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international - Page 1042

  • Persécution des chrétiens d'Irak ن‬‎ Alerte sur le silence de la France

  • L’avion de la Malaysia Airlines pourrait bien avoir été abattu par des soldats ukrainiens, explique le journaliste américain Robert Parry

    Robert Parry est un journalistes d’investigation américain qui a notamment travaillé pour l’Associated Press et Newsweek. Lauréat de plusieurs prix décernés pour la qualité de ses recherches (notamment le prix Georges Polk), il est célèbre pour avoir mis à jour l’affaire du financement des Contras en 1985, démontant les mensonges de la CIA mêlée au trafic de cocaïne… Il s’est fait une spécialité dans la dénonciation des manipulations menées par l’Etat et ses services.

    Il a publié le 19 juillet un article passé quasiment inaperçu chez les francophones à propos de l’avion de la Malaysia Airlines abattu en vol.

    « Malgré les doutes internes à la communauté de renseignement américaine, le gouvernement Obama et les médias nationaux américains continuent d’accuser les rebelles ukrainiens et le gouvernement russe d’avoir tiré sur l’appareil de la Malaysia Airlines. Situation semblable à celle de l’été dernier concernant l’attaque au gaz sarin toujours non élucidée en Syrie. », commence par expliquer Robert Parry.

    Dans les deux cas, plutôt que de laisser une délégation d’experts indépendants enquêter, le très agressif département d’État du président Obama et les principaux médias américains ont simplement décidé de désigner leurs opposants dans ces deux crises – Bachar el-Assad en Syrie et le président russe Vladimir Poutine en Ukraine – comme les coupables. Pourtant, certains analystes du renseignement américain ont exprimé leur désaccord par rapport à cette sagesse conventionnelle instantanée.

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  • Appel à un rassemblement pour les Chrétiens d’Irak

    Absent pour cause d’agenda, Bruno GOLLNISCH appelle tous nos amis du Front National qui seraient disponible à se rassembler ce samedi à Lyon ou dans les autres lieux prévus en France.

    « On a détruit le régime baasiste en Irak, et d’une façon plus générale le nationalisme arabe, qui était un rempart contre l’islamisme radical, au nom de la lutte contre ce même islamisme, dont les bases se trouvaient plus à New York, à Londres et à Hambourg qu’à Bagdad!

    On invite Kadhafi à Paris, puis on participe en direct à l’organisation de son assassinat. On prétend combattre le salafisme, et l’on reste au mieux avec l’Arabie Saoudite et le Qatar, qui en sont les principaux bailleurs de fonds. Est-ce qu’il s’agit d’erreurs grossières, ou de machiavélisme ?

    paris.chretienIrakAvons-nous affaire à des éléphants piétinant avec lourdeur ce magasin de porcelaine délicat qu’est l’Orient ? Ou à des comploteurs subtils qui y jouent un coup de billard à trois bandes ? J’hésite encore. La fréquentation des milieux politiques depuis un quart de siècle m’a appris qu’il ne faut jamais exclure l’hypothèse de la bêtise. Dans la deuxième hypothèse, celle des calculs cyniques, il faut reconnaître que ces combinaisons savantes et ces stratégies tortueuses ont généralement manqué leur but. Mais à quel prix pour les peuples ! »

    Retrouvez l’archive du précédant post (parmi de nombreux autres), contenant le texte plus haut, et traitant du sujet ICI

    http://gollnisch.com/2014/07/24/appel-rassemblement-les-chretiens-dirak/

  • «De nombreux musulmans hésitent désormais à se déclarer musulmans»

    Mgr Jean-Clément Jeanbart, archevêque d’Alep en Syrie, témoigne à l’AED :

    « De nombreux musulmans hésitent désormais à se déclarer musulmansJ’ai entendu plusieurs musulmans me dire : « J’ai honte – je ne comprends pas que l’islam soit comme ça »Je pense donc que c’est le bon moment pour un vrai dialogue. Je dois donc prendre ma croix en main et recommencer ma mission. Même si j’ai 70 ans, j’ai l’impression d’en avoir 45. »  

    L’Église catholique fournit de l’aide aux familles musulmanes.

    « C’est un beau témoignage, et même les musulmans nous demandent d’intercéder pour eux pour qu’ils obtiennent de l’aide de la Croix-Rouge ou du Croissant-Rouge – ils comprennent que nous sommes une référence en matière de charité et de miséricorde. »

    « Cela fait maintenant 18 ans que je suis évêque. J’ai fait tout mon possible pour aider nos fidèles à rester. Il y a deux ans, j’étais déprimé ; ça allait très mal, mais alors le Seigneur m’a aidé à voir les choses sous un autre angle, ce qui m’a permis de reprendre courage, de retrouver espoir, et de me battre contre la fuite des chrétiens. J’ai réalisé que ce qui se passait ne dépendait pas de nous. Même si les pauvres sont les seuls à rester, nous les aiderons à grandir et à être le peuple dont nous avons besoin comme témoins ».

    Michel Janva

  • Civitas rappelle que les Français n’ont pas à choisir entre le keffieh et la kippa

    Voici un communiqué de Civitas qui ne manquera pas d’animer les débats !

    Choisir entre le keffieh et la kippa ?

    Les événements nationaux et internationaux des derniers jours méritent une analyse et un positionnement clair.

    Sionisme gouvernemental

    Il est devenu insupportable de constater ce sionisme gouvernemental dégoulinant qui amène François Hollande, chef de l’Etat français, à soutenir officiellement l’offensive militaire israélienne à Gaza malgré le bombardement volontaire de la résidence du Consul de France à Gaza par l’armée israélienne.

    Milice juive

    Il n’est pas admissible que la Ligue de Défense Juive (LDJ), véritable milice communautaire, puisse continuer en toute impunité à se livrer à des violences assumées avec cynisme dans la communication officielle de la LDJ sur les réseaux sociaux. Il saute aux yeux que des mouvements nationalistes ont été interdits pour bien moins que cela.

    Bandes urbaines

    Il n’est pas acceptable que de la destruction de mobilier urbain, des incendies de voitures, des pillages de commerces – bref des émeutes – soient commis par des bandes urbaines qui abusent de la cause palestinienne pour chercher à couvrir d’un vernis politique leurs actes de vulgaire délinquance.

    Islamistes fanatiques

    Il n’est pas tolérable qu’à l’occasion des manifestations pro-palestiniennes, des islamistes fanatiques déploient sur le territoire français la bannière de l’Etat Islamique en Irak et au Levant, organisation qui menace de mort les Chrétiens d’Irak.

    Médias et choc des civilisations

    Il faut aussi dénoncer le rôle des médias du système qui contribuent en permanence à cultiver le mensonge, à manipuler l’opinion publique et à créer les conditions d’un choc des civilisations tout en veillant à blâmer l’amour de la France, à émasculer les patriotes sincères, à empêcher tout authentique redressement national ainsi qu’à écarter systématiquement la possibilité pour les Français de retrouver dans l’ordre chrétien la solution à nombre de leurs problèmes.

    Ni keffieh ni kippa

    Plus que jamais, il convient de clamer que les Français n’ont pas à faire le choix entre le keffieh et la kippa. Ni les islamistes ni les sionistes n’ont la moindre intention de servir la France. Au contraire, tant les islamistes que les sionistes sabotent toute hypothèse de réconciliation nationale envisageable sur base d’une adhésion partagée au Bien commun, à l’ordre naturel et à l’amour de la France.

    La France est chrétienne et doit le rester

    Il est indispensable de répéter encore et encore que si la république maçonnique est laïque, la France véritable est catholique. Les Français ne peuvent espérer retrouver ni paix ni stabilité sans préalablement reconnaître les racines chrétiennes de la France et les bienfaits de la Chrétienté.  

    Alain Escada, président de Civitas

    http://medias-presse.info/civitas-rappelle-que-les-francais-nont-pas-a-choisir-entre-le-keffieh-et-la-kippa/13266

  • Le Maroc : un pays émergent et une puissance diplomatique (expert français)

    Paris - Sous l’impulsion volontariste de SM le Roi Mohammed VI, face aux nombreux défis du monde moderne et dans le contexte des crises régionales, le Maroc a tenu le cap d’un projet global ayant pour objectif un plus grand développement politique, social, économique et une diplomatie dynamique, a souligné le directeur de l’Observatoire d’études géostratégiques (OEG) de Paris Charles Saint-Prot. 

    Dans un entretien à la MAP à l’occasion des festivités marquant la Fête du Trône, l’expert français a indiqué que les quinze premières années du règne de SM le Roi Mohammed VI sont marquées par une modernisation profonde du pays dans le respect de ses traditions et de son identité et par des réalisations essentielles dans les domaines politique, socio-économique et diplomatique.

    Sur le plan politique, ces années ont été placées sous le signe du renforcement d’institutions adaptées au monde en évolution et de la consolidation d’un Etat de droit où se trouvent respectés à la fois le droit interne et international et les droits civils, politiques, humains , sociaux et culturels des citoyens ", relève M. Saint-Prot, expliquant qu’il faut comprendre la notion d’Etat de droit dans le sens le plus large et dans le cadre d’une monarchie moderne, responsable et populaire. [...]

    La suite sur l’Agence marocaine de presse

    LIRE ÉGALEMENT SUR THEATRUM BELLI, GÉOPOLITIQUE : LA MONARCHIE, UNE CHANCE POUR LE MAROC, PAR CHARLES SAINT-PROT

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-Maroc-un-pays-emergent-et-une

  • Israël-Palestine : Pour faire la paix, il faut bien plus de courage que pour faire la guerre

    De la Commission Justice et Paix de l’Assemblée des Ordinaires catholiques en Terre Sainte le 23 juillet 2014, via L'Homme Nouveau :

    « A Rama, une voix se fait entendre, une plainte amère ; c’est Rachel qui pleure ses enfants. Elle ne veut pas être consolée pour ses enfants, car ils ne sont plus » (Jérémie 31, 15)

    Une réalité de violence et de deuil

    Israël et la Palestine résonnent des cris des pères et des mères, des frères et des soeurs et des proches des jeunes gens qui sont tombés victimes de la dernière vague du cycle de violence qui affecte ce pays. Certains de leurs visages sont bien connus, parce que les médias ont couvert en détails leurs vies, interviewant leurs parents, leur donnant une nouvelle vie dans nos imaginations. Tandis que d’autres – de loin bien plus nombreux – se réduisent à quelques statistiques, sans nom et sans visage. La couverture, la mémoire et le deuil sélectifs font également partie du cycle de la violence.

    Nous offrons nos sincères condoléances à tous ceux qui sont en deuil, Israéliens et Palestiniens. Nous devons continuer à prier pour que les jeunes qui sont tombés récemment soient les deniers à subir une mort violente dans cette escalade de haine et de violence.

    Un langage qui engendre la violence

    « La langue est un membre minuscule et elle peut se glorifier de grandes choses ! Voyez quel petit feu embrase une immense forêt : la langue aussi est un feu. C’est le monde du mal, cette langue placée parmi nos membres : elle souille tout le corps ; elle enflamme le cycle de la création, enflammée qu’elle est par la géhenne. (…) Par elle nous bénissons le Seigneur et Père, et par elle nous maudissons les hommes faits à l’image de Dieu »(Jacques 3, 5-6.9).

    Notre espoir de mettre fin au cycle de la violence est brisé par le langage irresponsable de punition collective et de vengeance qui engendre la violence et étouffe l’émergence de toute alternative. Beaucoup de personnes en position de pouvoir et appartenant au leadership politique restent retranchés sur leurs positions. Non seulement ils ne veulent pas s’engager dans quelque dialogue réel et significatif, mais ils versent encore de l’huile sur le feu avec des paroles et des actes qui fomentent le conflit.

    Le langage violent de la rue en Israël appelant à la vengeance est alimenté par les attitudes et les paroles d’un leadership qui continue à entretenir un discours discriminatoire qui promeut les droits exclusifs pour un groupe particulier ainsi que l’occupation avec ses conséquences désastreuses. Des implantations sont construites, des terres sont confisquées, des familles sont séparées, des êtres chers sont arrêtés et même assassinés. Le leadership de l’occupation semble croire que l’occupation peut être victorieuse en écrasant la volonté du peuple pour la liberté et la dignité. Ils semblent croire que leur détermination réduira finalement au silence l’opposition et transformera le mal en bien.

    Le langage violent de la rue palestinienne appelant à la vengeance est alimenté par les attitudes et les paroles de ceux qui ont abandonné tout espoir de parvenir à une juste solution du conflit par les négociations. Ceux qui cherchent à construire une société totalitaire, monolithique, où il n’y a pas de place pour quelque différence ou diversité, gagnent en support populaire en exploitant cette situation désespérée. A ceux-ci aussi nous disons : la violence en réponse à la violence ne fait qu’engendrer davantage de violence.

     

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    Michel Janva

  • États-Unis : Obama en croisade fiscale contre les entreprises quittant le pays

    Une quinzaine de grandes entreprises ont déjà transféré leur résidence fiscale hors des Etats-Unis cette année. La Maison-Blanche veut supprimer cette possibilité, avec 20 milliards de dollars d’impôts supplémentaires à la clef.

    Le patriotisme économique n’est pas que français. C’est au nom de ce principe que Barak Obama entend empêcher les entreprises de transférer leur résidence fiscale hors des Etats-Unis. Le phénomène a pris des proportions alarmantes depuis quelques mois : une quinzaine d’entreprises ont opté pour l’exil fiscal, depuis le début d’année, en rachetant des entreprises implantées dans des pays fiscalement attractifs. Le plus inquiétant est qu’il s’agit de grandes sociétés, représentant des dizaines de milliers d’emplois.

    Les groupes pharmaceutiques, qui ont des montagnes de trésorerie à dépenser à l’étranger – sous peine d’être taxés aux Etats-Unis – sont les plus représentés. Deux d’entre eux ont encore sauté le pas la semaine dernière : basé en Pennsylvanie, Mylan va bientôt pouvoir payer ses impôts aux Pays-Bas grâce à l’acquisition d’une partie des Labotoires Abbott. Quant à AbbVie, il a confirmé, vendredi, son intention de rejoindre le Royaume-Uni grâce à l’acquisition de Shire.

    Ils allongent, ainsi, encore un peu plus la liste d’entreprises américaines ayant rejoint l’Irlande (Medtronic, Actavis, Perrigo, Chiquita Brands, etc.) et les Pays-Bas récemment (Applied Materials, etc.). Il s’en est également fallu de peu que le géant américain Pfizer devienne britannique, via une fusion avec AstraZeneca.

    L’exil fiscal s’accélère d’autant plus que les entreprises redoutent de voir la Maison-Blanche modifier les règles du jeu prochainement. Les entreprises, qui sont longtemps restées discrètes sur leurs pratiques, n’ont visiblement plus aucun état d’âme : « Tout le monde semble s’excuser de ces exils fiscaux. Pas moi. Je pense qu’il n’y a aucune raison de s’excuser », a lancé récemment le directeur général d’Abbott Miles White.

    Si les sociétés sont si nombreuses à abandonner la nationalité américaine – sans délocaliser leurs équipes pour autant –, c’est parce que l’impôt sur les sociétés y est l’un des plus élevés de l’OCDE (35 %). C’est aussi parce que l’intégralité de leurs bénéfices sont taxables aux Etats-Unis, y compris ceux générés à l’étranger – un principe d’extraterritorialité quasi unique au monde.

    Pour échapper à ces contraintes, les entreprises américaines peuvent facilement s’exiler, via une procédure dite d’inversion fiscale : il leur suffit d’acheter une entreprise étrangère et d’accorder au moins 20 % des actions de la nouvelle entité aux actionnaires de ladite entreprise étrangère. La Maison-Blanche veut passer ce taux à 50 %, avec un effet rétroactif au 1er mai 2014. Les PDG américains devraient donc renoncer au contrôle de la nouvelle société, ce qui serait certainement rédhibitoire à leurs yeux.

    « Si nous n’agissons pas, l’exil fiscal va s’étendre bien au-delà du secteur pharmaceutique » , a martelé dimanche le sénateur démocrate de New York, Charles Schumer. La mesure permettrait de sauvegarder 20 milliards de dollars d’impôt au cours de la prochaine décennie. Le texte sera soumis au Congrès prochainement, mais en cette année d’élections, il n’y a guère de chances que les républicains fassent le moindre cadeau à Barack Obama. Ils dénoncent une nouvelle charge contre les entreprises, n’ayant d’autre but que de rallier les classes moyennes dans la perspective des élections de mi-mandat, en novembre.

    Le problème est pris à l’envers, estiment-ils : il faut réduire l’impôt pour le rendre acceptable, et non pas empêcher les entreprises de le fuir. Mais Barack Obama, qui réclame une remise à plat fiscale depuis sa réélection, n’a jamais réussi à bâtir le moindre consensus sur la question.

    Les Echos

    http://fortune.fdesouche.com/348755-etats-unis%E2%80%89-obama-en-croisade-fiscale-contre-les-entreprises-quittant-le-pays#more-348755