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islamisme - Page 159

  • Grande manifestation contre l’islamisme à Paris le 17 novembre

    Le 3 octobre dernier, la France a de nouveau été frappée par le terrorisme islamiste. Mickaël Harpon, Martiniquais converti à l’islam, a froidement assassiné quatre de ses collègues de la préfecture de police de Paris en les poignardant à plusieurs reprises. Harpon était habilité secret-défense alors qu’il fréquentait des imams salafistes fichés par la DGSI. Un islamiste était donc infiltré au plus haut niveau de l’État, du jamais vu dans toute notre Histoire.

    Tragique ironie, en novembre 2017, la préfecture de police de Paris avait interdit la manifestation contre l’islamisme organisée par Génération Identitaire à l’occasion des 2 ans de la tuerie du Bataclan, interdiction qui a finalement été annulée par la justice.

    Face à ce nouveau bain de sang démontrant l’existence d’un ennemi intérieur, Génération Identitaire appelle à descendre dans la rue pour dénoncer les djihadistes et tous ceux qui les soutiennent.

    Pour en savoir plus, rendez-vous sur ce lien : https://www.facebook.com/events/404324040247077/

    https://fr.novopress.info/215852/grande-manifestation-contre-lislamisme-a-paris-le-17-novembre/

  • Jean-Paul Brighelli : « Se retrouver voilé à certains moments, c’est une action militante ! »

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    La polémique du voile agite, une fois de plus, la société française après l’affaire du conseil régional de Bourgogne-France-Comté.

    En présence d’un vide juridique concernant les accompagnatrices de sorties scolaires, faut-il légiférer ?

    Réponse de Jean-Paul Brighelli, pour qui « le voile est une occupation vestimentaire avant l’occupation légale ».

    L’affaire du voile continue d’alimenter la chronique. Avant d’analyser l’aspect politique de la chose, a-t-on le droit d’être voilée lorsqu’on accompagne son enfant en sortie scolaire ?

    Légalement, oui c’est possible. C’est très utilisé par des militantes ou des militants qui envoient des missiles sous forme féminine encapuchonnée. J’ai eu l’occasion de voir des parents d’élèves à Marseille qui arrivaient pour des conseils de discipline ou des conseils d’administration voilées des pieds à la tête. Elles enlevaient leur voile à la sortie et se retrouvaient en mini-jupe comme n’importe quelle cagole marseillaise. Se retrouver voilée à certains moments est une action militante.
    Dans la vidéo enregistrée au Conseil régional de Bourgogne, la mère de famille est hilare. Elle est écroulée de rire parce que son « truc » a marché à 100 %. Elle sait qu’elle va faire le buzz et qu’on va oublier ce qui s’est passé à la Préfecture de police il y a quatre jours. C’est un cheval de Troie.

    Est-ce vraiment une volonté militante affichée, claire et réfléchie ?

    Peut-être pas quand on habite dans le 7e arrondissement de Paris comme la plupart des ministres, mais à Marseille oui !
    Mes élèves algériennes me disent qu’il y plus de femmes voilées à Marseille qu’à Alger.
    C’est une action délibérée. Qu’on ne vienne pas me dire que c’est un vêtement comme un autre.
    Céline Pina qui s’y connaît un peu en islamisme a très bien souligné dans Le Figaro que le voile n’est pas un vêtement, mais un signe. C’est une façon de faire signe et de dire aux femmes qui ne sont pas voilées « moi, je suis pure et toi tu ne l’es pas ».
    C’est une façon de dire aux hommes « moi, je suis une femme comme il faut et je suis une vraie croyante ».
    Elles occupent le terrain par le vêtement en attendant de l’occuper légalement. Il est tellement significatif que certains médias n’avaient rien osé dire.
    Quand quatre flics se font égorger comme des « poulets » à la Préfecture de Police de Paris, on ne peut pas tellement dire quoi que ce soit. Quand je pense que certains ont eu le culot d’essayer de faire une manif de soutien à l’assassin qui avait commis cet acte. Que fait Hadama Traoré en liberté ? Je le demande !

    Politiquement, que traduit la réaction de Jean-Michel Blanquer ?

    Il a très bien réagi en disant que la loi ne l’interdit pas, mais qu’il préférait qu’on s’abstienne parce qu’on est dans une société laïque et qu’il faudrait peut-être légiférer à un moment ou à un autre. Immédiatement, Édouard Philippe a dit :« il est hors de question de légiférer ». Il trouve pourtant bien le temps de légiférer pour des lois qui élimineraient le père en France.
    Tous les médias de gauche et les médias pédagogiques comme le cafépédago et tous ceux que Blanquer a en ligne de mire, en ont rajouté une couche en demandant un changement de ministre. Ils n’ont pas réussi leur coup sur la réforme du lycée, alors ils essaient de réussir leur coup sur le sociétal. Ils ne se rendent pas compte que ce sociétal est absolument vital. Si on lâche quelque chose sur la laïcité, si on passe de la laïcité pure et dure à la laïcité à géométrie variable telle que la voit Jean-Louis Bianco et l’observateur de la laïcité, on est absolument foutu !
    J’ai l’habitude de dire que la laïcité, c’est comme « je t’aime ». À « je t’aime », vous ne pouvez rien rajouter sans diminuer l’expression. Je t’aime bien, je t’aime beaucoup, c’est moins bien. La laïcité ouverte, à géométrie variable et aménagée n’est plus du tout la laïcité. Il faut savoir si nous voulons continuer à vivre dans un État républicain, libre et laïc ou si nous voulons baisser les bras et la culotte en même temps.

    Pour écouter l’interview, c’est ICI.

    https://www.bvoltaire.fr/jean-paul-brighelli-se-retrouver-voile-a-certains-moments-cest-une-action-militante/

  • I-Média n°268 – Les médias face au voile : vers la soumission ?

     
    02:00 L’image de la semaine
    Cette semaine est à marquer d’une pierre blanche dans le monde des médias puisqu’elle marque le retour d’Eric Zemmour sur CNews. Avec d’excellentes audiences à la clef.
    03:37 Les médias face au voile : vers la soumission ?
    Après l’intervention de Julien Odoul, élu RN, au Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, contre la présence d’une femme voilée, les médias français se sont tous emparés du sujet, sombrant souvent dans l’islamo-angélisme.
    22:00 Revue de presse
    Dans la revue de presse de la semaine, nous verrons qu’un journaliste de France Télévisions menacé de sanctions par sa direction pour un motif incroyable et nous reviendrons entre autres sur un nouveau bobard de Quotidien.
    26:55 Affaire Ligonnès : le fiasco médiatique
    Comment ne pas évoquer ce naufrage collectif incroyable de la presse française ? Tous les médias, ou presque, ont sombré, l’Agence France Presse en tête !

  • Voile islamiste : Emmanuel Macron botte en touche pour concilier la chèvre (islamo-gauchiste) et le chou (laïque)

    Voile islamiste : Emmanuel Macron botte en touche pour concilier la chèvre (islamo-gauchiste) et le chou (laïque)

    La lettre de Valeurs Actuelles relève la vacuité avec laquelle le chef de l’Etat a évacué l’affaire du voile :

    Ne pas « stigmatiser » les musulmans, mais être intraitable avec le « communautarisme », c’est en substance ce qu’aurait déclaré le président de la République en marge du sommet franco-allemand de Toulouse auquel il assistait hier. Magnifique démonstration non seulement de langue de bois, mais aussi — et surtout ! — de “double langage”, à la manière de ces apparatchiks orwelliens capables de soutenir, mordicus, deux propositions parfaitement opposées tout en vous regardant dans le blanc de l’œil. Car, n’en déplaise à Emmanuel Macron, se servir du terme de “communautarisme” pour esquiver plus ou moins habilement la question de l’islam et de son “double maléfique”, l’islam politique, ne fera que repousser un débat inéluctable. Au mieux. Et pour cause : les deux termes recoupent des sujets différents, qui peuvent se télescoper mais ne sont en aucun cas interchangeables. On peut comprendre que le prince des centristes retrouve ses vieux démons (qui ne l’avaient jamais réellement quitté), ceux de la conciliation et des compromis à tout prix, alors même que la majorité se déchire autour de la question du voile ; Blanquer à droite, Taché à gauche, républicanisme contre collaborationnisme. Cette volonté de vouloir concilier coûte que coûte la chèvre (islamo-gauchiste) et le chou (laïque) est-elle une stratégie viable ? Il y a toutes les raisons du monde d’en douter. En attendant, l’« hydre islamiste » se porte plutôt bien.

    Bernard Antony souligne l’indigence du chef de l’Etat :

    Croyant peut-être placer une pensée originale dans les débats indigents sur le voile islamique, Emmanuel Macron a lancé la formule lapidaire « La laïcité c’est la liberté de croire ou de ne pas croire ».

    Formule hélas indigente ! Car la croyance islamique ce n’est pas seulement la foi en Dieu ; c’est la soumission à l’injonction cent fois répétée dans le Coran ; « Obéissez à Dieu, obéissez à son prophète » !

    C’est obéir à la « Shahada » lancée indéfiniment comme un cri de guerre : « Il n’y a d’autre Dieu qu’Allah et Mahomet est son prophète ».

    Appel condamnant, comme cela est sans cesse répété encore dans le Coran, « Ceux qui associent d’autres Dieux à Dieu » et qui commettent ainsi « le seul crime impardonnable par Allah ».

    Et obéir au prophète, c’est obéir à la loi qu’il a établie pour les hommes, voulue par Allah ; la charia.

    Alors, liberté de croire ? Certes ! Mais il faut savoir que la croyance islamique c’est la croyance au commandement d’établir partout l’obéissance à la charia, quintessence du totalitarisme.

    Cela, c’est bien différent de la phrase fondatrice de l’authentique laïcité : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ».

    Mais cela, ce n’est pas la doctrine de Macron !

    https://www.lesalonbeige.fr/voile-islamiste-emmanuel-macron-botte-en-touche-pour-concilier-la-chevre-islamo-gauchiste-et-le-chou-laique/

  • 66% des Français favorables à l’interdiction du port du voile aux accompagnatrices de sorties scolaires

    Suite à la polémique suscitée autour d’un affiche de la FCPE montrant une femme voilée lors d’une sortie scolaire, l’Ifop a réalisé pour Sud radio les 25 au 26 septembre une enquête qui montre un soutien massif des Français à une interdiction du port de signes religieux  aux accompagnatrices de sorties scolaires et un avis plutôt mitigé sur la campagne d’affichage de la fédération de parents d’élèves.
    Réalisée avant la polémique déclenchée ce week-end par un élu RN au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, cette étude montre en effet qu’une large majorité de Français (66%) soutient l’idée – défendue notamment par Jean-Michel Blanquer  – d’interdire le port de signes religieux ostensibles aux accompagnateurs de sorties scolaires.
    Dans le détail des résultats, cette idée qui vise essentiellement les musulmanes portant un voile au nom du respect de préceptes religieux imposés aux femmes est soutenue dans toutes catégories de l’électorat, y compris par une majorité de sympathisants de gauche comme ceux de la France Insoumise (63%) ou du Parti socialiste (60%).
    C’est néanmoins dans les rangs des sympathisants de la REM (76%) et de LR (83%) que l’on trouve le plus de personnes favorables à l’évolution de la législation sur le sujet.
    L’opinion des Français sur l’affiche de la FCPE ayant fait polémique il y a quelques semaines est également plutôt partagée.
    En effet, si une majorité de Français (55%) considère qu’elle renvoie une image de tolérance et d’inclusion à l’égard des parents d’élèves musulmans, les deux tiers d’entre eux y voient aussi un façon pour l’association de « flatter le communautarisme ».
    POUR LIRE LES RESULTATS DE L’ETUDE, CLIQUEZ SUR LE LIEN CI-DESSOUS :
    https://www.ifop.com/publication/les-francais-et-la-polemique-sur-laffiche-de-la-fcpe/
    Etude Ifop-Fiducial pour Sud Radio réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 25 au 26 septembre 2019.auprès d’un échantillon de 1 013 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
    Crédit photos : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/10/66-des-francais-favorables.html#more

  • Stop à la haine contre la France !, par Ivan Rioufol

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    A quand une pétition pour dire : Stop à la haine contre la France ? Le Monde de ce mercredi publie une adresse à Emmanuel Macron : “Monsieur le président, dites stop à la haine contre les musulmans de France“. Ce texte fait suite à l‘incident politique causé par un élu RN à la vue d’une femme portant un hidjab noir dans le public de l’assemblée régionale de Bourgogne-Franche-Comté. Il a été signé par 90 noms du show-biz, des médias ou du monde universitaire. Le plus connu est l’acteur Omar Sy. Les signataires rappellent le “traumatisme” subi par l’enfant de 10 ans venu se blottir dans les bras de sa mère mise en cause. Ils assurent : “Ne nous y trompons pas, l’extrême droite a fait de la haine contre les musulmans un outil majeur de sa propagande, mais elle n’en a pas le monopole”. Le ton est, à plusieurs reprises, menaçant. “Jusqu’où allons-nous accepter que des citoyens, des citoyennes, soient insultés, agressés, attaqués, stigmatisés en raison de leur religion ? (…) Jusqu’où pouvons-nous tolérer encore ces discours et actes de haine contre une partie de nos concitoyens ?“.

    A aucun moment, ces protestataires n’ont fait connaître leur effarement après les assassinats de quatre policiers par un islamiste infiltré au coeur de la préfecture de Paris. Aucun d’entre eux n’étaient présents non plus, jeudi place Saint Michel à Paris, pour dénoncer la dérive islamiste. A dire vrai, la manifestation, organisée par l’imam de Drancy, Hassen Chalghoumi, n’a rassemblé qu’une dizaine d’imams et un public très clairsemé, dont votre serviteur.

    Il est saugrenu de voir Omar Sy, personnalité préférée des Français dans le dernier classement du JDD, se prêter à la victimisation des musulmans mal aimés. Plus grave est la dialectique des pétitionnaires, qui criminalisent l’approche critique de l’islamisme. Le redire, à tous les idiots utiles de cette idéologie sexiste et judéophobe : mettre en cause l’islam politique, identifiable aux uniformes qu’il arbore, n’a rien à voir avec une stigmatisation des musulmans dans leur ensemble. Ce sont les signataires qui se prêtent à l’amalgame en prétendant parler au nom de tous les musulmans. En réalité, ils sont les porte-paroles d’un islam séparatiste qui combat les règles communes de la discrétion, socle de la laïcité. Porter un hidjab au cœur d’une assemblée politique est une provocation politique.

    Fatima, la femme voilée, a été soutenue durant l’épisode par une élue régionale, Nisrine Zaïbi, qui a été naguère en rapport avec l’UOIF et le CCIF (L’Opinion, ce mercredi). Fatima s’est d’ailleurs confiée au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), proche des Frères musulmans. Elle déclare : “Aujourd’hui, j’ai une opinion négative de ce qu’on appelle la République. Et je trouve que le ministre de l’Education a dit quelque chose de honteux lorsqu’il a parlé du voile”. Jean-Michel Blanquer ne juge “pas souhaitable” le port du voile pour les mères accompagnatrices lors de sorties scolaires. Ces militants islamistes peuvent parfaitement vivre selon leurs règles. Mais alors, qu’ils rejoignent un pays islamique. Et qu’ils laissent la France en paix !

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 16 octobre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/215842/stop-a-la-haine-contre-la-france-par-ivan-rioufol/

     

  • Société de vigilance : le flou d’Emmanuel Macron

    Cinq jours après l’attentat de la Préfecture de police de Paris, Emmanuel Macron a appelé à une société de vigilance face à l’hydre islamiste. Une déclaration fourre-tout du chef de l’Etat dont les contours manquent de clarté et peuvent conduire à une société de délation, aux antipodes du politiquement correct martelé depuis des années.

    A quoi peut bien ressembler la société de vigilance voulue par Emmanuel Macron ? 

    C’était le 8 octobre dernier. 5 jours après l’attentat perpétré par Mickael Harpon à la Préfecture de police de Paris, Emmanuel Macron a donc appelé à bâtir une « société de vigilance » pour faire face à l’hydre islamiste lors de l’hommage rendu aux quatre victimes du terroriste. Des mots forts pour tenter de rassembler une société fragilisée, divisée et en manque de confiance vis-à-vis de ses institutions et plus particulièrement du gouvernement. En effet, malgré les discours qui se répètent inlassablement, ce dernier acte terroriste a marqué les esprits en frappant directement le cœur des services de sécurité et de renseignement.

    Ainsi, les mots du chef de l’Etat ont un écho tout particulier. S’il est vrai qu’en appelant à faire bloc et à une forme de solidarité nationale, Emmanuel Macron souhaite fédérer il n’en demeure pas moins que son discours reflète une impuissance réelle de la part des institutions et donc de son gouvernement face au terrorisme islamiste. Si, dans un tel contexte, de nombreux Français peuvent adhérer aux propos d’Emmanuel Macron, puisque liés aux attentats islamistes, en réalité, la société de vigilance voulue par Emmanuel Macron pourrait créer de nombreux malaises.

    Vers une société de délation et de surveillance généralisée ?

    Bon nombre d’interrogations ont été soulevées par le manque de clarté des déclarations présidentielles. Sans définition concrète, une société de vigilance est une porte ouverte à une société de délation et de surveillance généralisée. Dans la même veine, le ministre de l’intérieur, Christophe Castaner, a affiché sa volonté de signaler systématiquement tous les individus présentant des « signaux » de radicalisation. Parmi ceux-ci : le port de la barbe, la pratique régulière et ostentatoire de la prière rituelle, une pratique religieuse exacerbée en période de Ramadan, ou encore le refus de serrer la main, de faire la bise ou de faire équipe avec une femme. Des petits éléments qui permettront à tout un chacun de devenir un véritable petit enquêteur en herbe. Cependant, cette pratique de repérage est aux antipodes des volontés du politiquement correct sous le principe du “pas d’amalgame”.

    Ainsi, il apparaît difficile de dénoncer ces signaux sans être taxé d’islamophobie. D’ailleurs, les premiers effets se sont déjà faits ressentir. En Seine-Saint-Denis, certains agents de police de confession musulmane ont été reçus par leur direction pour faire un point sur les risques de radicalisation dans le commissariat. Des entretiens perçus comme discriminatoires et qualifiés de chasse aux sorcières anti-musulmans. 

    Au-delà de ce risque, de nombreuses voix, notamment dans le secteur public, pointent du doigt le manque de coordination et de transmission des informations aux élus locaux, les maires n’ayant toujours pas connaissance de la présence de fichés S sur leur territoire. Et c’est sur ce point que le bât blesse. En effet, avant d’en appeler à une telle société, la vigilance passe avant tout par le domaine public sous l’égide de l’Etat, et l’attentat de Mickäel Harpon y a révélé de nombreuses failles. 

    Des failles au sein de la police mais qui existent également dans le système scolaire. Là encore, les faiblesses sont nombreuses et se développent même dans l’enseignement supérieur. Certaines universités se montrent peu conciliantes sur le sujet. Le syndicat étudiant UNI dénonce d’ailleurs les failles présentes notamment  à l’université de Cergy-Pontoise. Après la diffusion, lundi, d’un formulaire destiné à détecter les « signaux faibles » de radicalisation chez les étudiants et enseignants et face au tollé suscité sur les réseaux sociaux, et alimenté par quelques enseignants, l’Université et son Président ont présenté leurs excuses.

    Un terrible désaveu alors même que la plupart des personnes recrutées en France pour faire le djihad ont moins de 25 ans, faisant ainsi des lycées et des universités un véritable terreau à apprentis terroristes. Une faiblesse du ministère de l’enseignement supérieur à contretemps du discours d’Emmanuel Macron. C’est certainement sur ce point que devrait débuter cette fameuse société de vigilance. 

    Ce sujet sera abordé lors du JT de TV Libertés de ce soir

    https://www.tvlibertes.com/actus/societe-de-vigilance-le-flou-demmanuel-macron

  • Le voile islamique, la lâcheté et l'ignorance

    6a00d8341c715453ef0240a491e756200c-320wi.jpgDeux incidents bien significatifs, qui viennent de se produire dans l'espace hexagonal, ont manifestement produit, auprès de l'opinion française, presque plus de réactions indignées que l'offensive du régime Erdogan contre la Syrie.

    Le 11 octobre, à Dijon, c'est à l’occasion d'une séance plénière du Conseil de Bourgogne et Franche-Comté qu'un conseiller régional, Julien Odoul, a osé poser le problème de la présence d'une accompagnatrice voilée auprès d'une sortie scolaire. Tollé : "racisme, discrimination et incitation à la haine" hurlent les professionnels du politiquement correct. Bien entendu.

    Le 14 octobre c'est à Paris que le ministre de l’éducation Jean-Michel Blanquer exige une saisie de la commission des conflits du parti macronien après une critique de ses propres propos sur le port du voile.

    Ce 15 octobre, on vient d'apprendre que, pour le Premier ministre Édouard Philippe, interpellé à l’Assemblée nationale, "ce n’est pas un enjeu".

    Et pourtant. Depuis exactement 30 ans, depuis l'affaire du voile des lycéennes de Creil cette question n'a pas cessé de déchirer l'opinion, au nom de principes parfois très vagues et mal définis, comme la "laïcité" dont le conseil constitutionnel a compliqué le fonctionnement même au nom du concept pervers de "bloc de constitutionnalité".

    En réalité, le voile n'est nullement une question de liberté "religieuse". Il fonctionne, dans l'esprit de ses promoteurs, comme une affirmation identitaire au service d'un droit de conquête.

    Pendant ce temps le terrorisme islamique reprend ses aises et s'apprête même à retrouver une base territoriale dans les fourgons de l'armée turque.

    Pendant ce temps on découvre chaque jour un peu plus l'échec de ce qu'on appelle "déradicalisation", cette tentative de guérir le mal par l'eau tiède.

    Pendant ce temps quand Éric Zemmour ose constater que l'immigration aggrave les problèmes du pays, et que l'offensive de l'islamisme alourdit l'addition, les professionnels du politiquement correct appellent avec véhémence à la répression de sa libre expression, en application de leur propre "haine".

    L'enjeu saute aux yeux, n'en déplaise au chef du gouvernement.

    La symétrie du "en même temps", "et de droite et de gauche", ça ne marche absolument plus, n'en déplaise au chef de l'État.

    S'il prétend faire la guerre à l'islamo-terrorisme, ou plutôt s'il accepte de considérer que celui-ci nous a déclaré la guerre, il faut cesser de boxer avec une main dans le dos.

    Le monde a largement changé avec le choc pétrolier de 1973 : à partir de ce moment, le politiquement correct a cessé de fonctionner à partir des seuls cercles de gauche et autres groupes de pression bien connus, bien repérables, inhérents au régime républicain. Il est investi désormais par la finance islamique.

    La lâcheté consiste à ne pas adopter une ligne ferme, au moins d'application de la loi, et à faire semblant de tenir la balance égale entre la menace islamiste et une "ultradroite" largement mythique.

    L'ignorance de la réalité islamique, l'ignorance de la stratégie provocatrice, l'ignorance des ambitions turques, ont provoqué au moins autant de dégâts.

    Il est plus que temps de les réparer

    JG Malliarakis  

    Une réunion des Amis de l'Insolent

    Jeudi 17 octobre  JG Malliarakis donnera une conférence suivie d'un débat sur le thème "Les Sociétés de pensée et la Révolution" de 18 h à 20 h Brasserie du Pont Neuf 14 quai du Louvre Paris 1er

    6a00d8341c715453ef0240a4dfc6ce200b-320wi.jpgAvoir le courage de voir la vérité en face René Marchand : "La France en danger d'islam"
    Depuis 11 septembre 2001, tous nos pays se trouvent menacés par l'offensive islamo-terroriste.
    Nous ne devons pas nous résigner. L'auteur nous indique quelques pistes... Familier des cultures arabe et iranienne, l'auteur au contraire annonçait dès 2002 l'essentiel du scénario que la France a subi depuis. Nos politiciens n'ont pas voulu voir la mise en œuvre par les tenants de l'islamisme politique d'un véritable plan de subversion et de conquête.
 Le conformisme politiquement correct se trouve contredit par la nécessité de comprendre l'islam tel qu'il est… 
    ••• Un livre de 540 pages au prix de 29 euros.
    • à commander sur la page dédiée à l'islamisme des Éditions du Trident
    • ou par chèque en téléchargeant un bon de commande

    https://www.insolent.fr/2019/10/le-voile-islamique-la-lachete-et-lignorance.html

  • Débat sur le voile islamique : une simple diversion.

    Femme-voilée-Dreuz.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé
    Ouvrir tous les six mois un nouveau débat sur la nécessité ou pas de légiférer sur la question du voile islamique relève de la diversion. Y participer c'est jouer le jeu du gouvernement et du Système.
    La question qui se pose, même si nous savons que les salafistes testent nos résistances, ne réside pas dans les signes extérieurs de leur appartenance, le problème n'est pas la façon dont s'habillent les uns ou les autres, mais la politique de portes ouvertes qui a permis l'implantation sur notre sol de millions d'éxogènes porteurs d'une autre Histoire que la nôtre, d'une autre culture que la culture européenne, et d'une autre religion que celle, lumineuse, sur laquelle est basée notre civilisation. 
    Une Histoire, une culture et une religion dont la constante est de s'affirmer par antagonisme à tout ce qui a fait l'Occident.
    Stoppons l'immigration, mettons en place les conditions administratives et juridiques de la rémigration et la question de l'islamisme en France ne se posera plus.
  • Société de vigilance : le flou d’Emmanuel Macron – Journal du 16 octobre 2019

     

    Société de vigilance : le flou d’Emmanuel Macron

    5 jours après l’attentat de la préfecture de police de Paris, Emmanuel Macron a appelé à une société de vigilance face à l’hydre islamiste. Une déclaration fourre-tout du chef de l’Etat dont les contours manquent de clarté et peuvent conduire à une société de délation, aux antipodes du politiquement correct martelé depuis des années.

    Assises de l’agriculture : vers une révolution de l’alimentation ?

    Économie, éthique, redistribution et écologie… Comment répondre aux enjeux de l’alimentation de demain ? C’est la question sur laquelle planchent les intervenants des assises de l’agriculture organisées à Rennes en Bretagne depuis mardi à la veille de la journée contre le gaspillage.

    Catalogne : c’est reparti pour une crise ?

    La condamnation lundi de meneurs indépendantistes catalans a relancé les mobilisations dans l’autonomie. Plusieurs actions ont été menées à travers le territoire sans, pour l’instant, susciter autant d’intérêt qu’en 2017.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/societe-de-vigilance-le-flou-demmanuel-macron-journal-du-16-octobre-2019