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insécurité - Page 949

  • Le développement du djihadisme en Afrique préoccupe notre état-major

    L’Amiral Guillaud, chef d’état-major des armées, a envisagé quelques nouveaux conflits militaires qui attendent la France. S’exprimant devant un parterre d’officiers supérieurs au cours d’un colloque à l’Ecole militaire au début de ce mois, l’Amiral Guillaud a prédit : « Nous serons amenés à commander d’autres interventions que celle du Mali ». Et d’expliciter : « Cette certitude, c’est l’instabilité qui caractérise nos zones d’intérêt prioritaire : le Machrek, la bande sahélo-saharienne, l’Afrique en général, le Proche et le Moyen-Orient, le Golfe. » Bref, le monde va mal et les opérations extérieures de la France sont inévitables mais l’Amiral Guillaud a aussi rappelé pudiquement que l’armée française ne se porte pas bien non plus et qu’elle connaît de grandes « fragilités capacitaires ».

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  • Gangs de Roms et pillages de métaux : que fait donc Manuel Valls ?

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    Cette ravissante statue se trouvait sur le monument aux Morts de Bucquoy près d’Arras. Elle pesait 200 kg. Elle a été volée l’an dernier. Pas de chance ! En revanche, celle de Feuchin toute aussi belle et pesant 400 kg a été retrouvée à la fin de l’an dernier. Un gang de 12 Roms avait tenté de négocier des tonnes d’objets en bronze volés. Les cimetières de Lille-Sud, Marcq-en-Barœul et Mons-en-Barœul (Nord) notamment ont été littéralement écumés par les voleurs. « Toutes les croix et les madones en métal ont été retirées, découpées, c’est du pillage » ont déclaré les enquêteurs. Pourquoi le Nord ? Parce que les ferrailleurs belges ne sont guère regardants sur la provenance des objets volés qui ensuite seront refondus. L’un d’entre eux sans doute a eu quelques remords et a prévenu la police ; en effet le lot qui lui était proposé comprenait deux candélabres de 1m50 provenant du chœur de la cathédrale d’Arras – leur valeur était de 500.000 euros - ; mais aussi 450 kg de crucifix et de Vierges en bronze.

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  • Ces jeunes Français partis faire le Jihad semblaient bien intégrés

    Lu dans Islam Confidentiel :

    "Le reportage consacré par Nice-Matin à « ces jeunes Azuréens qui font le djihad » (édition du 18 novembre 2013) fait froid dans le dos. Selon notre confrère, une dizaine, au moins, de jeune adultes de la région niçoise sont partis, « du jour au lendemain », à la fin du mois de septembre, faire le djihad en Syrie. Si l’affaire éclate, c’est que des mamans ont décidé de parler. Le secret de famille devenait trop lourd à porter. On notera que ce sont des mères, et non des pères, qui brisent le silence.

    Le témoignage le plus poignant est celui de Samia. Elle a la cinquantaine. Son fils Farid, tout juste majeur, lui a dit qu’il voulait voir Istanbul. Un matin, il est parti. Elle ne sait pas comment il a financé son voyage. Quelque temps plus tard, elle a trouvé une lettre dans sa boîte. Non affranchie. Quelqu’un l’avait déposée à Saint-Laurent-du-Var. Elle n’a jamais su qui. Dans cette lettre, dont elle a reconnu l’écriture, il lui disait la vérité. Il était parti en Syrie, à Alep. « Je vais me battre pour le djihad, contre ceux qui tuent nos frères. Je le fais pour Allah et pour vous tous. Si je devais mourir ici, 65 de mes proches iront automatiquement au paradis grâce à mon martyr. » Depuis, elle a eu au téléphone ce fils qu’elle connaissait fêtard et qui n’était de culture musulmane que par tradition familiale. Elle ne le comprend plus. « On lui a mangé le cerveau. » Un jour qu’elle lui demandait de revenir, il l’a traitée de « juive ». Mais une autre fois, il a pleuré. 

    A la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), on nous avoue que les services de renseignement sont impuissants à empêcher ces départs. A quel titre, d’ailleurs ?"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/ces-jeunes-fran%C3%A7ais-partis-faire-le-jihad-semblaient-bien-int%C3%A9gr%C3%A9s.html

  • Procès - Soutien Banderole Hollande Démission Le 8 Janvier

  • La part des étrangers dans les vols et cambriolages a fortement augmenté depuis quatre ans

    Alors qu’un rapport très contesté sur l’intégration vient d’être mis en ligne par Matignon (mêlant pêle-mêle repentance, métissage et mensonges historiques éhontés), l’Observatoire national de la délinquance a publié hier une étude portant sur les statistiques de la délinquance entre 2008 et 2012.

    Le constat est sans appel : la part des étrangers officiels dans les vols et cambriolages a augmenté de près des deux tiers, passant de 16,5 % en 2008 à 26,8% en 2012.

    Sans surprise, les plus fortes hausses sont à imputer aux jeunes filles mineures, originaires du sud-est de l’Europe, ainsi qu’aux Tunisiens, depuis le prétendu « printemps arabe ».

    Gardons à l’esprit que l’immigration a fortement augmenté depuis 2007, Sarközy en ayant considérablement ouvert les vannes sous des dehors de discours combatifs.

    Rappelons également que ces chiffres ne prennent pas en compte les étrangers plus ou moins fraîchement naturalisés. Ne sont donc concernés que les trois à quatre millions d’étrangers (et non les « Français de papier »), c’est à dire environ 6 % de la population vivant en France, à l’origine de 26,8 % des vols.

    http://www.contre-info.com/la-part-des-etrangers-dans-les-vols-et-cambriolages-a-fortement-augmente-depuis-quatre-ans

  • Memorandum d’anciens du renseignement à Obama : ” La Syrie est-elle un piège ?”

    MEMORANDUM FOR: Le Président – Sept. 2013

    FROM: Veteran Intelligence Professionals for Sanity (VIPS)

    SUBJECT: La Syrie est-elle un piège ? (Is Syria a Trap?)

    Priorité : IMMÉDIATE

    Nous sommes au regret de vous informer que certains anciens collègues nous disent avec certitude que, contrairement aux déclarations de votre administration, les sources les plus fiables attestent que Bashar al-Assad n’est pas responsable de l’incident chimique du 21 août qui a tué et blessé des civils syriens, et les services secrets Britanniques le savent également. En écrivant ce bref rapport, nous préférons penser que vous n’avez pas été totalement informé car vos conseillers ont préféré vous ménager la possibilité future de nier – couramment désignée comme “le déni plausible”.

    Nous avons déjà connu cette situation – avec le Président George W; Bush, à qui nous avions adressé notre premier memo VIPS juste après la déclaration de Colin Powell le 5 février 2003 dans son discours aux Nations Unies, dans lequel il avait colporté de faux renseignements pour justifier l’attaque contre l’Irak. Par la suite, aussi, nous avons préféré accorder au Président Bush le bénéfice du doute, pensant qu’il avait été trompé ou à tout le moins très mal conseillé.

    La nature frauduleuse du discours de Powell était évidente. C’est pourquoi, l’après-midi même, nous avions fortement recommandé à votre prédécesseur “d’élargir la discussion au-delà [...] du cercle des conseillers clairement partisans d’une guerre dont nous ne voyions pas de raisons valables, et dont les conséquences seraient, d’après nous, catastrophiques.” Nous donnons le même conseil aujourd’hui.

    Nos sources confirment qu’un incident d’origine chimique a fait des victimes, morts et blessés, le 21 août, dans la banlieue de Damas.

    Nos sources insistent, cependant, sur le fait que cet incident n’était pas le résultat d’une attaque de la part de l’armée syrienne utilisant des armes chimiques de classe militaire provenant de son arsenal. C’est le fait le plus marquant, d’après un officier de la CIA qui travaille sur le dossier syrien. Elles nous expliquent que le directeur de la CIA John Brennan est en train de tromper les membres du Congrès, les médias, le public, et peut-être même vous, avec une supercherie du même type que celle qui a été utilisée avant la guerre en Irak.

     

    Nous avons observé de près John Brennan pendant ces dernières années, et, malheureusement, nous n’avons aucun mal à croire ce que disent nos ex-collègues. Ce qui est encore plus malheureux, c’est que ce sentiment est encore plus prononcé chez ceux qui ont collaboré plus étroitement avec lui ; nous ne lui portons aucun crédit. Et c’est aussi le cas de son patron, James Clapper, directeur de la National Intelligence, qui a admis qu’il avait fait des déclarations sous serment “clairement erronées” au Congrès, niant que la NSA espionnait les Américains.

    Synthèse des services secrets ou manoeuvre politique ?

    Il nous paraît étrange que le Secrétaire d’état John Kerry ait – cette semaine dans un témoignage devant le Congrès – évoqué le nom de Clapper dans une tentative pour renforcer la crédibilité du document de 4 pages intitulé : “Évaluations du gouvernement”. D’autant plus que, pour une mystérieuse raison, c’est la Maison Blanche et non Clapper qui a publié cette “évaluation”.

    La ficelle est grosse. Nous savons comment cela se passe. Bien que L’”Évaluation du gouvernement” soit vendue aux médias comme une “Synthèse des services de renseignement”, c’est un document politique, et non pas des services de renseignement. Non seulement, les rédacteurs ont évité de présenter les détails essentiels, mais ils ont même admis d’emblée que, bien qu’ils annoncent une fiabilité élevée, les faits ne sont pas encore confirmés.

    Fraude déjà vue : cela rappelle le fameux compte rendu de Downing street du 23 juillet 2002 sur l’Irak. Le compte rendu de Richard Dearlove, alors patron des services de renseignements Britanniques, déclarant au premier ministre Tony Blair et à d’autres officiels de haut rang que le Président Bush avait décidé d’éliminer Saddam Hussein par une action militaire qui serait justifiée par la conjonction du terrorisme et des armes de destructions massives. Dearlove tenait ces propos du directeur de la CIA George Tenet qu’il avait rencontré au siège de la CIA le 20 juillet.

    La discussion qui s’ensuivit se basa sur le caractère éphémère des preuves, forçant Dearlove à expliquer : “Les renseignements et les faits ont été corrigés en fonction des besoins politiques”. Nous craignons que c’est précisément ce qui se passe avec les renseignements sur la Syrie.

    Les renseignements

    Il y a un nombre croissant de preuves provenant de multiples sources au Moyen Orient, principalement affiliées à l’opposition Syrienne et à ses alliés, appuyant une forte présomption que l’incident chimique du 21 août était une provocation organisée par l’opposition Syrienne avec ses alliés Saoudiens et Turques. Le but allégué est d’avoir créé le type d’incident qui entraînerait les États-Unis dans la guerre.

    Selon certains rapports, des bonbonnes contenant des agents chimiques ont été amenées dans la banlieue de Damas où elles ont été ouvertes. Des personnes dans la proximité immédiate ont été tuées, d’autres blessées.

    Nous ne connaissons aucune preuve solide du fait qu’une roquette à charge chimique ait été tirée dans la zone. En fait, il n’existe à notre connaissance pas de preuve physique fiable permettant de penser qu’il s’agissait d’une frappe d’une unité Syrienne spécialisée dans les armes chimiques.

    De plus, nous avons appris que, les 13 et 14 août 2013, les forces d’oppositions supportées par les occidentaux ont lancé les préparatifs d’une attaque surprise massive.

    Les premières réunions entre les chefs militaires de l’opposition et les officiels du renseignement Qatari, Turcs et Américains ont eu lieu à la garnison turque de Antakya, dans la province de Hatay, qui sert maintenant de QG pour l’Armée libre de Syrie et ses appuis occidentaux.

    Les chefs de l’opposition qui venaient d’Istanbul ont informé les chefs régionaux d’une escalade imminente dans les combats due à un tournant dans la guerre qui, à son tour, amènerait à un bombardement de la Syrie sous l’égide des États-Unis.

    Lors des réunions de coordination à Antakya, avec les responsables du renseignement Turcs, Quatari et américains et les chefs de l’opposition Syrienne, on annonça aux Syriens que les bombardements allaient commencer dans quelques jours.

    On demanda aux leaders de l’opposition de préparer leurs troupes à exploiter rapidement le bombardement américain, marcher sur Damas et déposer le gouvernement de Bashar al-Assad.

    Les officiels du renseignement Qatari et Turc ont assuré les chefs régionaux qu’ils seraient massivement approvisionnés en armes pour l’offensive. Et ils l’ont été.

    Des livraisons d’armes à une échelle jusque là inégalée ont commencé à partir des arsenaux contrôlés par les services de renseignement Qatari et Turc sous surveillance étroite des officiers de renseignement américains.

    Cui bono ? / À qui profite le crime ?

    Il est clair que les différents groupes qui cherchent à renverser Bashar al Assad sont fortement motivés pour que les États-Unis s’impliquent davantage. Jusqu’à présent, il n’est pas aussi clair que le gouvernement Israélien de Netanyahu soit aussi motivé de voir Washington s’impliquer plus avant dans une nouvelle guerre dans la région.

    Mais avec les importantes pressions venant d’Israël et des lobbies américains qui les soutiennent, l’objectif prioritaire d’Israël devient limpide. La journaliste Judi Rudoren, écrivant de Jérusalem dans un article important du New York Times de jeudi, cerne le but d’Israël avec une candeur inhabituelle. Son article intitulé : “Israël est pour une frappe limitée en Syrie” remarque que les Israéliens ont tranquillement fait remarquer que le meilleur résultat de la guerre civile Syrienne qui dure depuis deux ans et demi, était, au moins pour le moment : pas de résultat. Rudoren poursuit : pour Jérusalem, le statu quo, aussi horrible qu’il puisse paraître d’un point de vue humanitaire, est préférable aussi bien à la victoire du gouvernement d’Assad et de ses alliés Iraniens qu’à un renforcement des groupes rebelles qui sont de plus en plus dominés par les djihadistes sunnites.

    “C’est une situation de barrage, dans laquelle vous avez intérêt à ce que les deux camps perdent, ou en tout cas à ce qu’aucun ne l’emporte – nous sommes pour un blocage” à déclaré Alon Pinkas, ancien consul général d’Israël à New York. “Laissons les deux camps se saigner et mourir d’hémorragie : c’est la perspective stratégique. Aussi longtemps que cela dure, il n’y a pas de menace réelle de la part de la Syrie.”

    Nous pensons que c’est ainsi qu’Israël considère actuellement la situation en Syrie, et qu’une implication plus forte des États-Unis – quoique, initialement, par des frappes militaires “limitées” – assurerait qu’il n’y ait pas d’issue rapide au conflit en Syrie. Israël calcule que plus longtemps les sunnites et les chiites s’entre-égorgeront en Syrie et dans la région alentour, plus il sera en sécurité. Le principal allié de la Syrie est l’Iran, avec qui il est lié par un traité de défense mutuelle, et il joue aussi un rôle dans les calculs d’Israël. Les dirigeants iraniens ne sont probablement pas capables d’avoir un grand impact militaire en Syrie, et Israël peut le mettre en évidence pour embarrasser Téhéran.

    Le rôle de l’Iran

    L’Iran peut facilement être blâmé par association et accusé de toute sorte de provocations, réelles ou imaginaires. Certains ont vu la main d’Israël dans l’origine des accusations les plus graves contre Assad en matière d’armes chimiques et notre expérience nous suggère que c’est tout à fait possible.

    Il est aussi possible qu’est une attaque sous un faux pavillon par l’une des parties intéressées aboutissant par exemple au naufrage ou à de graves dommages sur l’un des cinq destroyers qui patrouillent actuellement juste à l’ouest de la Syrie. On pourrait compter sur nos grands médias pour en tirer le meilleur parti et vous vous retrouveriez sous une pression encore accrue pour augmenter l’implication des États-Unis en Syrie – et peut-être au delà contre l’Iran.

    L’Iran s’est joint à ceux qui reprochent aux rebelles syriens l’incident chimique du 21 août, et a rapidement mis en garde les États-Unis contre une implication plus importante. Selon la chaîne anglophone de la télévision iranienne, le ministre des affaires étrangères Mohamed Javid Zarif a déclaré: “La crise syrienne est un piège tendu par les groupes de pression sionistes aux États-Unis.”

    En fait, il n’est peut-être pas si loin de la vérité. Mais nous pensons que vos conseillers devraient se méfier de cet argument. Ainsi, nous estimons qu’il est de notre responsabilité permanente de tenter de vous informer pour faire en sorte que vous et les autres responsables disposiez d’une vision complète de la situation.

    Représailles inévitables

    Nous espérons que vos conseillers vous ont prévenu que les représailles suite à une attaque contre les syriens n’est pas une question d’éventualité : la question est de savoir où et quand. Une riposte est inévitable. Par exemple, des frappes terroristes contre les ambassades et autres installations américaines risquent de faire passer l’incident de la “mission” à Benghazi du 11 septembre 2012 pour une broutille. L’un d’entre nous a abordé cette problématique essentielle il y a une semaine dans un article intitulé “Les conséquences possibles d’une attaque d’une attaque militaire des États-Unis contre la Syrie – Rappel de la destruction de la caserne des Marines à Beyrouth en 1983.

    Pour l’équipe aux commandes, les Professionnels vétérans des services secrets pour le bon sens :

    Thomas Drake, Senior Executive, NSA (former)
    Philip Giraldi, CIA, Operations Officer (ret.)
    Matthew Hoh, former Capt., USMC, Iraq & Foreign Service Officer, Afghanistan
    Larry Johnson, CIA & State Department (ret.)
    W. Patrick Lang, Senior Executive and Defense Intelligence Officer, DIA (ret.)
    David MacMichael, National Intelligence Council (ret.)
    Ray McGovern, former US Army infantry/intelligence officer & CIA analyst (ret.)
    Elizabeth Murray, Deputy National Intelligence Officer for Middle East (ret.)
    Todd Pierce, US Army Judge Advocate General (ret.)
    Sam Provance, former Sgt., US Army, Iraq
    Coleen Rowley, Division Council & Special Agent, FBI (ret.)
    Ann Wright, Col., US Army (ret); Foreign Service Officer (ret.)

    Source : Consortiumnews.com
    Traduction : www.les-crises.fr

    http://fortune.fdesouche.com/322009-memorandum-danciens-du-renseignement-obama-la-syrie-est-elle-un-piege#more-322009

  • 50 000 Grecs ont exigé la libération immédiate des prisonniers politiques nationalistes

     

     
    50 000 Grecs ont exigé la libération immédiate des prisonniers politiques nationalistes
    Samedi 30 novembre dernier, 50 000 Grecs composés de députés, de nombreux militants et sympathisants de l’Association Populaire Aube Dorée (« Golden Dawn ») venant des quatre coins de la Grèce, ont manifesté sur la Place Syntagma, au Centre d’Athènes.
    C’est face à l’actuel Parlement grec et du Monument du Soldat Inconnu, qu’ils ont exigé la justice et la libération immédiate des prisonniers politiques de l’Aube Dorée : le chef Nicos Michaloliakos ainsi que deux membres, Christos Pappas et John Hare.
    Ces dizaines de milliers de nationalistes ont formé un océan de drapeaux et de torches dans le centre de la capitale, et ont scandé divers slogans (« La Grèce appartient aux Grecs !… »).
    Le temps fort de la soirée fut la lecture des messages des prisonniers politiques de l’Aube Dorée. La foule a ensuite repris en cœur et a fait résonner l’hymne de la Golden Dawn et l’hymne national sur la place. Un message fort a ainsi été adressé aux voyous : la Grèce va gagner !
    Malgré la décision expresse de la police d’interdire les marches et autres manifestations, pas une seule arrestation n’est à déplorer. Le peuple grec n’a pas cédé et ne s’est pas laissé intimider par l’état des magouilles, état qui prétend pouvoir fermer tous les bureaux de la Golden Dawn en Grèce.
    Aube Dorée a prouvé qu’elle pouvait compter sur un important soutien populaire, qui fait espérer de bonnes choses pour l’avenir, en dépit de la répression et des manipulations médiatiques.
    Le quotidien d’information britannique The Guardian, qui rapporte régulièrement mensonges et désinformation au sujet de Golden Dawn, a été contraint de reconnaître, après la démonstration de force de samedi, que le mouvement nationaliste laïc est devenu la force politique dominante en Grèce.
    Des sondages réalisés pour le compte de partis gouvernementaux révèlent par ailleurs qu’Aube Dorée atteindrait les 17 %, faisant de ce parti le 3ème parti du pays.
    Le 2 décembre, la Cour d’Appel a rejeté la demande de libération sous caution du chef de la Golden Dawn, qui reste l’otage du régime alors qu’aucune circonstance aggravante n’est retenue contre lui. Son seul crime ? Son opposition à la dictature des corrompus.
    Seulement, dans la conscience du peuple grec, la Golden Dawn s’est imposée comme la seule source de résistance nationale.
    L’Aube se lève à peine….





  • [Vidéo] Laurent Louis dénonce le lobby pédophile belge et accuse le Premier ministre d’avoir violé un garçon de 14 ans (entre autres)

    Lors de la procédure de levée de son immunité parlementaire ce jeudi 12 décembre, Laurent Louis, le président du mouvement « Debout les Belges » prend la parole pour expliquer les raisons qui l’ont poussé à tenter de réouvrir le dossier Dutroux et à traiter le Premier Ministre Di Rupo de pédophile.

    Le député révèle avoir été soutenu dans sa démarche par la grand-mère de Julie Lejeune, une des petites victimes de Marc Dutroux. Il révèle aussi avoir rencontré un jeune homme qui affirme avoir été violé à 14 ans par Di Rupo… [...]

    La suite et la vidéo sur NdF

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Laurent-Louis-denonce-le-lobby

     
  • Plainte de 52 veilleurs contre les forces de l'ordre pour «faux en écriture publique»

    Alors que les rassemblements se multiplient à travers l'Hexagone, au rythme d'une cinquantaine par semaine, les « veilleurs » s'apprêtent à déposer une plainte pour « faux » contre les forces de l'ordre

    L'action des «veilleurs» n'a pas pris fin une fois la loi «mariage pour tous» votée. L'affrontement avec les forces de l'ordre non plus… Alors que les rassemblements pacifiques de ces citoyens se multiplient partout en France - un par mois à Paris et une cinquantaine chaque semaine en province -, les forces de l'ordre continuent de les talonner au plus près. Avec un nouvel incident dans la nuit de vendredi à samedi: 52 «veilleurs» ont été interpellés dans la capitale pour être conduits au commissariat. De 300 à 400 d'entre eux s'étaient réunis place de la Bourse pour lire philosophes et littérature, sur le thème «économie et dignité». Né de l'opposition à la loi Taubira, le mouvement, qui n'a pas vocation à s'y «cantonner», dit un des leurs, entend compter dans le débat public sur toutes les questions d'éthique et les enjeux de société.

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  • Les attentats de Mandela

    Voici un bilan de l’organisation terroriste Umkhonto we Sizwe (la branche militaire de l’ANC), dirigée par Mandela, pour les seules années 80.


    cliquer sur l’image pour agrandir

    http://www.contre-info.com/