siennes. Ce n'est qu'ainsi que ces gens seront prêts à accueillir et à aider. La confrontation ne sert à rien, le vrai dialogue suppose la disponibilité tant à l'écoute qu'à l'adéquation à l'autre».
«Trop nombreux sont ceux qui ont commis des actes de terrorismes au nom du dieu islamique et l'image que l'islam donne de lui-même est très négative. Il se présente comme une religion belliqueuse, agressive, arriérée. La seule solution est qu'ils admettent que quelque chose est faux dans leur façon d'agir. Mais c'est à eux de le faire».
«La bombe dans le turban de Mahomet? Quel mal y a-t-il?» «A l'époque, mes interlocuteurs musulmans disaient que c'était inacceptable. Et pourtant ils représentent Allah avec l'épée.Hezbollah l'écrit même comme s'il s'agissait d'une kalashnikov,et ceux qui ne savent pas lire l'arabe croient que ce nom désigne précisément l'arme».
Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
Leave a comment at 2:58