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insécurité - Page 895

  • Le réseau israélien du trafic international d’organes

    Le New York Times vient de révéler quelques nouveaux éléments concernant les liens entre le trafic international d’organes et quelques sociétés sans scrupules basées en Israël.
     
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    L’enquête du New York Times commence avec l’exposé du cas d’Ophira Dorin, une Israélienne en quête d’une greffe de rein. La liste d’attente est longue et elle n’a trouvé aucun donneur compatible parmi sa famille ou ses amis. A 36 ans, cette femme aisée refuse de continuer d’accepter cette attente. Elle se met donc à rechercher un courtier en organes. C’est la mère d’Ophira Dorin qui va parvenir à identifier quelques personnages centraux de ce commerce d’un genre particulier : Avigad Sandler, ancien agent d’assurance soupçonné de trafic depuis 2008 et ancien officier de l’armée israélienne, Boris Volfman, jeune émigré ukrainien proche de Sandler et qui a monté sa propre société Leshem Shamaim(“Au nom du Ciel”), et Yaacov Dayan, un homme d’affaires connu dans le monde de l’immobilier. Ces trois hommes s’enrichissent depuis des années en organisant ce marché souterrain à partir d’Israël. Les sommes en jeu sont colossales. Et ce trio est habile pour esquiver les condamnations. Les donneurs sont recrutés dans des pays où règne la pauvreté. Il s’agit de gens à ce point démunis qu’ils acceptent de vendre leurs organes pour des montants ridicules au regard du prix final facturé aux receveurs. Bien sûr, les donneurs ne sont pas informés des risques médicaux qu’ils encourent et les opérations se font dans de mauvaises conditions.
     
    Ophira Dorin a acheté un rein pour un montant à cinq chiffres en dollars. Ce rein vient d’un quartier paumé du Costa Rica. La greffe a été réalisée d’un hôpital luxueux de Tel Aviv. Rencontre inattendue entre deux mondes que tout sépare. Pour d’autres clients, les organes reçus viennent du Sri Lanka, de Turquie, d’Egypte, du Pakistan, d’Inde, de Chine, du Kosovo, d’Europe de l’Est,…
     
    Dès 2008, une conférence internationale de spécialistes des transplantations d’organes avait condamné ce trafic qui viole “les principes d’équité, de justice et de respect de la dignité humaine”. Une condamnation morale naturellement restée sans effet. Les “courtiers en organes” israéliens facturent la transaction entre 100.000 et 200.000 $ en moyenne. L’enquête en cours à montré qu’en 2012, un richissime texan a payé 330.000 $ à Sandler pour une greffe.

  • Nouvelle guerre mondiale - l'avis de Thierry Desjardins.

    Déclaration du Directeur Général Adjoint du Figaro

    Il serait grand temps que nous nous apercevions -enfin- qu'une nouvelle guerre de religion a éclaté et, cette fois, à l' échelle planétaire.

    Les Islamistes massacrent les chrétiens en Égypte, en Irak, aux  Philippines, en Indonésie, au Pakistan, au Nigeria, un peu partout. Malraux avait dit :  « Le XXIème siècle sera religieux ou il ne sera pas ».

    On a bien l'impression que ce siècle qui commence va voir le déchaînement sans pitié d'un Islam renaissant, voulant dominer le monde et faire payer à la civilisation chrétienne les quelques siècles pendant lesquels elle a régné sur la planète.

    Cette haine du chrétien dépasse de beaucoup tous les problèmes de la foi. En s'attaquant aux églises, aux prêtres, aux religieuses, aux fidèles, les islamistes veulent abattre la civilisation occidentale, la démocratie, le capitalisme, ce qu'ils appellent le « néo-colonialisme », la parité hommes femmes, les Droits de l'Homme, le progrès tel que nous le concevons.

    Le XXème siècle a été marqué par l'affrontement Est-Ouest, le bloc communiste contre les pays « libres ». Marx, Lénine et Staline se sont  effondrés d'eux-mêmes sous les incohérences, bien souvent monstrueuses, de leur idéologie. Mais ils ont aussitôt été remplacés par Allah et son Prophète.

    Le Coran a pris la place du Communisme, le drapeau vert de l'Islam celle du drapeau rouge, les imams prédicateurs des mosquées celle des commissaires politiques.

    Le XXIème siècle sera une guerre sans merci car les foules immenses du Tiers-monde islamisé (et des banlieues de nos grandes métropoles) sont autrement plus dangereuses que ne l'ont jamais été les chars du Pacte de Varsovie.

    Nous pleurons, avec nos larmes de crocodiles habituelles, les coptes massacrés à Alexandrie et les chrétiens assassinés à Bagdad.

    Mais nous restons les bras ballants.

    Il faut bien dire qu'on voit mal ce que nous pourrions faire. Ce n'est plus guère le temps des croisades et nos dernières expériences en Afghanistan ou en Irak (où nous commençons à regretter la belle époque de Saddam  Hussein qui savait, lui, au moins, faire respecter la laïcité baasiste) n'ont pas été très concluantes, c'est le moins qu'on puisse dire. Il est bien loin le temps où Napoléon III pouvait envoyer un corps expéditionnaire protéger les maronites du Liban que massacraient les Druzes.

    Mais au moins restons lucides et surtout arrêtons de ressortir une fois de plus la fameuse « repentance » qui nous sert désormais pour maquiller toutes nos lâchetés.

    L'autre jour, un imbécile de service nous a longuement expliqué à la télévision que si les islamistes égyptiens massacraient les coptes c'était parce que ces chrétiens de la vallée du Nil étaient « les représentants de l'Occident », les ambassadeurs de la culture européenne», les symboles vivants du capitalisme, du néocolonialisme, du dollar et du coca-cola. En un mot, les ultimes survivants de l'époque coloniale. Autant dire, à l' en croire, que les Islamistes avaient parfaitement raison de vouloir éliminer ces survivances d'un passé détesté.

    *L'imbécile était, en plus, un inculte*. Les coptes sont les descendants du peuple des pharaons. « Copte » veut dire « égyptien ». Ils étaient sur les bords du Nil bien avant la conquête arabe et musulmane. S'ils sont plus nombreux au sud, entre Assiout et Assouan, c'est précisément parce qu'ils ont fui les cavaliers conquérants venus d'Arabie.. Ils avaient leurs églises bien avant que nous ne construisions nos cathédrales.

    On peut d'ailleurs dire exactement la même chose de tous les chrétiens d'Orient qu'ils soient catholiques (de rite d'Antioche, de rite syriaque comme les maronites libanais, de rite byzantin, de rite arménien, de rite d'Alexandrie) ou « non chalcédoniens » comme les coptes, ou orthodoxes (ayant leur patriarcat soit à Istanbul, soit à Alexandrie, soit à Jérusalem, soit à Damas). Tous sont « chez eux » dans ces pays-là depuis des millénaires, certains parlant encore l'araméen, la langue du Christ. En faire des ambassadeurs de l'Occident, des représentants du capitalisme colonial est évidemment une absurdité.

    Même si, en effet, ils sont « de culture chrétienne ». Mais ils l'étaient avant nous. Nous ne pouvons rien faire pour les protéger, mais au moins ne les trahissons pas en reprenant à notre compte les accusations odieuses de leurs assassins. Nous pouvons les accueillir, comme nous nous devons d'accueillir tous ceux qui sont persécutés. Beaucoup ont déjà fui leur pays.

    Mais, en tous les cas, ne continuons pas à nous boucher les yeux, à parler de «l'amitié islamo-chrétienne », d'un « Islam à l'occidentale», de « la cohabitation harmonieuse des trois monothéismes ».

    Soyons intransigeants avec les règles de notre laïcité, mais ne nous laissons entraîner ni vers la stigmatisation ni vers la discrimination (surtout si elle devait être « positive », comme le souhaitent certains), car ce serait, évidemment, faire le jeu des fanatiques.

    Aujourd'hui, la grande mode est d'évoquer, d'invoquer à tout bout de champ "les années les plus sombres de notre histoire". C'est souvent absurde et parfois odieux. Mais s'il y a une leçon qu'il ne faut jamais oublier c'est bien celle de Munich, Churchill avait dit : « Ils ont préféré le déshonneur à la guerre et ils auront les deux.»

  • Marseille citée en exemple (pour ses meurtres) par l’Algérie

    La police et la gendarmerie mettent en cause la légèreté des sanctions appliquées aux premiers larcins qui remettent dans le circuit les jeunes délinquants.   

    Selon le quotidien algérien El Watan du 12 août 2014, les crimes de sang augmentent d’une façon tragique à travers l’Algérie. Entre 2012 et fin juillet 2014, c’est plus de 250 meurtres qui ont été comptabilisés. Les criminels recourent dorénavant à l’incinération des corps afin de brouiller les pistes.

    D’après les brigades criminelles de la police judiciaire et de la gendarmerie nationale, rapporte le quotidien algérien, « il est clair qu’aujourd’hui, les malfaiteurs s’inspirent de techniques en vigueur dans les pays les plus touchés par les meurtres, dont la France, particulièrement à Marseille et Paris, où le phénomène a battu des records ».

    Les wilayas (régions administratives) d’Alger, Oran et Blida comptabilisent à elles seules 60 % de ces meurtres. En 2012, les règlements de comptes avaient fait une centaine de morts, dont 35 à Alger. En 2013, le nombre de ces assassinats a augmenté jusqu’à atteindre les 150 cas. En février 2014, les brigades criminelles ont enregistré 24 affaires d’homicides volontaires, dont plus de la moitié des victimes étaient calcinées. Durant le tout récent mois de juillet, pas moins de 17 crimes de sang ont été commis et 24 auteurs ont été appréhendés.

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  • La délicate question des réseaux pédocriminels (2/6)

    Partie 2 : de la pédocriminalité de classe à la pédocriminalité de masse

    Celle-ci est pour certains groupes un plaisir de classe, le pouvoir suprême de « se payer tout et n’importe quoi », une ivresse de sa toute puissance, la jouissance de détruire et d’humilier un enfant innocent et pur. C’est aussi un penchant révolutionnaire et libertaire, la destruction de toute frontière à tous les niveaux, que ce soit celui de l’identité sexuelle ou de la pratique. Fi de l’inceste, de la pédomanie, de la zoophilie ou que sais-je ! Le désir et l’« amour » (qui n’est rien d’autre qu’une pulsion travestie pour ces individus) priment sur toute considération morale et juridique.

    Henry de Montherlant, André Gide, Gabriel Matzneff ou Michel Foucault ont fait partie de ces auteurs qui ont affiché un appétit cruel pour les enfants au début du XXème siècle, sans pour autant être dérangés par les pouvoirs publics. Ce goût pour les enfants qu’avait une certaine partie de la classe dirigeante apparut au grand jour lors de l’affaire des « ballets roses » en 1959 (2). Un policier avait piégé plusieurs jeunes filles, toutes mineures (en-dessous de 21 ans à l’époque), la plus jeune ayant, selon les sources, 12 ou 14 ans. Ils leur promettaient une carrière artistique si elles s’adonnaient à des spectacles érotiques, voire prodiguaient quelques services d’ordre sexuel pour certaines personnalités fortunées, dont un coiffeur réputé, un restaurateur et surtout un ancien président SFIO de l’Assemblée Nationale de l’époque, André le Troquer. Il y eut au total vingt-deux condamnations. En 2004, Jean-Pierre Mocky réalisa un film inspiré de cette affaire, appelé « Les ballets écarlates ». Ce film sera interdit par le ministère de la culture, officiellement « trop choquant ». C’est ainsi que seulement quelques années plus tard, parmi les revendications libertaires de la révolution culturelle de mai 68 se trouvait, en toute banalité, la normalisation de la pédomanie, au nom de l’« interdiction d’interdire ». L’inénarrable Daniel Cohn-Bendit en fut bien évidemment l’un des chantres. En 1975, dans un livre intitulé Le Grand Bazar, celui-ci se réjouissait que des enfants voulussent ouvrir sa braguette, et expliquait que son comportement devait viser à développer leur sexualité (3). En 1982, il réitérait ces propos dans l’émission « Apostrophes » (4).

    Deux journaux furent des vecteurs assez zélés de ces revendications : Le Monde et Libération. Dans le premier, une pétition fut publiée en janvier 1977, prenant la défense de plusieurs adultes poursuivis pour « attentat à la pudeur sans violence » suite à des attouchements sexuels sur des mineurs. Le texte de cette pétition présente cette affaire comme « une simple affaire de « mœurs », où les enfants n’ont pas été victimes de la moindre violence ». Se plaçant sans aucune retenue du côté des accusés, sans la moindre considération pour les victimes, les signataires de cette pétition affirment qu’« aujourd’hui, ils risquent d’être condamnés à une grave peine de réclusion criminelle soit pour avoir eu des relations sexuelles avec ces mineurs, garçons et filles, soit pour avoir favorisé et photographié leurs jeux sexuels. […] Cela suffit. Nous ne comprendrions pas que le 29 janvier Dejager, Gallien et Burckardt ne retrouvent pas la liberté. »

    Parmi lesdits signataires, on trouve des noms comme Jack Lang, Bernard Kouchner, Jean-Paul Sartre, Louis Aragon, André Glucksmann… (5) Bien des décennies plus tard, en 2013 Gabriel Matzneff, autre signataire, reconnaîtra être le rédacteur du texte, et affirmera ne rien renier du contenu de celui-ci (6).

    Concernant Libération, entre autres ignominies, ce journal faisait l’apologie du « Front de Libération des pédophiles » (FLIP). L’objectif était de détruire les barrières juridiques et morales qui protègent les enfants en modifiant le rapport adultes/enfants et parents/enfants.

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  • La délicate question des réseaux pédocriminels (1/6)

    Partie 1 : 3 enfants disparaissent tous les jours en France, soit environ 1000 par an

    Le 31 mai 2011, alors que vient tout juste d’éclater l’affaire DSK, Luc Ferry, ancien ministre de l’Education nationale, lâche une bombe sur le plateau du Grand Journal : un ministre français aurait été pris au Maroc dans une partouze impliquant des enfants (1).

    Qu’est-il advenu de cette affaire, trois ans après ? Eh bien, autant le dire tout net, rien du tout. Comme pour beaucoup et même trop d’affaires de ce type en fait.

    Les réseaux pédocriminels ? Des réseaux organisés et structurés, dont l’activité consiste à vendre des enfants, pour certains kidnappés, pour d’autres amenés par leurs propres parents (aussi choquant que cela puisse sembler) à des « clients » à des fins de viols, de tortures et de meurtres, certains de ces actes étant photographiés ou filmés, également pour que cela soit ensuite revendu, sachant que plus l’acte montré est extrême, plus le prix et cher. Qualifiés de « fantasme » ou de « délire complotiste » par certains magistrats, politiques ou policiers appartenant à la Brigade de protection des mineurs, ces réseaux n’en sont pas moins une réalité, exactement comme il en existe pour le trafic de drogue, la prostitution « classique » ou les voitures volées. Le prédateur pédophile, nécessairement solitaire et marginal, est la seule émanation raisonnablement autorisée par « ceux qui savent ».

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  • La délicate question des réseaux pédocriminels (1/6)

    Partie 1 : 3 enfants disparaissent tous les jours en France, soit environ 1000 par an

    Le 31 mai 2011, alors que vient tout juste d’éclater l’affaire DSK, Luc Ferry, ancien ministre de l’Education nationale, lâche une bombe sur le plateau du Grand Journal : un ministre français aurait été pris au Maroc dans une partouze impliquant des enfants (1).

    Qu’est-il advenu de cette affaire, trois ans après ? Eh bien, autant le dire tout net, rien du tout. Comme pour beaucoup et même trop d’affaires de ce type en fait.

    Les réseaux pédocriminels ? Des réseaux organisés et structurés, dont l’activité consiste à vendre des enfants, pour certains kidnappés, pour d’autres amenés par leurs propres parents (aussi choquant que cela puisse sembler) à des « clients » à des fins de viols, de tortures et de meurtres, certains de ces actes étant photographiés ou filmés, également pour que cela soit ensuite revendu, sachant que plus l’acte montré est extrême, plus le prix et cher. Qualifiés de « fantasme » ou de « délire complotiste » par certains magistrats, politiques ou policiers appartenant à la Brigade de protection des mineurs, ces réseaux n’en sont pas moins une réalité, exactement comme il en existe pour le trafic de drogue, la prostitution « classique » ou les voitures volées. Le prédateur pédophile, nécessairement solitaire et marginal, est la seule émanation raisonnablement autorisée par « ceux qui savent ».

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  • Aux larmes citoyens !

     La façon grotesque dont les médias de propagande nous présentent la réalité ferait sourire si elle ne travestissait pas bien souvent des faits tragiques.


    Ainsi, par exemple, le drame de Dolomieu où des malfrats ont tué de sang-froid lors d’un hold-up un témoin qui tentait de s’interposer, Hugo Villerez.

    Il est vraiment intéressant de lire la façon dont on nous présente cette lugubre affaire. (*)

    Un crime odieux de plus ? Mais pas du tout, si vous lisez l’article signé Angélique Négroni dans le site duFigaro, figaro.fr, du 3 août 2014 !

    Chère Angélique

    Car Angélique, elle, ne voit pas les choses comme cela. Non : elle a surtout remarqué que le coupable présumé était «en pleurs» samedi, lors de ses aveux après sa garde à vue. Le pauvre, vous comprenez, il a «paniqué».

    En effet, elle nous explique que la victime n’a pas obéi à «l’ordre de s’arrêter» (sic) lancé par l’auteur du coup de feu mortel, ce qui a «contraint» ce dernier à «descendre l’escalier du bureau de tabac à reculons». «Le braqueur a alors pris peur et tiré une fois», conclut Angélique. Bref, c’est presque un drame de l’autodéfense !

    Car si on comprend bien notre journaliste, si le témoin avait gentiment respecté «l’ordre» donné par le braqueur il ne serait pas mort. C’est donc un peu de sa faute, n’est-ce pas ?

    Pauvre braqueur

    Le braqueur a, lui, droit à bien plus d’égards journalistiques.

    Pauvre petit braqueur, si émotif sous sa cagoule qu’il tire si on le contraint de descendre un escalier à reculons ! D’ailleurs, le procureur de la République, interviewé dans l’article, nous dit aussi que le tireur «exprime des regrets et a pleuré». C’est dire si le pauvre était choqué ! Un conseil : la prochaine fois que vous voyez un procureur, pleurez à chaudes larmes, cela vous aidera sûrement.

    Angélique nous dit aussi qu’il s’agit en outre d’un «braqueur repenti» car il a indiqué aux enquêteurs où il avait jeté son arme. Ah le brave garçon !

    Des jeunes sans histoire

    Mais, au fait, qui sont donc ces braqueurs sanglants ?

    On découvre quand même que ces jeunes si émotifs ont eu des démêlés avec la justice : deux condamnations pour l’auteur du coup de feu mortel, douze condamnations pour son complice. On ne nous dit rien du troisième complice, celui qui aurait fourni l’arme.

    Mais pour le procureur de la République tout cela ne prouve rien : non, ce ne sont que «de jeunes délinquants qui ont agi avec une absence totale de préparation». Les braqueurs étaient cagoulés et armés mais ils n’étaient pas «préparés» : tout est dans la nuance judiciaire !

    Ils se sont seulement essayés au vol à main armée (on écrit «vama», cela fait plus cool), renchérit Angélique. C’était donc de la formation professionnelle, en quelque sorte ! Ce n’est donc pas vraiment de leur faute si ce «vama» a «tourné au braquage mortel».

    Un dernier détail

    Ah ! Pour conclure, petit détail : Angélique nous dit que l’auteur du coup de feu est «le fils d’artisans d’origine étrangère et dont les parents, des gens sans histoire, ont divorcé». Vous suivez Angélique ? Encore un drame social : le pauvre petit, sans doute déjà victime du racisme ambiant et qui a dû supporter la séparation de ses parents. Décidément, pauvre braqueur !

    Pleurez, braves gens, le Figaro vous y invite. Mais pas sur la victime, cela ferait trop peuple.

     Michel Geoffroy, 4/08/2014

    (*) Note :

    Dolomieu : les aveux d’un jeune braqueur «paniqué»4/08/2014

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/08/03/01016-20140803ARTFIG00158-dolomieu-les-aveux-d-un-jeune-braqueur-panique.php

    http://www.polemia.com/aux-larmes-citoyens/

  • Vian Dakhil , la députée irakienne qui avait fait la une en défendant son peuple, survit au "crash" de son hélico (Add.)

    A suivre...

    Pour mémoire, le fameux playdoyer qui finit dans les larmes.

    En VO iciiciici : la députée figurerait au nombre des 20 blessés, tandis que le pilote aurait été tué. Parmi les autres blessés : Alissa J. Rubin, 56 ans, chef de bureau du New-York Times de Paris.

    Le Salon Beige