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insécurité - Page 949

  • Maaloula, village chrétien martyr

     

    La Syrie n’a pas terminé son chemin de croix.

    C’est un village assis sur le versant sud des pentes de la chaîne montagneuse de l’Anti-Liban, un village connu pour ses refuges troglodytes.

     

    Là, à Maaloula, se réunissaient les premiers chrétiens persécutés pour célébrer leurs cultes il y a deux mille ans. On y trouve le monastère grec-catholique de Mar Takla ombragé par un arbre dont la tradition fait remonter les racines à sainte Thècle. Ce témoin de la foi, disciple de l’apôtre Paul, selon un récit apocryphe, « Les actes de Paul et Thècle », y a son tombeau. C’est l’une des trois dernières localités dans le monde où l’on parle encore l’araméen, la langue du Christ. C’est un village symbole pris d’assaut par la frange islamiste de l’opposition à Assad. Déterminée, elle a assassiné des chrétiens après avoir vainement exigé qu’ils se convertissent à l’islam. Le village devait célébrer la fête de l’Exaltation de la Croix hier.

    Maaloula est un nom désormais largement connu en Occident. Cette localité de quelques milliers d’âmes à 55 kilomètres de Damas, est un village martyr. Au petit matin, le 4 septembre dernier, les rebelles islamistes ont lancé une attaque contre la bourgade jusque-là épargnée au milieu du conflit. Les rebelles, dont des djihadistes du Front al-Nosra associés à Al-Qaïda, avaient auparavant envoyé un véhicule militaire conduit par un kamikaze contre le barrage de l’Armée syrienne régulière, tuant les huit soldats qui protégeaient le village. Une fois la localité privée de protection militaire, les rebelles le surplombant ont tiré des obus et à la mitrailleuse anti-aérienne sur son centre. Le nombre de victimes varie selon les sources, ainsi que les méthodes d’assassinat, une agence d’information officielle iranienne parlant même de décapitations de chrétiens, sans confirmation des villageois. [...]

    Jean Degert - La suite sur Causeur

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Maaloula-village-chretien-martyr

  • Septembre 1970 : l’usage d’armes chimiques par les États-Unis au Laos

    Septembre 1970. La guerre au Vietnam fait rage entre le nord et le sud du pays. Ses proches voisins, le Laos et le Cambodge, sont également touchés par le conflit.

    Pendant que les B-52 de l’US Air force tapissent de bombes le territoire cambodgien frontalier avec le Sud-Vietnam et qui sert de base arrière et de piste d’acheminement en matériel et en hommes pour le Vietcong [1], les combats au sol sont assurés dans le plus grand secret par des unités d’élite pratiquant la guerre non-conventionnelle (sabotage, espionnage, capture ou élimination d’officiers ennemis, secours aux prisonniers de guerre, soutien aux agents clandestins, etc.)

    Un commando de 16 membres de « bérets verts » (probablement des membres du MACV-SOG [2], épaulés par une centaine de combattants Hmongs [3], mené par le lieutenant Robert Van Buskirk) est chargé d’un opération clandestine au Laos : sa mission, du nom de Tailwind, a pour but la destruction d’un village servant de camp militaire où a été signalé un groupe de « yeux ronds » – des caucasiens – (un groupe de déserteurs américains, parfois présenté comme des conseillers militaires soviétiques).

    Après de violents combats ou de nombreux soldats sont blessés, l’opération tourne mal : à court de munitions, épuisés et isolés dans la jungle montagneuse du Laos, encerclés par les soldats vietnamiens et laotiens du Pathet Lao  [4] et à plus de 100 km de leur base de Kontum, les hommes du lieutenant Van Buskirk semblent ne pas pouvoir s’en sortir. Ils contactent par radio leurs supérieurs et demandent l’exfiltration de leur petit groupe par hélicoptère.

    L’état-major ordonne aux hommes de passer leurs masques à gaz (élément troublant car aucune unité servant en Asie du Sud-Est ne s’encombrait de ce genre d’équipement, preuve que les unités en étant équipées étaient susceptibles de devoir faire face aux gaz de combats). Deux bombardiers Douglas AD Skyraider sont envoyés sur zone et lâchent plusieurs bombes sur les forces communistes qui se retrouvent dans une brume à peu de distance des hommes des forces spéciales.

    Le sergent Mike Hagen témoigne : « Ça m’est apparu comme un brouillard très léger, sans couleur, inodore, à peine visible. »

    Le soldat Craig Schmidt raconte : « L’air est devenu collant. Nous avons rabattu nos manches pour nous couvrir autant que possible. »

    Le sergent Mike Hagen déclare : « C’était du sarin un gaz neurotoxique, même si le gouvernement refuse de l’appeler comme ça. »

    Le gaz neurotoxique fait des ravages parmi les soldats vietnamiens et laotiens. Mike Hagen décrit : « Les soldats ennemis se tordaient à terre, saisis de convulsions, de vomissements et de diarrhées incontrôlables avant de périr par étouffement. »

    Les hommes de Van Buskirk peuvent alors rejoindre la zone d’extraction. De retour dans leur base, le commando a reçu l’ordre de ne pas faire mention dans leurs rapports de cette attaque au gaz.

    Les témoignages des vétérans de l’opération Tailwind furent diffusés en 1998 par CNN et le magazine Time, prouvant que les États-Unis furent les premiers à utiliser du gaz de combat depuis le protocole de Genève de 1925 prohibant l’emploi en cas de guerre de gaz asphyxiants, toxiques ou similaires et de moyens bactériologiques (non-ratifié par Washington au moment des faits, sous la présidence Nixon).

    La veille de l’assaut sur le village, les appareils états-uniens avaient déjà « préparé » la cible par un bombardement au gaz létal.

    Henry Kissinger [5] et Colin Powell [6] firent pression sur Ted Turner, le propriétaire de CNN, pour faire stopper l’enquête de la journaliste April Oliver, en charge du dossier. Cette dernière refusa et fut licenciée. La Justice confirmera le sérieux de son enquête sur l’opération « Tailwind » et soulignera que la procédure de l’employeur était abusive.

    Le Pentagone nia l’usage de tels armes et affirma « n’avoir trouvé aucun document faisant état de l’utilisation de gaz de combat » au Vietnam.

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Septembre-1970-l-usage-d-armes-chimiques-par-les-Etats-Unis-au-Laos-20041.html

    notes :

    [1] Front populaire pour la libération du sud du Vietnam, d’inspiration nationaliste et communiste.

    [2] Military Assistance Command, Vietnam – Studies and Observations Group : force opérationnelle interarmées de guerre non-conventionnelle créée le 24 janvier 1964.

    [3] Auxiliaires issus des tribus de montagnards des hauts plateaux du sud de la Chine (spécialement la région du Guizhou) du nord du Vietnam et du Laos.

    [4] Organisation politique et paramilitaire communiste laotienne.

    [5] Conseiller à la Défense nationale en 1969, puis secrétaire d’État entre 1973 et 1977

    [6] Tristement célèbre comme ayant été chef d’état-major des armées durant la première guerre du Golfe.

  • [VIOLENCES] Les Antifa attaquent des jeunes pro-famille à La Motte-Picquet

    Samedi après-midi, un groupe de militants « antifascistes » ont attaqué la terrasse du Pierrot, café situé à La Motte-Picquet. Des jeunes militants opposés à la dénaturation du mariage étaient attablés à la terrasse de cet établissement du XVe arrondissement de Paris.

    D’après nos premières informations, les nervis d’extrême-gauche ont notamment jeté des chaises et cassé des tables, s’en prenant violemment à un groupe de jeunes dont un ou plusieurs portaient le chandail estampillé « Manif Pour Tous ».

    Les média de l’établissement en parleront-ils ? Heureusement, l’affaire commence à faire parler d’elle sur la Toile. Ainsi, le photographe Louis Witters, après avoir twitté, a publié un article détaillé sur sa gazette personnelle, avec des photographies à l’appui :

    D’après cet article, six des agresseurs ont été arrêtés, et une plainte a été déposée par le gérant du café.

    Plus d’informations à venir sur le bilan de cette agression et l’éventuel dépôt de plainte de la part des jeunes agressés.

    On ne lâche rien

    Merci au site du Rouge et le Noir

    Exigeons la dissolution des milices antifa complices du système

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?VIOLENCES-Les-Antifa-attaquent-des

  • Allo, Valls ? Des antifa agressent des jeunes portant des sweats de la Manif pour tous !

    Acte 1 : les soutiens d'Esteban Morillo - vous savez, celui qui est accusé d'avoir tué Clément Méric - prévoient de manifester aujourd'hui à Paris. La Préfecture de Paris le leur interdit. Du coup, la contre-manifestation des antifa parisiens présente moins d'intérêt.

    Acte 2 : Il faut se recycler. A 10h30, ce matin, les antifa se rendent donc aux abords du centre IVG de l'hôpital Tenon, dans le 20e, où doit se tenir la prière mensuelle de SOS Tout-Petits. Antifa, pro et anti avortement sont dispersés. Un cagoulé annonce la suite du programme :

    "Nous sommes ici pour défendre le centre IVG de Tenon régulièrement remis en cause par les anti-IVG. Ensuite, nous irons trouver les skinheads qui ont prévu de se réunir aujourd'hui"

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    Acte 3 : Pas de skinheads en vue pour l'instant. Mais une quinzaine de jeunes, dont certains portent des sweats de la Manif pour tous, attablés à la terrasse d'un café de la Motte-Picquet (15e arrondissement). Un photographe ayant assisté à la scène raconte :

    "Un groupe de jeunes avec pour certains des sweats La Manif Pour Tous prenaient un verre en terrasse lorsqu’une vingtaine d’antifas sont arrivés en les prenant pour cibles. Connus pour leur engagement au sein de l’extrême droite, deux jeunes sont particulièrement visés. Les agresseurs, visages masqués et gants de combat sortis, ont fait voler en éclat toute la partie terrasse de ce café situé à La Motte Picquet Grenelle. Durant trente secondes, les débris de verre et de porcelaine ont été expulsés dans un rayon de 15 mètres, touchant aussi des passants. Des tables ont été renversées, et des coups de chaises ont été échangés entre les agresseurs et les victimes. La police (présente cinq minutes avant) est arrivée cinq minutes après, trouvant sur place des jeunes sous le choc et une terrasse dévastée."

    Acte 4 : D'après cet article, six agresseurs auraient été arrêtés. Le gérant du café aurait déposé plainte.

    De leur côté, les antifa marseillais appelaient à manifester aujourd'hui contre l'université d'été du Front national. Appel relayé par le journal Le Monde. Qui regrettera ensuite d'éventuels incidents ?

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Syrie : les Etats-Unis livrent des armes aux islamistes. Et la France va "renforcer son soutien"

    Les Etats-Unis d'abord

    "Est-ce parce que la perspective de frappes contre le régime Assad s'éloigne ? Les Etats-Unis ont commencé à fournir des armes et des équipements techniques aux rebelles syriens, affirme le Washington Post.

    Citant des sources américaines et syriennes, le quotidien américain a écrit que la CIA a commencé à livrer des cargaisons d'aide matérielle létale ces quinze derniers jours. Le journal rapporte sur son site que le département d'Etat a envoyé des véhicules et autres matériels, y compris des équipements de communication sophistiqués et des kits médicaux de combat".

    Et Hollande veut soutenir "l'opposition démocratique" (sic. Et si, il a osé) : 

    "Le président François Hollande et les chefs des diplomaties saoudienne, jordanienne et émiratie "sont convenus de la nécessité de renforcer le soutien international à l'opposition démocratique" en Syrie, "pour lui permettre de faire face aux attaques du régime", a annoncé aujourd'hui la présidence française". 

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • AL QUAIDA UNE FABRICATION DES ETATS UNIS Michel Collon Chauprade Bonnet Clark Chouard

  • Quand j’entends le mot « kulture », je sors ma kalach ! par Pieter KERSTENS

    C’est effectivement ce que doivent penser les habitants de la Canebière. Parce qu’en 2013, Marseille est la capitale européenne de la culture … criminelle ! Déjà une quinzaine de règlements de compte depuis la Saint-Sylvestre et aucune amélioration en vue d’ici la trêve des confiseurs…
    Le ministre de l’Intérieur a bien déversé sa haine envers les mouvements nationalistes, envers MM. Soral et Dieudonné et aussi contre le F.N, lors de l’université d’été du P.S à La Rochelle, mais il ne s’est pas trop longtemps appesanti sur la vague de règlements de compte et de criminalité qui non seulement déferle sur la cité phocéenne, mais affecte aussi d’autres villes en France.
    Manuel Valls, ce fervent amateur de gazage des femmes, des enfants et des vieillards, n’a pas encore démontré ses compétences quant à combattre la racaille et la pègre immigrée, coupables d’assassinats, de viols, d’agressions et de véhicules incendiés dans tout l’Hexagone. 
    « La délinquance baisse à Marseille, dans tous les domaines » affirmait Pinocchio-Valls le 22 août dernier.  On souhaiterait moins de bla-bla et plus de résultats.
    Pour la majorité des citoyens « la sécurité, c’est la première des libertés » et ils exigent de pouvoir se déplacer sans être attaqués par des crapules à chaque coin de rue, dans le train ou dans le métro.
    Le danger ne vient pas de l’extrême-droite, des fââââchistes ou des partis nationalistes, mais des ministres qui adoubent les criminels d’une culture de l’excuse, pardonnent aux délinquants leurs méfaits sur les victimes et incitent les juges à une complaisance suspecte.
    Il faut mettre le holà à cette dérive imbécile, dictée par des idéologues au service de doctrines hérétiques, qui tentent de nous convaincre qu’il s’agit d’un « sentiment d’insécurité » ou encore d’un « ressenti ».
    « La mort pour les assassins. La vie pour les innocents ! »
  • Insécurité : le PS à la peine, l’UMP à la traîne, et le FN engrange…

    MARSEILLE (NOVOpress via Kiosque courtois) – Le roman-feuilleton des règlements de comptes sanglants à Marseille, capitale européenne de l’hémoglobine – et accessoirement de la culture –  a connu samedi 7 septembre dernier un épisode particulièrement burlesque : une réunion en préfecture des élus locaux UMP et PS, autour du projet de Manuel Valls de « pacte national » pour Marseille. But affiché : Développer une stratégie de lutte contre le banditisme local. Parmi les participants, le président socialiste du conseil général, Jean-Noël Guérini, ainsi que la députée PS Sylvie Andrieu.

    Le premier a été condamné ou est mis en examen pour, je prends ma respiration : prise illégale d’intérêt, trafic d’influence, détournement de fonds publics, licenciement abusif, corruption passive, participation à une association de malfaiteurs et atteinte à la liberté d’accès ou à l’égalité des candidats dans les marchés publics. La seconde est sous le coup  – on a envie de dire « seulement » – de complicité de tentative d’escroquerie et de détournement de fonds publics. C’est dire si la présence de ces deux éminents personnages dans une réunion dédiée à la délinquance et la criminalité était hautement symbolique. En revanche, le préfet, évidemment aux ordres du ministre Valls, n’a pas cru devoir inviter un seul élu Front national. Cherchez l’erreur.

    Comme prévu, la montagne a accouché d’une souris. Les seize élus UMPS présents se sont avant tout mis d’accord sur, je cite, une « méthode de travail commune pour faire avancer les dossiers » (sic). Pour paraître moins creux, le préfet a cru bon de déclarer que des effectifs policiers supplémentaires seraient déployés dans les Bouches‑du‑Rhône avant la fin de l’année. Mais personne ne connaît leur nombre, ni le calendrier de déploiement. Ce genre d’annonces poudre-aux-yeux s’étaient d’ailleurs multipliées sous la « droite » sans qu’on n’observe de véritable inflexion dans les règlements de comptes à Marseille et dans les villes voisines. Les seize élus se sont aussi mis d’accord pour le développement d’emplois dits « de passibilité », censés garantir la paix dans les HLM, sans annoncer qui les rémunérera.

    Les Marseillais, et tous les Français avec eux, sont excédés par les gesticulations du pouvoir UMPS sur la question ultrasensible de l’insécurité. Résultat : alors qu’en 2008, le Front national ne recueillait que 8% des suffrages aux municipales à Marseille, un récent sondage Ifop-Fiducial accorde 25% des voix au parti de Marine Le Pen, derrière l’UMP (34%) mais devant le PS (21%) en recul de 4 points. Et encore, ce sondage a été réalisé avant la pantalonnade préfectorale et également avant la dernière affaire du cambriolage de ce bijoutier niçois, Stéphane Turk, qui a tué mercredi l’un des braqueurs de son magasin, s’est retrouvé en garde à vue pendant 48 heures et risque les assises, puisque l’homicide volontaire vient d’être retenu contre lui.

    Une vague de soutien à Stéphane Turk a proprement déferlé sur Internet. La page Facebook « Soutien au bijoutier de Nice », créée par des anonymes, a vu en trois jours son compteur grimper à plus d’un million de soutiens (en outre ce nombre augmente sans cesse rapidement et ne comporte que des personnes ayant un compte Facebook). Ce sont autant de cris de protestation pour une police plus efficace, une justice moins laxiste, et un véritable débat national sur la légitime défense. Cette page compte de nombreux relais sur les réseaux sociaux. Parmi eux, Stéphane Ravier, tête de liste Front national aux municipales de Marseille ; Fabrice Robert, président du Bloc identitaire, ou encore Philippe Vardon, président de Nissa Rebela, un mouvement identitaire fortement implanté à Nice.

    Des pétitions en soutien au bijoutier ont également été lancées, par exemple ici et ici.

    http://fr.novopress.info

  • Antifas : une milice politique au service de Manuel Valls ? par Pierre Cassen

    Paris est sans doute la ville au monde où l’on manifeste le plus. Nous nous souvenons, lors d’une demande à la préfecture de police de Paris, que l’officier présent nous avait affirmé qu’il y avait, chaque année, 7.000 demandes de manifestations, la plupart accordées.
    Nous avons même aussi droit, régulièrement, à des manifestations de clandestins. Dans la majorité des pays, on les expulse sans appel. En France, on les laisse, bien qu’en situation irrégulière, revendiquer des droits, des aides et, bien évidemment, des papiers pour tous. José Bové, en 2007, envisageait même de présenter des candidats clandestins aux législatives !
    Nous avons également vu, récemment, des manifestations de partisans de Morsi, ces sympathiques disciples d’Allah qui, en Égypte, brûlent les églises, égorgent les infidèles au cri de « Allah akbar » et justifient le viol des femmes non voilées. Manifestement, cela n’émeut pas les antifas. Autorisation du préfet Boucault. 
    Le 22 juin dernier, ce même préfet, nommé par Valls, a interdit une manifestation de Résistance républicaine, pour « risque de troubles à l’ordre public ». Sans plus. Pourtant, six mois auparavant, la même association avait manifesté sans le moindre incident, contre le fascisme islamique, avec 3.000 participants.
    Le 29 juin, des antifas avaient manifesté et, eux, vandalisé quelques vitrines, suite à la mort de Clément Méric dans une bagarre dont ils étaient les instigateurs. Autorisation du préfet Boucault.
    Rappelons que, pour ces sympathiques gauchistes, est fasciste quiconque aime la France et s’oppose à son islamisation, ainsi qu’à une immigration sans intégration en période de chômage de masse.
    Ce samedi 14 septembre, le Collectif de défense des libertés publiques s’est vu interdire une manifestation parce que les antifas avaient annoncé une contre-manifestation. On aurait pensé que, dans un régime démocratique, la police aurait protégé cette manifestation, annoncée en premier, et demandé aux opposants de choisir une autre date, pour ne pas troubler l’ordre public. Erreur : croyant faire preuve d’équité, Boucault a annulé les deux !
    Ce 14 septembre, c’est le site Riposte Laïque qui avait prévu, suite à cette interdiction, un rassemblement, à 14 heures, sur un thème différent de celui de la manifestation : la défense de la liberté d’expression, menacée par le harcèlement judiciaire de prétendus antiracistes, et le droit à la sécurité pour tous, mis en cause par la nouvelle loi Taubira. À notre connaissance, aucune contre-manifestation n’avait été déposée à la préfecture de police.
    Pourtant, ce rassemblement vient d’être interdit lui aussi, sous ce prétexte : « (…) en raison notamment des risques de contre-manifestation de la mouvance antifasciste qui, dans le contexte actuel de tensions, est susceptible de générer des troubles graves à l’ordre public ce jour-là. »
    Le préfet Boucault avoue donc deux choses : d’abord les antifas n’avaient pas encore déposé de déclaration de manifestation, et ce sont eux qui provoquent les troubles à l’ordre public. Pourtant, eux ont le droit de manifester, et ce sont les patriotes qui sont interdits, pour la troisième fois en trois mois.
    En effet, dans le même temps, à Marseille, des organisations et militants de gauche et d’extrême gauche – dont certains, sur les réseaux sociaux, appellent à venir cagoulés, à saboter les transports en commun, à s’en prendre aux hôtels accusés d’héberger des militants du Front national – se voient autorisés à manifester contre l’Université d’été du parti de Marine Le Pen.
    Valls et ses préfets ont donc décidé d’utiliser des gauchistes dégénérés pour interdire aux patriotes de manifester, ou bien pour perturber leurs initiatives et provoquer des incidents.
    Les antifas sont donc bien une milice politique au service de ce régime, grâce auquel ils bénéficient d’une impunité totale. On le savait déjà, mais à présent, cela crève les yeux.
    Pierre Cassen pour Boulevard Voltaire

  • Garde à vue et mise en examen d’un commerçant coupable de s’être défendu

    Un homme qui venait de braquer mercredi matin une bijouterie avec un complice à Nice a été abattu au pistolet automatique par le propriétaire de la boutique, qui a été placé en garde à vue.
    Le commerçant a fait feu à trois ou quatre reprises en direction des deux malfaiteurs devant sa boutique, alors que ceux-ci prenaient la fuite à scooter, touchant le passager arrière, selon les premiers éléments fournis par la police judiciaire de Nice, chargée de l'enquête.
    Mortellement blessé, l'homme a chuté du scooter dans une rue perpendiculaire, à quelques dizaines de mètres de la bijouterie, au milieu des commerces alimentaires de ce quartier populaire du centre de Nice en train d'ouvrir leur devanture.
    Le commerçant a été placé en garde à vue et mis en examen pour homicide volontaire. De son côté, le juge est fier de lui : il a fait arrêter un dangereux criminel !
    Le braquage de la bijouterie "La Turquoise", déjà victime d'un vol à la disqueuse en 2012, a eu lieu à l'heure de l'ouverture, peu avant 09H00.
    Sous la menace d'une arme de poing et d’un fusil, les malfrats ont demandé au bijoutier d'ouvrir son coffre avant de se faire remettre le butin, au montant encore indéterminé. Une partie des bijoux a été retrouvée "en possession de l'homme abattu", selon la même source.
    Mercredi en fin de matinée, un périmètre de sécurité était toujours en place autour du quartier, alors que le second malfaiteur, qui a réussi à s'enfuir, était activement recherché.
    Avec AFP http://www.francepresseinfos.com