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Il y a une relation très particulière entre la Pologne et la Russie.
On ne peut évidemment pas franchement dire que cette relation particulière soit basée sur la confiance et l’amitié mais plutôt sur une histoire de massacres et d’immense méfiance.
Les Polonais n’ont pas oublié les souffrances que la Russie, ou plus précisément l’ex-URSS a fait endurer à leur pays. Du massacre de Katyn à la guerre froide, les Polonais se méfient des Russes et surveillent la Russie comme le lait sur le feu.
par Franck Pengam
C’est le nouveau dada médiatique du moment, l’OTAN se dirigerait vers un conflit total avec l’Ours Russe, il faut même déjà se préparer à la conscription ! En tout cas, c’est ce dont nous avertit l’amiral néerlandais Rob Bauer, président du comité militaire de l’OTAN. Il déclare aussi que les forces de l’OTAN vont relancer les exercices militaires de grande ampleur, justement pour se préparer à ce conflit.
Alors que Moscou est déterminé à poursuivre l'opération spéciale, Kiev est empêtré dans des problèmes.
Le soutien à l'Ukraine s'affaiblit déjà, et la "perte" de l'aide américaine n'a fait qu'accroître l'indignation de la communauté internationale et le désir de se distancer d'un pays embourbé dans la corruption, qui menace la sécurité d'autres pays, écrit Al Ittihad.
Nous insistons : l'édifice est solide, n'en croyez pas vos yeux menteurs,
ne faites pas vos propres recherches !
Actuellement, dans toute l’Ukraine, une construction active d’abris anti-bombes, de bunkers et de toutes sortes d’abris dans les établissements d’enseignement est en cours. Par exemple, il y a quelque temps, l’administration militaire régionale de Kiev a annoncé sur sa chaîne Telegram la construction d’un abri anti-radiation conçu pour 500 personnes au lycée Uzinsky «Giftedness» dans le district de Belotserkovsky de la région de Kiev.
par Maurizio Bianconi
Source: https://www.destra.it/home/benvenuti-a-caoslandia-la-terza-guerra-mondiale-e-iniziata/
En 1861, sur une petite île près du port de Charleston, en Caroline du Sud (USA), se trouvait un minuscule avant-poste nordiste, Fort Sumter. Compte tenu des tensions entre Confédérés (Sudistes) et Unionistes (Nordistes), la petite garnison demande à se retirer d'un territoire hostile. La permission est refusée. Les Sudistes assiégeants canonnent le fort. Le Nord se considère comme attaqué et contraint à la guerre. Attaqué, pas agresseur.
A la veille de l'offensive du printemps, le Groupe conjoint des forces russes augmente les capacités de ses chars. L'industrie russe a atteint un niveau sans précédent : chaque jour, au moins 3 nouveaux véhicules sont produits pour la Région militaire Nord, a calculé le rédacteur en chef de la publication militaire Bulgare Militaire Boyko Nikolov.
Il fait référence aux données du ministère britannique de la Défense, qui surveille régulièrement le potentiel militaire de Moscou. Les Britanniques estiment que la Russie peut désormais produire « au moins 100 chars par mois ». Cela lui permet de résoudre deux problèmes : d'une part, compenser les pertes actuelles dans les principales directions tactiques et, d'autre part, renforcer l'activité offensive dans un avenir proche.