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islamisme - Page 190

  • Les mahométans, « gentils donneurs de leçons de morale »

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    Bernard Plouvier

    Strasbourg (l’un des hauts-lieux de la politicaille européenne), soirée du 11 décembre 2018 : un fou furieux se réclamant du sieur allah tire sur les badauds d’un marché de Noël, en tue 3 et en blesse une douzaine, avant de fuir courageusement.

    Pas de quoi s’en étonner : c’est l’attentat mahométan de la semaine en Europe. Depuis la proclamation du Djihâd par le fou furieux Abou Bakr II en 2014, nous sommes habitués aux actes terroristes de ces fous haineux, d’ailleurs généralement connus des services de police (variante : de nos efficaces services de renseignements).

    C’est d’ailleurs le cas de ce tireur : djihadiste répertorié, ayant tâté de 6 mois de prison après une agression terroriste. Il avait écopé de deux ans, mais avec sursis pour la plus grande partie... ce qui est l’équivalent judiciaire d’une invitation à la récidive. C’est fait !

    La surprise de l’honnête citoyen ne provient pas du sociopathe assassin, ni de l’absurdité d’un système laxiste, dans lequel des fonctionnaires de l’État font semblant de punir et d’autres ne peuvent rien faire d’utile. Sur ce point, l’alternative est simple : ou on élimine, discrètement mais impitoyablement, les mahométans qui prônent le djihâd dès qu’on les a repérés, ou on cesse de promettre aux Français une « protection » parfaitement illusoire. Tout cela, on le sait depuis 2015. 

    La surprise – qui n’en est pas une vraie, car l’on avait déjà noté la tendance des jeunes mahométans à excuser les actes terroristes commis par les fous d’allah – vient d’une réaction à chaud d’un jeune mahométan qui crèche (c’est le mois idéal pour employer ce verbe !) à Strasbourg. Interrogé par un journaliste de Cnews (la chaîne d’info du groupe Canal+ & Bolloré), et bien qu’il sache le bilan sanglant de son ami, il n’a pas hésité à le présenter comme un barbu « super-gentil, cultivé... un grand-frère toujours prêt à donner des leçons de morale » !    

    Face à de tels moralistes, il ne reste à la Nation qu’une ressource : passer des revendications fiscales qui mobilisent plusieurs millions de Français, si l’on prend en compte les participants et leurs sympathisants, à la création de milices citoyennes non armées – puisque seuls les voyous peuvent disputer l’exclusivité du port d’arme aux si efficaces forces de l’ordre -, mais d’une vigilance toujours en éveil, composée d’individus rompus aux sports de combat.

    La Nation n’a rien à attendre des politiciens, fort peu des juges, à peine plus des policiers, surmenés à force de verbaliser sur les routes et de tenter de maîtriser ces casseurs encouragés par de curieux personnages – qui ne viennent pas de cette « droite extrême » dont on nous rebat les oreilles. La Nation doit légitimement se méfier des mahométans qui évoquent favorablement le djihâd ou prennent des assassins pour des héros.

    Il est urgent d’exiger de nos princes inefficaces la tenue d’un referendum sur l’immigration extra-européenne et sur la liberté de culte sur le sol français pour les individus qui prônent l’imposition de la charî’a. La France a instauré, en 1905, une absolue séparation des Églises et de l’État. Même si le culte mahométan est financé par des millions de pétrodollars, seuls des corrompus peuvent accepter ses débordements.      

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Terrorisme(s): arrêtons de reculer

    JEANNE-1-300x263.jpgComment se fait-il que dans  la quasi totalité des cas, les racailles appréhendées pour des  faits de terrorisme, soient décrites spontanément aux journalistes qui interrogent leur  entourage  (plus ou moins lointain)  comme des mecs sans histoire,  sympas,  quoique, parfois,  un peu  rigide sur les valeurs, mais appréciées par tous les gens du  quartier  ou de la cité pour leur gentillesse? « C’est un gars super gentil, pas  quelqu’un qui cherchait les problèmes. Ce n’est pas quelqu’un de borné, qui sait rien de la vie, quelqu’un  de très gentil,   il est cultivé. Il avait un discours assez appuyé sur la religion,  il était assez sévère sur la religion, il ne faut pas le décevoir avec la barbe. Il est comme le grand frère, toujours à apporter de bons conseils,  à délivrer des petites leçons de morale… » C’est en ses termes que Rachid  décrivait lui aussi  hier soir sur l’antenne de Cnews  la personnalité de Chérif Chekatt, 29 ans,  islamiste fiché S depuis 2016, au profil tristement banal de délinquant multirécidiviste radicalisé, un profil hybride « très défavorablement connu » des services de police, en France comme en Allemagne.  Il  est l’auteur présumé de l’attaque par balles hier contre le marché de Noël à Strasbourg, qui a fait trois morts et treize blessés dont huit graves. Originaire du quartier pluriel de Koenigshoffen dans la capitale alsacienne, il est toujours activement recherché au moment ou nous écrivons ces lignes.

    « Face à l’horreur, une seule réponse : l’unité de la Nation » a twitté  le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux, tandis que  le niveau  d’Alerte urgence attentat était décrété, ce qui, de facto, alimentant en retour les rumeurs complotistes, devrait entraver les manifestations et rassemblements des gilets jaunes. Invitée ce matin des Quatre vérités sur France 2, Marine Le Pen en a pris acte : « je suppose que si ce niveau d’alerte terroriste est maintenu, il inclut l’interdiction des manifestations. Je ne polémiquerai pas là-dessus, la sécurité du peuple français doit être en cause pour que le Ministère de l’Intérieur prenne cette décision. »

    La présidente du RN a rappelé qu’elle plaidait de longue date « pour la mise en œuvre d’un Parquet national anti-terroriste » sachant que  les « délinquants radicalisés commettent bien souvent ces délits et crimes pour financer le terrorisme. »  Sur le fond, Marine a rappelé son souhait d’une expulsion de notre territoire  des étrangers fichés S – « ce serait autant de moyens supplémentaires qui seraient dégagés pour pouvoir surveiller ceux qui ont la nationalité française ! »- et a pointé  l’inertie, l’angélisme coupable, depuis de longues années, des partis au pouvoir.  « Je ne sais pas par quelle pudeur, qu’est-ce qui explique le fait que dans notre pays on refuse de s’attaquer au fondamentalisme islamiste, qui est une idéologie mortifère, mortelle, qui a fait 250 morts et des centaines de blessés en France depuis six ans (…). Il faut s’attaquer aux organisations islamistes. Le salafisme se propage dans notre pays, il est financé de l’étranger, et même parfois, au moyen d’associations culturelles, cultuelles ou sportives, financé par de l’argent public ! »

    Lors de son passage sur BFMTV , le  maire  socialiste de Strasbourg, Roland Ries, visiblement ému,  ne s’est pas départi  pour autant de cette pudeur en renonçant à appeler  vraiment un chat un chat: «Je ne crois pas que des attaques de ce genre puissent donner raison à ce qu’il convient d’appeler  (?) un terroriste » a-t-il déclaré .  Un terroriste certes, mais pas un terroriste hors-sol, un  terroriste islamiste (la précision qui fâche et qu’il ne faut pas prononcer pour ne pas se couper du vote pluriel?);   une racaille  qui a trouvé sous le badigeon de  l’idéologie salafiste un support et une justification à sa  haine de la France, des impies, des koufars, des infidèles, des croisés… .

    Un terrorisme désormais enkysté dans  le sol français  qui est aussi  le fruit de l’immigration-massive, de l’échec de l’assimilation, du laxisme d’Etat, du masochisme anti-national,  du refus par nos élites d’affirmer  nos valeurs helléno-chrétiennes  et surtout de les défendre sans esprit de recul. Pour ne parler que de lui,  le très européiste maire de Strasbourg  milita en 2015  pour  l’accueil des immigrés clandestins (migrants) lors du tsunami migratoire déclenché par l’ouverture des frontières de l’Allemagne par Angela Merkel. Il  s’était aussi signalé par cette  proclamation qui est restée dans les annales, déclarant « servir des repas halal dans les écoles par respect pour la diversité, mais pas de poisson le vendredi par respect pour la laïcité. » Cette phrase se suffisant à elle-même,  tout autre commentaire serait superflu.

    La présence d’un foyer islamiste radical à Strasbourg est déjà ancienne ont rappelé un certain nombre de commentateurs; des attentats y ont déjà été déjoués  in extremis grâce  à  la vigilance de nos services de renseignements. Ce fut le cas notamment en 2003, bien avant l’émergence de l’Etat Islamique,  avec le démantèlement d’une  cellule qui  devait frapper la  Cathédrale de Strasbourg et commettre un  massacre au Marché de Noël.

    Hier,  c’est  donc  encore le Marché de Noël qui était visé, pour taper au portefeuille un évènement  annuel très important pour l’économie de la ville. Mais aussi bien sûr,  pour s’attaquer symboliquement  à  une fête annonçant pour les Chrétiens  la naissance du Sauveur et pour tous les  Européens, croyants ou non, un moment de réjouissance collective, si ce n’est communautaire,  la victoire de la lumière sur les ténèbres. C’est à quelques mètres du magnifique sapin illuminé dressé au cœur de la ville, que Chérif Chekatt  a entamé son périple sanglant;  sapins  qui comme les crèches chassées de   nos écoles, de nos mairies, de nos  bâtiments administratifs dans les banlieues de la diversité (avec le soutien indirect des laïcards anti-cathos), déclenchent l’animosité des nouveaux arrivants les plus extrémistes   qui se disent heurtés dans leur sensibilité, dans leur foi, par ce type de provocations. 

    Nous assistons ces dernières années de la part des progressistes à des actes de soumission, de dhimmitude,  proprement insupportables affirme  Bruno Gollnisch.  Nous nous en étions fait l’écho ici, à Amiens, l’équipe du maire PS, Gilles Demailly, au nom du  « vivre ensemble» ,  avait   rebaptisé le Marché de Noël  en «Marché d’Hiver ».» Idem pour le Marché de Noël de Bruxelles  rebaptisé Loisirs d’hiver tandis que la Croix rouge dans cette même ville entendait se renommer La rouge, afin de faire disparaître  le mot  croix… Ne nous y trompons  pas, cette éradication sémantique est tout sauf anecdotique. Elle procède d’un terrorisme intellectuel, véhiculé par les lâches  et/ou les  prosélytes  des sociétés ouvertes,   qui ouvre la voie au terrorisme sanglant que nous subissons aujourd’hui.

    https://gollnisch.com/2018/12/12/terrorismes-arretons-de-reculer/

  • Le meilleur remède contre le complotisme, c’est la vérité, même quand elle dérange

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    En ce lendemain d’attentat, un mini-drame dans le grand, une indignation collatérale en marge de la grande ont enflé jusqu’à pénétrer l’hémicycle de l’Assemblée via l’intervention d’un député LREM et à être dénoncés par le ministre de l’Éducation nationale. Parmi les gilets jaunes circulerait une rumeur complotiste : cet attentat, en faisant diversion, tomberait à pic pour le gouvernement, ce qui le rendrait donc suspect.

    Une idée, évidemment, farfelue – les islamistes n’ont pas attendu les gilets jaunes pour commettre des attentats et il n’y a aucune raison que cette gronde les dissuade d’en commettre d’autres. Du reste, si, à court terme, un attentat peut sembler servir le gouvernement, à moyen, il fait aussi montre de son impéritie – et une surréaction, de l’autre côté, qui ne l’est pas moins : la situation est grave et puisque cette thèse ne tient pas debout, était-il utile de s’abaisser à en parler, de perdre son temps et sa salive à se draper dans sa dignité pour la dénoncer ?

    La vérité est que si cette accusation doit susciter une réaction, c’est la réflexion.

    D’abord, comment en est-on arrivé là ? Comment la relation de confiance entre les gouvernants et les gouvernés, mais aussi les informants et les informés – pour parler chic -, a-t-elle été abîmée jusqu’à rendre crédibles, auprès de toute une partie de la population, ces échafaudages improbables ? Au-delà de l’irrationnelle frustration de voir ce vaste mouvement trouver soudain un coup d’arrêt, il y a nécessairement une immense défiance qui s’est installée. Peut-être parce que certains ont le sentiment d’avoir été trop longtemps roulés dans la farine. Manipulés. Pris pour des abrutis auxquels on a fait le coup du mépris.

    C’est le syndrome du cocu – le jaune leur va si bien – qui, à la longue, devient paranoïaque et soupçonne sa dulcinée de le tromper dès qu’elle passe le pas de la porte, même pour aller chercher le pain. C’est Georges Dandin dont la femme, lorsqu’elle est accusée, pousse de grands cris d’indignation et invoque sa vertu outragée, alors qu’il n’est pourtant pas si crétin.

    Comment y remédier, ensuite ? Mais pas à pas, avec patience et humilité, en reconnaissant ses torts et en s’amendant. La confiance ne s’impose pas, elle se mérite et se (re)conquiert. La rumeur sur les réseaux sociaux est à la presse ce que le rebouteux est au médecin : c’est quand on ne croit plus à l’autre que l’on place sa foi dans l’un. Pour retrouver sa clientèle et damer le pion du charlatan, l’homme de l’art n’a d’autre choix que d’en finir avec ses diagnostics désastreux et ses traitements sans effet.

    Ce gouvernement l’a-t-il compris ? Rien n’est moins sûr. Lorsque Emmanuel Macron dit qu’il faut oser parler d’immigration alors qu’il vient, en catimini, de signer par procuration le pacte de Marrakech qui suscite tant d’inquiétude, il ressemble au mari volage qui de retour, le soir, de sa garçonnière promet à sa femme, en lui tapotant la main, qu’il n’éludera pas le sujet si important de la fidélité. Le gilet jaune fait mentir Serge Lama, dont il apprécie pourtant sûrement le talent : cocu, mais pas content.

    Gabrielle Cluzel

    http://www.bvoltaire.fr/le-meilleur-remede-contre-le-complotisme-cest-la-verite-meme-quand-elle-derange/

  • Attentat de Strasbourg : après le fantasme séditieux, la réalité terroriste

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    La réalité terroriste nous rappelle à l’ordre depuis Strasbourg. Mardi soir, un homme a ouvert le feu dans la rue, faisant ainsi plusieurs victimes. À l’heure où ces lignes sont écrites, on compte déjà au moins deux morts et plusieurs blessés.

    Quelques jours avant le 11 novembre, on avait arrêté des pieds nickelés d’extrême droite qui auraient menacé la vie du président de la République. La semaine dernière, Castaner, Nuñez, Darmanin – j’en passe et des « meilleurs » – hurlaient au loup. Il fallait mater les séditieux, les factieux, les émeutiers. La situation était « gravissime », pour Marlène Schiappa, secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes : la République, la démocratie étaient en danger car des gilets jaunes avaient appelé de leurs vœux la nomination d’un général à Matignon – en l’occurrence le général de Villiers, bien connu pour ses penchants putschistes et les tendances complotistes ! Les milices d’extrême droite faisaient régner la terreur dans les rues de Paris, trois samedis de suite. Des chemises brunes qui se cachaient sous des capuches de survêtement organisaient des nuits de cristal et pétaient les vitrines des boutiques de luxe. Bref, le fantasme favori de la gauche.

    Et, ce mardi soir, la réalité cruelle, récurrente, meurtrière nous rappelle où est le vrai danger, la vraie menace. Certes, cette réalité, certains semblent avoir du mal à l’admettre. Ainsi, un certain Emmanuel Foulon, collaborateur d’un député socialiste belge au Parlement européen, témoignant en direct depuis Strasbourg sur CNews, se posait la question si cette fusillade était l’œuvre d’islamistes ou de l’extrême droite. On ne sait jamais.

    La réalité, c’est le terrorisme islamiste. Très probablement : le ministre de l’Intérieur et le procureur de Paris sont partis pour Strasbourg. Et nous sommes repartis pour des débats en boucle sur les chaînes d’information continue. Sur ce qu’on aurait pu ou dû faire pour éviter cet attentat commis, nous dit-on, par un homme fiché S pour radicalisation. Des armes, dont des grenades, ont été trouvées à son domicile. Comparaison n’est pas raison, mais samedi dernier, on arrêtait et mettait en garde à vue des dizaines de personnes préventivement, bien en amont de la manifestation des gilets jaunes, sous prétexte qu’elles transportaient dans leur véhicule, non pas des kalachnikov, mais des « armes par destination » (un cric de voiture peut être considéré comme une « arme par destination ») ou des masques pour se protéger des gaz lacrymogènes. Mais cela n’a sans doute rien à voir avec la lutte contre le terrorisme, nous expliquera-t-on doctement. Et puis nous sommes dans un État de droit…

    Entre fantasme et réalité, le cauchemar.

    Thomas Bertin

    http://www.bvoltaire.fr/attentat-de-strasbourg-apres-le-fantasme-seditieux-la-realite-terroriste/

  • Professeur égorgé à Courbevoie : l’assassin est un musulman comme les autres (selon la justice)

    Professeur égorgé à Courbevoie : l’assassin est un musulman comme les autres (selon la justice)

    C’est intéressant : le procureur de la République de Nanterre a décrit l’assassin du professeur égorgé à Courbevoie comme « pas délirant, mais en décalage avec les faits ». Il a reconnu avoir « tué son enseignant de plusieurs coups de couteau ». Le magistrat a précisé que le suspect en voulait personnellement à sa victime. Pour cause, ce professeur d’anglais aurait « fait un dessin qu’il aurait diffusé en cours en 2016 », « insultant pour le prophète ».

    « Connu d’aucun service de renseignement », l’individu ne présente apparemment pas « d’élément de radicalisation », mais est davantage perçu comme quelqu’un de « très religieux, très pieux, très pratiquant ».

    Son profil Facebook est également très normal :

    Bref : un musulman comme les autres en somme…

    L’homme, Pakistanais, qui ne parle que l’ourdou et l’anglais, était en situation irrégulière sur le sol français depuis septembre 2017, son visa étudiant ayant expiré.

    https://www.lesalonbeige.fr/professeur-egorge-a-courbevoie-lassassin-est-un-musulman-comme-les-autres-selon-la-justice/

  • Islam et Europe : Propagande musulmane et financement par l’U.E. de recherches sur le Coran

    Islam et Europe : Propagande musulmane et financement par l’U.E. de recherches sur le Coran

    Le site oumma.com (petit rappel : l’oumma est la communauté des musulmans, dont la solidarité de système doit prévaloir sur les nations ; un peu finalement comme un universalisme progressiste…) a publié en décembre 2018 un entretien avec John Tolan (également interrogé sur France Culture le même mois), historien et auteur du livre : « Mahomet l’Européen. Histoire des représentations du Prophète en Occident ». Comme annoncé sans fard, c’est un

    « travail pour déconstruire l’opposition entre mondes occidental et musulman ; cette opposition est impropre : Occident et islam ont une histoire commune ; l’islam fait partie de l’Europe ; le prophète de l’islam fait partie intégrante de la culture « occidentale » : c’est Mahomet l’européen ; Muhammad et l’islam appartiennent absolument à l’histoire européenne ».

    A la fin de l’entretien sur oumma.com, on apprend que Tolan est l’un des responsables d’un projet scientifique financé par le conseil européen de la recherche consacré à la place du coran dans la culture européenne. Ce « conseil européen de la recherche » a été institué par la commission européenne en 2007, dans le but de

    « permettre l’émergence de nouvelles découvertes scientifiques qui offriraient l’ouverture de nouveaux marchés notamment dans l’industrie, le lancement d’innovations sociales et surtout le renforcement de l’économie de la connaissance intégrée par la stratégie Europe 2020. L’enjeu est aussi, par les moyens de la recherche exploratoire, de répondre aux nombreux défis internationaux et de satisfaire les besoins de nos sociétés européennes ».

    On cherchera difficilement en quoi cette recherche sur la place du coran répond à l’un quelconque de ces objectifs. On sait cependant que chaque programme de recherche est financé à hauteur de millions d’euros.

    Mahomet l’européen ? C’est un peu comme dans les années 1950/1960 la propagande associait le communisme et la paix.

    Ceci étant, il faut reconnaître une des dernières manifestations de Mahomet dans l’histoire française, le 7 janvier 2015, lors de l’attentat de Charlie Hebdo : « On a vengé le prophète Mohamed, on a tué Charlie Hebdo ! » ont crié les assassins.

    Une histoire européenne et commune, on vous dit.

    https://www.lesalonbeige.fr/

  • Livre : L’islam à la conquête de l’Occident, de Jean-Frédéric Poisson

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    Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate et membre du collectif Les Amoureux de la France, signe ici L’islam à la conquête de l’Occident (Éditions du Rocher). Il s’agit de l’étude d’un document datant de 2000 et actualisé en 2006, rédigé par l’ISESCO (Organisation islamique pour la science et la culture).

    Ce document a été pensé comme une « Stratégie de l’action culturelle islamique à l’extérieur du monde islamique ».

    Alors que la question migratoire alimente les débats depuis quelques années, et que s’y mêlent des critiques de l’islamisation du pays, l’existence d’une stratégie liée à ces phénomènes a toujours été niée. L’enquête récente de Gérard Davet et Fabrice Lhomme sur l’islamisation des banlieues, Inch’Allah, L’islamisation à visage découvert, si elle rapporte bien la réalité du terrain, ne traite absolument pas les causes profondes. Si le point de départ, la raison de ce processus ne sont pas dévoilés, il est impossible de le combattre. C’est ce à quoi l’ouvrage de Jean-Frédéric Poisson s’attaque.

    Les pays signataires du document qu’il étudie sont les membres de l’ISESCO, c’est-à-dire tous les États musulmans, de l’Arabie saoudite au Qatar en passant par l’Iran ou le Tchad. L’objectif de ce document est d’installer à la place de la société occidentale « une civilisation de substitution ».

    Jean-Frédéric Poisson étudie avec précision chaque chapitre de ce document qui décrit la manière « d’imposer la charia en Europe » et, par extension, à l’ensemble du monde occidental. Les moyens prescrits par les signataires concernent plusieurs domaines : l’action sociale, la famille, le statut des femmes, l’enfance et la jeunesse, les institutions sociales et religieuses, l’ouverture à l’environnement, l’éducation et l’enseignement et, enfin, la langue arabe.

    Les moyens d’investir ces domaines sont nombreux : le mensonge (la taqiya et ses diverses formes), le soi-disant dialogue avec l’Occident sur le principe de la dhimmitude. « Il s’agit d’amener l’Occident à reconnaître […] que l’islam est la meilleure solution possible pour lui-même. » Tout homme étant né musulman, il n’y a pas d’autre aboutissement possible au dialogue. « Il ne peut être question, donc, d’un dialogue d’égal à égal. »

    Le document revient ensuite longuement sur la faillite de la civilisation occidentale, sur sa perversion et sur sa faiblesse. Il montre comment s’engouffrer dans les brèches laissées par la tolérance de ces sociétés, comment les fragiliser et les détruire pour y imposer la loi islamique. L’Occident est « une terre de conquête ».
    Jean-Frédéric Poisson développe ensuite les moyens de répondre à cette stratégie d’action culturelle islamique à l’extérieur du monde islamique. Il s’agit d’apporter une réponse politique à cette volonté de conquête par l’islam, présente dans nos sociétés par le communautarisme. Il développe ainsi plusieurs axes de réflexions : l’évolution de la loi de 1905 ou, du moins, son application, la lutte contre l’influence néfaste des États étrangers, notamment pour les questions de financement des mosquées, le soutien aux réformateurs, aux courants plus « modernistes », et la lutte contre le communautarisme.

    C’est la première fois que cette stratégie d’action culturelle est commentée. Jean-Frédéric Poisson signe, ici, une analyse complète de ce document, pour que ce sujet soit discuté et débattu dans le champ politique, pour que les Français sachent, pour que les élites ne puissent pas dire « Je ne savais pas ».

    Nicolas Pécari

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • [vidéo] L’islam radical dans le monde du travail

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    Philippe Lobjois, auteur de “La guerre secrète – L’islamisme radical dans le monde du travail” (Editions Fayard), était l’invité d’André Bercoff

  • Des militants de la France insoumise exclus pour avoir voulu débattre de la montée de l’islamisme dans le XVIIIe arrondissement

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le groupe du XVIIIe arrondissement « Jacques-René Hébert » du nom d’un journaliste pamphlétaire du Club des Cordeliers, guillotiné en 1794, est très engagé sur le thème de la laïcité au sein de la France insoumise ». Mais il vient de se faire exclure de la plateforme numérique du parti de Jean-Luc Mélenchon. Leur tort ? Avoir voulu organiser dans un café de la rue l’Olive, un débat sur « l’entrisme islamiste dans le mouvement syndical ».

    Il est vrai que, par exemple, la RATP offre en la matière, un cas d’école tout trouvé ! L’adjoint communiste à la Mairie du XVIIIe, Gérald Briant fut le premier à s’en offusquer sur Twitter, suivi par la Confédération Nationale du Travail, d’obédience anarchiste, qui a appelé à arracher les affiches annonçant l’événement. Puis ce fut au tour de la CRI (Coordination contre le racisme et l’islamophobie, de tendance islamiste) de réagir, en se permettant d’intimider par téléphone des militants du groupe Hébert. Enfin, d’autres indignés de la France Insoumise, comme Fabien Marcot, ont pointé sur Twitter, « une dangereuse dérive ».

    Cette bisbille à l’intérieur du parti est emblématique de la bataille des gauches

    Elle oppose en effet, la gauche républicaine traditionnelle, attachée aux valeurs de la Troisième République qui a vu naître les bases de la laïcité et la gauche soixante-huitarde bien-pensante qui fait de la défense des minorités sa priorité, avant la question sociale.

    Que l’une ou l’autre gauche gagne, il semble pour l’instant, que la France insoumise doive clarifier sa ligne par rapport au projet d’islamisation de l’Europe, tel qu’approuvé à Doha par le Sommet islamique de 2000 et qui explique notamment qu’il faille protéger les enfants de migrants de « l’influence occidentale » !

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  • Géopôles n°21 : La dhimmitude en question avec Bat Ye’or

    Richard Haddad reçoit l’essayiste britannique Bat Ye’or pour évoquer le califat et le statut des minorités religieuses (les dhimmis) dans le monde arabo-musulman.

    https://www.tvlibertes.com/geopoles-n21-la-dhimmitude-en-question-avec-bat-yeor