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international - Page 430

  • onvention démocrate : Trump pris pour cible – Le Journal du mercredi 19 août 2020

    Au programme de cette édition :
    Nous nous rendrons aux États-Unis pour un grand sujet sur la Convention démocrate qui a investi le candidat Biden. Gérald Ollivier, spécialiste de la vie politique outre-Atlantique, évoque pour TV Libertés les enjeux de la campagne présidentielle en cours.
    Et nous prendrons également la direction du Mali. Le président Ibrahim Boubacar Keita a démissionné après une révolte militaire. Une situation tendue qui fait craindre pour la sécurité de la région.

  • La déraison écologique

    La raison écologique est la meilleure avons-nous. Il ne faut pas oublie, pour autant, le développement d’une idéologie écolo, enseignant méthodiquement ce mépris de l’humain, qui pourrait être le drapeau de la nouvelle globalisation.

    Gardiens de la Création, nous le sommes, mais l'homme est aussi à son sommet, dépassant le monde matériel qui l'entoure, parce qu'il est corps et âme et que sa destinée est ailleurs. La terre lui est donnée afin qu'il en dispose : non pour en abuser ni la détruire, mais pour en faire le meilleur usage. Qui saurait prétendre l'inverse ? Mais que de sacrifices absurdes ne lui demande-t-on pas au nom de l'environnement là est la notion religieuse qui prédomine aujourd'hui dans l'idéologie verte, qui n'a de cesse de montrer que l'homme est aujourd'hui le plus grand ennemi de la nature. Médias, programmes scolaires, réglementations à l'infini répètent les poncifs de l'écologie : réchauffement (à cause du C02, dont les dégâts seraient imputables à l'homme), surconsommation, épuisement des ressources, surpopulation, déchets polluants, injustice environnementale dont les pays riches, occidentaux et principalement chrétiens portent la responsabilité à l'égard des pauvres qui seront les premières victimes des dérèglements climatiques… tous ces mots nous sont familiers.

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  • Covid-19. Le vaccin doit-il être démocratique ?

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    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ Il ferait beau voir que la pandémie mondiale soit vaincue par un vaccin non démocratique ! En écoutant nos médias, on est mis devant le tabou sanitaire : le vaccin sera politiquement correct ou ne sera pas. Il est donc insupportable pour nos journalistes, spécialistes de tout, que le vaccin peut-être salvateur vienne de la Russie.

    Que crève l’humanité plutôt que le dogme absolu !

    La Russie a développé le « premier » vaccin contre le coronavirus, a affirmé Vladimir Poutine lors d’une vidéo-conférence retransmise à la télévision. « Ce matin, pour la première fois au monde, un vaccin contre le nouveau coronavirus a été enregistré », a dit le président, en ajoutant : « Je sais qu’il est assez efficace, qu’il donne une immunité durable. ». Sa fille « a participé à l’expérience », a-t-il indiqué, affirmant qu’elle avait eu un peu de température, « et c’est tout ». Ce vaccin, baptisé Spoutnik, en hommage au satellite soviétique, sera mis en circulation le 1er janvier 2021, selon le registre national des médicaments du ministère de la Santé, consulté par les agences de presse russes. Un milliard de doses ont déjà été précommandées par vingt pays. La production prochaine de milliers de doses de vaccins contre le nouveau coronavirus doit démarrer en septembre en attendant la productions de « plusieurs millions » dès le début de l’année prochaine.

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  • Le Coronacircus en marche vers le gouffre financier 2/2

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    Tous les européens s’en foutent, égoïstement, car cela n’arrive pas près de chez eux !

    « Cela coûte un pognon de dingue » avait affirmé le Docteur Micron.

    Il parlait surtout du déficit de la Sécurité Sociale et de la santé hospitalière. Mais au cours des semaines on a donc appris que le Pouvoir décidait d’attribuer des dons, des aides, des subventions ou des prêts garantis par l’Etat à différents secteurs de l’économie française, par dizaines de milliards d’euros. Tout cela afin de tenter de sauver des dizaines de milliers d’entreprises et des centaines de milliers d’emplois.

    Afin de trouver grâce aux yeux d’une partie des électeurs, le gouvernement Français a promis la distribution de différents hochets  et des breloques :

    1. Des primes pour ceux qui ont soigné les malades et ceux qui participaient à la chaîne alimentaire.
    2. Un défilé des soignants le 14 juillet sur les Champs-Elysées.
    3. La construction d’un mémorial consacré aux victimes de l’épidémie
    4. Sur proposition de loi du député Philippe Gosselin, création d’une médaille Covid 19.
    5. D’autres élus aimeraient que le personnel médical décédé du virus reçoive la Légion d’Honneur et que sur leur tombe on inscrive « Mort pour la France ».

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  • Se sacrifier pour le climat

    L’idéologie climatisme a été approuvée avec un bel ensemble en Europe. Mais voici le temps des sacrifices économiques au nom du climat les pays européens sont nettement moins enthousiastes !

    Début octobre, les ministres de l'Environnement de l'Union européenne se sont réunis à Luxembourg pour voter un texte sur les normes d'émission de C02 concernant les voitures neuves. Avec pour objectif la réduction des émissions gazeuses de 35 % d'ici 2030. L'opération est cependant plus délicate qu'il n'y pourrait paraître de prime abord. En effet, nombre d'États-membres sont plus soucieux et on peut comprendre que, dans une période de crise économique, ils s'interrogent sur le bien-fondé de la démarche proposée - de protéger leurs industries que de s'engager pour l'environnement - ou, du moins, ce que l'idéologie nomme tel.

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  • Le Coronacircus en marche vers le gouffre financier 1/2

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    Pieter Kerstens

    Lorsque nous avions rédigé notre article dans le précédent numéro de la revue, la prévision et l’anticipation des conséquences d’une crise sanitaire, doublées par un chaos des marchés pétroliers, ignoraient alors la stratégie et les décisions aberrantes des gouvernements français et européens, face à la pandémie. En conclusion, nous jugions que « il suffirait d’une petite bourrasque comme…le Covid-19, qui pourrait entraver non seulement l’industrie chinoise, mais aussi par conséquence stopper l’activité de certains secteurs de l’économie mondiale et perturber les activités bancaires et financières, pour déclencher un nouveau krach mondial. »

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  • Le danger de l’impérialisme néo-ottoman.

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    Contrairement à ce que disait le calamiteux Mitterrand, ce n’est pas le nationalisme qui est la guerre, mais l’impérialisme. Une nation a vocation à défendre son identité, sa population, son territoire et non à s’en prendre à ses semblables. La guerre sera pour elle défensive, fondée sur la légitime défense et compatible avec la conception chrétienne des conflits. La politique royale tendait à assurer le pré carré, c’est-à-dire un territoire national capable de se défendre sur des frontières naturelles. La Révolution et l’Empire ont au contraire mené des guerres impérialistes dont l’échec final a définitivement clos la réalisation du premier objectif. L’impérialisme allemand appuyé sur le peuple, sa langue, sa culture, sa race a pris le relais en dévastant l’Europe. L’impérialisme soviétique s’est déployé après l’effondrement de l’Allemagne. Comme les Français s’étaient appuyés sur leurs idéaux révolutionnaires, les Russes ont brandi l’étendard du communisme pour mener une entreprise de domination du monde, et non plus de l’Europe. Ils avaient en face d’eux un autre impérialisme, celui des Etats-Unis, sous les drapeaux de la liberté, du droit, et du marché ouvert, infiniment plus sympathique, mais servant lui aussi les intérêts mondiaux d’un Etat, d’une culture, d’une civilisation, celle qui prolongeait l’Empire britannique, en alliant la langue anglaise, la liberté économique et l’exploitation des richesses planétaires. Pendant un court moment, celui où a triomphé Fukuyama et sa « Fin de l’Histoire », on a cru que le second avait terrassé le premier, et que la « pax americana » allait régner sur le monde… L’illusion s’est dissipée.

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  • La nouvelle révolution vient des élites

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    L'impossibilité de rendre la droite intéligente.jpegMichel Geoffroy vient d'écrire un gros ivre sur La super-classe mondiale contre les peuples. L’ancien haut fonctionnaire, pétri par la culture du secret, découvre, pour nous, les arcanes d'un nouvel ordre.

    Entretien avec l'abbé G. de Tanouarn

    Qu’appelez-vous « la superclasse mondiale » ?

    Fondamentalement, ce n'est rien d'autre que le Pouvoir économique et financier, dérégulé et mondialisé dans la seconde moitié du XXe siècle. Car en 1989, après la disparition de la menace communiste, la fonction marchande se met à tout diriger en Occident. C'est ce qui me différencie par exemple des travaux d'un Henry Coston, autrefois : je ne pointe pas telle ou telle minorité à l'œuvre dans l'histoire, même si cette méthode a eu son intérêt, mais je décris un système, que je caractérise ainsi : l'usurpation de la souveraineté politique par le pouvoir économique et financier mondialisé et dérégulé en Occident. Il faut bien se dire que les 100 premières entreprises mondialisées, qui sont américaines en grande majorité, représente un PIB supérieur à celui de l'Union européenne. Ajoutons qu'elles peuvent se localiser où elles veulent pour payer le moins possible d'impôts aux États. Eh bien ! La super-classe mondiale, c’est le milieu humain qui naît du nouveau rapport de force entre l'économie et la finance mondialisées d'une part, la souveraineté politique d'autre part.

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  • Crise : après une simple correction, l’or va continuer de grimper

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    Après une correction spectaculaire, ce mardi 11 août, la plus importante depuis 2013, les métaux précieux sont repartis à la hausse. Alors qu’il avait dépassé les 2.070 dollars l’once, l’or est très vite repassé sous les 2.000 dollars, et même sous la barre des 1.900 dollars, mais pour terminer à 1.936,20 dollars, ce vendredi 14 août. La correction a été initiée suite à une prise de profits, mais du côté des fondamentaux économiques, rien n’a changé car les dettes, les créations monétaires, les dépenses publiques et déficits publics, quelques conflits possibles sont toujours présents.

    L’endettement va empirer et la seule porte de sortie est l’inflation. La plupart des pays sont engagés dans des programmes de relance sans précédent. Simultanément, la pression de la  qui a permis de limiter l’inflation diminue. Même en cas de signes d’inflation, les  centrales ne relèveront pas les taux d’intérêt pour la maîtriser, de peur d’empêcher une éventuelle reprise économique et de diminuer l’inflation qui aide à résoudre le problème de la dette irremboursable.

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  • Le chanteur de RNB Akon encourage les Afro-Américains à retourner en Afrique : « Vous ne serez plus une minorité et et vous contrôlerez votre destin, votre avenir, et votre terre » #BlackLivesMatter

    Akon a été pris de court cette semaine après avoir été interrogé sur la façon dont l’esclavage est perçu au Sénégal, où il a passé une partie de son enfance. L’artiste de 47 ans a affirmé que les Sénégalais ne pensent plus à l’esclavage parce qu’ils ont “surmonté” ses horreurs, contrairement aux Afro-Américains.

    “Au Sénégal, nous avons en quelque sorte surmonté la pensée de l’esclavage, nous n’y pensons même plus”, a-t-il déclaré lors d’une interview accordée à la chaîne à VladTV. “La seule fois où nous y pensons, honnêtement, c’est quand nous faisons des visites à l’île de Gorée. En dehors de cela, les gens ont vécu et se sont déplacés bien au-delà du concept d’esclavage …”

    Akon a ensuite déclaré que les Noirs américains tireraient profit d’un simple “lâcher prise” de l’esclavage.

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