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islamisme - Page 157

  • « Face aux islamistes, défendons la France ! »

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    « Face aux islamistes, défendons la France ». Tel sera le thème de la manifestation organisée dimanche 17 novembre à Paris, à l’appel du Collectif Stop Islamisme, porté par les Identitaires, et Academia Christiana. Au nom de Polémia, Jean-Yves Le Gallou y prendra la parole sur un sujet majeur à propos duquel il alerte depuis longtemps.
    Intitulé «Le choc de l’islam », le texte qui suit a trente-cinq ans, c’est le chapitre trois du livre La préférence nationale : réponse à l’immigration.
    Trois points majeurs s’y trouvaient soulignés :

    • Plus qu’une religion l’islam c’est un ensemble de lois, de coutumes, de mœurs. Bref le voile islamique est davantage un marqueur civilisationnel qu’une exigence religieuse.

    • L’islam c’est une communauté par-delà les frontières toujours traversée par l’esprit du djihad

    • L’islam par son potentiel de violence et d’esprit de conquête peut servir à fédérer contre les Européens l’hostilité de différentes minorités ethniques.

    C’était écrit en 1984. Nous y sommes hélas. Grace à l’aveuglement des médias et des juges et à la lâcheté des intellectuels et des hommes politiques. Résistons !
    Polémia

    Le choc de l’islam

    La seconde religion en France

    Nul ne peut aujourd’hui ignorer cette réalité inimaginable voici seulement vingt ans : l’Islam est la seconde communauté religieuse en France. Il y a 400 mosquées à Paris. 1 000 dans toute la France.

    Les combats d’opinion autour de la construction d’édifices religieux démontrent avec clarté les besoins croissants de la communauté musulmane. Pourtant l’absence d’églises et surtout de clergé, tragique pour un catholique, placé alors devant un vide sacramentel, n’est pas aussi redoutable pour un musulman : elle n’empêche pas la perpétuation de l’extension de la communauté islamique. L’Ummah, ou communauté des croyants, est une des réalités capitales de l’Islam. Y entrer n’exige que de faire la profession de foi, l’un des piliers de l’Islam, qui tient en deux formules solidaires : ” Il n’y a pas de divinité en dehors de la divinité ” et ” Mahomet est l’envoyé de Dieu “. Énonciations d’une clarté et d’une simplicité frappantes. L’Islam attache à l’unité une importance qui ne s’arrête pas à la proclamation de l’unité de Dieu mais trouve son effet dans toutes les manifestations de ce monde. Ainsi, tout chef de famille, puisqu’il est musulman, est l’imam, le prête dans sa maison, et sa famille apparaît comme un raccourci de l’Ummah tout entière. L’homme, vicaire – khalifat – et image de Dieu, la famille unie autour du patriarche, la société soumise à l’autorité d’un chef politique et religieux, ne sont que des projections d’une même réalité. Toutes sont constituées à partir du dogme intransgressable de l’Unité. Dieu ne vient pas sous forme humaine racheter le monde de ses péchés ; il l’aborde dans l’Islam qui se reflète dans le monde et participe de la nature divine. L’Islam est un bloc spirituel, religieux, juridique et social dont rien n’est exclu.

    L’Islam au‑delà des nations et des Etats

    Le musulman, du seul fait qu’il appartient à l’Ummah, ne peut en être détaché. Peu importe le lien où il vit. L’Islam est partout où il est et où il mène la vie d’un croyant. Au-delà du fait national, l’Islam peut unir sans distinction d’origine les croyants réunis sur un sol, et ce d’autant mieux que la religion musulmane implique un mode de vie qui peut être vécu partout sans structure d’accueil particulières. Au-delà du fait étatique, l’Islam peut imposer son appréhension du monde : les chefs d’Etat du monde musulman qui ont tenté de moderniser à l’occidentale leur pays, sans respect suffisant de la tradition islamique, ont été contestés, sinon renversés : l’Iran, la Tunisie, l’Egypte, le Soudan en ont fait l’expérience. Dans certains pays d’Afrique noire comme le Sénégal et le Nigéria, la communauté musulmane qui forme un véritable Etat dans l’Etat réclame une islamisation des institutions de la société, mettant ainsi en péril les libertés des autres communautés religieuses, chrétiennes notamment. Dans l’Islam, en effet, tout pouvoir vient de Dieu. Dès lors, se dessine une alternative : ou bien le pouvoir politique est un pouvoir légitime, c’est-à-dire régulier d’un point de vue traditionnel ; ou bien, et nous serons en France dans ce cas si nous n’y sommes déjà, il se présente sous la forme d’une puissance illégitime, mais irrésistible et contraignante, devant laquelle la communauté se met en sommeil, se soumet, sans reconnaître pour autant sa légitimité jusqu’à ce qu’un changement du rapport des forces manifeste la volonté divine de rendre le pouvoir à ses légitimes détenteurs. En tout cas, un musulman ne peut que mépriser un gouvernement qui ne dispose ni de la légitimité, ni de la force. “En dehors de la révélation du Prophète, déclare un immigré musulman il n’y a que mensonges et illusions. Et si je travaille en France, je considère que c’est une traversée du désert dont je n’ai rien à apprendre, ni à attendre…et je le répète, hors de l’Islam, il n’y a rien… Vous, vous avez pu tricher sur la Bible, nous, nous ne tricherons pas sur le Coran.” Cohérent avec lui-même et sa foi, un musulman ne respectera donc au mieux, dans un Etat laïc et étranger, que la force. Il bâtira par ailleurs sa vie, à partir de très précises indications que lui fournissent le Coran et la Sunna, c’est-à-dire la tradition issue des enseignements du Prophète.

    Islam et Occident : deux mondes incompatibles ?

    Un musulman peut s’il le désire, trouver dans sa religion un guide dans presque toutes les circonstances. La Sunna concerne tout, vie morale, sociale, spiritualité, soins d’hygiène. On peut s’arrêter sur les prescriptions qui organisent la vie familiale, dans la mesure où, comme on le sait, les conceptions de l’Islam sont, en la matière, assez étrangères aux nôtres. Elles assujettissent la femme aux privilèges masculins. Les contestations récentes qui on t opposé des Européennes divorcées de musulmans se plaignant de s’être vu enlever leurs enfants illustrent bien l’incompatibilité dramatique de deux conceptions différentes. L’attitude des pères s’explique dans une société où la lignée l’emporte sur l’individu, et les droits de l’homme sur ceux de la femme. La tolérance, ici, consiste à ne pas être critique mais à admettre la réalité des différences : “Les hommes, dit la sourate IV du Coran, ont autorité sur les femmes… Celles dont vous craignez l’indocilité, admonestez-les ! Si elles vous obéissent, ne cherchez plus à les contraindre, Allah est auguste et grand.” Ces simples exemples illustrent les abîmes qui séparent les conceptions et le mode de vie musulmans des nôtres. La bonne volonté ne saurait suffire. On peut bâtir des logements aux immigrés pour rétablir leur environnement, mais une cour intérieure, qui dans le Maghreb est un lieu de vie, ne sera, aux alentours de Clermont-Ferrand, qu’un réceptacle pour les averses six mois l’an. “Pour un Occidental, écrit Gilles Kepel, dans le magazine l’Histoire, imprégné de laïcité ou de notions chrétiennes (rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu), les manifestations contemporaines de l’Islam posent un problème : une religion, une foi font irruption dans le domaine politique et prétendent déposséder les hommes de la gestion de leur société pour la remettre entre les mains de Dieu. D’autant que la volonté de Dieu est exprimée par le Coran, révélée au prophète Mahomet par l’archange Gabriel. Si pour les musulmans, le livre est indépassable et fournit un “système total et complet” ; pour les non-musulmans, il ne constitue qu’une prophétie codifiée dans l’Arabie tribale et chamelière du VIIe siècle, c’est-à-dire un texte bien incapable de dire le droit à l’âge des ordinateurs, des missiles et des navettes spatiales.” La confrontation culturelle évoquée par l’auteur, en admettant qu’elle se fasse dans les meilleures conditions possibles – ce qui est d’ores et déjà exclu -, ne pourra qu’engendrer incompréhension et méfiance dans les gestes du quotidien, là où l’on juge aux actes et non aux intentions. La relation multicommunautaire, on l’oublie trop souvent, n’est pas l’affaire d’intellectuels : elle se vit, et l’actualité nous apprend qu’elle ne se vit pas toujours dans la paix.

    Reniement ou société à la carte ?

    Parce que l’Islam ne se cantonne pas dans le domaine religieux mais tisse des liens très étroits entre le spirituel et le temporel, l’immigration qui en provient pose des problèmes radicalement nouveaux aux pays d’accueil. Comme le reconnaissait Pierre Emmanuel dans La France Catholique du 16 septembre 1983 : “Aux yeux d’un gouvernement français laïque, en 1983…, l’intégration des musulmans passe par leur renoncement à la loi coranique”, loi qui aujourd’hui, observera l’auteur, ne saurait s’appliquer dans le cadre de la société française. L’assimilation de musulmans ne saurait être que particulièrement difficile à conduire et à justifier. L’immigré musulman, au contraire, va connaître une désidentification totale. Il deviendra, qu’il appartienne à la première ou à la seconde génération, un complet étranger pour les siens. Admettons la possibilité de la métamorphose, mais qu’en est-il de sa légitimité, sauf dans le cas de choix individuels nettement exprimés ? Le reste aura lieu sous la pression de besoins immédiats et passagers. Les prétendus avocats des immigrés peuvent-ils considérer ce reniement même inconscient, comme une victoire ? Ce reniement est-il même envisageable ? Un des quarante hadiths fondamentaux prévoit qu’”il n’est permis de verser légalement le sang que dans trois cas : celui de l’home marié qui comment l’adultère, celui de l’assassin qui légalement mérite la mort, celui de l’homme qui renie sa religion et se sépare de sa communauté”. Car l’allégeance à l’Islam ne saurait être interrompue par une conversion : elle est perpétuelle, sauf à s’exposer à la mort. A contrario, la reconnaissance de l’Islam en France, comme composante du paysage social français, exigerait qu’il soit tenu compte de sa nature et de ses lois particulières. Les premiers Mérovingiens confrontés à une situation de ce genre avaient adopté dans leurs Etats le principe du droit personnel. Il y aurait donc, en France, un droit personnel, lequel serait l’indispensable corollaire de la reconnaissance de l’identité musulmane. Ce droit applicable aux seuls musulmans (quid des conflits entre musulmans et non-musulmans ?) aurait la particularité d’être en parfaite contradiction avec le droit français issu du droit romain. Mais, imagine-t-on de nos jours une société à la carte où ce qui est crime pour le voisin est acte de piété pour soi ? A supposer qu’il soit possible de mettre en place cette société multiculturelle, peut-on croire que la situation serait stable ? C’est douteux.

    Intégrisme et djihad

    “L’Islam dans les conditions normales, écrit Frithjof Schuon, frappe par le caractère inébranlable de sa conviction et la combativité de sa foi ; ces deux aspects complémentaires (sont) représentés l’un par la Kaaba, qui est le centre, et l’autre par l’épée de la guerre sainte, qui marque la périphérie ” Le centre, dans la vie du monde, et sur un certain plan, correspond à l’ummah ; nous relèverions plutôt de la périphérie. On ne peut ignorer le danger que porte avec elle, aujourd’hui, et presque à son corps défendant, toute communauté islamique : l’explosion, la renaissance intégriste de l’Islam, le fondamentalisme. Dans les pays musulmans, il est facteur de trouble ; en France et en Europe, il évoque l’ombre de la djihad, fût-ce sous la forme épisodique du terrorisme. L’affrontement entre partisans intégristes et politiques modérés, épris de modernisme a donné lieu à des batailles sanglantes et acharnées : en Iran, bien sûr, mais aussi en Arabie Saoudite (assaut de la grande mosquée de La Mecque le 20 novembre 1979), sans oublier les attentats au Liban, l’assassinat de Sadate en 1981, et l’insurrection de Hama, en Syrie, en février 1982, qui se solda par des milliers de morts. Or l’intégrisme rencontre en Europe tous les encouragements propres à favoriser son extension : une masse de coreligionnaires déstabilisée, un pouvoir faible, et un peuple d’infidèles. Déjà on peut voir dans nos villes se promener des “sœurs musulmanes” voilées de noir. Jusqu’à quel point est-il judicieux, dans ces conditions, d’importer et de laisser se développer chez nous une querelle qui ravage le monde arabe ? Pourtant ce n’est pas le principal danger de l’intégrisme en milieu européen. Les divisions de l’Islam ne nous concernent après tout que par leurs retombées. Il est, par contre, permis, devant les vagues terroristes déclenchées par ces mouvements, de s’interroger sur la manière dont la communauté musulmane s’acquittera de l’obligation qu’a tout bon croyant de faire sa djihad. L’idéal, comme la doctrine la djihad, a sa grandeur, mais aussi, nonobstant les propos apaisants de certains, ses dangers. Le djihad n’est ni la marque de reconnaissance exclusive de l’Islam caractérisé alors par sa seule intolérance, ni une simple voie pacifique et intérieure qui n’agite que l’âme des paisibles soufis. Elle est bien un pilier de l’Islam, un des fondements doctrinaux de son rapport au monde. Le même terme, djihad, désigne à la fois “guerre sainte et voie de Dieu” – les deux étant, en l’espèce, synonymes. La guerre, en effet, peut être intérieure : c’est la Grande Guerre sainte que mènent ascètes et autres contemplatifs, combat qui, par les exceptionnelles qualités humaines qu’il exige, limite ipso facto l’usage extensif du mot dans cette acception. Aussi la djihad est-elle surtout comprise par le musulman comme participation à la guerre pour la conversion des infidèles, la défense et l’expansion de l’Islam. Ils ne manquent pas d’encouragements à remplir leurs obligations. Un célèbre hadith ne déclare-t-il pas : “Le sang des héros est plus près du Seigneur que l’encre des sages et les prières des dévots.” Par l’action, le musulman assume un dépassement intérieur comparable aux peines de l’ascèse, et se délivre de l’incertitude, de l’obscurité, de la peur de la mort. Sans même remonter jusqu’à la conquête arabe, force est de constater que le sort des populations chrétiennes en milieu musulman n’est pas enviable : les Turcs ont massacré les Arméniens à deux reprises (1894–1896 et 1915–1918) et la minorité copte d’Egypte est en butte à une persécution continue : son patriarche est aujourd’hui en exil sur ordre du président Sadate. Jean–Pierre Péroncel–Hugoz cite cet extrait d’une lettre d’étudiants coptes : “Nous ne voulons pas être tolérés sur une terre où nous étions chez nous, où nous étions chrétiens, plusieurs siècles avant l’invasion musulmane, nous voulons y avoir l’égalité des droits avec nos compatriotes musulmans.” Aujourd’hui, on peut se demander, en toute sérénité, quel devoir dicterait, à une communauté musulmane importante et solidement implantée en France, la conscience du pouvoir dissolvant sur les masses de toutes origines de la civilisation occidentale. Pour eux, la guerre est commencée et l’Occident a porté le premier coup en dissolvant les mœurs et le mode de vie, ce qui met en danger l’identité musulmane. Comment réagiront-ils devant une communauté où se résument tous les caractères sataniques : incrédulité, matérialisme, licence ? D’abord, sans doute en exigeant de restaurer le respect de leur mode de vie que tout, du Ciel à la Terre, leur confirme comme étant le bon face à la dégénérescence occidentale. Famille, habitudes vestimentaires, restauration de l’enseignement coranique, tout peut être envisagé. Nous ne disons pas que ces exigences seront le fait d’une majorité, ni qu’elles seront satisfaites, mais, si elles ne le sont pas, le terrorisme d’Allah s’instaurera, et si la minorité a ses martyrs, la majorité ne la désavouera pas. L’intégrisme a pour lui la simplicité sans frontières du message coranique. Sur des masses abandonnées à elles-mêmes, sans véritable patrie, et pour qui l’Islam pourra être cette patrie retrouvée, son influence ne peut que grandir.

    Lien vers La préférence nationale : réponse à l’immigration en intégralite https://www.polemia.com/pdf/prefnat.pdf

    https://www.polemia.com/face-islamistes-defendons-france/

  • La vague populiste qui traverse l’Europe est passée dimanche par l’Espagne

    12/11/2019 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    Les élections législatives espagnoles avaient lieu ce dimanche, et le jeune parti Vox, entré au Parlement en avril avec 24 sièges a remporté 15% des suffrages avec 52 sièges ! Il s’est ainsi placé comme la troisième force politique du pays, derrière le Parti socialiste (PSOE) du Premier ministre Pedro Sanchez et le Parti populaire, conservateur. Pour son chef Santiago Abascal, c’est l’ascension « a plus fulgurante de la démocratie espagnole ».

    Quasi inexistante il y a quelques années, cette formation politique séduit de plus en plus d’électeurs notamment issus des régions impactées par l’immigration de masse comme l’Andalousie, où le parti a réalisé une percée historique lors des dernières élections régionales.

    https://fr.novopress.info/

  • Alors, Jean-Luc, comment ça va ?

    L’image contient peut-être : 17 personnes, personnes souriantes, foule et plein air
     Tu permets que je te tutoie, Camarade.
    Après tout « camarade » nous l’avons été, nous « peuple de gauche » et même si ce n’était plus trop le cas depuis longtemps, je continuais à nourrir une certaine forme de tendresse pour toi.
    Un peu comme avec un ex que l’on n’arrive pas à détester complètement et qu’on regarde toujours avec une pointe de nostalgie, même si on sait que c’est bel et bien terminé.
    Il faut dire que tu as su m’en donner des frissons...

    Ton magnifique discours lors de l’enterrement de ton ami Charb vois-tu encore aujourd’hui je ne peux y repenser sans pleurer.
    Et donc, alors, Camarade, c’était comment cette manifestation ?
    Raconte. Tu étais à l’aise au milieu des pires entrepreneurs identitaires et des intégristes ?
    Tu as serré des paluches ?
    J’ai vu qu’il y avait dans la manif des jeunes enfants à qui on a fait porter une étoile jaune.
    Tu as trouvé ça mignon qu’on compare le sort réservé aux enfants juifs séparés de leurs parents, déportés, exécutés, gazés à celui des enfants de confession musulmane qui ont à subir… quoi en fait ? Concrètement ?
    Et Madjid Messaoudene, tu l’as vu alors ?
    Il est sympa ? T’as fait un selfie ?
    Tu sais ce grand type rigolo, élu de Saint Denis qui, au lendemain de la tuerie de Toulouse tweetait en rafale des blagues et des jeux de mots sur Mohamed Merah (je n’oublie pas merah cine / qu’est ce que tu merah-conte etc).
    Mort de rire. Enfin mort oui, surtout les enfants de l’école maternelle.
    Bon, et à part ça… Il y avait du beau monde ?
    Tu l’as vu Nader Abou Anas ? Mais si enfin, le salafiste qui dit qu’une femme doit être obéissante à son mari et qu’elle ne doit sortir de chez elle qu’avec sa permission ! Il était là ?
    Et l’autre, tu sais le rigolo, qui explique aux enfants qu’ils vont finir en cochon s’ils écoutent de la musique il est venu aussi ?
    Celui qui dit dans ses prêches qu’une femme non voilée n’a pas de pudeur et pas d’honneur et qu’elle ne doit pas s’étonner de subir des agressions tu vois de qui je parle ?
    Et les gens de l’association « participation et spiritualité musulmane", tu les as croisés ?
    Mais si souviens-toi, les homophobes, les anti-avortements excités de la « Manif pour Tous » les potes de CIVITAS quoi.
    Ça y’est tu les remets ? Ils devaient être tout près des pancartes demandant l’abrogation des lois de 2004.
    N’empêche, ça a dû te faire drôle, toi le progressiste, le laïque passionné, l’universaliste, toi qui expliquais en 2010 que les femmes voilées se stigmatisaient toutes seules, toi qui récusais le terme même d’islamophobie en défendant le droit à critiquer les religions, toi qui déplorais en 2018 que la religion devienne de plus en plus ostentatoire dans notre société…
    Alors dis-moi Camarade, ça t’a fait quoi quand Marwan Muhamad, du CCIF, l’officine officieuse des Frères musulmans a fait scander à la foule « allahou Akbar » ? ça t’a pas un peu terrifié d’écouter ce cri qui aura été le dernier qu’auront entendu tes amis de Charlie Hebdo juste avant de s’écrouler ?
    Et quand ils ont fait huer le nom des opposants qui sont déjà menacés, Mohamed Sifaoui, Bouvet, Zineb etc qu’as-tu fais Jean luc ?
    Tu as tapé dans tes mains en rythme aussi ou tu t’es discrètement bouché les oreilles ?
    Je voudrais juste savoir Camarade. J’ai besoin de comprendre.
    Est-ce qu’il y a un moment, même fugace où le souvenir de Charb, de son poing crânement levé, de son sourire malicieux, de son testament « lettre ouverte aux escrocs de l’islamophobie » t’a glacé le sang ?
    Est-ce que à un moment, t’est revenu le souvenir de tes mots, si beaux, si forts à l’enterrement de ton ami : « La mort est passée. Elle rôde encore autour de nous et nous sentons son souffle froid (…)Tremblants de peine et sidérés, nous sommes venus nous réchauffer une fois de plus auprès de lui. Car Charb tisonnait si bien pour nous la braise rouge ! Rouge ! Contre la cendre des convenances boursouflées et des certitudes aveuglées, nos rires étaient ses incendies du vieux monde! (…)
    Charb, tu as été assassiné comme tu le pressentais par nos plus anciens, nos plus cruels, nos plus constants, nos plus bornés ennemis : les fanatiques religieux, crétins sanglants qui vocifèrent de tous temps.
    Charb, ils n’auront jamais le dernier mot tant qu’il s’en trouvera pour continuer notre inépuisable rébellion »
    Je voudrais juste savoir Camarade.
    Ça fait quoi de renier ses valeurs dans l’espoir de glaner des voix communautaires ? ça fait quoi de trahir ses amis ?
    Je voudrais juste savoir Camarade.
    Ça fait quoi de renier ses valeurs dans l’espoir de glaner des voix communautaires ? ça fait quoi de trahir ses amis ?
     Je voudrais juste savoir Camarade.
    Est-ce que ce soir, comme nous tu te prends la tête entre tes mains ?
    Est-ce que au moins, maintenant, tout seul, dans le secret de ton cœur, tu as honte « Camarade » ?

  • Christianophobie et actes anti-chrétiens : silence, on tue ! [Vidéo]

     
     
    Le nouveau magazine politique présenté par Magali Forestier revient sur les actes anti-chrétiens dans le monde et sur la violence christianophobe, une violence trop souvent ignorée, notamment par la presse mainstream.
     
    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

  • 5 millions de radicalisés prêts à prendre les armes ?

    5 millions de radicalisés prêts à prendre les armes ?

    D’Eric Cusas dans Politique Magazine :

    On ne sait pas exactement combien il y a de musulmans en France. L’estimation basse est de cinq millions mais certains, comme l’ancien ministre à la Promotion de l’égalité des chances Azouz Begag ou la démographe Michèle Tribalat suggèrent qu’ils sont en réalité entre quinze et vingt millions. Si l’on considère que vingt-cinq pour cents de cette population (probablement sous-estimée) est radicalisé (c’est le chiffre généralement avancé au niveau mondial), cela fait tout de même entre 1.250.000 et 5.000.000 de personnes prêtes à prendre les armes en cas de confrontation soit, grosso modo (et a minima), quatre fois et demi l’effectif de l’armée d’active. Même si l’on divise ces chiffres par deux, ils restent terrifiants ! Nous parlons, ne l’oublions pas, de personnes souvent jeunes et n’ayant pas peur de mourir, pour qui la mort est même une consécration, au contraire de l’autochtone moyen. Voilà ce qui explique, du moins en partie, qu’un fonctionnaire qu’on sait acquis à l’islam salafiste reste en poste bien qu’on le sache potentiellement dangereux. Surtout ne pas froisser, ne pas donner l’impression que l’on condamne, ni même que l’on se protège, ce qui traduirait une forme de suspicion. On est ainsi passé imperceptiblement, d’un calcul électoraliste au petit pied, de la recherche d’un nouveau damné de la terre, à une sorte de pied de paix armée. J’en suis convaincu, les intégristes, qui s’inscrivent dans une logique de conquête, n’attendent que l’étincelle qui déclenchera l’affrontement. Ils savent que nos populations vieillissantes, gavées de graisse, lobotomisées par la téléréalité et, surtout, sevrées d’idéal comme des chapons de leur virilité ne sont pas prêtes au combat. Un idéal, eux, les salafistes, ils en ont un, si détestable que nous le jugions, et c’est cela, conjugué à notre pusillanimité, à notre renoncement moral, qui fait leur force. M. Collomb ne s’y est pas trompé qui, à la veille de son départ avertissait son successeur : deux parties de la population se font face et si l’on n’y remédie pas, elles finiront par s’affronter. Alors, quand l’islam frappe, au cœur même de nos villes, que faire sinon s’empresser de nier qu’il soit la cause du drame et trouver en toute hâte une explication au geste du meurtrier, si invraisemblable soit-elle ? Que faire lorsque le grotesque de cette explication de circonstance apparaît au grand jour, sinon condamner l’acte d’un déséquilibré ? L’islam rend-t-il fou ? Les musulmans radicaux ont-ils, a minima, un projet de partition du territoire en attendant une submersion démographique, même relative ? « La question ne sera pas posée ! » comme répondait inlassablement le président du Conseil de guerre à l’avocat de l’infortuné capitaine Dreyfus. Il n’y a qu’une diagonale des fous.

    https://www.lesalonbeige.fr/5-millions-de-radicalises-prets-a-prendre-les-armes/

  • Manifestation islamo-gauchiste à Paris.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Ce dimanche, la vermine islamo-gauchiste a rendez-vous dans les rues de Paris pour "marcher contre l'islamophobie".
    À l'appel des organisations musulmanes communautaristes, aux côtés d'activistes salafistes ou frères musulmans et d'imams prêcheurs de haine contre l'Occident, défileront gauchistes, communistes, progressistes-radicaux-immigrationnistes et syndicalistes révolutionnaires.
    Hier ils portaient les valises du FLN et manifestaient contre ce qu'ils appelaient le colonialisme, c'est a dire la grandeur de l'Empire français.
    Aujourd'hui ils portent les baluchons des islamistes et apportent leur soutien à la nouvelle colonisation et à l'anéantissement de notre civilisation. 
  • La « ouf », disent-ils…

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    Il fut un temps où les artistes exprimaient leurs désaccords à coups de mots et de rimes. Parmi les Ferré, Brel ou Brassens, certains auraient sans doute repris Zineb El Rhazoui lorsqu’elle avait évoqué l’idée de « tirer à balles réelles » sur les émeutiers démolissant tout sur leur passage et tirant à coup de mortiers sur les forces de l’ordre. Notre guitariste moustachu, pacifiste et antimilitariste convaincu, lui aurait peut-être répliqué une phrase du type « mourir pour des idées d’accord, mais de mort lente ».

    Mais ce temps-là est révolu. Désormais, nous avons les rappeurs. Ces artistes à la plume facile ont toujours trouvé un public au sein de la société. À travers leurs textes rebelles, ils ont amené toute une partie de la jeunesse vers la contre-culture des quartiers. On y vante régulièrement l’argent facile et le refus de l’autorité avec, en arrière-fond, des femmes dénudées au bord d’une piscine ou à l’intérieur d’une luxueuse berline de marque allemande. Une contre-culture teintée de communautarisme qui a réussi à séduire une bonne partie de la jeunesse française.

    Ces ménestrels contemporains, magnifiés par la petite bourgeoisie bohême, s’engagent et s’expriment aussi sur la société. Et voilà ce que nous avons le bonheur d’entendre ou de lire : « Pourrissons la vie de cette grosse m… puante. » Le poète Booba a trouvé un relais appréciable en la personne de Cyril Hanouna, sorte de Bernard Pivot des temps modernes, toujours enclin à faire rayonner la culture et la langue française : « Big up pour sa vidéo sur la ouf, bravo mon Booba ! », sous les approbations de ses chroniqueurs et du public.

    La « ouf » : magnifique verlan de « fou ». Une folle qui alerte depuis sa jeunesse au Maroc contre l’intégrisme islamique. Une folle menacée de mort, sous protection policière constante, qui se bat en France pour éviter, au pays de Molière et de Voltaire, de sombrer dans l’obscurantisme de la charia qu’elle a connue. Une folle qui a vu ses compagnons de Charlie Hebdo se faire massacrer à balles (réelles) de Kalachnikov par les frères Kouachi alors que la médiasphère dans son ensemble n’avait que des « pas d’amalgame » en bouche et des petites bougies pour images.

    Des fous comme Zineb El Rhazoui, l’Histoire de France en a déjà connu. Il y en avait dans les maquis pour saboter les convois nazis. On en trouvait également à Valmy et, bien avant, aux côtés de Jeanne d’Arc pendant la guerre de Cent Ans. Bon nombre d’entre eux ont fini dans des geôles sordides, torturés ou brûlés vifs sur des bûchers, sous les approbations ou le silence d’un peuple groggy et d’élites soumises à l’ennemi. Mais c’est aussi sans doute grâce à des fous comme Zineb El Rhazoui que la France est encore debout et qu’elle se veut éternelle.

  • Islamophobie : le nouveau chantage victimaire ? – Le Samedi Politique

     
    Alors que la question de l’Islam est au cœur de l’actualité de ces dernières semaines, Philippe d’Iribarne, directeur de recherches au CNRS et auteur de « Islamophobie, intoxication idéologique (Ed Albin Michel), revient sur cette notion où les musulmans seraient victimes de discrimination en raison de leur religion.
    Entre quête de victimisation, communautarisme et revendications, des associations se sont désormais spécialisées dans la lutte contre l’islamophobie.
    Que cache ce nouveau combat ?
    Est-il légitime en France ?
    Les réponses dans ce numéro du Samedi Politique.

  • Islamo ignorance et petite gauche complice

    6a00d8341c715453ef0240a49b7295200c-320wi.jpgC'est dans Libé, journal résiduel ex-gauchiste devenu feuille fourre-tout, qu'a été lancé l'appel à manifester, pour ce 10 novembre, contre la prétendue nuisance dite "islamophobie". Il s'agit d'une opération du CCIF, filiale assez notoire des Frères musulmans. Cette manœuvre a été ainsi lancée le 1er novembre. "Plus de cinquante personnalités, semblait alors exulter le journal de la petite gauche qui publiait la tribune, appellent à manifester le 10 novembre à Paris contre la stigmatisation des musulmans de France". Stigmatisation : toujours ce mot ritournelle, qui insulte à la mémoire de saint François d'Assise.

    Or, cette manipulation s'est révélée au fil des jours trop grosse, cousue de mensonges et d'hypocrisie. Beaucoup protestent. D'autres laissent comprendre qu'ils ont donné leur signature, comme on le fait pour une police d'assurance, sans lire. D'autres, comme Cyprien Cini le 7 novembre s'amusent franchement[1] du "petit malaise" qui, en résulte, une fois de plus chez les politiques.

    C'est donc aussi dans Libé qu'on pourra lire quelques jours plus tard une étonnante volte-face signée de Laurent Joffrin, qui titre dans sa lettre du 8 novembre "Comment rater un appel à manifester". Autrement dit si la manif se révèle désastreuse ou contre-productive le camarade éditorialiste s'en lave les mains.

    Toute cette ridicule et significative pantalonnade résulte d'abord d'une ignorance crasse des réalités de l'islam.

    On ne peut pas, à ce stade, excuser par conséquent le sabotage de l'information, celle du public, mais aussi celle des décideurs supposés omniscients. Une récente séquence a été dénoncée au parlement, par exemple, dans une question d'actualité[2] posée au gouvernement par Gérard Longuet, sénateur de la Meuse. Celui-ci souligne un scandale sans doute habituel dans les médiocrités de M. Castaner. Pour reprendre le texte : "les agents du service public ont été privés d'une formation organisée par l'université Paris I Panthéon-Sorbonne". Destinée à les sensibiliser sur le terrain de la radicalisation, elle devait être dispensée par Mohamed Sifaoui, spécialiste sans concession.

    L'ignorance à vrai dire n'est pas seulement programmée, elle est assumée. À l’époque soviétique l'exécrable formule sorbonnarde et germanopratine préférait se tromper avec Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir que d'avoir raison avec Raymond Aron. Aujourd'hui, si les protagonistes et les enjeux semblent différents, la complaisance demeure identique

    Une Caroline de Haas, responsable féministe incarne ainsi la catégorie de ces éternels et dangereux compagnons de route. Elle effectua, naguère, ses années d'apprentissage de 2006 à 2009 comme Secrétaire générale de l'UNEF. Sans paraître dupes, en s'offrant la coquettrie d'une petite divergence, tout en reconnaissant qu’elle se trompe, dans son blogue de Mediapart elle proclame le 6 novembre : "je serai à la manifestation dimanche contre l'islamophobie".

    Assez vite, les eaux se sont séparées.

    Le Mélenchon, pour citer l'exemple le plus criant, s'est enferré à défendre les islamistes, au nom de sa conception d'une laïcité à la turque et de l'argument suprême de l'antiracisme. Comme si l'islam et l'islamisme concernaient uen "race" ! Ancien, et dans son esprit futur, candidat à la présidence de la république se comporte dès lors comme un parfait idiot utile[3].

    Pascal Bruckner de son côté, résume l'ensemble des arguments de la partie adverse en dénonçant "cette gauche qui va défiler aux côtés de tous les extrémistes de lʼislam"[4]Regrettons simplement ici les insuffisances récurrentes des professeurs de bienséance centristes à la Bruckner, enfermés dans l'entre-soi hexagonal.

    Le caractère mondial du conformisme politiquement correct, adossé lui-même à l'internationale de l'islamisme totalitaire, ne devrait échapper à aucun observateur lucide.

    Observons ainsi ce qui se passe outre-Manche, au-delà de l'écume politicienne. L'Angleterre s'apprête à sortir de l'Union européenne, et l'Écosse semble en train de choisir une voie divergente. Mais la Grande Bretagne, royaume de plus en plus désuni, quittera-t-elle pour autant le totalitarisme politiquement correct ? Il est permis d'en douter quand on apprend ce qui advient à un intellectuel sikh, Lord Indarjit Singh. Celui-ci vient de quitter la BBC. Il l'accuse de fonctionner comme une police de la pensée. Et elle a en effet interdit d'évoquer l'histoire d'un de ses coreligionnaires opposé à l'oppression musulmane. La BBC interdit aussi de parler de la conversion forcée des Hindous en Islam, sous l'empire moghol de l'Inde du XVIIe siècle. Les hindouistes considèrent en effet que ce fut le plus grand génocide de l'histoire.

    Mais chut : l'islam relooké politiquement correct n'accepte pas que l'on s'interroge sur son histoire.

    JG Malliarakis  

    Retenez la date : le Mercredi 27 novembre conférence de JG Malliarakis sur la Naissance de l'Illusion mondialiste à l'occasion de la réédition du livre d'Emmanuel Beau de Loménie "La Ratification du Traité de Versailles"
    de 18 h à 20 h à la Brasserie du Pont Neuf 14, quai du Louvre M° : Louvre, Pont Neuf ou Châtelet

    Apostilles

    [1] Cf. Le surf de l'info sur RTL
    [2] Question d'actualité au gouvernement n° 0992G de M. Gérard Longuet (Meuse - Les Républicains) publiée dans le JO Sénat du 31/10/2019
    [3] Mais "utile" à qui en dernière analyse ? Il facilite une manœuvre, elle aussi grosse comme une maison. Telle candidate préprogrammée qui, se réclamant d'un soutien aux grévistes du 5 décembre, s'apprête à reprendre aux protestataires de gauche les 2 ou 3 points de popularité perdue par ce que son électorat de base perçoit pour ses outrances et ses incompétences. L'hypothèse sondagière de sa présence au second tour, à nouveau, en 2022 est considérée comme la garantie de réélection de son adversaire. Attention toutefois : Louis-Ferdinand Céline le disait joliment : "L'histoire ne repasse pas les plats".
    [4] Entretien publié par Figaro Vox le 7 novembre

    https://www.insolent.fr/2019/11/islamo-ignorance-et-petite-gauche-complice.html

  • Page spéciale sur la manifestation islamo-gauchiste du 10 novembre contre l’islamophobie

    Jean-Luc Mélenchon affirme qu'il participera à la marche contre l'islamophobie demain à Paris

    .....

    Marche contre l'islamophobie: Marine Le Pen fustige le soutien et "la trahison" de Jean-Luc Mélenchon

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