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JT du Lundi 09 Novembre 2015
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Pour en finir avec les fantasmes occidentaux sur la Crimée
Monsieur Obama devrait cesser de fantasmer sur une Crimée ukrainienne. Les gens de Crimée sont heureux et fiers d’avoir retrouvé leur patrie. Ses imprécations ne sauraient altérer l’amour que les Criméens portent à leur pays la Russie.
Récemment, Barack Obama a déclaré qu’il ne reconnaîtrait jamais le résultat du référendum concernant le rattachement de la Crimée à la Fédération de Russie, propos repris mercredi dernier par Evelyn Farkas, ancienne assistante au Secrétariat à la Défense des USA.
Après trois mois passés dans la péninsule et de nombreux contacts avec les habitants, les raisons du score écrasant pour le rattachement me sont apparues évidentes.
Au temps de l’Ukraine, déjà, les nombreux feux d’artifice privés tirés à Simferopol pour les douze coups de minuit du Nouvel An l’étaient à 23 heures. Simplement parce que l’on sablait le champagne à l’heure de Moscou en Crimée, preuve du sentiment d’appartenance à la communauté russe.Lien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, géopolitique, international, lobby 0 commentaire -
Le soutien de Laurent Fabius au Front al-Nosra rappelé par Damien Viguier, invité à la télévision syrienne
Durant son récent voyage en Syrie, Maître Damien Viguier fut l’invité de la télévision arabe syrienne. Il n’a pas manqué d’y rappeler le soutien de Laurent Fabius aux terroristes djihadistes du Front al-Nosra.
Tout l’entretien mérite d’être attentivement écouté.
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La guerre secrète contre les peuples (Claire Severac).
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La lettre d'analyses et d'informations libre n°7 (novembre 2015)
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Les infos dont on parle peu n°107 (6 novembre 2015)
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Qui est Alexandre Douguine ?
Alexandre Guelievitch Douguine, né à Moscou le 7 janvier 1962, dans une famille de militaires, est un théoricien politique russe. Son père était officier du KGB. Douguine est décrit comme un patriote russe passionné, un intellectuel et un fidèle de la religion orthodoxe (dans la branche traditionaliste des « vieux croyants »). Il serait polyglotte, parlant neuf langues, et a obtenu un doctorat en histoire de la science, en 2001, et un second en science politique, en 2004. Récemment dans la presse française, en particulier dans le Nouvel Observateur, nous avons eu droit à des portraits du personnage. Il serait une sorte de Raspoutine mâtiné de rouge brun, que l’on transformait en conseiller le plus écouté de Poutine. Ce qui bien évidemment n’était pas destiné à nous rassurer sur l’ennemi favori du moment de nos médias.
Il est vrai que le personnage fait partie de ces gens qui ont oscillé à la chute de l’Union soviétique entre le communisme et un nationalisme grand russe et noué de ce fait des liens avec une certaine extrême-droite européenne, ils sont issus d’un traumatisme de la société russe post-soviétique que l’on peut symboliser par un événement qui a été évacué de la mémoire occidentale: la manière dont Elstine pour imposer les privatisations et les diktats américains, la base de l’oligarchie encore actuellement au pouvoir, a fait tirer sur l’Assemblée du peupe hostile aux réformes.Sous la direction de conseillers US et soutenu par les milieux capitalistes occidentaux, Boris Eltsine avait lancé son programme de réformes le 2 janvier 1992, qui entraînèrent rapidement une baisse catastrophique du niveau de vie pour la population (ce qui fut qualifié de « génocide économique » par le vice-président Alexandre Routskoï). Survint alors la « crise constitutionnelle russe » ; le pouvoir législatif (encore largement basé sur des structures de l’époque soviétique tardive) et le pouvoir exécutif entrèrent en conflit.En septembre 1993, la crise politique atteignit un point de non-retour. Eltsine proclama son intention de poursuivre ses réformes et déclara dissous le Parlement (ce qu’il n’avait pas le droit de faire d’après la Constitution). Le Parlement refusa cette dissolution, démit Eltsine, et en appela au soutien de la population.
Limonov et Douguine soutinrent cette « révolte » des députés, maladroitement dirigée par Khasboulatov (président du Parlement) et par l’ancien colonel de l’Armée rouge, Alexandre Routskoï. Finalement, la hiérarchie militaire bascula du côté d’Eltsine (qui bénéficiait aussi du soutien des États-Unis) et la « révolte » fut écrasée par la force. Le 4 octobre, Eltsine fit tirer au canon sur le Parlement, qui fut ensuite pris d’assaut. Douguine fut lui-même pris dans la fusillade dans le quartier d’Ostankino (devant le bâtiment de la télévision russe). La population dans son ensemble était hostile aux réformes ultra-libérales mais n’avait ni organisation, ni leader.
On ne comprend rien à ce qui se joue aujourd’hui y compris à partir de la situation en Ukraine si l’on occulte ce drame que fut la fin de l’Union soviétique. Les tentatives multiples de trouver dans le Parti communiste une force de résistance aussi bien par Douguine que par l’autre conseiller du président Poutine Sergei Glazyev, qui lui s’affirme beaucoup plus à gauche… La seule chose qui rapproche ces deux hommes est leur refus de l’oligarchie, de la corruption qui entraîne la Russie vers la soumission à l’occident et qui les oppose à toute une aile du parti de Poutine, pro-occidental, y compris le premier ministre.
Poutine, malgré sa réputation d’autocrate, est un homme qui prend des avis contradictoires, y compris du Parti communiste de la Fédération de Russie dont il ne cesse de chercher un soutien qui lui est accordé au plan international, mais qui se heurte à une franche opposition en ce qui concerne le plan intérieur et la politique au profit des oligarques qui nuit autant à la population qu’au développement national, selon les communistes. Ces derniers dans la crise ukrainienne ont marqué une volonté anti-occidentale, ne cherchant pas à ménager, ni les Etats-Unis, ni l’Europe et un soutien plus affirmé aux insurgés, de ce fait on retrouve dans la révolte de la population du Donbass les mêmes forces qui s’unissent pour résister.
Mais il est évident que la situation en Ukraine, offensive de l’OTAN, et surtout le massacre dans le Donbass d’une population russe se traduit par un débat très âpre chez les intellectuels comme dans le peuple russe. Si la position de Poutine est majoritairement approuvée, il existe des tensions et aussi bien à gauche que les chez ultranationalistes orthodoxes une volonté de remettre en question l’oligarchie et un soutien plus affirmée aux Russes du Donbass. C’est dans ce contexte qu’il faut lire ce portrait de Strelkov qu'a récemment publié Douguine qui donne le sentiment que cette droite est à la recherche de son général Boulanger.
Danielle Bleitrach
notesDanielle Bleitrach est une sociologue française née en 1938, elle a été membre du Comité central du PCF, puis du Comité national de ce parti de 1981 à 1996, date à laquelle elle en démissionne. En 2003, elle a quitté le PCF, tout en se considérant toujours comme communiste. Elle a également été rédactrice en chef adjointe de l'hebdomadaire du Parti communiste destiné aux intellectuels, Révolution.
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Goldman Sachs et la finance internationale pilotent l'invasion migratoire de l'Europe
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Syrie : COMMENT POUTINE A ROULÉ HOLLANDE ET OBAMA DANS LA FARINE
Selon Machiavel, « pour échapper à une guerre perpétuelle ruineuse, ils [les pays] devront tenter de maintenir un équilibre des forces ». C’est le but de la plupart des traités de paix. C’est visiblement aussi celui de la coalition menée par les États-Unis en Syrie où un an et quatre mille bombardements aériens n’ont visiblement servi qu’à stabiliser les positions de l’État Islamique (ad-dawla al-islāmiyya, acronyme arabe Daesh) et éviter « une guerre perpétuelle ruineuse », comme en Afghanistan où les troupes américaines sont contraintes de prolonger leur séjour pour une durée indéterminée.
Les Russes ont fait mieux en une semaine, et les coalisés sous le pavillon américain se demandent comment et pourquoi. Répondre à pourquoi est simple, comme pour la France en Libye « pour des raisons militaires et économiques… une opportunité pour (la Russie) de se réaffirmer en tant que puissance militaire ». C’est aussi parce que les Russes ont compris qu’il n’y aura pas de paix et de retour à un État multiethnique et multiconfessionnel sans Bachar el-Assad et que si Bagdad et la région de Lataquié, berceau des Alaouites, tombent aux mains des terroristes, qu’ils soient ceux de l’État Islamique ou ceux d’al-Qaïda-al-Nosra et ses satellites dits modérés, ils perdront leur grande et seule base militaire en Méditerranée. Ils ne soutiennent pas Bachar el-Assad par amitié ni sympathie, mais uniquement par intérêt.
Leur seconde raison d’intervenir est qu’ils ont compris quel l’objectif réel des États-Unis et de leurs sous-fifres, la France et les États arabes du Golfe : ils veulent le départ de Bachar el-Assad, et dans son cas,partir c’est mourir un peu. Mais ce n’est pas non plus pour faire plaisir aux quelques Sunnites, soi-disant modérés, alliés à al-Qaïda que Bachar el-Assad avait entrepris d’exterminer quand ils ont voulu le renverser. États-Unis et coalition, agissent aussi par intérêt : prendre le contrôle des champs de pétrole et de gaz syriens, et par la même occasion chasser les Russes de la Méditerranée. Pourquoi les Russes ont-ils attendu quatre ans pour intervenir ?
Parce qu’il leur a fallu ce temps-là pour se préparer à prendre la place de la coalition en Syrie.
Prêts ? Ils le sont aujourd’hui.Comment ?
Ce comment inquiète énormément les Occidentaux d’où ce déferlement d’hostilité qui frise la haine contre la Russie, complaisamment relancé par les médias, qui se contentent de relayer les dépêches de l’agence socialiste AFP, dont la direction et la rédaction se contentent elles mêmes de répéter les instructions élyséennes, le tout sans la moindre analyse et réflexion.Car en acheminant jusqu’en Syrie 28 avions et hélicoptères russes venant de Russie après avoir survolé la mer Caspienne et l’Irak – zones sous étroite surveillance radar et optique – sans être repérés, les Russes ont fait la démonstration que leurs systèmes d’invisibilité aux radars sont au point !
« C’est avec surprise que la presse internationale a constaté la « téléportation » de 28 avions et hélicoptères de combat russes à l’aéroport international de Lattaquié… La découverte ne s’est faite qu’après l’étude d’images obtenues par satellite. » (Courrier International)
Soit 12 chasseurs-bombardiers Sukoï 24, 25 et 34 et 16 hélicoptères d’attaque Mil-24. Personne n’a détecté au radar le vol de cette armada aérienne jusqu’à l’atterrissage en Syrie, malgré les AWACS « d’alerte précoce » américains à la frontière de l’Irak, qui ont un rayon de détection de 500 km, les radars militaires au sol, les avions-patrouilleurs Gulfstream G550 d’observation israéliens le long de la côte de la libanaise et syrienne.
La flotte militaire aérienne russe a pu parcourir 2 400 km en survolant à moyenne altitude et vitesse subsonique – autrement dit sans presque se cacher ni se presser – des pays ennemis sans être repérée, montrant ainsi que les Russes ont pris une bonne avance sur les occidentaux en matière de combat aérien. En effet, les hélicoptères ont volé à moins de 4 000 m et entre 240 et 300 km/h, les Sukoï un peu plus haut, moins de 8 000 m, et plus vite, entre 600 et 700 km/h, sans que personne ne les voie, qu’aucun radar ne les repère !!!
Une vraie claque pour le Pentagone, Obama et Le Drian.Il ne s’agit évidemment pas de « téléportation » comme le dit Courrier International, mais de l’application de techniques évoluées de manipulation des radars ennemis. Comme celles qui ont permis au vol MH370 reliant Kuala Lumpur à Pékin de virer au-dessus de la Mer de Chine ultra-surveillée, de survoler la Malaisie, la Thaïlande et tous leurs radars civils et militaires et d’aller se perdre en Océan indien sans que personne ne sache par où il est passé, ni où il a disparu.
D’abord, le trajet de la flotte aérienne russe a été repéré jusqu’à Lattaquié, depuis les bases aériennes 387 et 368 de Boudionnovsk dans le Caucase, jusqu’à la base aérienne russe en Syrie, par un Iliouchine-20 M1 quadri-réacteurs d’observation, passé lui aussi inaperçu.
Il a pris autant de photos qu’il a voulu. L’avion a un système ELINT (Electronic Intelligence). Il dispose de divers équipements pour l’interception et le brouillage des communications militaires : radar et téléphonie mobile, appareils-photo haute résolution (A – 87P), un radar Kvalat-2 embarqué qui permet d’afficher sous forme numérique une carte du terrain jusqu’à une distance de 300 km, détectant automatiquement les véhicules en mouvement, les blindés, les pièces d’artillerie ou le déploiement de ceux déjà connus dans un autre emplacement.
Pour voir certains points sensibles de plus près, des drones de reconnaissance Pchela 1T sont allé repérer et filmer d’éventuels sites EI équipés de batteries anti-aériennes. Pas vus non plus, les drones !
Pour parcourir 2 400 km, avions et hélicoptères russes sont équipés de réservoirs supplémentaires, sinon il faudrait les faire accompagner d’un Antonov 124 ravitailleur. Sur les Sukoï sont ajoutés des containers ECM de type SAP-518/ SPS-171, et aux hélicoptères des équipements de contre-mesures électroniques de type Richag-AV, le tout ayant un rayon d’action de 400 km.
Les Russes ont clairement imposé leur suprématie en matière de guerre électronique (EW-Electronic Warfare), mais la façon dont ils y sont arrivés reste entourée de mystère. Le redoutable système russe de collecte et de traitement de l’information reste également enveloppé de mystère.
Ils peuvent identifier les cibles des bombardements et leur répartition parmi les différents types d’avions, tout en empêchant les Américains et leurs alliés de découvrir quoi que ce soit de leur modus operandi.
Or, en l’absence d’un minimum d’informations, les Américains ne peut pas déclencher de contre-mesures électroniques (ECM) efficaces contre les Russes en Syrie ! Pour protéger leur dispositif contre les moyens de recherche, les Russes ont déployé en Syrie, plusieurs Krasukha-4.
Le Krasukha-4 est un équipement à bande large mobile, monté sur le châssis 8 X 8 de type BAZ-6910-022, qui brouille les radars de surveillance des satellites militaires, les radars au sol et aériens de type AWACS et ceux montés sur des avions sans pilote (drone). Le Krasukha-4 est le seul système capable de brouiller les satellites-espions américains.
À cela s’ajoute le navire Priazovye (de classe Vishnya), appartenant à la flotte russe de la mer Noire, qui a été déployé en mer Méditerranée, près de la côte syrienne. Ce navire est spécialisé dans le brouillage et la collecte des informations de type SIGINT et COMINT (interception de tous les réseaux de communications).
De plus, les alentours de l’aéroport de Lattaquié sont surveillés en permanence par 4 à 6 mini avions et hélicoptères sans pilote de type de ZALA, ultralégers et silencieux, propulsés par un moteur électrique, avec un rayon d’action allant jusqu’à 30 kilomètres.
Pour détecter les cibles pour les missions de bombardement de moyenne distance, les Russes utilisent 36 avions sans pilote type Yakovlev Pchela-1T et Orlan-10, et pour la surveillance de la totalité du territoire syrien, ils utilisent des drones de reconnaissance Dozor 600 ou Altius, similaires aux MQ-1B Predator américains.
Pour la surveillance de l’ensemble du territoire syrien, les Russes ont également déployé des avions de reconnaissance ELINT, de type Iliouchine-20M1, équipés de radar Kvalat-2, qui peuvent détecter des avions, des véhicules terrestres et des pièces d’artillerie jusqu’à une distance de 300 km. Ils sont, de plus, équipés de systèmes d’interception et de brouillage de toutes les communications militaires, radars et téléphonie mobiles.
On comprend mieux pourquoi les Américains et l’OTAN sont tellement furieux de la présence russe en Syrie : les Russes les rendent aveugles quand ils le veulent et ils pourraient casser le beau plan de « bordel productif » mis en place depuis quatre ans par les Occidentaux pour détruire Bachar el-Assad !
L’Imprécateur
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CETTE DÉBÂCLE DE DAESH QUI DÉRANGE LES OCCIDENTAUX (par Jacques d’Éville)
Depuis quelques jours, vous n’entendez plus rien à propos des frappes russes en Syrie, dans les médias occidentaux. Des consignes strictes ont été imposées à ceux-ci : plus question de relater les victoires russes, cela mettrait à mal la propagande distillée pendant plus d’un an, par les forces « occidentales ». C’est bien la preuve d’une censure de nos médias.
La réalité est que la Coalition bombardait Daesh, juste pour maintenir la pression et pour démontrer à l’opinion publique qu’ils étaient le rempart contre les djihadistes mais rien de plus. Car éliminer Daesh aurait aidé Bachar Al-Assad.
Or le régime d’Assad « devait tomber ». Cet allié des Russes devait être éliminé. Le prétexte répété ad nauseam était que Bachar était le barbare tuant son peuple, l’ensemble des Occidentaux bienpensants omettant d’expliquer que la férocité, la barbarie, avait commencé par des boucheries perpétrées par les « rebelles » au régime syrien. Loin de nous l’idée de défendre un Bachar Al-Assad innocent et pacifique. Mais reconnaissons que le carnage se trouve autant du côté d’Al-Nosra et des rebelles syriens qui font partie d’Al-Qaïda.
Les médias occidentaux semblent frappés d’une amnésie grave à ce sujet.
Pire : ils mentent effrontément pour servir des causes qui veulent la disparition des valeurs européennes. En même temps la gentille Coalition fermait les yeux sur les crimes génocidaires des Turcs bombardant les Kurdes.
Tout ceci est de la géopolitique. Le citoyen occidental lambda n’a qu’une solution : avaler les mensonges ou omissions de nos médias subsidiés et vérolés par un bobo-socialisme atlantiste (« La Voix du Minotaure ») dont le seul crédo sont des choix politiques contraires aux intérêts des peuples européens.
Au début, la Coalition avait donné de la voix pour condamner les bombardements des « bons rebelles » par les Russes. Entendez : les djihadistes rebelles syriens. La Russie a répliqué avec un humour noir extraordinaire : « Surtout ne vous en faites pas pour vos bons rebelles. Nous ne lançons sur eux que des bombes très peu létales : elles font moins de morts et de blessés que les bombes classiques».
Puisque les médias ne veulent plus vous informer sur la situation réelle, en Syrie et au Proche-Orient, nous vous dévoilons une nouvelle passée sous-silence par nos bons médias menteurs : Les États-Unis retirent leur porte-avions « Theodore Roosevelt » du Golfe Persique… Est-ce le début d’un désengagement des USA, face à la montée en puissance russe ? Simple rappel : ce porte-avions abrite 65 avions de combats… L’excuse officielle américaine : notre navire doit réaliser des réparations et des maintenances… Ça tombe bien !
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Continuons sur les informations qui rendent neurasthéniques les chefs de l’OTAN et de la Coalition en général.
Les bombardements russes opérés par des appareils ultra-performants que sont les Sukhoï, plongent dans l’effroi les QG militaires de la Coalition, car les résultats sur le terrain sont patents. Peu d’experts ignorent les performances de ces avions d’une efficacité hallucinante.
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Il y a encore mieux : les hélicoptères de combat MI24 HIND sont devenus la terreur absolue des combattants de Daesh. Ces appareils sont dotés d’un armement exceptionnel, dotés de contre-mesures anti-missiles et déboulant sans prévenir sur les positions djihadistes, vitrifiant toutes les casemates et grillant sur place les combattants.
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La débâcle commence à l’ouest de la Syrie. C’est tellement vrai qu’un mouvement se dessine au sein de Daesh et d’Al-Nosra : les combattants se rasent la barbe (suprême insulte au Djihad) et
s’enfuient par milliers vers la Turquie et l’Irak. Certains sont déjà de retour, imberbes, en Lybie et en Tunisie.
Dans six mois les Russes et leurs alliés Syriens auront expulsé Daesh de Syrie, laissant des dizaines de milliers de morts sur le théâtre des opérations. Resteront tous ces déserteurs errants dans les différents pays du Moyen-Orient qui devront être éliminés par les différents pouvoirs.
Les Russes sont des gens déterminés, nous en voyons les premiers résultats.
JACQUES D’ÉVILLE