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insécurité - Page 892

  • Les entreprises françaises victimes d’une vague d’escroqueries venue d’Israël

    Il y a un mois et demi, nous vous présentions le dernier livre d’Hervé Ryssen, Les milliards d’Israël escrocs juifs et financiers internationaux.C’est peu dire que la lecture de ce livre s’impose, tant les affaires se multiplient aujourd’hui, au point que le très officiel quotidien Le Monde, journal baptisé de référence est obligé d’en faire un article au titre sans ambiguïté : Les entreprises françaises victimes d’une vague d’escroqueries venue d’Israël.

    Il est vrai que ces derniers temps, les affaires se multiplient : la plus médiatisée fut la faillite de la société LSK (Leyne Strauss-Kahn) avec le suicide de son dirigeant à Tel Aviv, Thierry Leyne le 23 octobre dernier, faillite qui fera perdre l’épargne de ceux qui avaient eu confiance en cette société. Il est à noter que DSK lui-même aurait perdu plusieurs millions d’euros bien qu’il eût un rôle dirigeant dans la société et fût le gage du sérieux de la société, lui, l’ancien directeur du FMI. (Il démissionna quelques jours avant le suicide de Thierry Leyrne et il est à noter que sa fille, Vanessa Strauss-Kahn, eut également un rôle éminent au sein de LSK). Ceci ne surprendra guère les lecteurs d’Hervé Ryssen qui savent que si le goy est le pigeon préféré de ces escroqueries (d’ailleurs combien sont-ils dans ce cas ?), certains membres de la communauté ne se privent pas de larcins entre eux.

    Mais cette faillite ne doit pas nous faire oublier les autres, telle l’escroquerie frauduleuse dont a été victime, par exemple, la société de pneumatiques Michelin, escroquerie d’un montant de 1,6 million d’euros. Cette fois-ci, l’escroc s’est fait passé pour un fournisseur et a fait croire qu’il avait changé de compte. Le comptable a effectué les paiements sur le nouveau compte pensant payer son fournisseur alors qu’il envoyait l’argent sur le compte d’un aigrefin…

    Ceci ne sont que des exemples des innombrables filouteries que toute personne censée devrait connaître pour essayer de s’en prémunir. Et pour ce faire, la lecture du livre d’Hervé Ryssen est conseillée.

    http://www.contre-info.com/

  • Immigration et délinquance

    Le rapport entre immigration et insécurité est un sujet des plus explosifs. Alors qu’il apparaît comme évident à de nombreux Français, qui constatent l’origine ethnique de bandes dealant dans les halls d’immeubles ou celle des personnes recherchées par la police1, ce lien est nié par un certain nombre de personnalités politiques, de médias nationaux et d’associations subventionnées.

    Pour celles-ci, la surreprésentation des personnes d’origine immigrée dans les prisons ne serait due qu’à la pauvreté : les pauvres sont plus délinquants que la population générale ; les immigrés sont plus pauvres que la population générale ; il est donc logique que les immigrés soient plus délinquants que la population générale.

    Cette question de la pauvreté, et de son lien supposé avec la délinquance, a pendant longtemps parasité l’étude du lien entre immigration et délinquance. Aujourd’hui encore, c’est un argument massue que l’on oppose à ceux qui font un lien entre les deux – quand on n’explique pas que cette sur-délinquance est causée par le soi-disant racisme institutionnel de l’appareil d’État.

    Or, deux universitaires réputés ont, depuis plusieurs années déjà, abordés la question de façon sérieuse.

     

    Le premier est le sociologue Sébastian Roché. Docteur en sciences-politiques, directeur de recherche au CNRS, ses travaux sur le sentiment d’insécurité et les incivilités ont révolutionné la criminologie française. Il a abordé le lien entre immigration et délinquance dans deux ouvrages.

    Dans Sociologie politique de l’insécurité, publié en 1998, Sébastian Roché a notamment cherché à expliquer les différences de criminalité entre les différents départements français, en prenant en compte de multiples variables. Et il a identifié « trois types de variables qui sont systématiquement (mais pas toujours dans le même sens) associées avec le taux de délits dans les départements : le taux de chômage (global, ou des jeunes), le taux d’étrangers et le taux d’urbanisation » (p. 61-62).

    En clair, d’après Sébastian Roché, la proportion d’étrangers dans un département est un facteur plus important pour expliquer son taux de délinquance que sa richesse ou la part des jeunes dans sa population. Le moins que l’on puisse dire est que c’est intéressant.

    Mais ce n’est pas terminé. A la fin des années 1990, Sébastian Roché a mené une enquête importante consistant à interroger une cohorte très large de jeunes âgés de 13 à 19 ans, leur demandant de raconter leurs délits, ceci afin de mieux connaître La Délinquance des jeunes, titre de l’ouvrage publié en 2001 présentant cette enquête. Au chapitre 9, Sébastian Roché s’est posé la question de la part des jeunes d’origine étrangère dans la délinquance. Et les résultats parlent d’eux-mêmes.

    Sébastian Roché a tout d’abord isolé les jeunes d’origine française (dont les deux parents sont nés en France) et les jeunes d’origine maghrébine (dont les deux parents sont nés au Maghreb). Les autres catégories, d’un nombre trop faible pour constituer un échantillon suffisant, ont été écartées.

    Et que constate-t-on ? Que parmi les enfants de cadres et professions intermédiaires, les Maghrébins sont 43% à avoir réalisé au moins trois délits simples2 au cours des deux dernières années, contre 30% des Français ; que les jeunes d’origine maghrébine sont 21,5% à avoir réalisé dix délits simples ou plus, quand les jeunes d’origine française ne sont que 12% dans ce cas. Quant aux actes graves3, 21% des maghrébins en ont commis au moins un, contre 9% des français.

    Cette différence se retrouve également parmi les enfants d’ouvriers et d’employés. Dans ces familles, 43% des maghrébins ont réalisé au moins trois petits délits, contre 30% des français ; 24% des maghrébins en ont réalisé dix ou plus, quand les français ne sont que 15,5%. 18% des adolescents d’origine maghrébine ont commis au moins un acte grave, contre 11,5% des adolescents d’origine française. 10,5% des jeunes Maghrébins ont commis au moins trois actes graves, contre 5% des Français.

    En résumé, une fois pris en compte l’origine sociale des adolescents, l’on constate que les jeunes d’origine maghrébine sont, quel que soit le type de délit, plus délinquants que les jeunes d’origine française.

    Et ces chiffres ne peuvent être causés par un éventuel racisme policier, qui pousserait les forces de l’ordre à se concentrer sur les Maghrébins au détriment des délinquants français, dans la mesure où ce sont les jeunes eux-mêmes qui parlent des délits qu’ils ont commis (Sébastian Roché montre même que les délits commis par des jeunes d’origine maghrébine sont très légèrement moins surpris par la police que ceux commis par des jeunes d’origine française, mais la différence est trop faible pour être significative).

    Ce tableau ne serait pas complet sans parler des travaux, ayant fait la polémique, d’Hugues Lagrange. Sociologue, directeur de recherche au CNRS, c’est un homme de gauche, proche des Verts, défenseur de l’émancipation des femmes. En 2010, il a publié Le Déni des cultures, livre complexe et passionnant, traitant de l’influence des cultures d’origine dans la vie des immigrants de plusieurs quartiers.

    Au détour d’un chapitre, sans vraiment s’attarder sur la question, Hugues Lagrange présente le pourcentage d’auteurs de délits selon l’origine culturelle de la famille (française sans ascendance migratoire, européenne, maghrébine, Afrique noire hors Sahel, Afrique sahélienne, Turquie), tout en tenant compte de l’origine sociale de la famille (p.146).

    Que constate-t-on ? Déjà qu’Hugues Lagrange n’est vraiment pas à l’aise avec ces chiffres car, s’il les présente, c’est sous la forme d’un tableau assez illisible. Ensuite, que quelle que soit la catégorie sociale, la proportion d’auteurs de délits est beaucoup plus importante chez les jeunes d’origine sahélienne que chez les autres.

    Étudions cela plus en détail :

    Pour les familles d’ouvriers, employés ou artisans, les Français et Européens sont à peu près 6% à avoir commis un délit ; les Maghrébins 12% ; les Africains hors-Sahel et les Turcs plus ou moins 10% ; les Sahéliens 18%.

    Pour les familles de cadres ou intermédiaires, les jeunes français et européens ne sont pas plus de 2% à avoir commis un délit ; les Maghrébins 5% ; les Africains hors-Sahel 4% ; les Sahéliens 13% ; les Turcs 12%.

    Pour les familles de chômeurs, inactifs et retraités, les Français sont 13% à avoir commis un délit ; les Européens et les Turcs à peu près 10% ; les Maghrébins 20% ; les Africains hors-Sahel 14% ; les Sahéliens 28%.

    Ces résultats confirment les travaux de Sébastian Roché, en démontrant une nouvelle fois que les populations immigrées sont proportionnellement plus délinquantes. Ils démontrent également que la sur-délinquance des jeunes d’origine immigrée n’est pas causée par un éventuel racisme institutionnel de la part de l’État Français : si c’était le cas, comment expliquer des différences aussi importantes entre Sahéliens et Africains hors-Sahel ?

    Il ne s’agit pas ici de prétendre que les immigrés et leurs descendants sont tous, ni même majoritairement, des délinquants, cela serait bien évidemment faux. Mais tout simplement de montrer que, d’après des chercheurs en sciences sociales réputés, que les populations d’origine immigrée sont statistiquement plus délinquantes que les populations d’origine européenne. Quant à ceux qui prétendent le contraire, ce sont au mieux des ignorants, au pire des menteurs.

    Bibliographie

    • LAGRANGE Hugues (2010), Le déni des cultures, Paris, Seuil.
    • ROCHE Sébastian (1998), Sociologie politique de l’insécurité, Paris, Presses Universitaires de France, 1ère édition « Quadrige », 2004.
    • ROCHE Sébastian (2001), La délinquance des jeunes : les 13-19 ans racontent leurs délits, Paris, Seuil.

    Notes

    1. http://www.avisderecherches.interieur.gouv.fr/personnes1.asp?T=R
    2. Les délits simples comprennent les dégradations simples, les vols sans violence et les bagarres sans blessure.
    3. Les actes graves comprennent le racket, les vols avec violence, les vols de voiture, les cambriolages, les caillassage, les coups et blessures.

    http://fr.novopress.info/178215/immigration-delinquance/

  • Londres: tirs d’artifices sur la police par de jeunes musulmans

    De jeunes musulmans ont été filmés entrain de tirer des fusées d’artifices sur la police dans un quartier est de Londres…

    La vidéo a été mise en ligne sur Facebook par des citoyens visiblement inquiets que les grands médias ne relaient pas l’information…

    Londres aussi a donc ses « chances pour l’Angleterre », et ses médias complices, au moins par leur aveuglement…

     

    http://www.contre-info.com/

  • Christiane Taubira détricote le Code civil

    La réforme de Code civil menace-t-elle la liberté de contracter ? Alors qu’il prétend protéger les plus faible, l’État pourrait bouleverser les équilibres du système juridique français.

    Le 30 octobre, l’Assemblée nationale a adopté le projet de loi relatif à la modernisation et à la simplification du droit et des procédures dans les domaines de la justice et des affaires intérieures. Passée inaperçue, hormis le rideau de fumée du statut de l’animal passant du rang de meuble à celui d’« être vivant doué de sensibilité », cette réforme du Code civil est, en réalité, un véritable acte politique de déconstruction.

    Rappels historiques

    L’exposé des motifs de la loi est assez révélateur des rapports consanguins qu’entretiennent le Droit et le Marché dans la vision “a-nationale socialiste” de ceux qui nous précipitent dans l’abîme mondialisé de l’indifférenciation absolue : « Les dispositions du code civil [...], issues du code Napoléon, ne permettent plus aux particuliers et aux entreprises d’avoir une vision claire et précise de l’état du droit dans leurs relations contractuelles quotidiennes. Il est donc primordial de réformer le droit français des obligations pour le rendre plus accessible, plus attractif et mieux adapté aux enjeux économiques [...] actuels. »

    Promulgué le 21 mars 1804, (30 ventôse an XII, selon le calendrier révolutionnaire) par Bonaparte, alors Premier consul, le Code civil fait incontestablement partie de ces « masses de granit jetées sur le sol de France » par celui qui voulait achever l’œuvre de la Révolution, tout en rétablissant, mutatis mutandis, le cours interrompu de l’Ancien Régime. Illustre rédacteur (aux côtés, notamment, de Maleville et Tronchet) de ces tables de la loi bicentenaires, Portalis considérait qu’elles devaient être un « corps de lois destinées à diriger et à fixer les relations de sociabilité, de famille et d’intérêt qu’ont entre eux les hommes qui appartiennent à la même cité ». Une qualité intrinsèque lui était reconnue, la stabilité. Les contrats, la responsabilité, la propriété, le mariage, autant d’institutions qui, nonobstant les remous et vicissitudes politico-constitutionnelles, devaient servir de fondations inébranlables à la société. Bien que pétri d’égalité et d’individualisme, le Code civil des Français n’en demeurait pas moins l’héritier de Rome et de ses jurisconsultes. Les légistes fameux que furent Domat ou Pothier contribuèrent notablement, en précurseurs éclairés, à ce travail d’unification du droit par une anamnèse préalable des règles et coutumes tirées des Digeste et autres Institutes romains. Ce mouvement a été accompagné par le célèbre édit de Saint-Germain de 1679, qui instaura le monopole de l’enseignement du droit entre les mains de l’université. Colbert, auquel on doit les premiers grands codes (procédure civile et criminelle, commerce, marine, eaux et forêts, etc.) se montra également une source d’inspiration non négligeable pour les rédacteurs du Code civil.

    Longue maturation

    Grande œuvre, finalement, que cette règle civile commune, fruit d’une longue maturation historique que Bonaparte sut recueillir et transmettre, indivise, aux Français. Œuvre d’autant plus respectable qu’elle était religieusement respectée, tant au sein des facultés de droit que par les hauts magistrats de la Cour de cassation qui surent, tout au long du XIXe siècle (triomphale époque de l’exégèse), patiemment et avec bienveillance, l’étoffer et la parer des plus nobles atours de l’inflexible rigueur juridique et de la claire concision stylistique.

    Faste et durable époque, jusqu’aux années 1970 qui seront le guichet unique des revendications libertaires et féministes de Mai 68. Le divorce par consentement mutuel, la suppression de la puissance paternelle (le “pater familias”), l’avènement de l’enfant adultérin à égalité avec l’enfant légitime, la “dépénalisation” de l’avortement (en 1975), forgeront le nouveau contrat social, post-rousseauiste, du ré-ensauvagement de la société qui assistera, impuissante et masochiste, fascinée et suicidaire, à l’implosion irréversible de son socle immémorial et nécessaire, la famille. Viendra ensuite le Pacs en 1999, antichambre hypocrite du pseudo-mariage homosexuel, jusqu’à l’assomption de ce dernier en 2013.

    Bonne ou mauvaise foi

    Aujourd’hui, la réforme Taubira ne prétend pas moins revenir sur le droit des contrats – classiquement tenus pour “la loi des parties” qui les ont faits –, au nom de l’impérieuse protection des « plus faibles ». Là où, traditionnellement, la force obligatoire des conventions, était, entre autres, subordonnée à la validité du consentement, le juge sanctionnera, dorénavant, les manquements du cocontractant, motif pris de la vulnérabilité de l’autre. Fustigeant cette ineptie, le juriste Olivier Tournafond précise que cette réforme « introduit ainsi les notions “d’imprévision” et de “détresse économique” qui permettront de défaire les contrats. Autre idée saugrenue : la bonne foi devient une condition de formation du contrat, ce qui est d’une totale absurdité : on ne contracte pas de bonne ou de mauvaise foi ! On exécute le contrat de bonne foi. Et dans la période précontractuelle, la mauvaise foi est sanctionnée en tant que faute extracontractuelle ! ».C’est dire que ce renversement révolutionnaire voulu par la locataire de la Place Vendôme, bien loin d’être seulement un époussetage, va bouleverser considérablement les équilibres, délicats mais néanmoins fermement établis, de notre droit d’essence romano-germanique. Ce projet s’inscrit dans la continuité infernale du déracinement (et son corollaire, la perte des repères), du “suicide français” imposé depuis quarante ans par nos élites hors-sol. Ultime avatar du slogan soixante-huitard, « Il est interdit d’interdire », brandi par un État devenu totalitaire dont l’impuissance publique n’a d’égale que son omnipotence dans la sphère privée.

    Aristide Leucate

    Article paru dans l’Action Française 2000 n° 2896 du 06 novembre 2014

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Christiane-Taubira-detricote-le

  • Jean-Charles Luperto, la démission c’est maintenant ! Le PS va-t-il maintenir un pervers à la tête d’un parlement ?

    Empêtré dans une affaire sordide d’exhibitionnisme, le politicien belge Jean-Charles Luperto ferait bien, s’il lui reste un peu d’honneur, de démissionner de ses différentes fonctions politiques.

    Comme nous l’expliquions ce matin, Jean-Charles Luperto fait l’objet de plusieurs plaintes pour attentat à la pudeur et exhibitionnisme. Ce président du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, député wallon et bourgmestre de Sambreville, s’adonnait publiquement à des « pratiques masturbatoires » dans les toilettes d’une station-service. Ces faits choquants se sont produits à plusieurs reprises durant plusieurs mois.

    Les faits sont d’autant plus scandaleux qu’au moins un des témoins était un mineur.

    Ces gestes démontrent que Jean-Charles Luperto est un pervers.

     

    Lors des perquisitions effectuées au domicile et dans les bureaux de cet individu, des ordinateurs, tablettes, smartphone et clés USB ont été saisis. Une unité spéciale vérifie si rien de plus ne se cache derrière l’exhibitionnisme de ce mandataire politique socialiste.

    Lire la suite

     

  • Paris démuni face à ses djihadistes

    La politique poursuivie vis-à-vis de Damas n’est pas sans conséquence dans l’Hexagone, où Paris se prive de l’aide juridique qui lui permettrait de poursuivre plus efficacement les djihadistes français de retour au pays.

    Depuis 2011, une vaste épuration ethnique est entreprise par les groupes islamistes armés de l’EI (État islamique) à l’encontre des minorités confessionnelles, y compris des sunnites modérés. L’idéologie du takfirisme, transcendant ces groupes islamiques, tend à la négation par la violence et l’extermination de toute croyance confessionnelle différente.

    Des centaines de volontaires

    Cette doctrine est partagée par un nombre croissant de concitoyens français. Selon les chiffres dernièrement publiés par le ministère de l’Intérieur, le nombre de Français présents dans des groupes terroristes s’élève à près de mille individus, tandis que certains experts estiment leur nombre à plus de trois mille. Au mois de septembre 2014, les départs pour la Syrie ont augmenté de 74 % selon la Place Beauvau. Les années 2013 et 2014 ont révélé l’existence d’un soutien moral, financier et humain parmi une fraction de la population française.

    Ces Français ayant des liens avec les groupes islamistes armés présents en Syrie, soit en tentant de s’y rendre, soit en en revenant, sont l’objet d’une enquête ou d’une ouverture d’instruction pour des faits d’acte de terrorisme (selon le ministère de la Justice, sur neuf cent quarante-deux cas recensés de Français partis ou revenus de Syrie, trois cent vingt-neuf faisaient l’objet d’une enquête et trente cinq d’une information judiciaire). Le retour des ressortissants en France fait peser le risque de constitution de cellules dormantes appartenant à ces réseaux transnationaux islamistes. Dans cette perspective, l’adoption du projet de loi renforçant la prévention et la répression du terrorisme, qui a été voté le 18 septembre 2014 par l’Assemble nationale, paraît inconséquent, sachant que les dispositions du code pénal et du code du procédure Pénale permettent en théorie aux juridictions françaises de juger des crimes et délits commis à l’étranger.

    En effet, les juges d’instruction saisis de faits criminels ou délictuels commis à l’étranger peuvent instruire, c’est-à-dire enquêter sur les infractions perpétrées par les djihadistes français. Toutefois, cette faculté ouverte aux juridictions françaises dépend de l’ouverture d’une coopération judiciaire et d’une demande formulée en ce sens par les magistrats français à leurs homologues syriens. Mais du point de vue de Damas, seul le rétablissement des relations diplomatiques entre ces deux pays permettrait une telle coopération. Or, la France se refusant à rétablir des relations, les enquêtes à l’encontre des Français présents ou ayant été présents en Syrie sont ainsi privées de l’apport des informations collectées par les services syriens, évidemment bien renseignés, qui disposent d’indicateurs dans les groupes composant l’État islamique. Il en ressort que la France se prive d’une source fiable et le Parquet, les juges d’instruction et les juridictions de jugement sont amenés à poursuivre et à statuer quasiment à l’aveugle, sans connaitre l’ensemble des faits et actes commis et susceptibles d’être reprochés à ces Français djihadistes – y compris des meurtres. Les enquêtes diligentées par le Parquet et les juges d’instruction reposent, pour l’essentiel, sur les auditions et interrogatoires des djihadistes eux-mêmes et la surveillance des réseaux sociaux… Dans ces circonstances, les enquêteurs ne peuvent opposer aux mis en cause et mis en examen des éléments de preuves recueillis par d’autres sources.

    Nulle recherche de preuve

    Par comparaison, on sait qu’en matière de criminalité organisée, les écoutes téléphoniques, les surveillances, filatures et géolocalisations pendant les enquêtes et commissions rogatoires sont la norme. Ce sont bien ces moyens que les Syriens sont à même d’apporter. Au final, ces terroristes bénéficient de facto d’une absence de recherche de preuves.

    Le constat que ces Français djihadistes constituent un contentieux de masse appelle à cette coopération, alors même que le flux de volontaires français est loin de se tarir. Les crimes relevant de l’épuration ethnique par les groupes islamistes armés auxquels appartiennent ces Français devraient requérir une répression plus grande. À ce jour, la République arabe syrienne, État souverain, reconnue par la majorité des États du monde et représentée dans les organisations internationales, est le seul acteur capable de mettre en œuvre des investigations à l’encontre des ressortissants français présents sur son sol. Se borner à surveiller les réseaux sociaux, à “empêcher” les nouveaux départs, aboutit dans les faits à refuser de prendre en compte les exactions commises en Syrie, est un déni de justice – et une imprudence irresponsable.

    Fabrice Delinde

    Article paru dans l’Action Française 2000 n° 2896 du 06 novembre 2014

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Paris-demuni-face-a-ses

  • Enorme scandale en Belgique : Les Anonymous publient une liste de personnalités impliquées dans le réseau de l'affaire Dutroux

    Le député Laurent Louis a relayé un mail que le collectif anonymous a adressé à l'ensemble des parlementaires de Belgique. Il contient la liste de tous les politiciens, hommes d'affaires et magistrats impliqués de prés ou de loin dans le réseau pédophile et criminel de l'affaire Dutroux, même des membres de la famille royale y sont explicitement mentionnés. 

    Bien entendu, Laurent Louis s'est fait traité de fou, on parle de lever son immunité parlementaire et de le poursuivre en justice ,ce qui n'a rien d'étonnant quand on sait qu'en Belgique l'activiste Marcel Vervloesem a été jeté en prison pour avoir exposé le réseau pédophile belge. Cette affaire illustre parfaitement comment une élite corrompue jusqu'à la moelle parvient à se maintenir au pouvoir en profitant de la faiblesse de la population. Sans sursaut populaire, toute initiative individuelle est vouée à l'échec. 

    La liste complète sur le blog de Laurent Louis : http://www.laurent-louis.be/blog/?p=843 

    A monsieur Flahaut, Président de la Chambre 

    A messieurs les Députés de la Chambre 

    Aux membres du Sénat 

    A tous les honnêtes hommes responsables d'un pays qui se veut un État de Droit, devenu dictature. 

    Tous les citoyens belges souhaitent porter à votre connaissance les faits suivants, relevés dans les 1235 pages du Dossier Bis Dutroux, récupérés dans divers médias, journaux, livres et informations télévisées. Les faits énumérés sont simplement notés, les magistrats, la sureté de l’État ont les preuves mais les occultent et ce, depuis 1996. 

    Nous accusons ces personnages, qui de pédocriminalité, qui de faux, usage de faux, vols, qui de délits d'initié, tous faits passibles de condamnations. Nous refusons que des hommes responsables d'un État se cachent derrière leur immunité pour perpétrer des fautes lourdes de conséquences puisqu'elles font vaciller le pays le menant au bord de la ruine, appauvrissant les citoyens au moyen de décisions gouvernementales honteuses et anti sociales, volant nos enfants pour satisfaire des besoins sexuels, de chantages et de commerces. 

    Depuis l'affaire Dutroux nous voyons s'amplifier la criminalité, cela suffit ! 

    Cette liste, par ses dénonciations de faits, n'est que la partie visible de l'iceberg de la pédocriminalité de notre pays, noblesse, clergé, magistrature et politique sont largement impliqués. 

    Nous demandons la réouverture du Dossier Bis Dutroux, la démission de toutes les personnes y incriminées ainsi que les membres de leur famille, estimant à juste titre qu'ils ne sont pas dignes de se trouver, ni en politique, ni à la Justice, ni aux postes d'administration d'institutions publiques. 

    Le système criminel actuel est composé de pédocriminels, de personnages à hautes fonctions mais menacés, sinon grassement payés et/ou manipulés. 

    Nous demandons qu'une Commission spéciale soit instaurée afin de combattre les réseaux pédophiles de terrain préférablement aux réseaux du net, tant est qu'il semble évident qu'un seul réseau au niveau de l’État existe, doté de nombreuses ramifications et dont les membres (entre autres de la Communauté Française) sont connus de quelques initiés. 

    Nous demandons un contrôle particulièrement sévère de toutes les Institutions pour enfants dont certaines sont le creuset de pratiques pédophiles ainsi que des associations subsidiées de la protection de l'enfance qui servent d'informateurs. 

    Nous dénonçons ici les membres du conseil d'administration et membre d'honneur de l'Institut Irsa, école de sourds-muets-aveugles, chaussée de Waterloo, lesquels sont les responsables du réseau pédocriminel belge. Ainsi que la direction et quelques membres du personnels de l'internat, nécessairement impliqués. 

    Nous exigeons la liberté immédiate et sans condition de Marcel Vervloesem, prisonnier politique, privé de liberté alors qu'il dénonçait les réseaux pédocriminels bien avant l'affaire Dutroux. 

    Nous demandons aux membres du Parlement de régler ces problèmes en urgence, toutes affaires cessantes. Étant bien évident que toutes les mesures sont prises pour une diffusion générale aux citoyens, un appel au référendum. 

    Ne nous sous-estimez pas, nous sommes légions. 

    Anonymous 

    Pour voir la liste sur le site, cliquez ici

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • État islamique : L’horreur avant les décapitations

    (NOVOpress via Courrier international)
    Dans une enquête fouillée, fondée sur les interviews d’anciens otages et autres témoins, The New York Times retrace le calvaire d’une vingtaine d’otages détenus par l’Etat islamique en Syrie.

    Les otages sont sortis de leur cellule un par un.
    Dans une pièce isolée, les ravisseurs leur posent à chacun trois questions très personnelles, technique classique utilisée pour fournir des preuves de vie lors des négociations de libération.
    James Foley retourne dans la cellule qu’il partage avec une vingtaine d’autres otages occidentaux et fond en larmes de joie. Les questions que ses ravisseurs lui ont posées portent sur des détails si intimes (“Qui a pleuré au mariage de ton frère ?”, “Qui était le capitaine de ton équipe de foot au lycée ?”) qu’il sait qu’ils sont enfin en contact avec sa famille.

    Nous sommes en décembre 2013. Plus d’un an s’est écoulé depuis qu’il a disparu sur une route du nord de la Syrie. Ses parents inquiets sauront enfin qu’il est vivant, dit-il à ses compagnons de captivité. Il est convaincu que son gouvernement négociera bientôt sa libération.
    Ce qui semble être un tournant décisif est en fait pour le journaliste américain de 40 ans le début d’une descente aux enfers qui s’achèvera au mois d’août suivant, lorsque ses geôliers le feront agenouiller quelque part dans les collines arides de Syrie et le décapiteront devant l’objectif d’une caméra.

    Sa mort filmée signe la fin très publique d’un calvaire très secret.

    (…)

    Bontinck, qui a été libéré à la fin de l’année dernière, est revenu pour la première fois sur ses expériences lors d’un entretien réalisé dans sa ville natale, Anvers. Il est l’un des quarante-six jeunes Belges inculpés pour appartenance à une organisation terroriste.

    Au début, les mauvais traitements ne semblent pas servir un objectif plus vaste. Et les djihadistes eux-mêmes ne paraissent pas trop savoir ce qu’ils feront de leurs otages, de plus en plus nombreux.

    A en croire Bontinck, James Foley et John Cantlie sont dans un premier temps détenus par le front Al-Nosra, groupe affilié à Al-Qaïda. Leurs gardes, trois anglophones qu’ils surnomment “les Beatles”, prennent apparemment un malin plaisir à les brutaliser. Ils sont ensuite remis à un autre groupe dirigé par des francophones, le “Conseil de la choura [organe consultatif] des moudjahiddines [combattants musulmans]“.

    Foley et Cantlie sont déplacés à au moins trois reprises avant d’être transférés dans les sous-sols de l’Hôpital des enfants de la ville d’Alep. C’est dans cette prison que Bontinck, qui n’a alors que 18 ans, rencontre Foley. Le jeune Belge était à l’origine un combattant, comme des milliers d’autres jeunes Européens attirés par la promesse du djihad. Il a été exclu du groupe lorsqu’il a reçu un texto de son père qui, depuis la Belgique, s’inquiétait pour lui. Son commandant l’a alors accusé d’être un espion.

    Les militants l’ont traîné dans une pièce du sous-sol aux murs brun clair. Il y a trouvé deux étrangers barbus, très maigres : James Foley et John Cantlie. Pendant les trois semaines où il a été enfermé avec eux, dès que l’appel à la prière retentissait, tous trois se levaient.

    http://fr.novopress.info/

  • Cash Investigation Les Secrets Inavouables De Nos Telephones Portables

  • Ukraine: massacre du Maidan, première étude exhaustive

    Réalisée par un universitaire canadien, et présentée ici.

    Extrait de l'introduction.

    Nous vous proposons une longue enquête réalisée par Ivan Katchanovski, un chercheur universitaire canadien, qui analyse en détail le massacre de Maïdan du 20 février 2014, à partir de différents éléments d’information disponibles : vidéos des médias, données balistiques tirées de Google Earth, types de munitions et impacts de balles, communications radio des services de sécurité ukrainiens, témoignages sur les mouvements des tireurs embusqués, positions occupées par l’opposition, tirs déclenchés contre des journalistes. Cette enquête a été présentée le 1eroctobre au Séminaire des études ukrainiennes de l’université d’Ottawa, au Canada. En l’absence d’un véritable rapport officiel, elle constitue un document historique unique, dont l’historiographie est constituée de tous ces médias qui enregistraient en continu l’Euro Maïdan.

    En synchronisant les différents éléments d’information disponibles, l’auteur révèle… un massacre organisé :

    • les victimes sont autant des policiers que des manifestants ;
    • les forces de l’ordre ont tiré et donc tué des manifestants (cette enquête indépendante le souligne), mais la majorité des tirs meurtriers provenaient de tireurs du Secteur droit qui ont méticuleusement visé et abattu non seulement des policiers, mais aussi beaucoup de manifestants désarmés ;
    • les tireurs n’ont jamais été inquiétés, ni recherchés par les responsables pro-Maïdan ;
    • Les responsables pro-Maïdan étaient parfaitement informés de la présence de nombreux tueurs dans leurs rangs, comme en attestent leurs déclarations et leurs prises de paroles.

    Paula Corbulon