international - Page 430
-
Niger, Afrique, guerre : MACRON la catastrophe !
-
Kolossale

par Patrick Reymond
Différence de pertes, VVP nous dit, entre Ukraine et Russie. En gros, 350 000 morts d’un côté, 35 000 de l’autre, et rien d’étonnant.
On connait le ratio de 1914/1918 (1919 si on compte la signature de la paix à Versailles), jusqu’à 90% des pertes sont causées par l’artillerie. Celui qui tire dix fois plus, tue donc, dix fois plus.
Cerise sur le Gâteau, beaucoup de tués russes sont des wagnériens. Étrangers ou ex-taulards que personne ne pleure. Un peu comme nos abrutis qui passaient de la prison à la Syrie. Le seul regret, là, étant les 10% qui peuvent revenir.
-
TRUMP : l’oligarchie n’arrive plus à l’arrêter !
-
La catastrophe qui menace l’Ukraine

par Larry Johnson
Voici l’article que j’avais l’intention d’écrire, mais Michael Vlahos m’a devancé. Pourquoi essayer de réinventer la roue quand Michael en fait une parfaite ? Michael Vlahos a écrit : «L’armée ukrainienne s’effondre». En voici les grandes lignes (je vous encourage à lire l’intégralité de son article).
Une armée vaincue et une armée brisée sont deux choses différentes. Une armée simplement vaincue au combat peut souvent se replier avec succès, se reformer et reconstituer sa force, comme Rome l’a fait après son humiliation à Cannae, détruisant finalement sa grande rivale, Carthage. Mais lorsque des armées entières s’effondrent, lorsqu’elles perdent leur volonté de se battre, le pays tout entier peut également s’effondrer. C’est ce qui est arrivé aux grands empires lors de la Première Guerre mondiale. C’est aussi le sort qui attend l’armée ukrainienne. […]
-
Qui sème le vent, un téléfilm pour mieux comprendre les intérêts de la France au Niger

Alors que l’actualité ramène au premier plan les relations tendues entre le Niger et la France, ce téléfilm réalisé en 2011 donne un aperçu intéressant sur les méthodes de la diplomatie française et le rôle prédominant des grands groupes financiers sur les décisions politiques.
Résumé du téléfilm
Deux scientifiques membres d’une ONG sont enlevés au Niger. Ils enquêtaient sur les conditions d’exploitation plus que contestables d’une mine d’uranium par un important groupe français. Une prise d’otages qui intervient alors que la France et le Niger renégocient justement le prix de l’uranium…
-
L’Occident admet les capacités des Russes et l’impasse de la contre-offensive ukrainienne

par Philippe Rosenthal
Dans les déclarations des responsables de l’OTAN et des analystes occidentaux, on peut lire entre les lignes – parfois même ouvertement – une réalité différente des slogans de victoire clamés chaque jour par Volodymyr Zelensky. Washington, Londres, Bruxelles et Kiev ne s’attendaient pas à un tel niveau d’organisation et d’excellence technologique de la part des Russes.
Il se peut, aussi, qu’ils le connaissaient, mais ils préféraient se réfugier dans le vœu pieux habituel de la victoire ukrainienne. Mais, le fait est que la contre-offensive ukrainienne ne perce pas et ne donne pas de résultats, au contraire elle risque de se transformer en un effondrement.
-
VLADIMIR POUTINE : "TOUT N'A PAS COMMENCÉ AVEC L'OPÉRATION MILITAIRE SPÉCIALE."
-
La BBC se demande pourquoi l’Afrique du Sud s’écroule depuis les années 2000. Épisode 1: les longues coupures d’électricité incessantes dues à la corruption, au manque de maintenance et à la perte de compétences
L’Afrique du Sud disposait autrefois de l’électricité la plus abondante et la moins chère du continent. Aujourd’hui, elle connaît des coupures de courant. C’est ce qu’on appelle le délestage, processus par lequel la compagnie d’électricité Eskom réduit occasionnellement la demande d’électricité sur le réseau national.
-
Syrie : Une histoire de pillage et de résurrection

Alors que le vol massif des ressources naturelles de la Syrie se poursuit sous la surveillance des troupes américaines illégales, le projet russe de ressusciter Palmyre, détruite par ISIS, rappelle brutalement que les ruines peuvent renaître – si les amis de la Syrie aident à ouvrir la voie.
La guerre contre la Syrie a disparu de l’ethos collectif occidental. Pourtant, elle est loin d’être terminée. Des multitudes à travers la Majorité mondiale peuvent ressentir la plus profonde empathie envers les Syriens tout en reconnaissant qu’il n’y a pas grand-chose à faire tant que la Minorité occidentale refuse de quitter la scène.
-
Macron impute à la DGSE sa propre incurie

Le Canard enchaîné a sorti, ce mercredi, une info qui se voulait croustillante : Emmanuel Macron aurait poussé un coup de gueule contre la DGSE lors du Conseil de Défense du samedi 29 juillet.
Il aurait reproché à Bernard Émié, diplomate de choc qui dirige le fleuron du renseignement français depuis 2017, de n'avoir « rien vu venir » du putsch du général Abdourahmane Tchiani. Comme un professeur principal devant un élève faiblard au terme d'un deuxième trimestre sans éclat, Macron aurait même conclu : « Le Niger, après le Mali, cela fait beaucoup. » Le Canard, qui semble décidément bien informé, livre la réplique du DGSE : « J'avais rédigé une note sur la situation au Niger en janvier. » Et un ministre servile, dont le nom n'est pas communiqué, l'a immédiatement taclé : « Soit on est tous bêtes, soit la note était incompréhensible. » « Ainsi dit le renard, et flatteurs d'applaudir », comme disait La Fontaine (Les animaux malades de la peste).