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insécurité - Page 898

  • Kobané, objet de tous les mensonges

    Le 1er novembre 2014, les télévisions atlantistes et du Golfe montraient un convoi de 155 pehsmergas (pro-Israéliens) —c’est-à-dire des policiers du Gouvernement régional du Kurdistan d’Irak— traversant la Turquie sous les applaudissements des Kurdes turcs. Ces médias affirmaient que le convoi était arrivé à Kobané (Syrie).
    Il n’en est rien.

    Les peshmergas sont actuellement stationnés au camp de réfugiés de Suruç (Turquie). Seule une délégation de dix d’entre eux est entrée dans la ville de Kobané, puis est repartie en Turquie.

    De même, les médias turcs annoncent que 700 combattants de l’Armée syrienne libre (pro-Français et anti-Syriens) —sur les 1 300 annoncés— sont arrivés à Kobané, mais cette information n’est pas confirmée par les Kurdes syriens et il est peu probable que l’ASL dispose encore d’une telle force.

    De son côté, le gouvernement syrien a dénoncé le projet d’entrée des peshmergas irakiens comme une violation de sa souveraineté.

    Sur place, les forces de la Coalition états-unienne anti-Daesh poursuivent quelques bombardements (3 hier, contre 15 les jours précédents), toujours sans aucun résultat visible. Tandis que, à une cinquantaine de kilomètres de là, l’Armée arabe syrienne tente d’ouvrir un passage dans la ligne de front en la bombardant massivement (en moyenne 150 bombardements par jour). On ignore le nombre de jihadistes de Daesh présents, on sait juste que les États-Unis leur ont largué des armes « par erreur ».

     

    Au moins 2 000 combattants du PYG défendent la ville syrienne de Kobané. La plupart sont d’anciens membres du PKK turc qui ont fui leur pays d’origine en raison de la répression et ont obtenu la citoyenneté syrienne au début de la guerre.

    À Paris, le président turc Recep Tayyip Erdoğan a dénoncé l’acharnement de la Coalition anti-Daesh à sauver Kobané qui, selon lui, n’abrite plus de civils mais uniquement des « terroristes » du PYG. Son hôte, le président français, François Hollande, a proposé de bombarder Alep, qui n’est pas occupée par Daesh ; la ville elle-même étant contrôlée par le gouvernement de Damas, sauf sa banlieue nord.

    Source

    http://www.contre-info.com/kobane-objet-de-tous-les-mensonges#more-35294

  • Persécutions religieuses : les pays musulmans largement responsables

    Un rapport de l'Aide à l'Eglise en détresse (AED), mis en ligne aujourd'hui sur le site internet www.liberte-religieuse.org, souligne que dans 81 des 196 pays examinés, soit 41% d'entre eux, la liberté religieuse est "entravée" ou "en déclin". "Lorsqu'il y a eu des changements en matière de liberté religieuse" depuis le dernier rapport, publié en octobre 2012, "il s'agit dans presque tous les cas de détérioration", note l'organisation, qui classe dans cette catégorie 55 pays, soit 28% du total.

    Quelques améliorations ont été constatées dans six pays seulement, dont quatre (Cuba, Emirats arabes unis, Iran et Qatar), au demeurant, restent classés dans les "lieux de haute ou moyenne persécution" religieuse.

    Dans la catégorie "haute intolérance" figurent 20 pays, dont 14 "vivent des situations de persécution religieuse liées à l'extrémisme musulman" : l'Afghanistan, la Centrafrique, l'Egypte, l'Iran, l'Irak, la Libye, les Maldives, le Nigeria, le Pakistan, l'Arabie saoudite, la Somalie, le Soudan, la Syrie et le Yémen. Dans six autres pays (Birmanie, Chine, Erythrée, Corée du Nord, Azerbaïdjan, et Ouzbékistan), les persécutions sont le fait de "régimes autoritaires", relève l'organisation.

    Les chrétiens restent la minorité religieuse la plus persécutée, mais les musulmans subissent également un niveau sérieux de persécution et de discrimination, imputable soit à d'autres musulmans, soit à des régimes autoritaires.

    Le rapport n'épargne pas l'Europe occidentale, en particulier la France,classée parmi les pays d'"intolérance préoccupante", notamment en raison de la loi Taubira ayant dénaturé le mariage :

    "la liberté religieuse est menacée par l'augmentation de nouvelles formes sociétales qui heurtent la sphère religieuse".

    A noter que, dans ses sources, l'AED cite Le Salon Beige.

    Michel Janva

  • Un leader du lobby gay condamné pour pédophilie en Suède

    Lu sur Media-presse-info :

    "Stefan Johansson, ancien président de la Fédération suédoise pour l’égalité sexuelle (RFSL) de Halland, a été condamné le 24 octobre à cinq ans de prison pour viol, proxénétisme et exploitation sexuelle d’enfants.

    Selon la presse locale, Johansson, 44 ans, donnait alcool et drogues à des mineurs en échange de relations sexuelles. Il aurait aussi détourné 3000 $ donnés pour des recherches sur le sida.

    Dans un message diffusé sur son profil Facebook le 18 juillet 2013, Johansson invitait à l’événement « Journée d’Education» organisée le 29 mai 2013 à propos des personnes «LGBT  avec expérience dans la vente ou la location de services sexuels» et spécialisée dans  «les jeunes qui se prostituent sur ​​Internet « .

    La RFSL, dont Stefan Johansson fut un dirigeant, a été fondée en 1950 et dépasse les 6.000 membres. Depuis 2007, elle est reconnue par les Nations Unies comme ONG avec statut consultatif.

    Cette organisation a été l’un des principaux promoteurs de la légalisation du « mariage » homosexuel en Suède, en 2009. Elle entretient des relations avec le Groupe de travail pédophilie qui promeut la légalisation de relations sexuelles entre adultes et mineurs. Cette organisation du lobby LGBT est le représentant suédois de l’Association internationale des lesbiennes, gays, bisexuels, trans et intersexes (ILGA), qui avait également compté autrefois parmi ses associations adhérentes une organisation hollandaise de promotion de la pédophilie.

    En plus de cinq ans de prison, le tribunal a condamné Johansson à payer  60 000€ ."

    On remarquera que les Nations unies ne rechignent pas à prendre ce genre d'organisation comme élément consultatif... 

    Marie Bethanie

  • Manifestations à Toulouse et Nantes : cinq blessés et une trentaine d’interpellations

     

    Trente-quatre personnes ont été interpellées, samedi 1er novembre, à Nantes et Toulouse, après que de violents heurts ont éclaté entre manifestants et policiers. Dans ces deux villes, plusieurs centaines protestataires participaient à des défilés « contre les violences policières », à l’appel de mouvances anti-capitalistes, six jours après le décès du militant écologiste, Rémi Fraisse, tué par l’explosion d’une grenade offensive lancée par un gendarme sur le site du barrage de Sivens.

    Dès leur arrivée dans les centres-villes de Toulouse et Nantes, en début d’après-midi, les centaines manifestants ont fait face aux policiers, venus en nombre pour encadrer les éventuels débordements. La situation a dégénéré après que certains manifestants ont jeté des projectiles en direction des forces de l’ordre, lesquelles ont répondu à coups de gaz lacrymogènes.

    Au moins cinq personnes ont été blessées à Nantes et des bouteilles d’acide ont été lancées par des protestataires contre les policiers, selon le préfet de Loire-Atlantique. A Toulouse, de nombreuses dégradations sont à déplorer dans le centre-ville.

    Le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, a assuré samedi soir que 21 personnes avaient été interpellées à Nantes et 13 à Toulouse. Plusieurs politiques ont exprimé leur indignation.

    Le collectif du Testet, qui lutte contre la construction du barrage à Sivens, où Rémi Fraisse a trouvé la mort, a également condamné les violences. « La colère légitime contre les méthodes inacceptables des forces de l’ordre ne peut justifier la violence et les dégradations des biens », explique le collectif dans un communiqué. 7

    Dans la soirée un calme précaire régnait à Toulouse et Nantes.

    Des bouteilles « remplies d’acide » lancées sur les forces de l’ordre à Nantes

    La manifestation a commencé à dégénérer dans l’artère principale de Nantes, le cours des 50-Otages. Un protestataire a été atteint par un coup de matraque dans la tempe et deux autres ont été touchés aux jambes par des éclats de grenades de désencerclement. Deux membres de forces de l’ordre ont été légèrement blessés.[....]

    La suite sur Le Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Manifestations-a-Toulouse-et

  • La révolte pourrait bien venir là où on ne l’attend pas

    En 2014, la violence d’État est devenue la norme. Pour les manifestants de Sivens, les bonnets rouges ou les militants de la Manif pour tous, la liberté est devenue l’exception.   

    La dernière fois qu’un fonctionnaire de police a été tué dans un attroupement armé, c’était à Montredon-des-Corbières, à côté de Narbonne, en 1976, au cours d’une énième révolte de vignerons. Décharges de chevrotine contre rafales de MAT 49 : des hommes tombent, dont un – le commandant de la Compagnie républicaine de sécurité – ne se relèvera jamais. Son dernier ordre de chef lucide a été de faire cesser le feu, faire cesser le drame. Affrontement d’homme à homme, bref et brutal, les armes à la main, au lendemain de la guerre d’Algérie.

    La dernière fois qu’un manifestant a été tué, c’était à Sivens, le 27 octobre 2014. 40 ans séparent ces deux morts tragiques et une chose est frappante : la disproportion flagrante entre « l’agression » et la riposte mortelle des forces de l’ordre. Grenades offensives contre pétards. Casques lourds contre cailloux. Salaires, repos compensateur et retraites garanties contre bénévolat militant. Quel est donc cet ennemi contre lequel on peut dégoupiller, en France, une grenade offensive, c’est-à-dire une arme destinée à réduire, par la manœuvre et le feu, un ennemi armé et retranché ? Le manifestant n’est-il plus un citoyen dont il faut protéger le droit de manifester ? Est-il devenu un ennemi des forces de l’ordre ? Comme si la notion même de liberté et de légitime défense pouvait échapper à ceux qui devraient en être les gardiens et dépositaires ultimes.

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  • La Novorossiya martyrisée élit ce dimanche ses représentants politiques. Vidéo accablante

    La campagne électorale dans le Donbass

    Elle s’est terminée hier soir pour des élections qui auront lieu demain dimanche 2 novembre 2014. Il s’agit pour les Novorusses d’élire les représentants de la Novorossiya qui a fait sécession d’avec l’Ukraine, suite au coup d’Etat de Kiev d’avril 2014 qui privait les habitants de l’Est, entre autre, de la reconnaissance de leur langue, le russe. S’en est suivi l’agression militaire brutale des autorités de Kiev.
    La Novorossiya n’a pas pour le moment de représentants démocratiquement élus. Les frontières du nouvel Etat 
    doivent s’établir sur la ligne de front qui sépare les deux parties belligérantes conformément aux accords de Minsk.

    A Donetsk, le poste de président de la république est brigué par Alexandre Zakhartchenko, Iouri Sivokonenko et Alexandre Kofman. A Lougansk ce poste sera disputé par le président sortant Igor Plotnitski, Oleg Akimov, Larissa Aïrapetian et Viktor Penner. Les Novorusses doivent également élire leurs parlementaires. Les deux républiques ont conclu, début septembre, un accord d’union.

    La Russie reconnait et appuie le bienfondé de ces élections, contrairement aux avis de Ban Ki Moon, le secrétaire général de l’ONU, de l’UE et des USA qui lui ont demandé de ne pas les reconnaître. Cela n’empêche nullement l’affluence des observateurs sur place:

    « 51 observateurs étrangers sont déjà enregistrés pour les élections. Il y a des observateurs en provenance de Russie, de Serbie, du Monténégro. A notre surprise, il y a beaucoup d’observateurs de l’Union européenne, il y a même un député européen. Parmi les observateurs, il y a aussi des Américains », a annoncé vendredi, Roman Liaguine, le chef de la Commission électorale centrale (CEC).

    Les bruits en provenance de Kiev s’intensifient pour alerter les autorités novorusses sur d’éventuels sabotages durant le déroulement du scrutin. Alertes analysées sur place comme des provocations pour empêcher les élections. Le vice premier ministre de Donetsk, Alexandr Pourguine déclarait hier vendredi au cours d’une conférence de presse:

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  • Délinquance : Sarkozy récidive avec les détournements de chiffres

    C'est un chiffre que le ministre de l'intérieur d'alors, président de la République d'ensuite et actuel candidat de l'UMP aime répéter à l'envi pour appuyer ses argument en faveur d'une fermeté accrue en matière de récidive. Lors de son meeting à Marseille pour la présidence de l'UMP, mardi 28 octobre, Nicolas Sarkozy a affirmé que la moitié des faits de délinquance étaient réalisés par un même petit nombre de personnes.

    Ce qu'il a dit :

    « 5 % des délinquants font 50 % de la délinquance. »

    POURQUOI C'EST FAUX

    Disons-le tout de suite : un tel chiffre n'existe pas dans les statistiques de la délinquance. Nicolas Sarkozy fonde son argumentation sur une étude sociologique datant de... 2001, reprise dans un rapport du Sénat en 2002.

    Sebastian Roché, directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), avait interrogé, de manière anonyme, 2 300 jeunes de 13 à 19 ans dans les agglomérations de Saint-Etienne et de Grenoble. Il en était ressorti que 74 % des jeunes interrogés reconnaissaient avoir commis un acte de délinquance (dégradation, fraude dans les transports en commun, vol, agression, trafic, etc.). Parmi eux, 5 % commettaient 68,5 % des actes (48 % des petits délits, 86 % des délits plus graves et 95 % du trafic).

    Le chercheur a été entendu par la commission d'enquête sur la délinquance des mineurs, dont le rapport a été publié en juin 2002. Il y est mentionné que Sebastian Roché évoque la « théorie des 5 % », le rapport concluant que « 5 % des jeunes commettent 60 à 85 % des infractions ».

    Ce chiffre est déjà aléatoire. Comme l'avait calculé le journal Libération dans un article en 2012, pendant la campagne présidentielle au cours de laquelle Nicolas Sarkozy avait affirmé la même théorie qu'à Marseille le 28 octobre, 5 % des jeunes interrogés les plus « actifs » ont commis 9 255 actes de délinquance sur 20 671, soit environ 45 %.

    Extrapolation

    Mais surtout, après la première mention de ce chiffre par Nicolas Sarkozy lors de sa campagne de 2007, Sebastian Roché lui-même l'a réaffirmé au Monde en 2007, la conclusion des 5 % s'appliquait « à une classe d'âge [13-19 ans] et non [aux] délinquants qui ont déjà commis un délit ». Une nuance pour le moins importante.

    28,3 % Le candidat de l'UMP relève toutefois un sujet qui n'est pas anodin : une partie des délinquants a effectivement déjà été condamnée par le passé. C'est ce que mesure le « taux de réitération », donné chaque année par le ministère de la justice – qui ne prend en compte que les condamnations connues lors des cinq années précédentes pour les auteurs de délits (et non de crimes). En 2012, derniers chiffres disponibles, 28,3 % des auteurs de délits avaient déjà été condamnés au cours des cinq années précédentes ; 5,7 % des criminels (condamnés pour homicides volontaires, crimes sexuels ou vols criminels) étaient en état de récidive légale.

    Ces chiffres sont encore incomplets, n'intégrant pas, notamment, les nombreuses affaires où l'auteur du crime ou du délit n'a pas été retrouvé. En 2012, le taux d'élucidation était ainsi de 70 % pour les atteintes à l'intégrité physique, 48 % pour les escroqueries et… 14 % pour les atteintes aux biens. Mais rien ne permet de dire que 50 % des faits de délinquance sont commis par 5 % des délinquants.

    sourceLe Monde.fr 

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuEuZVZlluWmsPuOnK.shtml

  • Un putsch législatif ?

    C'est en France, et c'est la nuit prochaine. Selon Olivier Tournafond, surPolitique Magazine.

    "Personne n’est au courant, mais notre droit des contrats est menacé de manière imminente.

    En effet Mme Taubira a sollicité du Parlement l’autorisation de réformer cette partie du Code civil par voie d’ordonnances. Elle veut ainsi imposer, sans débat parlementaire, un projet qui malheureusement sur plusieurs points piétine notre tradition juridique, organise l’intrusion du juge dans le contrat et adopte des solutions juridiquement erronées.

    Cette demande d’habilitation est prévue par l’article 3 du projet de loi sur « La modernisation et la simplification du droit et des procédures dans le domaine de la justice et des affaires intérieures » (sic). En réalité il n’en résultera aucune « simplification » pour les justiciables qui seront confrontés à 15 ans de chaos jurisprudentiel, à une insécurité juridique chronique et à l’arbitraire des tribunaux. Il en résultera surtout une dérive à l’américaine de notre système de droit. Après la famille, l’identité nationale, la propriété, la filiation, c’est un nouveau pan de la société française que le pouvoir en place a entrepris de « déconstruire », sans doute pour acclimater à terme la « common law », avidement attendue par certains groupes de pression…

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    Paula Corbulon

  • Ne comptez pas sur la protection du système !

    « La République gouverne mal mais se défend bien. » disait Charles Maurras… Vous me permettrez de reprendre sa célèbre phrase afin d’illustrer mes propos, et ce, même si le contexte où je vais l’utiliser diffère quelque peu de celui d’origine.

    Qui protège-t-on en France ? Vous allez me répondre : « Pas les Français ». Evidemment, forts de tout ce que vous avez pu entendre ces dernières années ici et là, vous savez bien que le Français de base, méprisé par le système et ses rouages, n’est pas protégé dans son pays. Il en a peut-être l’illusion mais il ne l’est pas vraiment... Il peut toutefois se référer à sa bonne étoile pour espérer qu’il ne lui arrivera rien dans cette époque étrange de couardise, de laxisme et de médiocrité, dans cette époque où l’on protège les agresseurs et où plus personne ne bronche face au danger (tout relatif soit-il le plus souvent…).

    Et encore faudrait-il le pouvoir se défendre seul ! La légitime défense ? Oui, dans les faits, ça a existé un jour, ce n’est plus cas. Notez le nombre de cas où la « justice » donne raison aux agresseurs et non aux victimes… Et puis, à quoi bon autoriser une population déjà complètement désarmée ou presque (les chasseurs avec nous !) à se défendre ? Mettez-vous dans la peau de ceux qui nous gouvernent et considérez que:  

    1) Si la populace ne peut se défendre elle-même, seul l’Etat peut assurer sa protection. Il pourra donc mieux la contrôler par ce biais. On la tient en laisse, c’est simple comme bonjour à comprendre.

    2) Le système n’en a rien à branler de votre bien-être ou de votre sécurité. Il n’agit pas dans l’intérêt commun …  Il utilise même votre peur à ce niveau pour « gouverner par le chaos » et donc renforcer insidieusement son emprise sur vous.

    Vous, le Français de base, vous êtes un plouc, une marionnette qu’on utilise et dont la vie ne vaut rien. On ne vous protège pas, point. Vous souvenez-vous de Marie-Neige Sardin, symbole à elle seule de tout le désintérêt et de  toute la haine des « pouvoirs publics » à l’égard des gens « normaux » (c'est-à-dire blancs non criminels) ? Cette courageuse femme fut agressée plus de trente fois par des individus « bien connus des forces de police », et fut même violée sans que cela n’émeuve vraiment qui que ce soit –justice ou politiciens- . Vous, ce serait la même chose. Ne comptez pas sur l’Etat, il est votre ennemi. Loin est le temps où la fonction de protection était un devoir pour les puissants du pays qui devaient leurs privilèges à ce devoir qu’ils avaient à l’égard des populations. Rappelez-vous que la noblesse se devait de protéger les gens et que quand elle ne remplissait pas ce rôle, elle s’exposait à de sérieuses révoltes… Les temps ont bien changé…

    Cependant, aujourd’hui, en ces temps d’égalité totale où certains sont toutefois plus égaux que d’autres, on constate qu’il est des individus dont il faut prendre soin et protéger quoi qu’il arrive ! Ils ressemblent plutôt peu voire même pas du tout à Marie-Neige Sardin ou à vous… Où les trouve-t-on ? Dans les cénacles phares du système pardi ! Politiciens, people et journalistes en priorité.

    caronhabidsardin.jpg

    Ils sont protégés par le système... mais pas elle!

    Certains cas récents sont ainsi significatifs.

    Comme un pied de nez à Marie-Neige Sardin et aux milliers d’autres qu’on a laissé dans la merde, vous avez tout d’abord le député franco-israëlien Meyer Habib. Cet individu exceptionnel, dont la vie est si précieuse pour tous, dispose de quatre (4) policiers du SPLP (Service pour la protection) pour sa protection car, voyez-vous, il a eu des « prises de position favorables à Israël », en fait un certain nombre de déclarations tapageuses louant par exemple "la valeur juive de la vengeance" ou décrivant le terrible antisémitisme qui sévirait en France... Normal quand on est juif, non ? Ou faut-il protéger avec quatre policiers français chaque membre de la communauté actif en politique et tout dévoué à l’Eretz ? Bref, notre Meyer Habib est bien en sécurité (pour une menace certainement égale à 0…) et a même tenté de bénéficier de cette largesse de la ripoublique  pour convoyer 20.000 euros de pierres précieuses… Car, en plus d’être député, Meyer Habib est effectivement diamantaire ! Il symbolise bien la classe politique « française » affairiste qui considère que tout est bon à prendre, non ?

    Et il n’est pas le seul à être ainsi mis en sécurité par le gouvernement pour des prétextes futiles ! Un bon nombre d’individus nuisibles, membres d’un système qui ne protège que les siens, sont ainsi affublés de policiers payés par nos impôts dans leur vie de tous les jours… Cela entraîne une grogne réelle chez les agents du Service de la protection (SDLP, ex-SPHP) qui est rattaché au ministère de l'Intérieur et est chargé des célébrités. En effet, les policiers déplorent « une surenchère de missions de plus en plus «people», où le gouvernement accorde à des personnalités de la presse ou du show-business une protection coûteuse en effectifs qui, selon certains professionnels place Beauvau, ne se justifierait pas. D'autant que le service est déjà très sollicité pour jouer les anges gardiens d'anciens premiers ministres, dont nul n'ignore que leur vie n'est guère exposée. ». On peut lire plus loin qu’il existe « quelques grincements chez les policiers, au lendemain de l'annonce par le ministère de l'Intérieur de placer Aymeric Caron, chroniqueur télé au ton délibérément provocateur, sous protection policière […] d'autres cas surprennent. Bien que l'Unité de coordination et de lutte antiterroriste (Uclat) ait estimé que les risques qu'ils encouraient ne justifiaient pas une protection 24 heures sur 24, un journaliste de France 24, deux journalistes du Monde et un député des Français de l'étranger se sont vus accorder une protection payée par l'État. »

    Tout n’est-il pas clair et fluide ? Le parallèle entre privilégiés et non-privilégiés ne se passe-t-il pas de commentaires ? Ne comptez pas sur le système, il ne protège et ne protégera que les siens…

    Rüdiger / C.N.C.

    Sources: 12.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2014/10/27/ne-comptez-pas-sur-la-protection-du-systeme-5477251.html

  • Encore des églises vandalisées dans le Morbihan

    Dans la presse locale : 

    "L'église de Roudouallec a fait l'objet d'un vol de statues en début de semaine (Le Télégramme de mercredi). À Gourin aussi, un vol a été commis dans l'église paroissiale. « Le personne qui s'occupe de la sacristie est venue me voir mercredi en me signalant la disparition de chandeliers dans la sacristie. Effectivement, neuf chandeliers ont été volés.

    Nous avons alors fait le tour de l'église et nous nous sommes rendu compte que la magnifique Pietà du XVIe, qui est classée, avait aussi été volée », explique le Père Jean-Yves Le Saux, curé du doyenné, qui a été déposé une plainte à la gendarmerie. Deux autres statues, celles de Saint-Sébastien et Saint-Jean Baptiste, ont aussi été volées.

    « Ce sont des éléments de notre patrimoine qui ont une valeur inestimable », explique le Père Le Saux qui se dit « déconcerté et secoué » par ces vols".

    Le Salon Beige