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islamisme - Page 113

  • Pour l’Artsakh

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    Georges Feltin-Tracol

    Le 27 septembre dernier, après plusieurs journées de manœuvres militaires conjointes avec les forces turques, l’armée azérie a lancé une offensive surprise contre la république indépendantiste d’Artsakh. Appelé aussi en Occident « Nagorny Karabakh » ou « Haut-Karabakh », ce qui signifie en turco-persan « Jardin noir montagneux », la république d’Artsakh couvre 11 430 km² et abrite environ 150 000 habitants. Le 2 septembre 1991, dans les soubresauts de la Perestroïka gorbatchévienne, la majorité arménienne chrétienne de ce territoire autonome s’affranchissait de la pesante tutelle de l’Azerbaïdjan turcophone de confession chiite. Il en résultait un violent conflit auquel participât l’Arménie ex-soviétique. Victorieuses, les troupes arméniennes libérèrent l’Artsakh et occupèrent sept régions azéries coincées entre le nouvel État séparatiste et l’Arménie, en particulier le corridor stratégique de Lachin (ou de Berdzor). L’exclave azérie du Nakhitchevan nichée entre le Sud-Ouest de l’Arménie et la Turquie parvint toutefois à expulser tous ses Arméniens. Depuis 1994, malgré la répétition plus ou moins fréquente d’incidents le long de la ligne de cessez-le-feu, le conflit était considéré comme « gelé ».

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  • « ILS NE PASSERONT PAS ! »

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    Pieter Kerstens

    "Ils ne passeront pas"... Ce mot d’ordre a été lancé par Dolores Ibarruri, « la Pasionaria », le 19 juillet 1936 du balcon du Ministère de l’Intérieur à Madrid : « le Parti Communiste vous appelle au combat, pour écraser définitivement les ennemis de la république et des libertés populaires. NO PASARAN ! »

    Si le docteur Micron s’inspire du passé et reprend à son compte ce slogan, la situation n’a rien de comparable, parce qu’à cette époque la guerre civile faisait rage en Espagne, ce qui n’est pas (encore ?) le cas en France. Il aurait mieux fait de se souvenir du message audio, diffusé le lundi 22 septembre 2014, par Abou Mohamed El-Adnani* qui avait déclaré à l’attention des musulmans : « la meilleure chose que vous puissiez faire est de vous efforcer de tuer tout infidèle, qu’il soit Français, Américain ou d’un de leurs pays alliés. Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munitions, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle ou n’importe lequel de ses alliés. Ecrasez-lui la tête à coups de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le ! »

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  • ILS DECAPITENT NOS PROFS, NOUS ON VA ENSEIGNER L’ARABE À L’ÉCOLE

  • Marine Le Pen exige “une législation de guerre” contre l’islamisme

    Quelques heures après avoir rendu hommage à Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine, Marine Le Pen s’est adressée aux Français ce lundi matin. Depuis le siège de son parti, la présidente du Rassemblement national a violemment taclé, l’inaction, à ses yeux, des pouvoirs publics depuis plusieurs années et demandé la mise en place d’une “législation de guerre” pour lutter “la dérive sectaire d’un Islam politique et de son idéologie criminelle, l’islamisme”.

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  • L'islamisme ne passera pas

    6a00d8341c715453ef026be41b91f1200d-320wiLa semaine écoulée aura été marquée, pour la France, par la plus grande urgence qui pèse sur le pays. Il ne s'agit pas en effet de la pseudo-guerre annoncée en mars contre le virus. Nous nous trouvons bel et bien en présence d'une véritable agression armée. Elle se confirme désormais comme permanente. Mais nous ne pouvons l'identifier que comme celle que nous mène l'islamisme radical.

    On doit constater hélas, que 5 ans après les attentats de 2015, le quotidien officieux Le Monde pouvait encore souligner, ce 16 octobre  :"face au Terrorisme, l’urgence d’un large débat en France". On nous dit : "urgence ". Mais depuis combien de temps le répète-t-on ?

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  • Les complices de l’islam terroriste

    Les complices de l’islam terroriste

    La décapitation de vendredi montre dans l’enchainement des faits une accablante complicité d’un certain nombre d’acteurs.

    Samuel Paty s’apprêtait à être sanctionné par l’Académie des Yvelines pour avoir osé montrer des caricatures du prophète Mahomet.

    Abdelhakim Sefrioui, prédicateur islamiste connu du renseignement, a été placé en garde à vue. Le 8 octobre, il avait appelé à la mobilisation contre l’enseignant. Son CV dévoile un profil d’islamiste expert de l’agit-prop.

    L’islamiste qui a décapité ce professeur d’histoire est un tchétchène de 18 ans né à Moscou, nommé Abdoulakh Anzorov. Il était connu pour des antécédents de droit commun, mais disposait d’un casier vierge. Il n’était pas connu pour sa radicalisation mais ferait partie d’une bande d’Éragny fréquentée par un islamiste fiché “S”. Sa famille est originaire d’un village au sud de Grozny, en Tchétchénie, et est arrivée en France en 2008. Leur demande d’asile pour obtenir le statut de réfugié politique leur a été refusée par l’administration, mais cette décision a été cassée en 2011 par la Cour nationale du droit d’asile. La famille Anzorov a donc obtenu le statut de réfugié et l’assaillant a reçu automatiquement une carte de séjour valable 10 ans en mars 2020, à sa majorité. Si la justice, en 2011, avait suivi l’administration, cette famille aurait fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire.

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  • “Collabos, collabos !”,”dégagez !” : l’intervenante de l’UNEF huée à Paris lors de l’hommage à Samuel Paty

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    De nombreuses manifestations ont été organisées dans la plupart des villes françaises pour rendre hommage à Samuel Paty, le professeur d’histoire décapité le vendredi 16 octobre à , par un Tchétchène islamiste ayant obtenu le statut de réfugié en mars dernier.

    A Paris, plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées place de la République. Munies de pancartes « Non au  de la pensée » ou « Je suis prof », la mémoire de Samuel Paty a été saluée dans le calme. « Je suis Samuel », « Liberté d’expression, liberté d’enseigner », scandaient les manifestants. Des applaudissements ont été entendus, puis une minute de silence a été respectée et une Marseillaise a été chantée vers 15h30.

    “Dégagez !”, “collabos, collabos, collabos !”, “traîtres à la laïcité !”

    En revanche la tension est montée lorsque la représentante du syndicat étudiant UNEF a pris la parole pour rendre hommage au professeur. Son intervention à la tribune a été couverte par des huées et des sifflets. Malgré l’appel au calme d’un des organisateurs, elle a eu du mal à terminer sa brève  allocution, comme en témoignent des vidéos postées sur Twitter. “Dégagez !”, “collabos, collabos, collabos !”, “traîtres à la laïcité !” pouvait-on entendre dans la foule.

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  • Décapitation de Conflans : c'est le Système et "sa" République idéologique qu'il faut chasser (2)...

    La France doit retrouver ses Racines, ses Traditions, tout ce qui est constitutif de son Être profond, depuis Clovis et avant Clovis, qui a pris en charge la Gaule et ce qui existait chez nous avant que notre pays ne devienne "la France".

    Pour cela, elle doit arracher cette tunique de Nessos qu'est la République idéologique - qui n'est pas la république - et qui, justement, s'est voulue, pensée et construite sans, en dehors et contre tout ce qui constitue la France traditionnelle...

    Et, pour mieux détruire ce qui persiste à subsister deux siècle après l'horreur révolutionnaire de 1789/1793, le Système a imaginé la hideuse alliance de l'Argent et de la Révolution, l'une et l'autre organisant une immigration massive et ininterrompue :

    - les forces de l'Argent, de l'Or, afin de gagner toujours plus d'argent en "se payant une armée d'immigrés sous-payés" (comme disait Raspail...);

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  • La plupart des musulmans ne feignent même plus de condamner les attentats islamiques

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    Thomas Joly, Président du Parti de la France

    L'observation des réseaux sociaux, juste après un nouvel attentat au nom d'Allah, est toujours édifiante. Ça l'est encore plus suite au nouvel acte de barbarie islamique commis hier à Conflans-Sainte-Honorine.

    Déjà, il faut rappeler le contexte de cette exécution : une campagne de lynchage du professeur de collège qui avait montré des caricatures de Mahommet à ses élèves était orchestrée depuis deux semaines par des parents d'élèves musulmans, avec la complicité d'autres professeurs qui leur avaient fourni toutes les coordonnées personnelles de leur collègue ainsi que ses heures de sortie de cours !

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  • “L’islamophobie”, cette nouvelle fatwa qui encourage à nous massacrer

    “L’islamophobie”, cette nouvelle fatwa qui encourage à nous massacrer

    Le professeur de lycée (photo) a été décapité pour avoir montré des caricatures de Mahomet à ses élèves, lors dans d’un débat sur la liberté d’expression. Si le professeur d’histoire avait permis aux élèves gênés de quitter la pièce, son débat sur la liberté d’expression a provoqué la colère des plusieurs parents d’élèves de familles musulmanes.

    Après des jours de crispations entre l’établissement et la famille, une note précisait lundi que la tension semblait être retombée mais insistait sur le profil d’un homme – qui n’avait pas d’enfant scolarisé dans l’établissement – particulièrement énervé. Le professeur se savait menacé de mort sur les réseaux sociaux. Accusé d’islamophobie par des parents en colère, il a été assassiné comme si une fatwa avait réclamé son exécution. Victime de pressions de la part de certains parents d’élèves, il était en effet devenu une cible. La responsabilité morale et juridique de ces parents musulmans doit être engagée. Le terrorisme n’est que la partie émergée de l’iceberg.