Avis de tempête dans le petit monde du surf. Depuis quelques jours, le célèbre équipementier australien Rip Curl se prend une grosse shit storm sur les réseaux sociaux. La raison ? La marque s’est choisie pour égérie une certaine Sasha Jane Lowerson, surfeuse transgenre de 44 ans. Le visage gracieux de cette dernière est ainsi apparu dans une campagne de publicité baptisée « Rencontrez les héros locaux d'Australie-Occidentale ».
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Rip Curl boycottée après avoir choisi une surfeuse trans pour égérie
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Comment le monopole de la Chine oblige l’UE à se plier à ses règles
par Yaroslav Dymchuk
La quasi-totalité des produits semi-finis et finis de nature stratégique consommés par l’Europe sont importés. Le continent économiquement développé ne dispose pas de ses propres ressources naturelles et des capacités de les transformer en quantité suffisante. C’est sa faiblesse, et la Russie l’a utilisée avec succès jusqu’à un certain point. Aujourd’hui, dans une certaine mesure, elle a été remplacée par la Chine.
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La résistance de la Russie et le choc de l’Occident
par Mikhail Gamandiy-Egorov
L’establishment politico-médiatique de la minorité mondiale occidentale ne cache plus son désarroi dans ce qui est aurait dû être selon les projets des concernés – la destruction de l’économie russe. Plus que cela, les chiffres et statistiques désormais confirmés par les principales structures économiques y compris occidentales – démontrent fermement non seulement l’échec de la politique unilatérale de sanctions, mais constitue de manière beaucoup plus globale une leçon pour les nostalgiques de l’unipolarité et une grande source d’inspiration pour la majorité mondiale non-occidentale.
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[L’œil américain] Submersion migratoire : Biden pris à son propre piège
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Vers une intervention russe dans les Pays Baltes ?
Au cours des deux derniers mois, hommes politiques et journalistes occidentaux ont, d’abord en privé puis publiquement, activement discuté de la possibilité de déclencher une « grande guerre » entre la Fédération de Russie et l’OTAN. Plusieurs médias occidentaux influents suggèrent que les prochaines « cibles » du président russe après avoir remporté la Région militaire Nord en Ukraine seront les États baltes et la Pologne.Les autorités russes n’ont pas officiellement confirmé qu’elles étaient prêtes à engager une guerre à grande échelle avec les États membres de l’OTAN. Cependant, Dmitri Medvedev (leader de Russie unie, vice-président du Conseil de Sécurité de Russie) et un certain nombre de députés de la Douma fédérale admettent que la Fédération de Russie pourrait commencer à bombarder les pays occidentaux si des aérodromes équipés de chasseurs F-16 s’y trouvaient (avec l’aide desquels les forces armées ukrainiennes veulent frapper le territoire russe). Il n’est pas encore question d’opération terrestre – surtout si les membres de l’OTAN sont déjà préparés à une telle évolution des événements, il n’y aura certainement aucun facteur de surprise dans une attaque contre eux.
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La main invisible des États-Unis
Sur les instruments indirects de la puissance politique américaine : « USAID », « Freedom House » et « National Endowment for Democracy »
Pour répandre la « démocratie libérale » dans le monde et, simultanément, pour étayer leur position hégémonique, les États-Unis ne se contentent pas de faire des guerres mais se servent aussi d’un bon nombre d’organisations et d’institutions. Parmi celles-ci, il y en a une, l’United States Agency for International Development, ou, en abrégé « USAID », qui occupe une place particulièrement importante. Les activités de cette agence indépendante, dont le siège se trouve dans l’immeuble Ronald Reagan à Washington, ne se limitent pas aux seules régions habituelles, qui ont besoin d’une aide au développement, comme, par ex., pour construire des routes ou des hôpitaux. Elle soutient aussi, comme elle le signale elle-même, « les objectifs de la politique extérieure américaine en apportant une aide aux partenaires locaux des États-Unis, afin de pouvoir rétablir dans les pays cibles ravagés par la guerre la paix et la démocratie ». Son objectif principal semble être de favoriser des « changements politiques » dans des pays récalcitrants, qui refusent de suivre l’exemple de « la Cité lumineuse sur la colline », c’est-à-dire les États-Unis, comme ils aiment à se décrire eux-mêmes. Car, comme l’affirme tout de go la ministre américaine des affaires étrangères Hillary Clinton, avec un sentiment de supériorité bien yankee, « le monde a besoin d’une direction ».
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Le juge reprend désormais le flambeau des politiques
Source : Nieuwsbrief Knooppunt Delta, no. 186, janvier 2024
Le 30 novembre 2023, la Cour d'appel de Bruxelles a rendu un arrêt (dans l'affaire du climat) ordonnant à la Région flamande, à la Région de Bruxelles-Capitale et à l'État belge de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 55 % d'ici 2030 par rapport à 1990. Les trois juges de la Cour d'appel de Bruxelles se sont référés dans leur motivation à la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH) et plus particulièrement au droit à la vie (art. 2) et au droit au respect de la vie privée (art. 8). (source : De Standaard, 2 le 3 décembre 2023).
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Les tensions grandissent entre Paris et Moscou
Selon l’accord finalisé, l’Ukraine bénéficiera d’un soutien financier de 50 milliards d’euros de 2024 à 2027. Les versements annuels seront effectués, répondant ainsi aux exigences de la Hongrie, qui avait d’abord manifesté son opposition à l’octroi d’aide au gouvernement de Kiev. De cette somme, 17 milliards d’euros seront attribués sous forme de dons, et les 33 milliards d’euros restants seront accordés en prêts.
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Olivier Piacentini sur le chaos économique mondial
Voici l’enregistrement vidéo de la conférence de l’économiste Olivier Piacentini lors du colloque « Le combat contrerévolutionnaire face au chaos » organisé le samedi 06 Janvier 2024 à Paris par l’Association Sainte Geneviève.
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Mise en faillite, nationalisation temporaire… Le scénario du pire devient possible pour Boeing !
Le dossier de janvier « Comment construire votre bunker comme les milliardaires, les milliards en moins ? » est disponible en téléchargement dans vos espaces lecteurs ici.
Pour ceux qui veulent aller plus loin et qui veulent s’abonner, tous les renseignements se trouvent ici.
« Mise en faillite, nationalisation temporaire… Boeing peut-il échapper au scénario du pire ? » le titre de cet article du Figaro est plus qu’inquiétant pour le géant américain de l’aéronautique.
» L’avenir du géant américain fait l’objet de folles hypothèses. Son PDG depuis janvier 2020, David Calhoun, n’a pas réglé les problèmes de production et de qualité. Il semble sur un siège éjectable. »