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international - Page 1039

  • Syrie: combats meurtriers entre armée et jihadistes

    Plus de 70 personnes ont péri dans les combats opposant l'armée syrienne aux jihadistes de l'Etat islamique dans le nord, au moment où la Jordanie abattait un drone près de la frontière avec la Syrie, une première depuis le début du conflit.
    Parallèlement, un convoi d'aide humanitaire est passé en Syrie venant de Turquie sans l'accord de Damas a indiqué l'ONU, la première application d'une résolution du Conseil de sécurité adoptée à la mi-juillet pour aider les plus de 10 millions de Syriens ayant besoin d'aide.
    La guerre qui ravage leur pays depuis trois ans a tué plus de 170.000 Syriens, jeté hors de chez elles neuf millions de personnes, et devient de plus en plus complexe avec la fragmentation des fronts.
    Désormais, les rebelles qui tentent de renverser le régime de Bachar al-Assad combattent à la fois les troupes gouvernementales, les jihadistes de l'EI et récemment, un nouveau front s'est ouvert contre leurs ex-alliés du Front Al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda.
    De son côté, l'EI combat le régime, les rebelles, les jihadistes rivaux d'Al-Nosra ainsi que les autonomistes kurdes.
    - Attaques tous azimuts -
    Jeudi, le groupe ultra-radical a lancé des attaques concomitantes contre des positions du régime dans les provinces de Raqa (nord), de Hassaka (nord-est) et d'Alep (nord), selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) qui s'appuie sur un vaste réseau de sources civiles, médicales et militaires.
    Au moins 74 personnes ont péri dans ces affrontements qui durent depuis 24 heures, notamment à Hassaka et Raqa où les jihadistes ont lancé des attaques suicide contre des régiments, des brigades et un siège du parti Baas au pouvoir.
    Dans ce bilan figurent au moins 32 jihadistes, 30 soldats, et 12 membres du parti Baas, selon l'OSDH.
    Il s'agit de la première confrontation de cette ampleur entre l'EI et le régime, les jihadistes souhaitant, selon l'OSDH, "nettoyer" les territoires qu'ils contrôlent de la présence de l'armée.
    L'Etat islamique, qui a annoncé fin juin l'établissement d'un "califat" entre la Syrie et l'Irak, contrôle de larges zones dans ces deux pays et cherche à étendre son hégémonie.
    - Drone abattu -
    Au même moment, dans un premier incident du genre depuis le début du conflit syrien il y a trois ans, la Jordanie a abattu vendredi un drone qui survolait le gouvernorat de Mafraq, près de la frontière avec la Syrie.
    "Il s'agissait d'une violation de l'espace aérien jordanien. La Jordanie prendra des mesures (...) une fois ce drone identifié", selon un responsable de sécurité, précisant que le drone survolait une zone proche du camp de Zaatari, qui héberge environ 100.000 réfugiés syriens.
    En avril, Amman avait eu recours à des avions de combats pour détruire des véhicules militaires qui tentaient de pénétrer sur son territoire depuis la Syrie. Damas avait à l'époque affirmé que les véhicules n'appartenaient pas à son armée.
    Le royaume hachémite est accusé par Damas de soutenir les rebelles qui combattent le régime de Bachar al-Assad depuis plus de trois ans, mais il a toujours démenti.
    - Premier convoi humanitaire -
    Dans un pays où la moitié de la population souffre de la faim selon l'ONU, un premier convoi d'aide humanitaire est passé en Syrie depuis la Turquie sans l'accord de Damas, ont annoncé les Nations unies.
    Les neuf camions transportent des vivres, du matériel sanitaire ainsi que des équipements pour purifier l'eau et construire des abris, selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations unies.
    Il s'agit de la première application d'une résolution adoptée le 14 juillet par le Conseil de sécurité de l'ONU autorisant les passages transfrontaliers de convois humanitaires venant de Turquie, Jordanie et Irak sans l'accord préalable du gouvernement syrien.
    L'ONU évalue à 10,8 millions le nombre de Syriens ayant besoin de secours.
    Par ailleurs, les armes chimiques syriennes devant être détruites dans des usines spécialisées en Finlande, Grande-Bretagne et aux Etats-Unis ont été livrées, selon l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), chargée de superviser le processus.
    Ce processus est le fruit d'un accord russo-américain ayant permis d'éviter une intervention militaire américaine après que Damas eût été accusé d'avoir utilisé du gaz sarin dans une attaque ayant fait des centaines de morts à l'été 2013.

    Afp via nouvel obs :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_international/EupyFFlVEEGOPVBOXQ.shtml

  • Après les Pieds Noirs en Algérie, la valise ou le cercueil pour les chrétiens d'Irak !

    MERCI L’AMÉRIQUE POUR CE BEAU  CADEAU SUPPLÉMENTAIRE !!
     
     
    Chrétiens d’Irak

    La valise ou le cercueil

    Dans un silence médiatique impressionnant, la vie des 3 000 derniers chrétiens de Mossoul tourne au calvaire

    Chassés de leurs maisons ou forcés à se convertir à l’islam, sinon c’est la mort : des milliers de chrétiens, laissant tout derrière eux, ont fui avec leur famille sous la menace de l’ultimatum des djihadistes prononcé vendredi, qui ont instauré un califat après s'être emparés de la ville le 10 juin dernier. Tous leurs biens et possessions seront bien sûr pillés. Ceux qui n’ont pas eu les moyens de partir sont parfois réfugiés chez des amis musulmans qui les cachent pour leur éviter d’être tués.

    Mardi dernier les maisons des chrétiens ont été taguées de la lettre «N», comme nassarah (chrétiens) en forme d’ultime avertissement. Les notables ont été convoqués par les djihadistes à l'archevêché syriaque catholique pour leur expliquer les « nouvelles règles de vie ». Le soir même, des haut-parleurs, hissés sur des véhicules circulant dans les quartiers chrétiens, expliquaient ces « nouvelles règles de vie »:

    «Devenez musulmans et sujets du califat, ou alors payez la jyziah (l'impôt que les mécréants doivent payer aux musulmans), ce qui n'empêchera pas les hommes de devoir combattre avec nous. Sinon, partez, sans emporter quoi que ce soit. Et si vous ne respectez aucune de ces conditions, entre vous et nous, il n'y aura que l'épée. »

    Crime contre l’humanité

    Le site Salon Beige rapporte que d’après le site chaldéen Ankawa (en arabe) le Dr Mahmoud al-Asali, professeur à l'université de Mossoul, a été assassiné par les jihadistes de l'E.I.I.L, pour avoir protesté contre l'exil forcé des chrétiens. Et que selon l'association “Fraternité en Irak”, des musulmans ont tenté de s'interposer vendredi, sans succès, pour empêcher les membres du pseudo Etat islamique de saccager et incendier l'archevêché syriaque catholique de Mossoul. De même, « dimanche à Bagdad, à l'issue de la messe, des musulmans se sont réunis devant l'église Saint-Georges, pour manifester leur solidarité à l'égard des chrétiens persécutés dans leur pays. Sur leurs pancartes, cette inscription : "Je suis Irakien, Je suis chrétien" ».

    Les jihadistes ont également pris le contrôle d'un monastère antique dans le Nord de l'Irak et chassé ses moines. Ils ont violemment fait irruption dimanche dans le monastère de Mar Behnam, l'un des lieux de culte les plus anciens du christianisme en Irak, abritant une petite communauté de moines syriaques catholiques près de Qaraqosh, une ville majoritairement chrétienne :

    « Vous n'avez plus de place ici, et vous devez quitter les lieux immédiatement », a raconté un membre du clergé syriaque.

    Selon lui, les moines ont demandé de pouvoir conserver certaines reliques du monastère mais les jihadistes leur ont ordonné de quitter les lieux à pied et sans rien emporter.

    Y-a-t-il encore une communauté chrétienne quelque part ?

    Le patriarche chaldéen Louis Sako avait évalué à 35 000 le nombre de chrétiens présents à Mossoul avant le début de la terreur jihadiste. Presque tous ont fui la ville avant l'expiration de l'ultimatum, selon lui. Les autres risquent d’être assassinés à chaque instant. Le secrétaire général de l'ONU Ban ki-Moon a parlé de « crime contre l'humanité ».

    Occupé à aider les réfugiés de Qosh, le père Gabriel, qui a quitté Mossoul il y a un mois, lance un SOS :

    « Face à ces monstres, la présence chrétienne est en danger. Nous réclamons une force militaire internationale pour protéger les chrétiens d'Irak. Sinon, nous allons continuer de souffrir et probablement disparaître. »

    En France, l’indignation et la mobilisation restent modestes et discrètes. Comme toujours lorsque ce sont les chrétiens que l’on génocide : une poignée de manifestants devant l’Assemblée nationale mardi soir, les manifestations de la communauté assyro-chaldéenne de France, la question de l’UMP Jean-Frédéric Poisson à Laurent Fabius, l’interpellation de Rachida Dati au gouvernement, les protestations de Louis Aliot au Parlement européen et du conseiller de Marine Le Pen, Karim Ouchikh, demandant que la France « s'engage aux côtés des chrétiens d'Orient ».

    Honneur à eux ! Mais alors que le monde entier a les yeux rivés sur la Palestine (et que ses partisans musulmans occupent la rue en France !) on attend la forte et sainte colère du pape, la protestation collective et massive de nos évêques, celle de l’Eglise et de la communauté chrétienne tout entière. Pardon de les attendre là, plutôt que contre le réchauffement climatique ou la montée du FN…

     CAROLINE PARMENTIER

  • De Lavi Tass au Catholic Holy Cross Cemetery – par Laurent Glauzy

    Dimitri Lavi Tass, le commandant des unités blindées israéliennes, a été tué le 24 juillet 2014 par les snipers des brigades Qassam. Cette mort est chargée de symboles. Elle montre une nouvelle fois que David a changé de camp.

    Ce même jour, Ashraf al Ghadra, porte-parole du gouvernement de Gaza annonçait le bilan de plus de 660 morts et de plus de 4000 blessés dans les raids sionistes à Gaza.

    Les hommes politiques aux ordres qui soutiennent Israël feraient mieux de réfléchir à l’histoire d’Irving Moore Feldkamp, médecin américain ayant fait fortune dans les avortements et dont l’avion s’est écrasé le 22 mars 2009 dans un cimetière, à proximité d’un mémorial dédié aux enfants non-nés.

    L’affaire concerne Irving Moore “Bud” Feldkamp, homme très riche qui possède, outre des hippodromes, 17 cliniques privées, spécialisées dans l’avortement (Family Planning Clinics). Ces cliniques fonctionnent à plein rendement et sont très rentables. L’avortement y est pratiqué jusqu’au cinquième mois de grossesse. C’est dans ses établissements que se fait le plus grand nombre d’avortement de toute la Californie et c’est à cela qu’est dû en grande partie l’origine de la fortune de cet homme.

     

    Sa fortune est si considérable, qu’il a pu acquérir un bel avion privé, tout ce qu’il y a plus moderne, qu’il prête volontiers à ses enfants (il en a quatre) tout en leur offrant de luxueuses vacances. C’est ce qu’il fit pour deux de ses filles, qui s’en allaient, un dimanche, au Yellowstone Club, une station très prisée des riches millionnaires. L’avion transportait à son bord, les deux filles de Feldkamp ainsi que toute leurs familles, leurs deux maris et leurs sept enfants, tous âgés de moins de neuf ans, avec une famille d’amis. Alors qu’il approchait à 500 pieds (c’est à dire 150 mètres) de l’aérodrome, l’engin, qui venait de traverser 3200 kms sans aucun problème, a brusquement piqué du nez, pour s’écraser dans un petit cimetière catholique, le Catholic Holy Cross Cemetery, à proximité d’un mémorial dédié aux enfants non nés, sur lequel se réunissent des fidèles pour réciter le rosaire, pour les enfants avortés.

    L’avion s’est écrasé puis embrasé au sol et tous les passagers ont péri. Les circonstances de la chute de l’avion restent mystérieuses. Selon des témoins, il s’est brusquement abattu vers le sol, sans signe de lutte. Le pilote était un ancien militaire, pilote chevronné, qui n’a rien communiqué par radio d’un incident quelconque, susceptible de fournir un indice pour comprendre cet accident.

    Il ne fait aucun doute que Feldkamp se souviendra toute sa vie des enfants qu’il n’a jamais connus !

    « Ne vous y trompez pas : on ne se rit pas de Dieu. Ce qu’on aura semé, on le moissonnera. » (Épitre aux Galates VI, 7)

    Laurent Glauzy

    http://www.contre-info.com/de-lavi-tass-au-catholic-holy-cross-cemetery-par-laurent-glauzy#more-33895

  • Nantes: rassemblement de soutien aux chrétiens d'Irak

    Près de 300 personnes se sont rassemblées devant la cathédrale de Nantes pour montrer leur soutien et pour protester contre le silence assourdissant de la France devant le martyre de nos frères de Mossoul. Beaucoup de chrétiens, dont une cinquantaine de chrétiens d'Irak, justement originaires de Mossoul et réfugiés en France depuis des années, mais les musulmans de Nantes avaient également tenu à montrer leur solidarité par leur présence et par un discours ferme et clair condamnant toutes les atrocités. Les encouragements de Monseigneur James, évêque de Nantes, par la voix du recteur de la cathédrale, marquèrent également ce rassemblement digne et uni. Le rassemblement se termina par le Notre Père récité en araméen par les chrétiens d'Irak.

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    Michel Janva

  • Espionnage – Les services-secrets russes hyperactifs en France aujourd’hui

    On fait souvent une fixation sur les méthodes de renseignement de nos « amis » américains ou sur les pratiques d’espionnage des Chinois. Or, il semblerait que si les uns sont les maîtres incontestés du renseignement électronique et les autres les gourous de l’espionnage industriel, il existe un troisième axe hyperactif dans ce monde assez glauque du renseignement : la Russie.

    D’après le « Nouvel Observateur » qui publie cette semaine un dossier bien informé et très factuel,  les services secrets russes n’auraient jamais été aussi actifs et influents en France même pendant la Guerre Froide.

    En effet, il y aurait selon des sources internes à la cellule H4 (Russie) de la DGSI (Direction Générale de la Sécurité Intérieure, ex-DCRI) plus d’une cinquantaine d’espions russes travaillant sur notre territoire sous couverture diplomatique et une vingtaine « d’illégaux », des espions sans couverture diplomatique généralement bien implanté dans la société avec un emploi depuis plusieurs années et souvent une famille.

    D’après l’un de ses collaborateurs, le président Sarkozy en son temps avait déjà interpellé Poutine sur ce sujet en lui disant : « Au lieu d’espionner chez nous, tu ferais mieux de t’occuper des terroristes ».

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  • 70 ans après Bretton Woods, la suprématie du dollar de nouveau sur la sellette

    L’affaire BNP Paribas, 70 ans après la conférence de Bretton Woods, projette à nouveau les projecteurs sur la prépondérance du dollar dans le système monétaire international
    L’amende de près de 9 milliards de dollars infligée à BNP Paribas par la justice américaine le mois dernier souligne la toute-puissance du billet vert dans le système monétaire, commercial et financier mondial. Pour avoir réalisé des transactions en dollar avec l’Iran, le Soudan et Cuba, des pays sous embargo américain, la banque française s’est attiré les foudres américaines. Et déclencher l’ire du monde politique français. Le ministre des Finances français, Michel Sapin, notamment a estimé que la prééminence du dollar   «  conduit aussi nos entreprises à être parfois exposées à des risques de change qu’elles pourraient éviter ». « Nous devons reconsidérer le poids du dollar et les conséquences d’une évaluation des prix en dollar lorsque cela signifie que la législation américaine s’applique en dehors des Etats-Unis », a-t-il ajouté. D’où son appel pour faire progresser « l’usage de l’euro comme monnaie d’échange internationale ». Le ministre français n’est pas le seul à contester la suprématie du dollar. Les autorités chinoises s’efforcent, de leur côté, de développer l’usage du renminbi (voir ci-contre). Et plusieurs pays émergents ou en développement tentent tant bien que mal de s’émanciper de la monnaie américaine pour leurs opérations commerciales. En mars 2013, une étude de la Development Bank of Singapour attribuait la baisse de l’activité économique de toute l’Asie après la chute de Lehman Brothers en septembre 2008 au gel des financements en dollars « si crucial pour le commerce international de l’Asie. Pas de crédits, pas de commerce, pas d’activité. Fin de l’histoire ».
    Mais, de l’avis de la plupart des économistes et analystes, la prédominance du dollar dans le système monétaire international devrait perdurer pendant de nombreuses années . Le yuan chinois ne peut pas encore le remplacer. En un peu plus de 10 ans, l’euro n’est parvenu qu’à seulement écorner le pouvoir d’attraction du billet vert. A ce jour, les Etats-Unis, avec Wall Street, disposent de la principale place financière mondiale. Leurs marchés sont suffisamment développés, profonds et sûrs pour offrir des actifs sur lesquels les réserves des banques centrales mondiales vont s’investir. La plupart des matières premières – agricoles ou énergétiques - sont cotées en dollars et sur les places américaines. Même si Christophe de Margerie, le PDG de Total a reconnu lors des rencontres économiques d’Aix en Provence début juillet que rien n’empêche de payer le pétrole en euro. « Le cours du baril de pétrole est coté en dollars. Une raffinerie peut prendre ce cours et utiliser le taux de change de l’euro/dollar et payer en euros », a-t-il expliqué.
    Certes, mais dans l’histoire monétaire et financière, la puissance économique et commerciale d’un pays est toujours allée de pair avec la domination de sa monnaie. Ce qui n’empêche pas de pointer les insuffisances du système monétaire international actuel, né des décombres de la seconde guerre mondiale, en 1944, lors de la conférence de Bretton Woods et qui a fini par éclater au début des années 1970. D’abord avec la fin de la convertibilité du dollar en or en 1971, puis la généralisation des taux de change variable, en 1973, consacrée quelque temps plus tard à Kingston en 1976 par les accords de la Jamaïque. Ces derniers avaient dévolu au Fonds Monétaire International la surveillance des monnaies. Néanmoins, le flottement des devises a nécessité très tôt un pilotage. Ce dernier a été assuré avec plus ou moins de satisfaction par le forum des sept pays les plus riches (G7). Transformé aujourd’hui en G20 du fait de l’émergence de nouveaux géants économiques, l’exercice est devenu plus ardu, sinon impossible. L’heure est plutôt au chacun pour soi et à la guerre des changes larvée. La grande crise lors de son paroxysme en 2009 avait laissé espérer l’organisation d’un nouveau « Bretton Woods ». L’ex chef de l’Etat français, Nicolas Sarkozy l’avait souhaité dès 2008. Il n’en a rien été. Le système reste en l’état et le dollar continue d’imposer sa loi.

    Les Echos :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_antiamerique/EupypylVAFONqVOsja.shtml

  • Malaysia Airlines : Ron Paul rappelle pourquoi il faut se méfier de la version d’Obama et des médias du système

    Après le journaliste Robert Parry, c’est au tour d’une autre personnalité américaine, Ron Paul, un homme politique bien connu des Américains, de mettre en garde les Etats-Unis concernant l’empressement de Barack Obama et des médias aux ordres à pointer la responsabilité de la Russie dans l’affaire de l’avion de la Malaysia Airlines.

    La tribune de Ron Paul à ce sujet :

    Quelques jours après l’accident tragique d’un vol de la Malaysia Airlines dans l’est de l’Ukraine, les politiciens et les médias occidentaux se sont réunis pour diffuser une propagande maximale autour de la catastrophe. Cela doit être la Russie ; il doit s’agir de Poutine, ont-ils dit. Le président Obama a tenu une conférence de presse pour déclamer – avant même une enquête – que les rebelles pro-russes dans la région étaient les premiers responsables. Son ambassadeur à l’ONU, Samantha Power, a fait de même au Conseil de sécurité des Nations unies – juste un jour après l’accident !

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  • En bref : petit tour de la Hollandie

    Les chiffres magouillés du Pôle Emploi

    Le véritable nombre de chômeurs pour le mois de juin 2014 s’élève à 9.5 millions en France. Voir le détail :  ici

    Violente rixe dans le Gard

    « Les affrontements entre les deux bandes rivales – composées chacune d’environ 40 personnes – ont fait au total 8 blessés, dont une personne plus gravement atteinte, mais dont le pronostic vital n’était pas engagé. 
    Des barres de fer et des armes blanches ont été utilisées au cours de la rixe, et des témoins ont rapporté avoir entendu un coup de feu, même si aucune douille n’a ensuite été retrouvée, et qu’aucune personne n’a été blessée par balle. » Source : Le Figaro

    Un djihadiste grenoblois tué en Syrie

    Selon plusieurs sites islamistes, ou des comptes Twitter de spécialistes du djihad comme David Thomson de RFI, Abu Tamimah, un djihadiste originaire de Grenoble, a été tué vendredi lors des combats menées par l’Etat islamique en Irak et au Levant à Raqqa au nord de la Syrie. Le jeune homme, parti en Syrie depuis 2012 était particulièrement célèbre sur les sites internet et faisait de la propagande en faveur du djihad.  Source : FDS

    http://www.contre-info.com/

  • Emeutes de Paris du 19 juillet : le poids des mots (des grands médias), le choc des vidéos

    Paraphrasant ce qui a été longtemps le slogan de Paris Match, “Le poids des mots, le choc des photos”, cette vidéo met en parallèle des déclarations lénifiantes des grands médias et les scènes d’émeutes à Paris pendant la manifestation de soutien à Gaza du 19 juillet.