C’est ainsi que, suite à la décapitation que vous savez, on a vu d’abord la très grande majorité des « déplorants sincères ». À côté de ceux-là, et plus inattendu, on trouva la « camarilla mélenchonienne », dont l’islamo-gauchisme est l’ordinaire, reconnaître tout de même… à demi-mot… que peut-être… il y avait un petit problème avec certains…
Enfin, il y a les pépites, les limiers d’exception qui détectent les causes profondes bien au-delà des apparences. Exercice pour lequel la CGT a toujours montré un talent et une bonne foi inégalés, mais dont une apparatchik vient de repousser les limites. Elle s’appelle Maryse Lepron, très connue dans son immeuble puisqu’elle a quand même réuni sur son nom 0,63 % des électeurs de sa circonscription aux législatives de 2017.