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insécurité - Page 951

  • Autriche : des demandeurs d’asile inculpés de trafic d’êtres humains

    VIENNE (NOVOpress) - Soupçonnés de trafic d’êtres humains, des demandeurs d’asile viennent d’être officiellement inculpés en Autriche. Ces musulmans pakistanais ont été arrêtés l’été dernier après leur occupation médiatique de l’église votive de Vienne. Après en avoir été délogés à l’issue de l’action choc des identitaires autrichiens, ils avaient été relogés dans le monastère des Servites, logement temporaire fourni par la Caritas catholique.

    À la demande de l’Agence de presse autrichienne (APA), le Procureur a confirmé publiquement mardi un rapport de la télévision d’État (orf.at) : un total de huit personnes sont accusées, mais les charges ne sont pas encore définitives.

    Actuellement en garde à vue, ces gentils candidats à l’émigration en Europe sont accusés entre autres de « contrebande commerciale d’êtres humains dans le cadre d’une organisation criminelle » ; l’un d’entre eux est accusé de « menaces dangereuses » et de « dommage intentionnel à la propriété ». Nul doute que les associations antiracistes autrichiennes sont déjà mobilisées pour soutenir la racaille.

    http://fr.novopress.info/

  • Oumar Ould Hamaha (AQMI) : "J'ai prêché à la mosquée de Saint-Denis, à Meaux, à Melun..."

    Combattant salafiste venu des rangs d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Oumar Ould Hamaha, qui s'autoproclame "chargé de sécurité pour le djihad au Nord-Mali" a accordé, par téléphone, une interview exclusive à L'Express. [...]
    Ce que nous voulons, c'est instaurer la charia. Pas plus. Nous ne nous référons à aucun autre modèle que celui de l'islam, qui existe depuis plus de 1400 ans. Nous suivons le message du Prophète. Je suis né en 1963. Cela fait plus de vingt ans que je prêche. J'ai visité plus de vingt pays.
    J'ai passé 40 jours en France, à la fin de l'année 2000, avec un visa Schengen. J'ai prêché à la mosquée de Saint-Denis, à Meaux, à Melun...
    J'ai voyagé au Pakistan, en Inde, en Tunisie, au Maroc, en Algérie, en Libye, en Ethiopie, au Tchad, au Nigéria, au Ghana, au Togo, au Bénin, en Côté d'Ivoire, au Sénégal, au Niger, au Burkina Faso, en Guinée Conakry, en Gambie, en Mauritanie! Depuis plus de 12 ans, je suis engagé dans le djihad. Le djihad, c'est une obligation divine. Toute personne est tenue de s'y soumettre, les invalides et les malades mis à part. [...]
    L'Express

    http://desouche.blogspot.fr/

  • 09/12/2013 - Témoignage d'un jeune Français victime de racisme anti-blanc

  • Le "facho" s'appelle Samir

    Retour de flammes pour le lobby de l'antiracisme :

    "Un tweet appelait à violer la militante anti-raciste Rokhaya Diallo, en juin dernier.

    Concert de condamnations de cet immonde racisme d’extrême droite. Et bien sûr Rokhaya Diallo portait plainte, et cela allait « calmer les fachos »…

    Manque de chance… L’énergumène s’appelle Samir, et il n’a vraiment rien d’un « facho »…

    (Si racisme il y avait, il serait à chercher d’un autre côté : Samir est un prénom arabe, Rokhaya Diallo est noire. Mais ce racisme-là n’indigne personne, et personne n'ose même l'imaginer…)"

    Michel Janva

  • Braqueurs braqués et victimes persécutées : ainsi Valls la justice de Taubira

    Tous ceux qui ne se laissent pas braquer, brutaliser, insulter et détrousser sans mot dire savent ce qu’il leur en coûte ensuite.

    Pierre-Joseph Proudhon s’est rendu célèbre, au XIXe siècle, pour avoir déclaré que « la propriété, c’est le vol » ; nul doute que s’il vivait de nos jours, il ajouterait à son aphorisme, avec tout autant de succès politiquement correct, « et la protéger est un crime ! ». Car honni soit qui l’entend ainsi.

    Les récents braquages de bijoutiers par-ci, attaques de débits de tabac par-là, l’ont amplement démontré : tous ceux qui ne se laissent pas braquer, brutaliser, insulter et détrousser sans mot dire savent ce qu’il leur en coûte ensuite. Malheur à ceux qui ont fait front, empêchant les crapules de les dépouiller, les blessant ou les expédiant dans un enfer mérité : tous répondent ensuite de leur témérité devant la justice.

    Ainsi ce bijoutier niçois, d’origine libanaise, Stéphane Turk, qui ignorait que le fusil à pompe de ses agresseurs – Gaulois tous les deux, comme quoi les préjugés ne sont vraiment plus ce qu’ils étaient ! – n’était pas chargé : ayant logé quelques grammes de plomb dans la carcasse du moins rapide, il se retrouva en garde à vue, brocardé par un procureur niçois, l’accusant d’avoir agi volontairement « pour donner la mort », bien qu’il reconnaisse tout de même qu’il est « un homme inséré » (!) et que son casier judiciaire était vierge… Le bijoutier est aujourd’hui mis en examen pour homicide volontaire : « Il n’a pas été placé en détention provisoire, mais en résidence surveillée, bracelet électronique à la cheville à quelques heures de Nice. Il sort parfois quelques minutes, le temps d’aller chercher son pain », rapporte France Inter. Le veinard.

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  • Payer ses impôts est un devoir glorieux !

    Il est glorieux de payer près de 2 milliards pour faire bénéficier de notre système carcéral une population pénale à 70 % d’origine étrangère.

    « Payer ses impôts est un devoir glorieux ». La formule est du regretté président Mao-Tsé-toung. Et c’est vrai !

    Oui, il est glorieux de payer des impôts pour effacer les dettes (4 millions) du journal L’Humanité. Et apporter 2 milliards de subventions (directes et indirectes) à la presse écrite car il faut bien aider les miséreux à se faire entendre : Le Point (Pinault propriétaire), Les Échos (Arnault), Le Monde (la banque Lazard et Pierre Bergé), Libération (Rothschild), la PQR (les banques mutualistes et le Crédit agricole).

    Oui, il est glorieux de payer des impôts pour subventionner à hauteur d’un milliard des syndicats de moins en représentatifs, et de plus en plus inutiles, sinon nuisibles.

    Oui, il est glorieux de subventionner (État et collectivités territoriales) à hauteur de près d’un milliard des associations politiquement correctes : SOS Racisme, France terre d’asile, la LICRA, le CRAN, la LGBT et tant d’autres qui le valent bien ; et ils en ont bien besoin pour nous formater et nous censurer.

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  • Plainte contre Laurent Fabius pour complicité de crimes commis en Syrie

    Par le Collectif international d’avocats pour la paix en Syrie
    – Exclusivité E&R

    Le Collectif international d’avocats pour la paix en Syrie organise un rassemblement pour dénoncer la responsabilité du ministre des Affaires étrangères dans les crimes commis en Syrie le dimanche 8 décembre, à 16h00 place Saint-Michel à Paris

    « Un ministre doit toujours répondre de ses actes. »
    François Mitterrand

    Trois victimes civiles syriennes portent plainte contre Laurent FABIUS, qui s’est rendu complice, par abus d’autorité, d’exactions commises en Syrie.

    Les plaignants estiment qu’à plusieurs reprises le ministre des Affaires étrangères de la France, Monsieur Laurent Fabius, a abusé de l’autorité qui émanait de ses fonctions de ministre, en promettant une intervention armée en Syrie et la livraison d’armes à la rébellion, en disant que le Front Jabhat Al-Nosra, organisation classée comme terroriste, « faisait du bon boulot », et en allant jusqu’à dire que le Président Bachar Al-Assad « ne mériterait pas d’être sur la Terre ».

    Ce faisant il provoquait la commission d’exactions en Syrie, parce qu’il œuvrait à faire perdre toute légitimité et à rejeter même dans l’illégalité tous ceux, qui, sur place, luttent contre le terrorisme, tout en tendant formellement à légitimer et même à rendre légales les exactions commises par la prétendue rébellion. Il a ainsi provoqué aux crimes et aux délits que des bandes armées ont commis ensuite en Syrie.

    Madame Al-Kassem, Messieurs Al-Ibrahim et Salim ont été victimes, à Damas et ailleurs, de faits très graves, ils ont perdu des proches, morts ou enlevés. On rapporte des cas de crânes écrasés, d’un cadavre brandi par les tueurs qui en parlent comme d’un porc, d’enfants agressés. Les cas figurent en annexe de ce communiqué.

    C’est pourquoi les plaignants, assistés d’un collectif international d’avocats, portent plainte contre Laurent Fabius pour complicité de menaces de mort, de violation de domicile, de dégradation et de destruction, de mutilation, d’assassinat, de séquestration, d’enlèvement, de détention et d’atteinte à l’intégrité du cadavre à raison de sa supposée non-appartenance à une religion déterminée.

    Madame Al-Kassem, Messieurs Al-Ibrahim et Salim déposent plainte devant la Commission des requêtes de la Cour de justice de la République. Cette procédure a été instaurée à l’époque du scandale du sang contaminé, précisément pour permettre à des particuliers de faire entendre le préjudice qu’ils subissent du fait d’un ministre dans l’exercice de ses fonctions.

    Pétition : http://www.petitions24.net/appel_pour_la_paix_en_syrie

    Contact : appeldu1ermars2013@outlook.com

    Annexe 1. Le cas AL-KASSEM

    Madame Joumana AL-KASSEM est mère de famille. Elle a eu six garçons : deux d’une première union : Mohammed et Morhaf TANBAKJI ; et quatre de son second mariage : Mohamad Yazan, Yaman, Moumen, et Rayan CHAMIYEH. Ils vivaient tous ensemble, ses enfants et son mari, dans une maison de Koudsaya Jamiyat, un quartier de Damas.

    Au début des évènements leur position était claire : ils étaient pour l’État syrien et contre toutes destructions, sachant qu’aucun d’entre eux n’était en relation avec l’État ou n’était fonctionnaire ou employé de celui-ci. Ils participaient à toutes les manifestations et évènements de soutien à leur pays et à leur Président. Le plus jeune fils de Madame AL-KASSEM, Rayan, âgé de quatre ans, qui est surdoué et très éveillé, répétait tous les mots d’ordre et retenait rapidement toutes les chansons patriotiques. Et il les chantait, ce qui attirait l’attention des partisans comme des opposants.

    Une année après le début des évènements, ils commençaient à recevoir des menaces. Certaines par Internet, d’autres par des écriteaux sur les murs de leur maison. Ils ne leur prêtaient aucune attention, pensant qu’on ne leur ferait de mal, puisqu’ils ne faisaient de mal à personne.

    Le 19 juin 2012, à 3 heures du matin, un groupe d’une dizaine de terroristes, au milieu de tirs massifs, envahissait leur maison, dégradants meubles et murs. Les militaires du check point voisin accouraient, les terroristes arrêtaient de tirer et s’enfuyaient. C’est alors que l’on découvrait que le fils de Madame AL-KASSEM, Mohammad Yazan CHAMYIEH, était gravement blessé. Ils le transportaient à l’hôpital le plus proche (celui d’Al-Badr).

    Mais à l’entrée de l’hôpital, les terroristes s’attaquaient à eux à nouveau en ouvrant le feu. Un deuxième fils de Madame AL-KASSEM, Morhaf TANBAKJI, était blessé. Ils restaient assiégés à l’intérieur de l’hôpital, les terroristes étant à l’extérieur, jusqu’à l’arrivée des soldats qui leur permettaient de sortir. Mohamad Yazan CHAMIYEH succombait à ses blessures. Et à peine sortie de l’hôpital Madame AL-KASSEM apprenait qu’il en allait de même de son fils Morhaf TANBAKJI.

    Madame AL-KASSEM et sa famille étaient exposés une troisième fois à des tirs d’arme à feu, lors des obsèques de ses deux fils.

    En mai 2013 les terroristes se sont encore attaqués à leur voiture, qui a été complètement détruite. Madame AL KASSEM et sa famille sont toujours menacés, en particulier le plus jeune de ses fils, Rayan CHAMYIEH. Ils vivent dans la peur et l’angoisse.

    Annexe 2. Le cas AL-IBRAHIM

    Le 10 septembre 2013, à Maksar al-Hisan, la mère, le frère, la belle-sœur et les deux neveux de Mohammed AL-IBRAHIM étaient réveillés en pleine nuit par de violents tirs d’armes à feu. Le village subissait, ainsi que les villages voisins, l’attaque des hordes de Jabhat Al-Nosra.

    Yahia AL-IBRAHIM, le frère de Mohammed AL-IBRAHIM, et Jinane TAKLA, sa belle-sœur, cachaient leurs enfants Habib Yahia, âgé de onze ans, et Ali Abib, âgé de dix ans, dans le grenier, et leur demandaient de ne plus bouger.

    Les terroristes envahissaient la maison qu’ils arrosaient de tirs. Dans l’une des pièces, ils trouvaient la mère de Mohammed AL-IBRAHIM, Fatima, une femme très âgée. Ils l’abattaient froidement.

    Ils fouillaient la maison et s’approchaient de la cuisine, où se tenaient enfermés le frère et la belle-sœur de Mohammed AL-IBRAHIM. Ils leur demandaient de sortir, leur disant qu’ils seraient en sécurité. Le frère de Mohammed AL-IBRAHIM leur répondait comment, alors qu’ils venaient d’abattre sa mère. Ils fracturaient la porte et tuaient les deux parents. Les enfants pouvaient assister à la scène depuis le grenier.

    Après ce massacre, un membre du groupe soulevait le corps du frère de Mohammed AL-IBRAHIM et demandait à un comparse de « le prendre en photo avec ce porc ».

    Les enfants restaient dans leur cachette, terrorisés, jusqu’au soir où l’Armée arabe syrienne les découvrait.

    Outre les membres de la famille de Mohammed AL-IBRAHIM, ce jour-là furent massacrés : Mohamad Hassan Alali, 80 ans, paysan ; Mahmoud Yahia Al Khalil, 70 ans, enseignant retraité ; Ali Kamel Al Jouhni, 35 ans, ouvrier ; Mohammed Ibrahim Al-Johni, 70 ans, retraité ; Matira Ahmed Ghanoum, 70 ans, femme au foyer ; Kamal Mahmoud Al-Khalil, 20 ans, étudiant ; Mounzer Mahmoud Al-Khalil, 25 ans, ouvrier ; Mohamed Rachid Al-Ibrahim, 20 ans, étudiant ; Rabih Rachid Al-Ibrahim, 25 ans, ouvrier ; Khaled Nemr Al-Chebeili, 32 ans, ouvrier ; et Mia Al Ahmad, 54 ans, femme au foyer. Furent enlevés : Khalifé Khaled Al Jallab, 75 ans, retraité et Hazem Khalifé Al Jallab, 16 ans, étudiant.

    Annexe 3. Le cas SALIM

    Monsieur Talal SALIM est citoyen syrien, diplômé de l’École des bibliothécaires et des systèmes d’information. Il demeurait avec sa femme Awatef Maarouf et ses quatre enfants (Loujaïn, Hanin, Joy et Wajd), à DAMAS (Syrie), dans le quartier Mezzeh 86.

    Il y a près de deux ans des tirs de mortiers commençaient à pleuvoir sur le quartier Mezzeh 86, avec des explosions de voitures piégées un peu partout. Le 6 décembre 2012, une voiture piégée a explosé sous son appartement à Mezzeh Madraseh. Toutes les fenêtres et certains murs ont explosé. Ce qui l’a poussé à transférer toute sa famille vers Lattaquié, fuyant la mort ambulante.

    Les groupes armés qui opéraient ces explosions pratiquaient toutes sortes de terrorisme intellectuel et matériel contre les alaouites pour les contraindre à quitter Damas, et retourner dans leurs villages. Toutes sortes d’exactions étaient commises contre eux, assassinat, vol, viol, encouragées et payées par les pays du Golfe et par la France.

    Le 4 août 2013 à 4h30 du matin, des bandes djihadistes salafistes armées jusqu’aux dents envahissaient le village de la commune de Lattaquié où Monsieur Talal SALIM et sa famille avaient trouvé refuge (trois autres villages de la même commune étaient envahis au même moment). Ils mettaient à mort les habitants, femmes, enfants, vieillards, hommes jeunes et moins jeunes, de manière absolument horrible, par égorgement, par découpage de membres, par écrasement des crânes, en commettant de terribles mutilations.

    Étaient ainsi mutilés et tués de la manière la plus ignoble le père de Talal SALIM, Badih SALIM, trois de ses frères, Nazem SALIM, Kasser SALIM, Jassem SALIM, sa tante non-voyante, ses cousins et cousines.

    La propre épouse, Awatef MAAROUF, et les quatre enfants de Talal SALIM (Loujaïn, Hanin, Joy et Wajd), étaient kidnappés. On est resté sans nouvelles d’eux.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/plainte-contre-laurent-fabius-pour-complicite-de-crimes-commis-en-syrie_92105.html#more-92105

  • Mort du criminel Nelson Mandela : un terroriste marxiste antiblanc

     

    La mort de Nelson Mandela déclenche une prévisible hystérie médiatico-politique.
    Pour les prochains jours : déluge d’émotion feinte, concert unanime de louanges chez tous les politiciens et slogans idiots en vue.

    Il faut rappeler, à propos de Mandela, qu’il fut des années durant un chef terroriste d’extrême-gauche (chef du UmKhonto we Sizwe, l’aile terroriste de l’ANC et du Parti communiste sud-africain).

    Rappelons que le 1er janvier 1985, le président sud-africain Botha s’exprimant au parlement, a proposé à Mandela d’être libéré (il était emprisonné pour terrorisme), s’il rejetait « inconditionnellement le recours à la violence comme arme politique ». Mandela rejeta cette offre, refusant d’abandonner les meurtres.

    Il a contribué à faire de la prospère Afrique du Sud un enfer pour les Blancs, et pour beaucoup de Noirs.

    Depuis 1994, plus de 4000 fermiers blancs ont été assassinés par les émules racistes de Mandela, leur famille violée, parfois dépecée vivante, etc.

    Depuis cette date ce sont plus généralement quelque 75 000 Blancs qui ont été tués par des Noirs, dans un génocide initié par le président Mandela et son parti l’ANC, toujours au pouvoir.

    Des dizaines de milliers de Blancs se sont vu voler leurs biens par des hordes noires armées de machettes, après la victoire de Mandela, et vivent maintenant dans des conditions de grande misère, dans des bidonvilles, souffrant de la faim.

    Sur quatre millions de Blancs, un quart a déjà fui le pays.

    Ci-dessous une video de David Duke sur le génocide des Blancs, en particulier des Boers, en Afrique du Sud :

    http://www.contre-info.com/mort-du-criminel-mandela-un-terroriste-marxiste-antiblanc#more-30506

  • Menaces de mort à Lyon

     

    Ce matin les habitants du quartier d'Ainay dans le 2e arrondissement de Lyon ont découvert de nombreux graffitis extrémistes sur les murs de la mairie d'arrondissement et de la salle municipale François Sala où doit se tenir ce soir "La soirée branchée" des Enfants des Terreaux. Des graffitis "antifascistes" et anti-catholiques revendiquant notamment "Enfant des Terreaux, un coup de couteau". Plusieurs plaintes ont été déposées dans la journée et une enquête de police est actuellement diligentée. Les enfants des Terreaux font part de leur stupéfaction face à ces messages de haine. Malgré ces menaces, les Enfants des Terreaux maintiennent leur soirée festive ce soir et rappellent qu'il ne lâcheront jamais rien.

     

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    Michel Janva

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/