Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insécurité - Page 903

  • La police affirme que Barbès « se transforme en Etat de non-droit »

    Dans les colonnes du Parisien, des policiers, presque tous sous couvert d’anonymat, livrent des témoignages accablants : le quartier du XVIIIème arrondissement de la Goutte-d’ Or à Paris, déjà classé en Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP), est en passe de devenir une zone de non-droit.

    Des témoignages édifiants

    Le récit que font les policiers de certaines scènes qui se déroulent à Barbès est édifiant. Les témoignages se passent de commentaire : « Jeudi dernier, on est arrivé à une situation extrême » confie un policier. « Un contrôle sur une bagarre au couteau s’est terminé en révolte de rue. Les policiers ont dû dégoupiller une grenade de désencerclement afin de pouvoir rejoindre entiers leur voiture qui était à 30 mètres ! » poursuit le fonctionnaire de police. Un témoignage à peine croyable. Manque de moyen, sous-effectif… le commissariat du quartier de la Goutte-d’ Or, dans le XVIIIème arrondissement, est « au bord de l’implosion » selon le quotidien, qui précise que «plusieurs fois, le commissariat de la Goutte d’Or a dû diffuser au micro son appel à toutes les unités». Un policier a précisé : «200 policiers sur tout Paris ont été appelés à la rescousse. Samedi le quartier s’est à nouveau embrasé… »

    Unsa-Police déclare l’« état d’urgence »

    Le syndicat de policiers, Unsa-Police, dénonce une situation qui ne peut plus durer. Il diffuse depuis vendredi un tract « Etat d’urgence ! ZSP du XVIIIème »  pour dénoncer la situation. « Ce sont des voyous qui tiennent le quartier ».

    Le Parisien décrit des scènes étonnantes en plein Paris, où des « supermarchés à ciel ouvert » se tiennent dans ces quartiers. On peut y acheter drogues, mais aussi « vélos fraîchement volés »  ou encore des« vêtements de marque neuf à même le sol »… Le quotidien révèle aussi le contenu des procès-verbaux des derniers jours. Le constat est sans appel : « ils attestant de ce trafic et de la montée en violence du quartier ».

    La fin de l’article, là encore, se passe de commentaires. Un fonctionnaire de police témoigne que « jeudi dernier, certains policiers ont reçu la consigne de laisser tomber les contrôles des marchés à la sauvette ».

    Lu sur Valeurs Actuelles

    http://www.contre-info.com/

  • NSA : multiples affaires d’espionnage

    Les utilisateur du réseau Tor et les visiteurs de sites internet d’anonymisation traqués

    Selon les révélations de la télévision publique allemande, la NSA surveille et collecte les adresses IP de tous les utilisateurs du service Tor, et même de ceux qui visitent des sites parlant des techniques d’anonymisation et de protection des données. Parmi eux, le site Linux Journal, qualifié « d’extrémiste ».

    Lire la suite de l’article sur sott.net

    Allemagne : un agent double démasqué

    Cette nouvelle affaire d’espionnage risque de faire du bruit. Le magazine Der Spiegel révèle qu’un agent des services de renseignements allemands BND a travaillé pour les services américains de la NSA. Sa mission consistait notamment à surveiller les travaux de la commission d’enquête allemande … sur le scandale des écoutes de la NSA, révélé l’année dernière. Les quotidiens Süddeutsche Zeitung et Bild ont eux aussi relayés et confirmés l’histoire. A Washington, la Maison-Blanche n’a fait «aucun commentaire».

    Lire la suite sur le site du Figaro

    http://www.contre-info.com/

  • Que vaut la vie d’une institutrice pour la caste journalistique ?

    Vendredi soir, le JT a donné plus d'importance à Benoît Duquesne et au foot. Cherchaient-ils à justifier leur réputation de caste nombriliste et déconnectée ?   

    Vendredi 4 juillet au soir, la France est éliminée en quart de finale par l’Allemagne. Le journal de Laurent Delahousse sur France 2, après avoir annoncé ses deux titres – élimination de la France du Mondial et institutrice poignardée à mort par une mère d’élève à Albi – ouvre en réalité sur une autre disparition: celle du journaliste Benoît Duquesne. L’émotion de Laurent Delahousse parlant de son confrère est palpable.

    Puis on passe au foot : près d’un quart d’heure d’hystérie collective en direct de Rio, de Paris, de Marseille, de Berlin, et même du camping de la sœur de Mathieu Valbuena (sic).

    20h13. On passe enfin à Albi, où là aussi l’émotion est au rendez-vous. Figurez-vous que c’est affreux car les enfants ont assisté à la scène qui s’est déroulée dans la salle de classe et qu’en plus c’est la veille des vacances. Mais rassurez-vous, braves gens, on a dépêché une cellule de soutien psychologique de vingt personnes, et surtout, c’est le ministre Benoît Hamon, venu sur place, qui nous le dit : il s’agit d’un acte isolé. La mère de famille, dont on ne saura pas le nom (on me souffle qu’elle se prénomme Rachida), souffrait de « troubles psychologiques ». On interroge ses voisines – des Musulmanes voilées – qui témoignent de leur consternation : « Elle était normale avec nous », « on n’ aurait jamais pu imaginer »…

    Lire la suite

  • “Tueurs de masse” : une malédiction américaine?

    1984-2014, trente ans de meurtres de masse aux Etats-Unis 
    Elliot Rodger avait 22 ans et la tête du fils de votre voisin de palier. Plutôt joli garçon, timide et bien élevé, il étudiait au Santa Barbara City College, dans cette paradisiaque Californie du sud toujours nimbée de soleil.

    Or le 23 mai 2014, Rodger poignarde à mort ses trois voisins de cité universitaire, puis sillonne Santa Barbara en voiture, tirant sur les passants – d’abord, sur les jeunes femmes. Il se loge enfin une balle dans la tête. Bilan du massacre : 6 morts, 13 blessés. Dans sa voiture, deux pistolets automatiques 9mm, un Glock, un Sig Sauer et dix chargeurs pleins – le tout acquis légalement.
    Fils d’un producteur d’Hollywood, Elliot Rodger a tout pour être heureux : vols en première classe, BMW personnelle, accès à volonté à des concerts privés, etc. Mais de longue date, le jeune eurasien brûle sourdement d’une folle rage intérieure. Solitaire, rejeté, frustré par l’indifférence féminine, la vue des couples enlacés sur les plages de Santa Barbara le torture toujours plus. Dans sa confession, il se déplore “puceau à 22 ans”.
    Pour en finir, Rodger bricole son petit “crépuscule des dieux” personnel. Et prend tout le temps d’en imaginer et exécuter le scénario, partant d’indiscutables “références” :

    Lire la suite

     

  • Antifas et casseurs de banlieue, les liaisons dangereuses

    A Lyon quelques 800 émeutiers d’origine maghrébine se sont vus rejoindre par une cinquantaine d’antifas.   

    Les antifas et les binationaux franco-maghrébins se sont ligués…

    On a pu le constater la semaine dernière à Lyon après la victoire de l’équipe d’Algérie où le « Collectif de vigilance 69 contre l’extrême droite » a participé activement aux émeutes provoquées dans le centre ville au côté des jeunes casseurs franco-algériens.

    Il est à craindre que cette alliance de circonstance au niveau régional puisse devenir national devant son succès très partiellement réprimé et que cette collaboration de se poursuive lors de toute manifestation concernant des sujets sociétaux ou politiques et contre tout rassemblement protestataire de la droite.

    A Lyon quelques 800 émeutiers d’origine maghrébine se sont vus rejoindre par une cinquantaine d’antifas et l’on a assisté ainsi à une première alliance entre extrémistes de gauche et casseurs uniquement au nom de la haine contre la France.

    Lire la suite

  • Je ne voudrais pas gâcher la fête

    A l’heure ou la France se qualifie pour le quart de finale, une polémique commence à prendre une certaine ampleur, malgré le silence toujours plus servile des médias, à propos des « incidents » qui accompagnent systématiquement les victoires de l’équipe d’Algérie dans le cadre de la coupe du monde de foutbol. 

    Au travers des fissures de l’omerta républicaine, filtrent quand même des informations pour le moins alarmantes tout de suite minimisées par les journalistes « homo-festivus » qui laissent entendre que les porteurs de ces nouvelles sont les fameux néo racistes qui menacent la planète et qui font rien qu’embêter les gentils qui ne pensent qu’à s’amuser. Je ne vais pas lister ici le nombre des voitures brûlées, des pompiers caillassés, des insultes anti-françaises proférées, rien que de très normal estime la police , tout est calme sur l’ensemble du front disait aussi la TSF en 39.

    Certains élus ont même l’outrecuidance d’appeler les algériens vivant en France, (la double nationalité permettant bien des choses, comme toucher les allocations familiales et le RSA en France, et brandir le drapeau Algérien, aussi en France) à se faire un peu moins voyants , à moins envahir les places des grandes villes, moins étaler leurs drapeaux , parfois sur les frontons des mairies en lieu et place du drapeau français (dont on ne sait quel sort lui est réservé).

    Les ligues de vertus républicaines sont tout de suite mobilisées contre de tels propos « rappelant les heures les plus sombres de notre histoire ». Ce qui devrait être reçu comme l’expression du bon sens le plus ordinaire, devient un propos odieux contre lequel la classe politique toujours prompte à défendre les valeurs de notre société émasculée, pardon immaculée, se dresse , le menton levé et condamne aussi courageusement qu’unanimement cette résurgence de la « bête immonde ».

    A côté de cela, la garde à vue de Sarkozy, les milliards de dollars versés sans broncher à la justice américaine, (une amende que certaines mauvaises langues croient liée politiquement à la vente des navires de guerre à la Russie), la guerre américaine qui menace partout, en Irak , en Ukraine, en Palestine…. Tout cela est occulté par la fièvre du ballon rond, qui arrive à masquer même ce que cet événement mondial révèle : La France est un pays occupé. Entendons nous bien, il ne s’agit pas ici de refuser le droit aux minorités étrangères vivant en France d’exprimer une joie légitime quand leur équipe préférée marque un but, « on » leur demande seulement de prendre conscience qu’ils ne sont pas ici chez eux en tant que supporters d’une équipe étrangère et que leurs manifestations doivent rester dans les limites de la décence.

    Savent-ils qui est ce « on », dans la confusion du concert médiatique ? Malheureusement ces étrangers les jours pairs et Français les jours impairs, encouragés par la classe médiatico-politique, n’entendent pas le « cri sourd du pays qu’on enchaine ». Et pour cause : ils ne se sentent plus une minorité, ce qui leur permet — tout le monde à vu les reportages des journalistes niaisement enchantés sur les champs Elysées — de crier à tue-tête en brandissant le drapeau algérien : « On est chez nous…. »

    Bon, restons calme, mais convenons quand même que tout cela est inquiétant et qu’il serait sage de remettre à plat la question de l’immigration, celle de l’intégration et peut-être même celle, complètement oubliée par nos dirigeants, de la politique Africaine de la France, des deux côtés du Sahara.

    Olivier Perceval - Secrétaire général de l’Action française L’AF 2889

  • Simple rappel à la loi pour harcèlement sexuel sur un enfant

    Une employée communale de 28 ans a écrit 23 lettres d'amour à un enfant de... 9 ans ! Elle évoquait ses envies d’avoir des enfants avec le garçon, des baisers échangés, des rendez-vous sur un chemin proche de la maison des parents...

    Les parents de l'enfant ont porté plainte auprès de la gendarmerie de Périgueux, signalant que le comportement de l’enfant avait changé. Le vice-procureur a fait un simple rappel à la loi. Si cela avait été un homme, il serait déjà sous les verrous. Et si cela avait été un prêtre, le pape serait traîné dans la boue. A croire que la femme mettait en pratique les ABCD de l'égalité...

    Néanmoins, les parents n’ont pas voulu en rester là et ont demandé l’ouverture d’une enquête.

    Michel Janva

  • Face à l'islamo-terrorisme, un signal de réveil

    Dans le délitement de toutes choses que subit notre malheureux pays, quelques rares institutions semblaient jusqu'ici témoigner d'un reflet de ce qui en fit autrefois une puissance. À cet égard, méritaient d'être cités les cas des toilettes publiques des autoroutes privatisées, du service des encombrants de la Ville de Paris et, peut-être moins anecdotique, celui de nos services de Renseignement, apparemment efficaces quoique chichement financés.

    En fermant le livre, fort instructif, signé de Samuel Laurent (1)⇓ on se prend à douter du bien fondé de cette dernière note d'optimisme.

    Recueillons donc aujourd'hui, auprès de cet auteur, que les éditions du Seuil présentent comme un consultant international, un certain nombre d'informations et de considérations propres à nous faire mieux apprécier la situation "d'avant-guerre" bien réelle en face de laquelle nos dirigeants semblent s'être assoupis.

    Il abordera la conclusion de son livre en précisant en effet que "nos services de Renseignement ronronnent comme n'importe quelle bureaucratie française"(2)⇓ Il y voit une cause : "la technologie rend nos espions paresseux, elle leur fait perdre de vue l'essentiel : le courage et l'efficacité… " et il propose un remède : "si des agents décidaient d'infiltrer al-Qaïda il deviendrait certainement possible d'agir… " (3)⇓

    Il s'agit pour l'auteur de faire face, en commençant par prendre conscience du danger que représente la nébuleuse d'ensemble que nous appelons salafiste ou djihadiste. Le péril, en effet, ne se limite pas aux territoires tombés en déshérence entre Irak et Syrie. Il s'agit bien plutôt des retombées de leurs conflits sur le sol européen, à commencer par celui de l'Hexagone.

    Les volontaires islamistes en effet proclament : "Après la révolution, on viendra en France. On égorgera les Français pour ce qu'ils font au Mali." (4)⇓

    Ceux qui les recyclent pour ce combat précisent : "Le Jihad que nous préparons aura lieu en France. Pour nous ce pays ne représente pas un adversaire à combattre mais une terre à conquérir".  (5)⇓

    Les services officiels français évaluent à plusieurs centaines, peut-être 700, les combattants partis de France, en toute légalité apparente, pour mener la guerre sainte que Mme Clinton, si elle est élue en 2015, et de nombreux partisans occidentaux du droit d'ingérence, encensent aujourd’hui.

    À ceux qui, à Washington ou à Paris pensent de soutenir l'Armée dite syrienne de libération, il est rappelé : "Vous devez comprendre que ce qu'on appelle à Paris ou à Washington l'Armée syrienne libre n'a absolument aucune existence. Si les leaders de l'ASL donnent un ordre à 'leurs' brigades, personne n'obéit. L'ASL ne sert qu'à une chose : recueillir des fonds et des armes en provenance de l'occident."  (6)⇓

    Les vraies 'brigades internationales' de l'islamisme filtrent en effet les futurs poseurs de bombes et volontaires pour les opérations meurtrières prévues, notamment, dans l'Hexagone. Une fois sélectionnés les éléments à former, ils opèrent via un pays oublié. On peut le regretter car naguère Kouchner, le grand homme du "droit d'ingérence", s'illustra en y débarquant, pour la photo des sacs de riz livrés à Mogadiscio. Or, "les camps de Somalie ne représentent pas un secret ; qui va les attaquer ?... la Somalie constitue une citadelle imprenable ! La terre la plus hostile et la plus violente de cette planète.(7)⇓

    Ne croyons pas trop à la théorie journalistico-policière, et à l'expression des prétendus "loups solitaires" qu'on nous ressort avec l'affaire Merah ou plus récemment avec le cas de Mehdi Nemmouche. Leur solitude reste tout à fait relative. D'évidents soutiens logistiques existent et ils se manifestent, sous diverses formes, en France même, pays où les islamo-terroristes déclarent : "nous possédons un gigantesque vivier de jeunes hommes séduits par le salafisme et l'islam radical, même si un grand nombre d'entre eux ne possèdent absolument aucune culture religieuse."  (8)⇓

    Ainsi : "al Qaïda possède un véritable cheval de Troie dans l'Hexagone"  (9)⇓

    Particularité du terrain que ces gens se proposent d'ensanglanter et de conquérir :"Les Français sont tellement englués dans leurs idées progressistes et leur complexe post-colonial qu'aucun responsable politique n'osera lancer une chasse aux sorcières contre les Arabes."(10) (10)⇓

    Précisons bien que ces citations, exceptionnellement nombreuses, ne sont nullement tirées d'un pamphlet marginal ou d'un roman policier. Elles sont toutes extraites d'un livre publié par une des plus prestigieuses maisons de l'édition parisienne. Celle-ci est habituellement liée à la plus stricte bien-pensance. On peut d'ailleurs se demander s'il n'a pas été commandité par nos services de renseignement eux-mêmes.

    Voilà ce que je voulais aujourd'hui recenser et inviter mes lecteurs à prendre en considération.

    blockquote>

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1.  Samuel Laurent "Al-Qaïda en France" ed. Seuil. Révélations sur ces réseaux prêts à frapper. 2014. 426 pages 
    2.  op. cit. page 425. 
    3.  op. cit. page 426.
    4.  op. cit. page 83. 
    5.  op. cit. page 317.
    6.  op. cit. page 49. 
    7.  op. cit. page 401.
    8.  op. cit. page 345.
    9.  op. cit. page 422.
    10.  op. cit. page 385.
  • Arrêt « GPA » : « C’est la porte ouverte à tous les trafics d’enfants »

    Entretien avec Aude Mirkovic

    Que vous inspire l’annonce de la condamnation de la France par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) sur le dossier de la gestation pour autrui (GPA) ?

    La France est condamnée par la Cour européenne des droits de l’Homme parce qu’elle refuse de transcrire sur les registres français d’état civil les actes de naissance étrangers des enfants nés de GPA aux Etats-Unis, en Inde ou ailleurs. Autrement dit, la Cour européenne nous ordonne de fermer les yeux sur le recours à la GPA, au nom du soi-disant intérêt des enfants concernés, ce qui est un comble : cela signifie en effet que, dès lors qu’un enfant est élevé par des Français qui l’aiment et l’éduquent, la situation constituée à l’étranger doit être reconnue en France, quand bien même elle a été constituée au mépris des droits élémentaires de l’enfant ! Plaisants droits de l’homme que ceux qui servent à valider à processus de commande, fabrication, facturation et livraison d’un enfant. C’est la porte ouverte à tous les trafics d’enfants dans le cadre notamment de l’adoption internationale : le marché des enfants a de beaux jours devant lui si les personnes peu scrupuleuses savent que, une fois l’enfant élevé et choyé en France par ses parents adoptifs, son intérêt servira de prétexte pour passer outre, le cas échéant, toutes les violations de ses droits et de ceux de ses géniteurs.

    Cela ne nous achemine-t-il pas tout droit vers la légalisation de la GPA en France, au nom d’une GPA éthique qui serait un moindre mal par rapport au recours à ces GPA à l’étranger, que de fait, on autorise par cette décision ?

    Lire la suite

  • Marion Maréchal-Le Pen dénonce l'acquittement du Dr Bonnemaison

    Le député FN écrit dans un communiqué :

    "La décision de la cour d’acquitter le docteur Bonnemaison est aussi surprenante que scandaleuse. Ce médecin, présenté en héros des temps modernes, était poursuivi pour avoir « abréger la vie », autrement dit tuer, 7 personnes par empoisonnement. Le tout de sa propre initiative, sans en parler dans certains cas ni aux familles ni au personnel soignant. L’une des personnes assassinées se trouvait dans un coma stable contredisant ainsi l’argument avancé par la défense de la volonté du médecin d’abréger la souffrance.

    L’affaire est si grave que l’ordre des médecins, connu pour rechigner à ce type de mesure disciplinaire, l’a radié de son ordre en raison d’une violation manifeste de la loi Léonetti sur l’obligation d’une prise de décision collégiale.

    Pour autant, la confusion du jury entre le mobile, à savoir la volonté d’abréger la souffrance et de « préserver la dignité », et l’élément intentionnel, celui de donner la mort, a permis de laisser le meurtre impuni voire même salué par une partie de la classe politique et des médias en vue de promouvoir la prochaine loi sur l’euthanasie.

    Cette décision de Justice consacre la toute-puissance du médecin sur toute autre considération éthique, qu’elle soit sociale, le meurtre est interdit dans notre société, ou déontologique avec le serment d’Hippocrate « je ne provoquerai jamais la mort délibérément ».

    Le statut de médecin doit-il permettre de décider seul qui doit vivre ou mourir ? Qui est suffisamment digne de bénéficier encore du soutien de la société ou qui ne l’est plus ? Etre âgé, dépendant, handicapé ou même sur le point de mourir est-il une raison suffisante pour que la société matérialiste se débarrasse plus rapidement de ces éléments trop peu.

    L’humanité à elle-seule est une dignité à défendre jusqu’au bout par le soutien, la compassion et la solidarité de la société jusque dans les murs feutrés des chambres d’hôpital surpeuplées…"

    Michel Janva