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13 novembre : assez de fleurs... Des balles !
A l'initiative de madame Hidalgo, maire socialiste de Paris, un jardin du souvenir va être bientôt inauguré en hommage aux morts du 13 novembre 2015. Après les bougies, les ours en peluches et les bouquets de roses, le gazon mémoriel...Nous ne voulons pas de "jardin du souvenir".Nous voulons des fosses profondes remplies de chaux vives pour les cadavres des terroristes islamiques que, dans un État national, nos services spéciaux auraient pour mission prioritaire d'anéantir.Nous ne voulons plus de bougies. Nous voulons la flamme des armes de nos soldats et de nos agents pour gagner la guerre que nous a déclarée l'islamisme hégémonique.Nous ne voulons plus de fleurs. Nous voulons un État en ordre de bataille, morale, politique, militaire, sécuritaire, identitaire et logistique. -
« Manifestation contre l’islamophobie » : de l’anticléricalisme à l’islamo-gauchisme, par Jean-David Cattin (Les Identitaires)
La gauche et l’extrême gauche sont en pleine mutation. Ce changement que nous avions déjà analysé à plusieurs reprises (1) se confirme et s’accélère. La participation de Jean-Luc Mélenchon et de la CGT à la « manifestation contre l’islamophobie » du dimanche 10 novembre est en cela très significative. Houria Bouteldja, chef de file du courant indigéniste ne s’y est d’ailleurs pas trompée. Elle proclame que leur participation est une « éclatante victoire » de son courant de pensée. On ne saurait lui donner tort.
Des menaces à peines voiléesDans le cortège, ce sont particulièrement les tenants de la gauche laïciste et féministe qui ont été conspués et livrés à la vindicte populaire. Zineb el Rhazoui et Laurent Bouvet en ont été les principales victimes. (2) En dehors du fait que désigner ainsi des cibles est pour le moins irresponsable en cette période de terrorisme islamique, cela témoigne d’une stratégie d’intimidation : faire taire tous ceux à gauche qui s’opposent à l’islamisation grandissante de la France.
L’extrême gauche en quête de nouveaux « damnés de la terre »
Plus question d’« opium du peuple » ou de « ni Dieu, ni maître », la démographie musulmane grandissante en France est devenue un potentiel électorat trop alléchant pour une gauche en perte de vitesse. L’électorat populaire apportant un soutien indéfectible au RN, il faut pour la France insoumise et les autres reliquats d’extrême gauche trouver des « damnés de la terre » de substitution.
Un basculement historique
Trente ans après la chute du mur de Berlin, l’intransigeance idéologique qui caractérisait marxistes et anarchistes jusque-là cède le pas aux permanences identitaires. En cela, Samuel Huntington avait vu juste, les confrontations idéologiques ont tendance à devenir minoritaires et les lignes de fracture – à l’intérieur des États comme dans le cadre des relations internationales – se dessinent dorénavant de plus en plus souvent autour des appartenances civilisationnelles.
(1) France Insoumise : dehors les « mâles blancs » ! & En choisissant Hamon, la gauche cède face au communautarisme islamique
(2) https://twitter.com/i/status/1193522274168692738Jean-David Cattin
Texte repris du site de : Les Identitaires
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Reportage à la “marche contre l’islamophobie” – La marche de la honte
Simple manifestation antiraciste ou provocation islamiste ? La mise en scène est soignée : ambiance calme, des drapeaux français, La Marseillaise chantée, appels à la tolérance, à la laïcité, « on t’aime, tu dois nous protéger ». Tout l’art de la taqiya, car cette image lissée ne doit pas cacher la réalité.
Une Femen torse nu, proclamant que « le blasphème est un droit républicain », est vite écartée par le service d’ordre. La marche débute. Les manifestants proclament leur « solidarité avec les femmes voilées », nombreuses dans le cortège, et chantent sur un air bien connu des Gilets jaunes : « On est là, on est là, pour l’honneur des musulmans, le respect de leurs mamans, même si Blanquer ne veut pas, nous, on est là. » La carte d’identité française ou la carte électorale sont brandies par plusieurs femmes, comme si cela suffisait à prouver l’appartenance à la communauté française.
Puis « Allah akbar » est scandé par les manifestants à la demande de Marwan Muhammad, ancien dirigeant du CCIF, pour montrer qu’ils sont « fiers d’être musulmans et citoyens français ». En quoi ce cri poussé par des terroristes est-il un cri de fierté ? Ces mots ont précédé la mort de milliers d’innocents, tant en France qu’à l’étranger. C’est une honte d’oser les prononcer en plein Paris à quelques jours de la commémoration de la tuerie du Bataclan. Aucun respect pour les victimes ni leurs familles.
C’est aussi parce qu’ils sont fiers d’être Français que la plupart des drapeaux sont d’origine étrangère (algérien, tunisien, palestinien) ? La présence d’autocollants représentant une étoile jaune à cinq branches accompagnée du mot « muslim » va faire couler beaucoup d’encre. Ceux qui l’arborent n’hésitent pas à comparer la situation des musulmans aujourd’hui avec celle des juifs dans les années 1930… Toujours prêts à se victimiser. Et pour bien montrer qu’il s’agit d’une religion de paix et d’amour, des appels à la haine sont lancés contre Zemmour, Zineb El Rhazoui, Laurent Bouvet et même Manuel Valls.
Des politiques s’affichent, à la chasse aux voix. Il est loin le temps où Jean-Luc Mélenchon expliquait à propos des musulmans : « Ils se stigmatisent eux-mêmes, car qu’est-ce que porter le voile, si ce n’est s’infliger un stigmate, et se plaignent ensuite de la stigmatisation dont ils se sentent victimes. » C’était en 2010.
Un intervenant réclame « l’application égalitaire de la loi de 1905 ». Un autre menace : « Ceux qui étaient absents aujourd’hui sont largement repérés et on leur fera largement payer. » Plusieurs parlent d’une manif historique. Oui, historique dans leur logique de conquête.
Mais cette « marche contre l’islamophobie » a très vite été qualifiée de « marche de la honte » sur les réseaux sociaux. De Gaulle disait déjà que si une communauté « se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous pour imposer ses mœurs. » Il est plus que temps que les Français ouvrent les yeux : l’islamisme conquérant ne se cache plus.
Pour le stopper, rendez-vous le dimanche 17 novembre pour la manifestation « Face aux islamistes, défendons la France ! »Jean Kroub
Article paru dans Présent daté du 12 novembre 2019
https://fr.novopress.info/215988/reportage-a-la-marche-contre-lislamophobie-la-marche-de-la-honte/
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Terrorisme : une menace toujours réelle – Journal du mercredi 13 novembre 2019
Terrorisme : une menace toujours réelle
4 ans après les attentats de Paris, la France n’en a pas fini avec la menace terroriste. Malgré une série d’annonces et la mise en place de plusieurs dispositifs, l’exécutif n’arrive pas à mettre fin à la terreur islamiste.
L’extrême-gauche étudiante met le cap sur le 5 décembre
Vendredi dernier, un étudiant de 22 ans, militant du syndicat Solidaires, s’est immolé par le feu devant un restaurant universitaire du Crous à Lyon pour alerter sur sa situation précaire. Un drame qui met les syndicats étudiants en ébullition à quelques semaines de la mobilisation sociale du 5 décembre prochain.
Élections espagnoles : une précaire coalition de gauche
7 mois après un précédent scrutin, les élections générales espagnoles ont finalement consacré l’avènement d’une coalition de gauche… Coalition composée de l’extrême gauche et des socialistes mais aussi de nombreux autres petits alliés…
L’actualité en bref
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Rapatriement des djihadistes : comment la France, l’Allemagne et les États-Unis s’organisent-ils ?
La Turquie a annoncé le 11 novembre que les démarches d’expulsions concernant 11 combattants étrangers d’origine française «étaient en cours».
Quelles politiques, l’Allemagne, la France et les Etats-Unis appliquent-ils pour le rapatriement d’anciens combattants de Daech ? Les détails en images.
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Colloque à Paris le 30 novembre "La France et l'islam: état des lieux"
Un Colloque organisé par le Centre Charlier, l'AGRIF, Chrétienté-Solidarité.
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Manifestation de la honte : la haine bon enfant, par Ivan Rioufol
“Raciste !”, “fasciste !”, j’en passe : je n’ai pu suivre jusqu’à son terme la “manifestation bon enfant” (FranceInfo) contre l’islamophobie, organisée dimanche à Paris (13.500 participants). Pour la première fois dans ma longue pratique des manifestations, je me suis nettement senti en insécurité dans un rassemblement qui n’avait rien de pacifique. J’ai dû écourter ma présence après avoir été notamment pris à partie par des femmes voilées puis par un groupuscule gauchiste bas du front. J’ai pu néanmoins, pendant plus d’une heure, prendre la mesure de la manif de la honte. Le défilé, lancé par des organisations islamistes, a été appuyé par la présence de la gauche perdue, prête à se renier pour quelques voix. Dans un tweet, Jean-Luc Mélenchon a écrit : “Magnifique journée d’unité républicaine conclue par une magnifique Marseillaise. Les diviseurs et les haineux de La République en Marche et du FN sont en échec. La France est notre bien commun.” Quelques instants plus tôt, Marwan Muhammad, du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), proche des Frères musulmans, avait fait crier à la foule, à plusieurs reprises : “Allah Akbar !“, en expliquant que “cette expression religieuse n’est pas une déclaration de guerre“.
C’est par ces mots que les terroristes du 13 novembre 2015 avaient ouvert le feu à Paris, dans un carnage qui allait faire 130 morts au total. C’est sous ces mêmes hurlements que les frères Kouachi avaient auparavant décimé, le 7 janvier 2015, la rédaction de Charlie Hebdo. Le journaliste Edwy Plenel n’a, pour sa part, entendu hier que “des mots d’ordre républicains”. Ces collabos sont prêts à tous les aveuglements et tous les abandons pour satisfaire leurs alliés, qui osent comparer leur sort à celui des Juifs dans les années 30.
Tout est obscène dans ce mariage entre la gauche prétendument laïque et des mouvements sectaires ne cachant rien de leur dimension religieuse. La photo d’une petite fille portant l’étoile jaune, posant à côté de la sénatrice (EELV) Esther Benbassa, résume l’indécente propagande victimaire des islamistes. “Le fascisme est de retour : hier c’était les juifs, aujourd’hui les musulmans“, disait pareillement une pancarte. En réalité, les juifs sont les premières victimes de l’idéologie coranique à laquelle se sont soumis les traîtres de la gauche “antiraciste”. Les voilà invités à avaliser la désinformation qui affirmait hier, sur une grande banderole : “L’islamophobie tue“.
Or, dimanche, Le Parisien a opportunément fait paraître une étude de la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) qui montre que le terrorisme islamiste a, de 1979 à 2019, commis 33 769 attentats dans le monde, qui ont causé 167.096 morts, dont 91,2% de musulmans ! Jamais les organisations islamistes françaises n’ont éprouvé le besoin de descendre dans les rues pour dénoncer les crimes de Mohamed Mehra en 2012 ni ceux, dernièrement de Mickaël Harpon (octobre 2019). Mais il a suffi du geste scandaleux d’un vieux cinglé, qui a blessé deux fidèles devant la mosquée de Bayonne, et d’une réflexion faite à une femme à hidjab, pour révéler l’état d’esprit d’une contre-société prête à en découdre, avec l’appui de ses valets. Hier, les listes des “racailles xénophobes” étaient ouvertes sur une pancarte. Parmi les premiers noms alignés, dans ce rassemblement de la haine : Eric Zemmour, Elisabeth Lévy, Zineb El Rhazoui, mais aussi Marine Le Pen Nadine Morano, Robert Ménard, Eric Ciotti, Christian Jacob… “Manifestation bon enfant”, vous dit-on…
Ivan Rioufol
Texte daté du 11 novembre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol
https://fr.novopress.info/215978/manifestation-de-la-honte-la-haine-bon-enfant-par-ivan-rioufol/
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Erik Tegnér : « Marche contre l’islamophobie : derrière cette manifestation clairement islamiste, les prémices d’un mouvement politique extrêmement organisé ! »
Erik Tegnér était présent à la Marche contre l’islamophobie, dimanche. Il livre son témoignage à Boulevard Voltaire et revient sur les polémiques liées au port de l’étoile jaune par une petite fille et les slogans « allah akbar ! » qui y ont été clamés.
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De la douteuse discrimination raciale positive à l’improbable discrimination sexuelle positive…
« Tous ces gens se prennent les pieds
dans le tapis de leurs multiples contradictions
d’habituels donneurs de leçons »Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés. (Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Marlène Schiappa a déclaré qu’elle approuvait le projet de loi gouvernemental d’expulser les étrangers condamnés pour violences sexuelles… Venant d’elle, ça ne vous a pas étonné ?
Ce qui m’a surpris surtout, c’est que personne dans les mondes politique et médiatique n’ait fait remarquer que c’est « entre autres » une mesure réclamée depuis des décennies par cette droite dite extrême, tant décriée par eux-mêmes en général et par la secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, en particulier… et si, comme cette dernière le déclare si justement, on ne « voit pas qui pourra honnêtement nous dire qu’un citoyen étranger qui a violé une femme peut rester sur le territoire sans que cela pose problème », pourquoi un citoyen étranger qui a agressé, tué, trafiqué – et s’il a violé un enfant ou un homme, sera-t-il tout aussi « expulsable » ? – sur le territoire national pourrait, lui, rester et bénéficier de tous les avantages sociaux et législatifs des citoyens français ? Il y avait la discrimination raciale positive, voici donc la discrimination sexuelle positive… Rien n’arrête l’inventivité de nos politiciens ; c’est souvent à ça qu’on les reconnaît, d’ailleurs !
Comment expliquez-vous un tel silence des médias et du monde politique ? Ils sont gênés ?
Même pas ! Ce qu’ils disent, comme ce qu’ils font, est rarement réfléchi. Médias et politiciens sont dans l’instant, dans l’incontournable Let's Tweet Again de notre époque… et forcément, du coup, ils se prennent désormais les pieds dans le tapis de leurs multiples contradictions d’habituels donneurs de leçons… Ayant sans cesse mis « l’immigré » sur un piédestal d’éternelle et forcément victime – quoiqu’il dise, quoiqu’il fasse – et lui ayant ainsi conféré une impunité aveugle au détriment du citoyen français, ils se retrouvent désormais face à des réalités qu’ils ont toujours niées, écartelés entre le terrorisme de l’islam radical et l’échec de l’assimilation-intégration telle qu’on nous la vantait dans les années 80 du siècle dernier… Rappelez-vous que les mêmes, ou leurs prédécesseurs, assuraient alors que les immigrés allaient d’abord s’intégrer, puis forcément s’assimiler et que penser ou dire le contraire était du racisme… Aujourd’hui, on ne parle plus d’intégration ou d’assimilation, mais de « vivre ensemble » et bientôt, sans doute, tentera-t-on de nous convaincre qu’il nous faut « vivre comme eux » pour ne pas être suspecté, encore et toujours, de racisme.
Marlène Schiappa, par sa déclaration soutenant la mesure gouvernementale d’expulsion des étrangers délinquants sexuels, met néanmoins les pieds dans le plat, vous ne pouvez dire le contraire…
Parce que l’époque – ou plutôt serait-il plus juste de dire « l’année » – est à la dénonciation des violences faites aux femmes et que la Mission de recherche droit et justice qui a réalisé une étude sur les ordonnances de protection « permettant d’établir l’âge moyen, l’état civil et la situation de précarité des femmes violentées » a dévoilé, comme l’a rapporté Le Figaro (le 6 novembre 2019), le profil des victimes de violences conjugales : en situation précaire et souvent d’origine étrangère… Comme la femme violentée est actuellement « à la mode » du politiquement correct – soit jusqu’à ce que le sujet finisse par lasser l’opinion publique et qu’un autre ne le remplace pour soutenir l’audimat des médias et détourner l’attention des réalités de la situation économique du pays – cette annonce d’expulsion des étrangers délinquants sexuels – qui ne peut faire qu’un très large consensus, répétons-le – ne mange pas de pain. Reste à voir si la loi sera appliquée… Qu’adviendra-t-il d’un délinquant sexuel qui arguera que son pays d’origine est en guerre – réelle ou supposée – ou qu’il y encourt à titre personnel un danger pour sa vie en raison de ses mœurs, de ses engagements ou d’on ne sait quoi encore ? Pour ceux qui seraient curieux de connaître les « bonnes astuces » des demandeurs d’asile, les véritables « kits » mis à la disposition des « demandes d’Asile pour les nuls », je ne peux que leur conseiller mon livre Le roman noir des demandeurs d’asile (1).
La déclaration de Marlène Schiappa ne serait en fait qu’un effet d’annonce ?
C’est une annonce, attendons les effets…
(1) Le roman noir des demandeurs d’asile, éditions L’Æncre, préface de Jean-Yves Le Gallou, disponible sur Francephi.com cliquez ici
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Marche contre l’ “islamophobie” : le choc – Journal du mardi 12 novembre 2019
Marche contre l’“islamophobie” : le choc
Dimanche, des rassemblements étaient organisés dans plusieurs grandes villes de France pour lutter contre ce que certains appellent l’islamophobie. De nombreuses personnalités de gauche étaient au rendez-vous malgré le maillage d’associations communautaristes flirtant avec l’islam radical.
Salon du Made In France : un engagement patriotique
Bilan positif pour la 8éme édition du salon du Made In France. L’affluence en augmentation sur le salon de la Porte de Versailles à Paris témoigne d’un engouement toujours plus grand pour le Made In France de la part des consommateurs, des entreprises et des entrepreneurs. Une démarche qui dépasse largement le simple fait commercial pour s’inscrire dans l’action politique.
Roman Polanski : 50 ans de malaise
Alors que le dernier film de Roman Polanski sort cette semaine au cinéma, la photographe et mannequin française, Valentine Monnier, l’accuse de viol. Une affaire qui fait ressurgir au grand jour les nombreuses controverses du cinéaste.
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/marche-contre-l-islamophobie-le-choc-journal-du-mardi-12-novembre-2019