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Comment expliquer la soif de guerre des Européens? Ligne ouverte avec Erwan Castel
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[ÉDITO] Sommet de Londres : des lapins pris dans les phares
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L’économie de guerre, puis la guerre : on y va tout droit, sauf sursaut des Français

Si les Français ne veulent pas la guerre avec la Russie, leurs dirigeants la souhaitent, pour masquer leur échec dans tous les domaines. La Russie ne souhaite pas la guerre avec l’Europe. Elle entend récupérer les régions russophones de l’est de l’Ukraine. Elle n’a pas le désir ni les moyens de se lancer dans une opération de conquête du Vieux Continent. Après l’entrevue mouvementée entre Trump et Zelensky à la Maison-Blanche, la présidente du groupe Renew au Parlement européen, Valérie Hayer, appelle à une « économie de guerre » en surjouant du péril russe, avec « 250 milliards d’investissements annuels pour se réarmer et ne plus dépendre des États-Unis ». Le ministre de l’Économie Éric Lombard plaide également pour une économie de guerre. À la question de savoir si la situation était celle d’une «économie de guerre», il a répondu : « On n’y est pas mais il le faut. »
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Le show de la Maison Blanche

par Olivier Perceval
Trump a humilié son vassal Zelensky en public dans un exercice télévisuel de pseudo-diplomatie où il essayait d’escroquer sa victime de 300 milliards (voire 500) sous forme de terres rares. Quand l’autre a regimbé, il a été tout simplement éconduit, non sans essuyer tous les reproches que peut produire l’arrogance états-unienne.
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Sur l’Ukraine, ouvrons les yeux

Les alliés de Kiev ont fait « un mauvais calcul stratégique» en ne voulant pas voir que la guerre en Ukraine était «existentielle» pour Moscou, déplore le professeur de stratégie, Olivier Zajec, qui analyse la brutalité inouïe de Donald Trump comme un tournant pour l’Ukraine, mais aussi pour l’Europe.
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Pourquoi donc, sont-ils tous pour la guerre ?

« Quel étonnant paradoxe ! Prêcher la paix, c’est s’exposer à la violence des autres ». Christophe Ferré. C’est tristement la réalité, et nous venons d’en avoir un exemple avec ce qui vient de se passer dans le bureau ovale et les réactions des chancelleries européennes, qui se sont crues presque toutes obligées de se porter au secours de Zelensky, oubliant une fois de plus la réalité des faits. Sans ambiguïté il a traité Vance de « pute » ou « salope », au choix, mais bien entendu la cohorte de va-t-en-guerre qui compose le cénacle de la bien-pensance européenne ne veut pas s’arrêter à ce détail. C’est une trivialité acceptée et cultivée dans les cercles mondains de la vieille Europe, et ils découvrent que ces manières ne sont pas appréciées ailleurs. Il n’y a guère que Meloni, Orban et Fico qui ont eu le courage de faire entendre un autre son de cloche. Mais en France, malheur à celui ou celle qui oserait avancer que la paix c’est mieux que la guerre !
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En finir définitivement avec le mensonge du Maïdan !
La guerre a un inconvénient : les mensonges médiatiques s’y font écrémer et en trois ans, un lourd ménage a été accompli. Hélas, au contrôle on s’aperçoit qu’il demeure des éléments pour lesquels les pro ukrainiens continuent à y insister. Parmi eux, le mensonge du Maïdan !
Cela pourrait-être de l’histoire ancienne, si les dirigeants européens ne s’enferraient pas dans la politique dite pro Ukraine par fidélité à ce narratif.
Il convient donc de déminer les bases du dogme : Action !
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L'UE s'illusionne en croyant pouvoir soutenir Kiev sans Washington, selon un chercheur
L'UE ne pourra pas combler le vide laissé par Washington pour soutenir militairement l'Ukraine, et encore moins pour la reconstruire, a expliqué à Sputnik le politologue Joseph Siracusa, de l'Université Curtin, en Australie. -
La chronologie de l’Ukraine révèle la véritable histoire
18 mai 2015 vestige d'une église orthodoxe après le bombardement de l'armée ukrainienne près de l'aéroport international de Donetsk.Sans le contexte, occulté par les médias dominants, impossible de comprendre l'Ukraine. Les historiens relateront les faits, mais les journalistes sont muselés s'ils tentent de le faire aujourd'hui.Ce calendrier montre clairement les intentions agressives de l'Occident envers la Russie, et comment cet affrontement aurait pu être évité si l'OTAN n'avait pas ouvert ses portes à l'Ukraine, si les accords de Minsk avaient été mis en œuvre et si les États-Unis et l'OTAN avaient négocié un nouvel accord de sécurité en Europe, tenant compte des propres préoccupations de la Russie en matière de sécurité.Un bon moyen d'empêcher que la guerre en Ukraine soit comprise est d'en supprimer le contexte historique.
La version caricaturale fait débuter le conflit le 24 février 2022, lorsque Vladimir Poutine s'est réveillé ce matin-là en décidant d'envahir l'Ukraine.
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L'armée russe a libéré deux localités et détruit divers blindés américains ces dernières 24 heures
Les forces russes ont libéré les localités de Skoudnoïé et de Bourlatskoïé en République populaire de Donetsk, détruit des blindés de transport de troupes américains et renforcé leur position sur le front, rapporte la Défense dans son bilan quotidien de l'opération spéciale pour le 1er mars.Points clés du bilan quotidien de la Défense russe:

