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islamisme - Page 200

  • Travailler ou prier, faut-il choisir ? – Journal du jeudi 27 septembre 2018

    Société / Travailler ou prier, faut-il choisir ? 
    Les entreprises se mettent au rythme des religions. Selon une étude menée par l’Observatoire des faits religieux en entreprise, les salariés n’hésitent plus à prendre des congés pour motif religieux. L’islam est en première ligne.

    Politique / Macron pas à la fête chez les patrons
    Emmanuel Macron voit sa cote de popularité chuter auprès du patronat… le vernis présidentiel de startupper s’effrite petit à petit et les différents acteurs économiques se rendent compte qu’ils ont affaire à un haut-fonctionnaire.

    International / Guerre du Yémen : un conflit par correspondance ?
    Le Yémen connait une guerre civile depuis maintenant plus de quatre ans… 10 000 morts après et alors que cinq millions d’enfants sont menacés par la famine, le conflit qui met aux l’Iran face à une coalition arabo-occidentale pourrait finalement se déplacer au Liban.

    International / Hong Kong toujours plus chinois !

    L’actualité en bref

    Serveur TVL

    Lien dailymotion
    https://www.tvlibertes.com/2018/09/27/25970/travailler-prier-faut-choisir-journal-jeudi-27-septembre-2018

  • Marches blanches et colère noire – Cyril Raul (Les Identitaires)

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    Les marches blanches semblent être devenues la seule et unique réponse collective à la litanie des meurtres de Français par des racailles ou des islamistes. Malgré la compassion légitime que l’on peut avoir à leur égard, il faut objectivement l’admettre : les proches de victimes n’ont jamais fait autant de mal en croyant se faire du bien.

    La marche blanche n’agit plus en effet que comme une thérapie de groupe. Manifestation du besoin de se retrouver dans le malheur, elle donne l’illusion d’une réaction : que faire contre le drame vécu ? Se mettre en marche… mais en marche vers où ? Défilé éculé de victimes, la marche blanche est la voie de garage de la colère légitime. Systématiquement dépolitisée, elle vient castrer les meilleures volontés. Animée par la peur de la récupération, elle anesthésie l’émotion et entretient la dormition.

    Heureusement, quelques victimes ne se résignent pas.

    Tel est le cas de Patrick Jardin, en première ligne contre le concert de Médine au Bataclan qui devait avoir lieu le 19 octobre prochain (1) et qui a finalement été annulé grâce à une mobilisation cimentée par sa détermination. Ce père d’une des victimes du massacre du 13 novembre 2015 n’a pas transformé sa colère en marche blanche, mais en combat. À ce titre, il n’est plus un simple « père de victime » (qualité à laquelle tant voudraient l’assigner) mais devient un lanceur d’alerte œuvrant pour le bien commun.

    Patrick Jardin nous a posé à chacun une question : comment, en notre tréfonds, pouvions-nous accepter le concert de Médine, ce porte-parole d’une association rattachée au mouvement islamiste des Frères musulmans, dans un lieu où ce même islamisme a tué tant des nôtres ?

    Une interrogation qui, au fond, questionne notre seuil de tolérance. La perception du mot « tolérance » est aujourd’hui largement positive dans l’opinion médiatique, chez la plupart des politiques ou à l’école : elle est érigée en vertu ultime de la vie en société multiculturelle. Pourtant, étymologiquement, la tolérance désigne la capacité de permettre ce que l’on désapprouve a priori, ce que l’on devrait normalement refuser. Poussée à l’extrême, elle est devenue un signe de faiblesse. Notre réveil ne peut s’inscrire que dans notre capacité à ne plus tolérer ce qui est objectivement intolérable. Devenons des intolérants. Plutôt que de revêtir le t-shirt d’une marche blanche, assumons comme Patrick Jardin le badge de l’intolérance. Car nous ne tolérons plus, nous ne supportons plus, nous ne reculons plus.

    La récente polémique autour des prénoms suscitée par les propos d’Eric Zemmour l’a encore montré (2) (3) : nous sommes à l’heure où notre existence en tant que peuple est niée. Car si Hapsatou ou Yassine sont des prénoms français, alors il n’existe pas de prénoms français. Et si ce vecteur de transmission que constitue un prénom est rompu, alors c’est le peuple français dans son ensemble qui n’existe plus. Les Français d’hier s’effacent, ceux d’aujourd’hui disparaissent, quid de ceux de demain ?

    Meurtres des nôtres dans l’indifférence, tentative de concert d’un islamiste sur les lieux d’un massacre djihadiste, négation de notre identité et de notre existence en tant que peuple… Nous assistons aujourd’hui à la réalisation collective d’une pulsion de mort à l’encontre des Français. Face à elle, il s’agit d’opposer une colère saine dans laquelle recèle toujours une promesse de vie : nous existons encore et comptons bien demeurer. Le temps des marches blanches prend fin, arrive celui des colères noires.

    (1) https://twitter.com/patrickJardin3/status/1040027675048468480
    (2) http://www.fdesouche.com/1073859-eric-zemmour-aurait-prefere-que-hapsatou-sy-sappelle-corinne-elle-le-menace-sur-twitter
    (3) https://twitter.com/FeizaBM/status/1041964739348316160 : « Mes garçons s’appellent Marwan et Abdenour, mes frères et sœurs s’appellent Yasmina, Anissa, Amin et Mohamed. N’en déplaisent à Éric Zemmour, ce sont des prénoms français. »

    Cyril Raul

    Texte repris du site deLes Identitaires

    https://fr.novopress.info/212021/marches-blanches-et-colere-noire-cyril-raul-les-identitaires/

  • Médine au Bataclan : la France a gagné une bataille, mais elle n’a pas gagné la guerre

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    Pierre Cassen Riposte laïque cliquez ici

    Il n’est pas fréquent, pour des militants, de vivre des moments aussi forts que ceux qu’ont connus les animateurs et participants de la conférence de presse, organisée ce vendredi 21 septembre, à Paris, pour demander l’annulation du concert de Médine au Bataclan. Alors que je concluais cette initiative, Patrick Jardin, qui avait quitté la salle quelques minutes pour répondre aux questions des journalistes de TF1, revint à la tribune, et s’excusa de m’interrompre.

     

    Bien sûr, la salle et la tribune applaudirent à tout rompre. Chacun était conscient de l’importance et de la symbolique de cette victoire. Chacun avait compris que si Médine avait pu éructer au Bataclan, cela aurait été un camouflet pour la France, un crachat pour les victimes et leurs familles, et une nouvelle occasion pour les disciples d’Allah d’humilier les Français.

    Ce sursaut patriotique a été possible d’abord parce qu’un homme d’exception, Patrick Jardin, a décidé, seul, de se battre, dès le début de cette provocation. Il a appelé la France entière à le soutenir, sans le moindre sectarisme. Il a écrit à tout le monde. Il a demandé à deux reprises à Médine, qui ne lui a jamais répondu, d’annuler, par décence pour la mémoire de sa fille et des autres victimes, sa sordide provocation. Il a lancé un appel, devant le Bataclan, cet été, pour appeler les Français à le soutenir, le 19 octobre et le 20 octobre, pour faire annuler ce concert.

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    Le journal Présent a apporté sa pierre à l’édifice, comme toujours.

    Sachons le dire, les seuls qui ont répondu à son appel sont ceux que les commissaires politiques de la bien-pensance, lèche-babouches professionnels, appellent l’extrême droite, ou la fachosphère, et que nous appelons la Résistance et la réinfosphère. Chacun a amené son savoir-faire, dans le respect de l’autre, sans chercher à tirer la couverture à lui. Génération Identitaire a su mettre une dizaine de militants devant le Bataclan, avec une grande banderole, qui a beaucoup circulé sur les réseaux sociaux.

    Puis Renaud Camus a mis sa plume et son talent oratoire, à la tête du CNRE, au service de cette bataille. À la rentrée, Richard Roudier, à la tête de la Ligue du midi, a invité Patrick Jardin, qui a renouvelé, dans une vidéo vue par près de 150 000 personnes, son appel à manifester le 19 octobre devant le Bataclan. Le général Piquemal a lancé, lors de cette journée, un mémorable appel aux Français. Et Renaud Camus, toujours lui, a prononcé ce jour un formidable discours.

     

    Du côté politique, même si Laurent Wauquiez et Marine Le Pen se sont émus de la grossière provocation de Médine, il faut admettre qu’une fois encore, seul le Siel, présidé par le conseiller régional IDF Karim Ouchikh, est passé à l’action.

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  • Le Samedi Politique S02E03 L’impossible Islam de France ? avec Majid Oukacha

    Sarkozy, Hollande, Macron, tous ont eu à cœur de se pencher sur le sujet. Avec plus de 5 millions de musulmans – selon les chiffres officiels – en France, la tentation d’organiser l’Islam de France est devenue un serpent de mer de la vie politique. Au début du mois, Hakim El Karoui, ancien collègue du président Macron à la banque Rothschild et ancien conseiller de Jean-Pierre Raffarin a terminé un rapport sur l’islamisme pour l’Institut Montaigne.

    Au programme, taxe halal et arabe à l’école…

    Majid Oukacha, blogueur et essayiste (Il était une foi : l’Islam https://www.amazon.fr/était-une-foi-lislam-lhistoire/dp/1975751191), et ancien musulman nous livrera son analyse de la situation de l’Islam en France.
    https://www.tvlibertes.com/2018/09/22/25871/le-samedi-politique-avec-majid-oukacha

  • Julien Sanchez : « Un interdit religieux n’a pas à entrer à l’école »

    Le maire de Beaucaire Julien Sanchez a mis fin, en janvier 2018, aux repas de substitution qui étaient proposés dans les cantines scolaires de sa ville, les jours où du porc était servi. Pour cela, il doit faire face à la plainte déposée par trois associations, dont la LICRA, et par le préfet du Gard.

    Pour Boulevard Voltaire, Julien Sanchez revient sur cette affaire et dénonce un communautarisme grandissant qui porte atteinte à la laïcité.

    Vous passez mardi en procès pour trois plaintes sur le même sujet.
    Pouvez-vous nous expliquer de quoi il s’agit?

    À Beaucaire, commune de 16.000 habitants et 4e commune du Gard, depuis le mandat de mon prédécesseur en 2009, lorsque du porc était servi dans les cantines publiques des écoles, des repas de substitution étaient mis en place. J’ai mis un terme à ces repas de substitution depuis janvier 2018. La Licra, la ligue des droits de l’homme, le préfet du Gard au nom de l’État et une association locale d’opposants au Rassemblement national ont porté plainte.

    Vous reproche-t-on de faire acte de discrimination à l’égard d’enfants de confession ne leur permettant pas de manger du porc ?

    Non. On me reproche d’aller contre l’intérêt supérieur de l’enfant. Apparemment, certains aliments contreviendraient à l’intérêt supérieur de l’enfant. Le porc doit avoir des particularités que j’ignore.
    Car, pour moi, le porc n’est pas particulièrement allergène. Je ne regarde que cela lorsque je sers à manger aux enfants. La religion n’a pas à entrer dans une enceinte scolaire. C’est l’interdit religieux qui voudrait me dicter de faire un repas de substitution. Chez moi, ce n’est pas un interdit religieux qui dicte au maire ce qu’il a à faire. La République est supérieure à toute volonté personnelle comme l’engagement religieux.

    C’est une application stricte et simple de la laïcité.

    Oui. Une application qui consiste à ne pas vouloir qu’un interdit religieux dans une enceinte scolaire. S’il y avait des particularités allergènes, médicales ou autres, je voudrais bien l’entendre. Le porc n’est pas allergène. C’est une viande produite en France. Notre agriculture va suffisamment mal à cause de l’Union européenne. Il faut justement soutenir notre agriculture française. Il n’y a pas de raison de mettre un repas de substitution les jours où le porc est servi et uniquement ces jours-là. Je pourrais entendre que certains veuillent imposer un double choix tous les jours, certaines villes le font. Mais à Beaucaire, on offrait uniquement un 2e choix les jours où le porc était servi. Il n’y a aucune justification à cela.
    C’était contraire à l’intérêt supérieur de l’enfant puisque les enfants étaient sur des tables séparées selon ce qu’ils mangeaient. Les petits qui mangeaient du porc étaient à certaines tables et ceux qui n’en mangeaient pas étaient à d’autres tables. Ça fait penser à l’Apartheid.

    On peut comprendre que des associations portent plainte contre vous, mais comment expliquez-vous la plainte de la préfecture dans la mesure où l’intérêt supérieur de l’enfant est supérieur aux lois de ce pays ?

    J’étais très étonné de la plainte du préfet du Gard. Le mémoire du préfet est assez étonnant puisqu’il contrevient à mon sens à plusieurs principes.
    D’abord, à la libre administration des collectivités territoriales. Comme si le maire n’avait pas le droit d’annuler les repas de substitution. Un maire a le droit de modifier son plan local d’urbanisme, de supprimer des choses, de créer des impôts, de faire tout un tas de choses, mais il n’aurait pas le droit de supprimer des repas de substitution. Il doit y avoir une règle non écrite, parce que je n’étais pas au courant au moment de mon élection. Au moment de mon élection, on ne m’a pas dit que j’avais droit de tout faire sauf de supprimer les repas de substitution. C’est tout simplement une atteinte à la libre administration des collectivités territoriales.
    Ensuite, le préfet me dit que si à Beaucaire aucun repas de substitution n’avait été mis en place, nous aurions pu ne pas en avoir. Dans ce cas, ce n’est pas grave. En revanche, comme ces repas ont déjà été mis en place par mon prédécesseur, on me dit que je dois les maintenir.
    Donc quand un maire a privilégié le communautarisme lors de son mandat, on est ensuite condamné à maintenir le communautarisme dans les cantines. Le préfet nous dit que dans certaines villes, il peut y avoir des repas de substitution et dans d’autres, ne pas y en avoir.
    Le tribunal administratif va se poser la question de savoir pourquoi certaines villes auraient le droit et d’autres non. Je crois qu’il y a une atteinte au principe d’égalité des collectivités.
    Nous plaiderons cela et également le fait qu’un interdit religieux n’a pas à entrer dans une enceinte scolaire alors que le communautarisme prend de plus en plus d’ampleur en France.

    Julien Sanchez

    http://www.bvoltaire.fr/julien-sanchez-un-interdit-religieux-na-pas-a-entrer-a-lecole/

  • Marine Le Pen convoquée pour une expertise psychiatrique : URSS, le retour

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    Jusqu’où ira le régime dans sa persécution du premier parti d’opposition ?

    Non, chers auditeurs, les faits ne se déroulent pas dans l’URSS du temps du regretté maréchal Brejnev qui internait ses opposants dans des hôpitaux psychiatriques, mais dans la France contemporaine, sous la présidence éclairée d’Emmanuel Macron. Rappelons la genèse de l’histoire. En décembre 2015, le journaliste Jean-Jacques Bourdin, recevant Gilles Kepel au micro de BFMTV, s’est payé l’incroyable culot de faire le parallèle entre le FN et… Daech ! Dénonçant, je cite un « dérapage inacceptable » et des « propos immondes », Marine Le Pen avait alors posté sur son compte Twitter trois photos d’exaction de l’Etat islamique, avec ce commentaire laconique : « M. Bourdin, Daech, c’est ça ! ». Le jour-même, Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur de l’époque, procédait à un signalement de ces photos auprès de la direction de la police judiciaire, et, séance tenante, le Parquet aux ordres lançait une enquête pour, je cite, « diffusion d’images violentes ». Un délit passible d’une amende de 75.000 euros et de 5 ans d’emprisonnement. « Je suis mise en examen pour avoir dénoncé l’horreur de Daech. Dans d’autres pays ça me vaudrait une médaille » avait alors ironisé la patronne du FN, ajoutant, je cite toujours : « La persécution politique n’a même plus la limite de la décence ». De son côté, Gilbert Collard, également mis en examen pour le même motif, avait enchéri, je cite : « Bourdin compare le FN à Daech : le poids des mots, le choc des bobos ! »

    Mais les limites de la décence viennent d’être pulvérisées…

    Dans le cadre de cette affaire, Marine Le Pen vient en effet d’être convoquée pour une… expertise psychiatrique ! « Bien entendu, je n’irai pas », a prévenu hier la patronne du Rassemblement National, ajoutant, je cite toujours : « J’attends de voir comment les magistrats comptent m’y contraindre », fin de citation. Rappelons que dans le cadre de l’affaire des assistants parlementaires du FN, les juges financiers français Renaud van Ruymbeck et Claire Thépaut – cette dernière, membre du très rouge Syndicat de la magistrature – ont obtenu la saisie de 2 millions d’euros d’aide publique due au Rassemblement national, alors même que l’affaire n’est pas encore jugée et que le parti de Marine Le Pen est donc présumé innocent. Oui, en vérité, toute ressemblance avec la défunte Russie brejnévienne ne serait que pure coïncidence…

    https://www.radiocourtoisie.fr/2018/09/21/bulletin-de-reinformation-du-21-septembre-2018/

  • Les détenus musulmans représenteraient un détenu sur quatre

    Chiffre du ministre de la Justice Nicole Belloubet

    Dans une lettre datée du 11 septembre 2018, que Valeurs actuelles a pu consulter, la ministre de la Justice Nicole Belloubet avance pour la première fois un chiffre précis. Répondant à un courrier du député européen du Rassemblement national Nicolas Bay, elle donne le nombre de détenus qui se sont inscrits « à un dispositif de restauration adapté » pendant le mois du ramadan.

    En l’absence de statistiques religieuses — interdites —, ce chiffre, jusqu’à présent très officieux, est le seul qui permette de se faire une idée de la place de l’islam dans les prisons françaises. En 2017, 17 899 personnes ont fait cette démarche, « soit 25,81 % de la population écrouée hébergée à cette période », précise la garde des Sceaux. Un détenu sur quatre serait donc musulman. Ce chiffre, « un indicateur sans doute très minoré », selon Bay, est faible en comparaison de ceux avancés dans le rapport parlementaire publié en 2014 par Guillaume Larrivé. Le député LR estimait alors « qu’environ 60 % de la population carcérale en France, c’est-à-dire 40 000 détenus, (pouvaient) être considérés comme de culture ou de religion musulmane ». Selon le directeur d’une prison d’Île-de-France, c’est « un peu moins de la moitié » des détenus qui demandent chaque année l’aménagement des repas pendant le ramadan. Sans compter, ajoute-t-il, ceux qui dissimulent leur religion « pour ne pas attirer l’attention du renseignement pénitentiaire ».

    Il n’en reste pas moins que les détenus professant l’islam sont surreprésentés dans nos prisons. En 2016, la part des musulmans représentait 8,8 % de la population française selon le très sérieux Pew Research Center, soit trois fois moins que dans la population carcérale. En février dernier, la Place Vendôme avait déjà révélé le nombre de détenus étrangers incarcérés dans nos centres : 15 000, soit 22 % de l’ensemble des prisonniers. Nicolas Bay de conclure : « Le lien entre immigration massive et insécurité est incontestable.

    https://www.lesalonbeige.fr/les-detenus-musulmans-representeraient-un-detenu-sur-quatre/

  • Des militaires français contre Daech près de la frontière syro-irakienne ?

    Des militaires français contre Daech près de la frontière syro-irakienne ?

    Analyse d’Antoine de Lacoste sur Boulevard Voltaire :

    Sous contrôle américain, les FDS (Forces Démocratiques syriennes), viennent de relancer l’offensive contre les débris de Daech. La poche la plus importante demeurant en Syrie est composée d’environ 3000 combattants. Ils sont retranchés dans le sud-est du pays, près de la frontière irakienne. De nombreux responsables de l’Etat islamique seraient parmi eux, et peut-être leur chef, Abou Bakr al-Bagdhadi, introuvable depuis de longs mois.

    Les FDS, armés et financés par les Américains, sont essentiellement composés de Kurdes. Il y a également quelques syriens arabes, afin d’entretenir la fiction d’une opposition modérée à Bachar el-Assad. Le prétexte à la constitution de cette force était la lutte contre Daech. C’est ce qui a permis aux FDS d’occuper près du tiers de la Syrie au nord et à l’est, au-delà de l’Euphrate. Opportunément, cette zone est celle des puits de pétrole syriens qui sont ainsi occupés par les Kurdes. Le but pour les Américains n’est pas de mettre la main sur ce pétrole (ils en ont bien assez), mais d’empêcher le gouvernement syrien de les exploiter et en tirer des revenus substantiels.

    Les Syriens en savent quelque chose car lorsqu’ils ont franchi l’Euphrate, il y a quelques mois, un bombardement les a immédiatement arrêtés, faisant plusieurs dizaines de morts parmi les soldats et miliciens syriens. Il semble même que plusieurs mercenaires russes aient été tués dans l’affaire.

    Mais depuis plusieurs mois, l’activité anti Daech des FDS était proche de zéro, alors que leurs repaires étaient parfaitement repérés. Empêcher les Syriens de faire le ménage pour ne pas le faire soi-même, cela ne pouvait plus durer.

    Une importante opération vient donc d’être lancée. De nombreux blindés et véhicules militaires ont ainsi été stationnés près de la localité d’al-Soussa, une des trois petites villes encore aux mains de Daech (les deux autres sont Hajine et al-Chaafa).

    Les premiers combats ne se sont pas très bien passés : plusieurs dizaines de FDS sont tombés dans une embuscade et ont perdu une vingtaine d’hommes. Depuis trois jours, on estime que 50 djihadistes et 40 FDS auraient été tués. L’affaire promet d’être difficile.

    Les FDS sont naturellement conseillés par des militaires américains, mais il semblerait que des Français soient également sur place. Une photo prise par un Américain montrant des soldats manoeuvrant un mortier laisse apparaître, en arrière-plan, un véhicule blindé. Selon un journaliste de France 24, Wassim Nasr, il serait de type Aravis et utilisé par deux seules armées au monde : les Français et les Saoudiens ; si ces derniers combattaient Daech cela se saurait et il est donc évident que ce sont bien des militaires français qui sont présents. La photo daterait du mois d’août, lors de la préparation de l’offensive.

    Ce n’est d’ailleurs pas une surprise : des membres des forces spéciales françaises sont présents depuis longtemps en Syrie. Cela n’a jamais été officiellement confirmé mais les indices sont multiples et sont corroborés par les déclarations courageuses de la ministre Florence Parly qui affirmait : « Si ces djihadistes périssent dans les combats, je dirai que c’est mieux ».

    Et on n’est jamais si bien servi que par soi-même.

    https://www.lesalonbeige.fr/des-militaires-francais-contre-daech-pres-de-la-frontiere-syro-irakienne/

  • Le 26 septembre, à Hambourg, un clocher deviendra officiellement minaret…

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    C'est plus qu'un fait de société que Gabrielle Cluzel commente ici avec talent, humour et lucidité. C'est un fait de civilisation. Une civilisation qui se désagrège. [Boulevard Voltaire, 11.09].  

    Rappelons pour ceux qui l'ignoreraient que Gabrielle Cluzel participe - d'ailleurs toujours brillamment - à certains de nos colloques et conférences, dont quelques unes sont les siennes propres.   LFAR

    3153493209.jpgLe 26 septembre prochain, à Hambourg, une église deviendra officiellement mosquée : la mosquée Al-Nour.

    C’est ce que rapporte Die Welt, évoquant « cinq ans de travaux, et une entreprise qui a coûté plus de cinq millions d’euros, dont un million en provenance des États du Golfe ». Évidemment.

    Die Welt nous explique qu’extérieurement, le bâtiment, classé, n’a pas été modifié. À l’exception d’un « détail » : sur le clocher, devenu minaret, la croix a été remplacée par le mot « Allah », en lettres d’or. Naturellement.

    À l’intérieur, cela va sans dire, l’autel et l’orgue ont disparu. « Une niche de prière, le mihrab, a fait son apparition sur un mur latéral, orientée vers La Mecque », décrivait déjà Courrier international en 2015, dans un article intitulé : « Transformer une église en mosquée, l’exemple de Hambourg. »

    Le journaliste allemand évoque « une transformation étonnante ». Ou pas. Tout cela, au contraire, ne coule-t-il pas de source ?

    On sait ce qu’il en est de la pratique religieuse chrétienne en Allemagne, et de la transmission de la foi dans les pays d’Europe où le protestantisme – éthéré, désincarné, intellectualiste, relativiste, bref, tout le contraire de l’islam – a longtemps dominé : « Les catholiques y sont devenus protestants, et les protestants, athées », me disait un évêque allemand, en boutade, il y a quelques mois. Voire plus, si affinités ? C’est bien, en tout cas, une église luthérienne qui a cédé ses bâtiments. Faute d’effectifs, elle n’était plus utilisée.

    Mais, mes chéris, cela nous pend au nez, à nous autres pays latins qui nous croyons peut-être plus malins. Oui, même l’Italie, qui roule aujourd’hui virilement les biceps, mais n’a plus de bambini.

    Dans l’introduction de son dernier livre, Destin français, Éric Zemmour rapporte cette saillie d’un professeur d’histoire dans le film Le Déclin de l’empire américain, lors de son cours inaugural : « Il y a trois choses importantes, en Histoire. Premièrement, le nombre, deuxièmement, le nombre. Troisièmement, le nombre. »

    Nombre de catholiques pratiquants : en chute libre. Nombre de musulmans pratiquants : en hausse constante. Nombre d’églises de village : gigantesque. Mais elles sont, la plupart du temps, fermées ; un brave prêtre, dépassé, les dessert en même temps que cinquante autres clochers, y célébrant la messe quand il peut, c’est-à-dire, peu ou prou, toutes les années bissextiles. Nombre, enfin, d’indifférents : se voulant bienveillants, ils s’interrogent avec un pragmatisme ingénu et cynique. Pourquoi le malheur des uns ne ferait-il pas le bonheur des autres, et comment cette immense offre en déshérence ne finirait-elle pas par rencontrer cette forte demande en pleine croissance ? Ce n’est même pas idéologique, simplement arithmétique !

    Dans son dernier livre, Éric Zemmour cite aussi André Malraux : « Une civilisation, c’est tout ce qui s’agrège autour d’une religion. ». C’est donc aussi tout ce qui se désagrège en même temps qu’elle. Cela mérite que nous y réfléchissions, non ? Je ne sais si, dans l’au-delà, on conserve les amitiés d’ici-bas. Mais si Malraux, justement, croise encore son illustre comparse, il pourra le lui dire : Colombey-les-Deux-Mosquées n’est plus seulement un bon mot qui fait rire parce qu’il est vraiment gros.  

     Ecrivain, journaliste Son blog

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/09/16/societe-6084937.html

  • Le nouveau livre de l’essayiste anti-Islam Thilo Sarrazin fait fureur en Allemagne

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Thilo Sarrazin avait publié en 2010 « L’Allemagne disparaît », livre politique le plus vendu de la décennie en Allemagne.

    Ce livre, qui consistait en une critique de l’immigration musulmane, lui a coûté son poste au directoire de la Deutsche Bundesbank. Il vient de récidiver en publiant «Prise de contrôle hostile », œuvre qui décrit comment l’Islam entrave les progrès et menace la société allemande. La presse allemande s’est évidemment révélée très critique envers ce livre. Celui-ci va en effet totalement à l’encontre de la politique migratoire démentielle suivie par nos voisins d’Outre-Rhin ces dernières années.

    Il s’avère qu’après deux semaines, plus de 100.000 exemplaires en ont déjà été vendus et le livre trône au sommet des ventes des ouvrages de non fiction en Allemagne. Il semble donc que le peuple allemand commence à arriver à passer outre les castes politiques et médiatiques pour aller s’informer de lui-même.

    https://fr.novopress.info/211913/le-nouveau-livre-de-lessayiste-anti-islam-thilo-sarrazin-fait-fureur-en-allemagne/