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insécurité - Page 905

  • « Pas d’amalgame » : pourquoi le message ne passe plus ?

    Dès le lendemain de l’assassinat d’Hervé Goudel, la classe politico-journalistique n’a pas manqué de s’inquiéter des risques d’amalgame entre les djihadistes affiliés à l’EI et les musulmans français. Outre les grands prêtres de la bien-pensance, nos maîtres ont envoyé sur le front médiatique l’iman Chalghoumi, sympathique recteur de la mosquée de Drancy, et l’incontournable Dalil Boubakeur, recteur de la Grande Mosquée de Paris. Pour donner crédit aux lassantes imprécations de la religion bobo, ils ont aussi veillé à relayer l’initiative incontestablement courageuse de ces musulmans qui diffusent sur la Toile une photo d’eux même accompagné du slogan « Not in my name », histoire de se désolidariser clairement des crimes djihadistes. À en juger par la tonalité des réactions des lecteurs ou des réactions de comptoir, il semble que le message ait désormais du mal à passer.

    Pourquoi, alors que le Français lambda continue à saluer amicalement son voisin musulman sur le pas de sa porte ou à la sortie de l’école des petits, pourquoi ne supporte-t-il plus ce mantra du padamalgame ?

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  • Les Français face à l’islam : entre incompréhension et dégoût

    La décapitation mercredi d’Hervé Gourdel par des djihadistes kabyles a provoqué un profond traumatisme dans l’opinion publique française

    Cette décapitation, filmée, répond à un rituel désormais bien rodé. Les Français, tout formatés qu’ils soient par les médias bien-pensants, n’ont pas attendu cet acte abject pour éprouver une répugnance croissante vis-à-vis de l’islam. Dans un sondage Ipsos-Le Monde de janvier 2013, 74 % des Français jugeaient l’islam intolérant et incompatible avec les valeurs de la société française. Un chiffre qui monte à 81 % dans un sondage CSA-Atlantico en date du 30 juin dernier.

    L’égorgement, qui révulse tout individu civilisé, semble être un rituel très prégnant en islam…

    Ainsi, de l’égorgement — en une seule journée — des hommes de la tribu juive des Banu Qurayza (de 600 à 900 hommes selon les sources) à Yathrib (la future Médine). Un massacre qui, par parenthèse, n’a rien à envier à ceux commis par les Hébreux lors de leur conquête de Canaan… Ainsi, de l’Aït‑el‑kébir, la plus importante fête de l’islam, au cours de laquelle le musulman égorge rituellement le mouton devant sa famille. Ainsi, de nombreux témoignages de policiers des quartiers de l’immigration : les menaces de mort dont ils sont quotidiennement victimes s’expriment très naturellement par un index plaqué en travers de la gorge…

     

    Certains musulmans ne tentent-ils pas de nager à contre-courant ?

    Le 9 septembre, Dalil Boubakeur, recteur de la Grande mosquée de Paris lançait un appel en faveur des chrétiens du Proche‑Orient. Un appel sans grande portée, puisque la très puissante Union des organisations islamiques de France (UOIF), majoritaire dans les mosquées, ne l’a pas signé. M. Boubakeur récidivait hier, appelant, à un rassemblement ce vendredi à 14 h 45, devant la mosquée, en hommage à Hervé Gourdel, dénonçant des actions qui « pervertissent l’islam et ses valeurs ». Pour savoir si l’islamisme est une « perversion » de l’islam, il convient entre autres de décrypter le coran à la lumière de l’arnaque intellectuelle majeure que constitue la coexistence, sur le même plan, des nâsikhs (versets abrogatifs) et des mansûkhs (versets certes tolérants, mais abrogés par les premiers). La différence entre islam et islamisme n’apparaît-elle pas alors aussi fine que la lame de l’égorgeur ? Pour de nombreux Français, telle semble désormais être la question…

    http://fr.novopress.info/175662/les-francais-face-a-l-islam-entre-incomprehension-et-degout/#more-175662

  • Des gauchistes s'en prennent aux catholiques à Berlin

    Lu sur l'Observatoire de la christianophobie :

    "L’église catholique de la paroisse du Sacré-Cœur (Herz-Jesu) de Berlin a été vandalisée et saccagée dans la nuit du 19 dernier, par des gauchistes – qui ont d’ailleurs “renvendiqué” l’acte sur leurs blogue –, au motif que la paroisse avait offert un local pour que s’y réunissent les chrétiens pro-vie organisateurs de laMarche pour la Vie (Marsch für das Leben) qui se déroulait le lendemain dans la capitale fédérale. La façade de l’église a été souillée de tags variés, ces bouteilles de peinture rouge jeté à l’intérieur, le mobilier détruit, les vêtements liturgiques souillés…La Marche pour la Vie a elle-même été la cible de la haine violente des gauchistes : de nombreux chrétiens qui y participaient ont été insultés et molestés. Il aura fallu attendre le 22 septembre pour que le maire de Berlin daigne faire un communiqué condamnant les violences contre les marcheurs pour la vie…

    Michel Janva

  • L’exécution d’Hervé Gourdel et de Samira Saleh, ou comment nos réflexes profitent à l’EI

    Hervé Gourdel est mort assassiné par des fanatiques qui se réclament de Dieu (Al-Lah en arabe) et du « soi-disant État islamique », comme je l’ai lu ce matin sur un site anglophone (so-called islamic state). Une définition qui convient mieux, reconnaissons-le, que toutes les autres (pour rappel, Daesh signifie bêtement État islamique en Iraq et au Levant.)

    Le débat fait rage en France pour savoir quel mot utiliser pour désigner ce nouvel ennemi de la paix. Daesh, Isis, EIIL, EI, L’Organisation, etc. Pourtant, au temps où notre grand Satan était le soviétisme, on n’a jamais proposé d’écrire la soi-disant République démocratique d’Allemagne. Devons-nous perdre du temps à ergoter sur le nom à donner à l’État islamique sachant qu’il n’est ni État, ni islamique ? Je n’ai pas la réponse, mais cette question montre à quel point cette organisation a réussi à semer le trouble en Occident.

    Le simple fait qu’on discute de la manière de nommer l’Organisation État islamique est une victoire de celle-ci.

    Car on ne discute pas, en général, de la pertinence des acronymes. Du statut libératoire (ou non) du « Front de libération national corse », ni de sa qualité de « Canal historique ». On ne se demande pas s’il faut écrire Front de pseudolibération pseudonationale corse. Ni canal soi-disant historique. On ne s’interroge même pas sur le nom des Jeunes Turcs, qui n’étaient ni particulièrement jeunes, ni représentatifs des Turcs, qui ont planifié et organisé le génocide arménien. Aujourd’hui encore, on n’écrit pas « les soi-disant Jeunes prétendument turcs étaient des génocidaires ». Ça aiderait pourtant les Turcs à ne plus se sentir visés quand on évoque les méfaits de ce parti dont le nom officiel était Comité Union et Progrès. Pseudo-union, et soi-disant progrès. L’Organisation État islamique (OEI) a déjà obtenu que nous nous bisbillions sur le nom à lui donner ou à lui reconnaître. Mais ce n’est qu’un début de la description du marasme.

    Hervé Gourdel était un paisible Français, amical, apprécié. Il était parti faire un trekking en Algérie. Il fut enlevé. On l’exhiba, vivant encore. On prétendit que c’était pour tenter d’empêcher la France de s’en prendre à l’Organisation État islamique. À peine deux jours plus tard, on mit son exécution en scène. Un peu comme si, en deux jours, un otage français menacé de mort pouvait empêcher une intervention de la République française en Irak.

    James Foley était un paisible américain, amical, apprécié. Steven Sodloff était amical, apprécié. David Haines, le Britannique assassiné de la même façon, était amical et apprécié. Dans tous ces cas, le débat a porté sur le fait de montrer ou non les images de l’exécution. Nous avons le luxe de nous poser la question. L’OEI compte là-dessus.[....]

    La suite sur Un blog de sel

    Pour le rwanda, lisez plutôt le blog de Bernard Lugan [NDLR]

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-execution-d-Herve-Gourdel-et-de

  • Crimes terroristes: souvenez-vous des Harkis!

    Communiqué de presse de Bruno GOLLNISCH,
    Député européen, membre du Bureau politique du Front National.
     
    Le meurtre sauvage d’Hervé GOURDEL, enlevé en Kabylie, résonne plus particulièrement à nos oreilles aujourd’hui, journée commémorative des Harkis, ces musulmans ayant naguère choisi la France. L’émotion suscitée depuis hier par cet  acte abject permet sûrement à nos compatriotes d’entrevoir les souffrances qui furent celles des Français d’Algérie. Massacres planifiés, viols de masse et tortures épouvantables infligées par le FLN à des dizaines de milliers de Harkis : la barbarie islamiste n’est pas nouvelle. 
     
    Ce terrible drame humain, cette tâche sur le drapeau français, ne suscita guère à l’époque la colère et la compassion. Un véritable crime contre l’humanité qui fut aussi le fait de l’attitude indigne du pouvoir politique de l’époque.
     
    Loin de vouloir sans cesse ressasser le passé, le parallèle évoqué est criant de réalité. Les indignations à géométrie variable ne pourront pas éternellement dissimuler qu’à ne jamais retenir les leçons du passé, nos gouvernants condamnent les peuples à revivre toujours les mêmes drames.

  • Les invasions barbares

    C’est la première victime française de cette troisième guerre d’Irak, à plusieurs milliers de kilomètres pourtant des frontières irakiennes et syriennes. L’immonde mise à mort-mise en scéne de la décapitation d’Hervé Gourdel en Algérie par un groupe se réclamant de l’Etat Islamique (EI) était redoutée de nos compatriotes. Elle a bien eu lieu, similaire à celles ces dernières semaines des deux journalistes enlevés en Syrie et revendiqués par le même groupe terroriste, l’américain James Foley, l’israélo-américain Steven Sotloff et du travailleur humanitaire britannique David Haines. Ce n’est pas un hasard, pour lui donner un retentissement mondial, l’annonce de cette décapitation a eu lieu hier, à l’occasion de  la 69e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, lors du Conseil de sécurité extraordinaire présidé par Barack ObamaUne résolution contraignante y a été adoptée qui impose aux Etats, sous peine de sanction, d’empêcher leurs citoyens de s’enrôler dans des organisations extrémistes comme l’Etat islamique.

    Depuis la tribune de l’ONU, François Hollande a indiqué hier que la France ne cédera pas au chantage des terroristes -pouvait-il dire autre chose? Plus « étonnant », le ministre Jean-Yves Le Drian a fait savoir ce matin  que des frappes aériennes de la France contre la Syrie n’étaient pas forcément à exclure.

    Une annonce qui si elle était suivie d’effet entraînerait une rupture avec la ligne définie par François Hollande lors de sa dernière grande conférence de presse à l’Elysée.

    Le Président de la République avait indiqué que la France avait pris grand soin jusqu’alors de justifier son intervention en Irak par un strict respect de la légalité, découlant de  » l’appel à l’aide » du gouvernement irakien. Or des frappes en Syrie seraient conditionnées, dans le cadre du droit international, à une résolution de l’ONU…Enfin certaines autorités morales craignent que des frappes contre l’EI en Syrie renforcent le régime laïc de Bachar el Assad dont beaucoup dedocteur Folamour, de grands démocrates atlantistes veulent toujours le scalp…

    Marine Le Pen le rappelait d’ailleurs ce matin en marge d’un hommage aux harkis, « la France est unie contre le danger« , elle est aujourd’hui « menacée directement », mais il s’agit de faire le tour des responsabilités « des uns et des autres ». La présidente du FN a pointé les interventions des gouvernements UMPS en Libye et en Syrie qui ont contribué hier  à renforcer un terrorisme qui se développe aujourd’hui. Cela n’empêche pas la classe politicienne de se lamenter et d’entonner des discours martiaux pour s’exonérer de ses fautes constate Bruno Gollnisch; ni les habituels escrocs intellectuels comme Bernard-Henry Lévy de faire le tour des plateaux.

    Fort de son prix Nobel de la paix, Barack Obama méne sa guerre au Moyen-Orient sans complexe. Ces derniers jours, nous avons assisté à une intensification des opérations menées avec les premières frappes aériennes contre l’Etat Islamique sur le sol syrien, notamment sur la ville deRacca et contre des raffineries de pétrole aux mains de l’EI, brut vendu au marché noir par les djihadistes pour financer leur guerre de terreur.

    A dire vrai, il s’agit de le souligner, le président des Etats-Unis, chouchou de boboland, entreprend depuis son accession à la Maison blanche une politique plus discrète mais  assez sanglante d’élimination des « ennemis de l’Amérique », de la Somalie au Pakistan, via des attaques de drones, d’une ampleur inégalée. Elle n’aurait pas été reniée par le « méchant » George W. Bush, le roi des dommages collatéraux …

    L’attitude de la Maison blanche vis-à-vis de la Russie n’a elle ausi guère changé et garde toujoursson parfum de guerre froide, avec son lot de déstabilisation, de manoeuvre et d’hostilité sourde.

    Sergueï Lavrov, le ministre russe des Affaires étrangères, n’a pas hésité à le dire hier depuis l’assemblée des Etats-Unis: « En ce qui concerne le discours du président des États-Unis, nous nous sommes retrouvés (les Russes, NDLR)  à la seconde place en termes de menaces à la paix internationales et la sécurité. Le virus Ebola se trouve à la première place, et l’agression russe en Europe  se trouve à la seconde place, tandis que l’Etat Islamique est à la troisième place« , a-t-il déclaré.

    Une volonté des Etats-unis d’écarter aussi Moscou de la résolution de ce conflit engagé contre la terreur islamiste alors qu’il est évident que celui-ci ne pourra être réglé sans l’aide de la Russie mais aussi de l’Iran. Moscou aurait ainsi proposé à Washington, en échange de son soutien à une résolution sur la Syrie, de prendre sous sa responsabilité, avec sa propre aviation, les frappes contre l’EI sur le sol syrien.

    En rejetant cette aide (certes intéressée) de la Russie d’intervenir militairement sur le territoire de son allié pour tenter d’y éradiquer l’EI, Obama peut mettre une croix , sans le vote russe, sur unerésolution de l’ONU légitimant les frappes en Syrie qui lui aurait peut être permis d’attirer d’autres alliés.

    Il est d’ailleurs assez frappant de constater la difficulté (prévisible) qui est celle des Etats-Unis à attirer dans cette coalition contre l’EI des pays musulmans. Même un membre de l‘Otan comme la Turquiede Recep Tayip Erdogan, qui s’était impliquée fortement, concrètement, pour faire tomber Bachar el Assad, craint désormais la déstabilisation. Entre afflux de réfugiés, retour en force de la question kurde et une opinion publique défavorable à toute intervention, Ankara s’inquiète aussi de voir ses ambitions régionales réduites à néant et se contente du « service (ultra) minimum » sans intervenir militairement.

    Sur les 22 Etats membres de la Ligue Arabe, outre l’Irak bien sûr, seuls l’Arabie Séoudite, le Qatar, Bahreïn, les Émirats Arabes Unis et la Jordanie ont répondu à l’appel de M. Obama, sans que l’on sache vraiment l’ampleur, la réalité de cette participation militaire aux frappes contre l’EI. Or, les deux premiers pays de cette liste sont des soutiens avérés au terrorisme islamique et les deux derniers en lutte depuis des années contre les menées subervsives de Ryad et de Doha…

    Notons encore que l’Etat américain démontre aussi qu’il n’abandonne pas l’objectif de mettre à bas le régime syrien« Idéalement » pour y mettre en place un gouvernement à l’échine plus souple et plus compréhensif à l’égard des menées de l’Oncle Sam dans la région. Quitte à prolonger cette guerre qui ravage et ensanglante ce pays dont les différentes communautés vivaient globalement en sécurité, en paix et en harmonie sous le régime certes autoritaire de son président.

    Le terrorisme djihadiste contre lequel se démène la Syrie ne s’attaque pas seulement aux populations civiles, ne se contente pas de violer, de torturer, d’humilier, de mutiler;  il s’attaque de la même façon  aux valeurs civilisationnelles en s’en prenant au patrimoine artistique.

    Selon un récent rapport du Fonds du Patrimoine mondial de l’Unesco, les fous d’Allah ont volontairement détruit, pillé, endommagé, des centaines de sites historiques et de musées.

    Mamoun Abdoulkarim, directeur général du Département du patrimoine culturel de Syrie a lancé un cri d’alarme: « Notre pays est en effet menacé de la destruction du patrimoine culturel (…).Aujourd’hui, au 21e siècle, des forces incultes se sont éveillées qui se permettent sans scrupules de mettre en ruines le patrimoine culturel de tout un pays (…). Leur conception du monde dogmatique n’accepte pas de respect envers des cultures anciennes. Bien des provinces historiques de Syrie ont subi de fortes destructions. Des monuments à Deïr ez-Zore ont été endommagés, les monuments assyriens dans le sud de la ville d’Al-Hasak, le sépulcre de Chach-Hamdan à Alep datant du 1er siècle avant J.-C. et beaucoup d’autres ont été détruits ».

    « Des objets d’art anciens volés de musées et des biens culturels provenant des fouilles archéologiques illicites dans les régions contrôlées par l’opposition armée sont trafiqués illégalement à l’étranger. Le Département du patrimoine culturel numérise les pièces volées afin de faciliter leur recherche internationale. Beaucoup ont été récupérées. Tandis que le butin des fouilles illicites est, probablement perdu à jamais« .

    « Seules des actions conjuguées résolues de la communauté mondiale sont en mesure de stopper ce processus », affirme M. Abdoulkarim. M. Obama s’en moque ou à tout le moins, ce n’est pas sa priorité.  Le principal n’est-il pas que Disneyland,  Monsanto et Mc Donald poursuivent leurs ouvertures de franchises à travers le monde? Cette autre invasion barbare…

    http://gollnisch.com/2014/09/25/les-invasions-barbares/

  • Menaces de l’Etat Islamique: « Nous conquerrons votre Rome, nous briserons vos croix et nous réduirons vos femmes en esclavage. »

    François Hollande, en pompier pyromane, a allumé le feu en Syrie, l’incendie a gagné l’Irak, il est à présent en train de rentrer chez nous.

    Hier lundi une vidéo de l’Etat Islamique s’adressait aux pays engagés dans les frappes contre l’Irak en ces termes, extraits :

    « l’Etat islamique ne vous a pas déclaré la guerre (…) c’est vous qui avez commencé de nous agresser, par conséquent, vous aller payer le prix ». « nous frapperons votre patrie, et vous ne pourrez plus nuire à quiconque ».

    Ensuite il s’adresse aux musulmans qui habitent dans les pays menacés:

    « La meilleure chose que vous puissiez faire est de vous efforcer de tuer tout infidèle, qu’il soit Français, Américain ou d’un de leurs pays alliés », déclare le porte-parole du groupe, Abou Mohamed al Adnani, dans un message audio diffusé lundi.

    « Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munitions, alors isolez l’Américain infidèle, le Françaisinfidèle ou n’importe lequel de ses alliés. Ecrasez-lui la tête à coup de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le« , poursuit-il.

    « Laisserez-vous l’Américain, le Français ou n’importe lequel de ses alliés se promener en sécurité sur terre tandis que les armées des croisés frappent les terres des musulmans sans faire de distinction entre un civil et un combattant ? »

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  • Algérie : l'otage français décapité

    Hervé Gourdel, enlevé dimanche en Algérie par un groupe jihadiste, a été décapité.

    Ce groupe terroriste, dirigé par Abdelmalek Gouri, alias Khaled Abou Souleimane, avait donné un ultimatum de 24 heures à la France pour stopper les frappes aériennes contre l'Etat islamique.

    RIP.

    Michel Janva

  • Cazeneuve a discrédité la parole du ministère de l’Intérieur, il doit démissionner !

    Notre dispositif de lutte anti-terroriste a de nombreuses failles et n’est pas prêt aux enjeux contemporains.   

    Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, a annoncé, mardi à midi, l’arrestation de trois individus dangereux (des djihadistes s’étant illustrés dans l’État islamique en Irak et au Levant) « dès qu’ils ont posé le pied en France ». Les trois apprentis terroristes étaient attendus à Orly, mais ils ne sont jamais venus. En effet, ils ont atterri à Marseille et n’ont jamais été inquiétés une seule fois lorsqu’ils ont débarqué. Seuls, lâchés dans la nature, ils auraient pu fuir à tout moment.

    Premier protagoniste de la bande, le fameux Abdelouahed Baghdali, 29 ans et époux de Souad Merah. Vient ensuite Imad Djebali, ami d’enfance de Mohamed Merah et élève d’Olivier Corel, le gourou islamiste du village d’Artigat en Ariège. Enfin, last but not least, le converti Gael Maurize, Albigeois lui aussi connu des services anti-terroristes. Cette sinistre petite bande de mercenaires n’était donc pas inconnue de la police, loin de là.

    Les trois hommes ont été arrêtés en Turquie, après s’être entraînés à la pratique de la guerre la plus barbare en Syrie. Il s’agissait donc de gros poissons qui nécessitaient la plus grande vigilance, eu égard à leur dangerosité.

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