Ca s'est passé, hier, 30 mai en Allemagne.
Toute ressemblance avec d'autres attaques récentes ne sont pas fortuites. Mais les autorités allemandes ne communiquent pas. La presse française ne relaye pas (voir Fdesouche ici). Pourquoi?
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Ca s'est passé, hier, 30 mai en Allemagne.
Toute ressemblance avec d'autres attaques récentes ne sont pas fortuites. Mais les autorités allemandes ne communiquent pas. La presse française ne relaye pas (voir Fdesouche ici). Pourquoi?
Le 24 mai, la Nieuw-Vlaamse Alliantie (NVA, droite indépendantiste flamande), les libéraux flamands de l’Open Vld et les élus du Mouvement réformateur (MR, centre droit) du premier ministre Charles Michel ont mêlé leurs voix à celles du Vlaams Belang afin de prendre en considération une proposition de résolution du Vlaams Belang. Son objectif ? Réserver aux Belges n’étant pas titulaires d’une autre nationalité l’accès à certaines fonctions administra- tives... et politiques.
Chef de file du Vlaams Belang (Intérêt flamand) à la Chambre des représentants (Chambre des députés) et conseiller communal d’Anvers, Filip Dewinter est interrogé sur ce sujet dans Minute :
Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France :
Quoi que l'on puisse penser de Tommy Robinson, son incarcération est le symbole de l'implacable répression de l'oligarchie cosmopolite contre les patriotes européens qui refusent de se taire face à la colonisation migratoire et la criminalité qui en découle. Bravo aux nationalistes bordelais pour ce rassemblement unitaire !
La justice belge a qualifié d’attaque terroriste le triple homicide qui a eu lieu ce mardi dans le centre de Liège.
Plusieurs témoins ont filmé la scène et enregistré le terroriste crier Allah Akbar alors qu’il venait de tuer deux policières et un jeune homme de 22 ans.
Après voir brièvement pris en otage une employée d’un centre scolaire, l’assaillant a été abattu par la police.
Quatre policiers ont été blessés.
Selon les médias belges, le meurtrier était Benjamin Herman, un délinquant multirécidiviste qui était incarcéré depuis 2003 et bénéficiait d’une permission.
Une source proche de l’enquête citée par l’AFP révèle que le terroriste était fiché comme radicalisé par la police belge.
https://fr.novopress.info/210968/attentat-islamiste-de-liege-le-terroriste-etait-fiche/
Le procureur François Molins ne cachait pas hier ses craintes en expliquant que 40 islamistes en lien avec des activités terroristes sortiraient des prisons françaises d’ici 2019. Les autres pays européens ont aussi du souci à se faire. Délinquant multirécidiviste, multi-condamné pour vols, agressions violentes, trafic de drogues , Benjamin Herman , incarcéré depuis 15 ans, a abattu hier à Liège (Belgique) lors d’une permission de sortie, aux cris de Allah Akbar, deux policières en les désarmant facilement (les patrouilles entièrement féminines ne sont-elles pas des cibles faciles?) et un passant. Il avait massacré la veille avec un marteau un toxicomane, un de ses compagnons de détention à son domicile.
Herman est un cas typique d‘hybride, c’est-à-dire de délinquant radicalisé, profil que l’on retrouve derrière la quasi totalité des auteurs d’attentats commis en France et en Europe. Hybridation qui ne manque pas d’inquiéter pour notre futur proche si l’on considère le nombre d’individus qui dans les quartiers pluriels seraient susceptibles de basculer à leur tour. D’autant que la violence n’a pas besoin d’être repeinte aux couleurs du djihadisme par des incultes bas de plafond pour être une réalité bien présente et en progression.
Elle est consubstantielle aux rivalités entre gangs pour le contrôle des trafics depuis des cités, les quartiers qui, malgré les milliards engloutis grâce aux impôts des Français, se transforment sous l’effet de la poursuite de l’immigration en favelas brésiliennes, les prédicateurs barbus en plus… Un chiffre suffit à le comprendre: alors que l’INSEE douchait hier les espoirs des macronistes en pointant une croissance en berne retombée à 0,2 % au premier trimestre, loin de ce qui était espéré par le gouvernement, l’INSEE publiait également aujourd’hui son estimation du chiffre d’affaire du trafic de drogue en France. Celui-ci a été intégré pour la première fois depuis ce mois de mai dans le calcul du PIB français, à l’image ce qui se fait dans les autre spays de l’UE. Un estimation réalisée à partir des données collectées sur la foi d’enquête auprès des ménages, et qui sont fournies par la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca). Cette activité rapporterait ainsi aux trafiquants près de 2,7 milliards d’euros par an ( 0,1 point de produit intérieur brut, PIB), trafics de stupéfiants qui servent aussi à financer de longue date les réseaux terroristes.
Faut-il le redire, tous les immigrés bien évidemment, y compris les clandestins, ne sont pas animés par la haine des Européens, ni attirés forcément par des activités délictueuses. Ils sont même invités par certains de leurs dirigeants à retourner chez eux. La rumeur qui circule actuellement sur les réseaux sociaux affirme même que le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a téléphoné à son compatriote Mamoudou Gassama, ce clandestin qui a bravement sauvé la vie d’un enfant samedi à Paris, non seulement pour le féliciter mais pour lui demander de rentrer au pays où il serait intégré dans l’armée malienne.
Ce qui est en tout cas certain c’est que le millier d’immigrés clandestins Somaliens, Érythréens, Soudanais, évacués ce matin par les forces de l’ordre de leur campement sauvage du bassin de la Villette (XIXe arrondissement de Paris), en attendant le départ des centaines d’ Afghans occupant dans la capitale le canal Saint-Martin et la porte de la Chapelle, ne seront pas expulsés du territoire national. Le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb l’a confirmé aux Français en expliquant dans un communiqué que les migrants délogés seront hébergés « dans une vingtaine de sites de Paris et de la région parisienne. » Hébergement « temporaire » dans des gymnases, en attendant la dispersion-ventilation des immigrés hors-la-loi dans des centres d’accueil et des hôtels de province pour ne pas gêner les bobos qui votent Macron… avant des régularisations massives? Rappelons une donnée factuelle, le chiffre scandaleusement et dérisoirement bas des expulsions effectives (26 000 en 2017 selon les chiffres du ministère de l’Intérieur) , lesquelles ne concernent d’ailleurs très majoritairement les migrants en provenance d’autres pays européens comme le Kosovo, l’Albanie, la Roumanie… expulsés qui ont tôt fait de revenir chez nous dans cette Europe dans frontières.
Hébergement des clandestins qui se fait bien évidemment au détriment de la communauté nationale affirme Bruno Gollnisch, de cette France des oubliés qui souffre en silence et bascule dans une paupérisation teintée de résignation: 85% des Français les plus pauvres, c'est-à-dire dont les revenus sont inférieurs à 60% du salaire median, ne vivent pas dans les grands centres urbains ni dans les banlieues immigrées, mais dans la France périphérique, celle des villages, des bourgs, des petites villes.
Toutes choses qui ne tracassent pas outre mesure George Soros qui, fort du soutien officiel du commissaire européen Pierre Moscovici après qu’il ait été invité par le gouvernement de Viktor Orban à ne pas poursuivre, via son Open Society Foudation, ses activités délétères en Hongrie, distribue les bons points à Emmanuel Macron sur son blogue.
M. Soros a mis en ligne hier les remarques formulées par lui devant l’officine mondialiste European Council on Foreign Relations (ECFR). Il explique son souhait d’une remise en cause du Brexit via une nouvelle élection, son approbation de la feuille de route européiste et des fumeuses « consultations citoyennes » annoncées par le président français pour tenter de (re)légitimer l’Europe bruxelloise. Il s’inquiète dans les mêmes termes que l’ancien cadre de la banque Rothschild de la percée politique des opposants à l’immigration en Allemagne et de l’arrivée au pouvoir en Italie de la Ligue et du M5S. Le milliardaire américano-hongrois en profite pour réactiver la formule (ça ne mange pas de pain) d’un « plan Marshall » pour aider Afrique assorti de la libre circulation totale et sans frein de tous les «migrants » au sein d’une Europe sans frontières intérieures, rendant obsolète les répartitions obligatoires de clandestins dans chaque pays de l’UE par quotas…
Emmanuel Macron et Angela Merkel doivent continuer à marcher « dans les pas de Jean Monnet » et multiplier « les initiatives pro-européennes. » « Moi et mon réseau (Open Society) ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour aider soutenir ces initiatives » conclut-il. Autant de propos qui doivent être pris au sérieux car ils sont le fruit d’une idéologie délirante largement partagée au sein des hybrides euro-mondialistes des instances bruxelloises et par leurs affidés.
https://gollnisch.com/2018/05/30/nouveaux-et-anciens-hybrides/
Lu dans Valeurs Actuelles :
"La condamnation à 13 mois de prison du militant nationaliste britannique et journaliste indépendant, Tommy Robinson, arrêté alors qu’il filmait en direct sur Internet devant le tribunal de Leeds, où se tenait un procès supposé de prédateurs sexuels indo-pakistanais, suscite une avalanche de critiques.
Le cofondateur et ancien porte-parole de l’English Defence League (EDL), un mouvement identitaire qui s’oppose à l’immigration massive et à l’islamisation du Royaume-Uni, a été arrêté ce vendredi 25 mai pour « atteinte à l'ordre public » à l'entrée du bâtiment pendant qu’il interpellait plusieurs hommes quittant le tribunal, qui lui ont répondu par des injures.
« C'est ridicule ! Je n'ai pas dit un mot, je n'ai rien fait ! » Sur une vidéo virale, diffusée sur Facebook et visionnée plus de trois millions de fois, on peut voir Tommy Robinson demander les raisons de son arrestation, réclamer plusieurs fois la présence d’un avocat et déclarer aux policiers : « C’est la liberté d’expression, voilà où on en est ! »
Le même jour, le militant de 35 ans, déjà condamné avec sursis pour « outrage au tribunal » en 2017, écopait de 13 mois de prison ferme et était envoyé directement en détention, a rapporté Fox News. Dans son jugement, le juge a même interdit aux médias britanniques de couvrir l’affaire pour éviter de compromettre le procès des pédophiles présumés.
Selon une source, contactée par la chaîne américaine, l’avocat de l’activiste s’inquiète que la sentence, compte tenu de la présence de membres de gangs musulmans en prison, ne soit une condamnation à mort : « L’avocat de Tommy a dit qu’il mourrait probablement en prison étant donné son profil et de précédentes menaces crédibles, et le juge a dit qu’il s’en moquait. »
Après avoir publié des articles sur l’affaire, les organes de presse anglais les ont brutalement censurés de leurs sites pour se soumettre à la décision orwellienne du juge, ajoutant à la colère de nombreux internautes. Ses soutiens ont diffusé le hashtag #FreeTommy sur Twitter et ont même manifesté samedi devant le 10 Downing Street, la résidence du Premier ministre Theresa May, restée silencieuse. [...]
De Nicolas Bauer suir l'ECLJ :
"Depuis janvier 2016, la discussion à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE) d’un rapport sur l'incompatibilité de la charia islamique avec les droits de l'homme se fait attendre. L'ECLJ a pu consulter sa version la plus récente, datée du 19 avril 2018, qui montre avec lucidité l'échec et l’impossibilité de l'intégration de l'islam dans le système de protection des droits de l'homme. Des stratégies dilatoires sont utilisées afin d'éviter le débat autour de ce rapport, qui déplaît à la fois aux pays musulmans et aux idéologues progressistes. Le député hollandais Pieter OMTZIGT (PPE/DC), initiateur de la proposition de résolution demandant la réalisation du rapport, expliquait déjà à l’ECLJ en février 2017 : « Les choses n'avancent pas très vite mais cela devrait être fait cette année ». L’examen de ce rapport sur la charia était à l'ordre du jour de la Commission des questions juridiques et des droits de l’homme de l'APCE le 25 avril 2018, mais a été annulé le matin même.
Cette procrastination semble liée aux pressions de la Turquie et de son affidé l’Azerbaïdjan sur le rapporteur Antonio GUTIERREZ (PSOE). Ces deux pays avaient contribué à écarter de la rédaction de ce rapport les députés connus pour être critiques sur l’islam, en particulier Pieter OMTZIGT, qui avait rassemblé 27 députés pour demander ce rapport et était donc pressenti pour être rapporteur. Contrairement à l’usage, un autre député a cependant été désigné, Meritxell MATEU (ADLE), qui a quitté l’APCE et a été remplacé par Antonio GUTIERREZ. Ce dernier n’avait pas signé la proposition de résolution demandant ce rapport sur la charia et a été élu rapporteur avec le soutien des députés de la Turquie et de l’Azerbaïdjan. En ajournant l’examen du rapport par la Commission des questions juridiques et des droits de l’homme, Antonio GUTIERREZ retarde le vote et l’adoption de la résolution qui pourrait en découler. Ce report de réunion en réunion vise-t-il à ce que le rapport sur la charia tombe aux oubliettes ? [...]
Le rapport sur la charia a le mérite de trancher avec le droit international actuel et d'adopter une conception objective de l'islam. Il reconnaît notamment que tous les musulmans doivent obéir à la charia (§ 8), en citant le Coran : « A chacun de vous Nous avons assigné une législation et un plan à suivre » (Coran, V, 48). Cette même charia, dont le contenu est lui aussi objectif, a déjà été déclarée dans l’arrêt Refah Partisi de la CEDH « [incompatible] avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention ». De même, le système multijuridique qui en découle, impliquant la discrimination des chrétiens et des juifs (dhimmis) et le mépris envers les « kouffars » (polythéistes, athées ou assimilés), « enfreindrait indéniablement le principe de non-discrimination des individus dans leur jouissance des libertés publiques ». Dans le même arrêt, les juges de Strasbourg ont rappelé que « chacun peut suivre dans sa sphère privée les exigences de sa religion ». Cependant, le rapport sur la charia montre bien qu'empêcher les musulmans d'appliquer et de défendre la charia publiquement revient à leur demander d'abandonner un pan essentiel de leur religion. L'islam est donc implicitement reconnu comme contraire à la Convention européenne et il est par conséquent demandé aux musulmans d'être moins musulmans.
Si, comme le montre le rapport sur la charia, des éléments consubstantiels à l'islam sont contraire à la Convention européenne, que doit-on faire avec les musulmans vivant en Europe en grand nombre ? Quelles conséquences les États membres doivent-ils tirer de ce constat d'incompatibilité en ce qui concerne notamment leur rapport avec l'islam ou les politiques d'immigration ? C'est bien pour éviter d'ouvrir ces débats que des manœuvres dilatoires retardent et tentent d'empêcher toute discussion autour du rapport sur la charia."
Depuis les années 80 et l’affaire du voile à Creil, la question de la « gestion » de l’islam en France a été une préoccupation constante des différents pouvoirs politiques qui se sont succédés. Au fur et à mesure de l’avancée de l’islamisation, la volonté de faire émerger des interlocuteurs de la communauté musulmane n’a cessé d’être à l’agenda. L’objectif : parvenir à avoir le contrôle de l’islam via des instances supposées être représentatives. Concrètement, ce fut bien souvent une illusion de domestication, au profit d’une soumission quant à elle bien réelle.
Dès 1999, Jean-Pierre Chevènement, alors ministre de l’Intérieur, organise une consultation rassemblant toutes les fédérations musulmanes, les grandes mosquées et certaines personnalités et leur soumit un texte qui ne pouvait « faire l’objet d’une négociation ». Pourtant, devant la bronca suscitée par quelques lignes souhaitant consacrer « le droit de toute personne à changer de religion ou de conviction », Chevènement décida finalement de retirer discrètement le passage polémique à la grande satisfaction des autorités musulmanes, l’UOIF (proche des islamistes des Frères musulmans) en tête.
En 2003, c’est au tour de Nicolas Sarkozy de vouloir remodeler l’organisation du culte musulman (avec la création d’une nouvelle structure, le CFCM – Conseil Français du Culte Musulman) au prétexte qu’il ne voulait pas d’un « islam en France », mais un « islam de France »… Mais cette volonté d’un islam francisé s’écroule très rapidement : dès la première élection des représentants du CFCM, les islamistes de l’UOIF arrivent en 2e position, devant la Grande Mosquée de Paris et son médiatique recteur Dalil Boubakeur. Par un tour de passe-passe permettant de surmonter ce résultat problématique, c’est néanmoins ce dernier qui obtient la présidence du CFCM.
Cette ambigüité va contribuer à créer un fossé qui ne va aller qu’en s’accroissant au fur et à mesure des années. L’UOIF marginalisée au sein du CFCM, Dalil Boubakeur décrédibilisé au sein de la communauté musulmane pour sa supposée trop grande proximité avec le pouvoir politique, l’essor du salafisme en dehors du CFCM et la « radicalisation » progressive d’une partie importante des musulmans de France ont contribué à créer une scission entre la base de cette communauté et des dirigeants souvent perçus comme illégitimes ou peu représentatifs.
Maladroitement, de nombreuses célébrités médiatiques et politiques essayeront de pallier à l’échec du CFCM par la promotion de personnalités, pensant naïvement qu’ils parviendraient à imposer par le haut des représentants à la communauté musulmane. Ce fut tout l’inverse : la mise en avant d’un individu comme l’imam Chalgoumi (dont le parcours est trouble : il fut fiché dans les années 90 pour avoir appelé au djihad dans ses prêches), présenté comme un « imam républicain », quasi-analphabète et ne cessant de dénoncer l’extrémisme islamique fut ressenti comme une forme de trahison, et eut pour conséquence d’accroître encore cette défiance.
Suite aux attentats de Charlie Hebdo, bien qu’officiellement ces attaques n’aient eu « rien à voir avec l’islam », le gouvernement socialiste se hâta de réformer l’organisation des musulmans de France avec la création d’une Fondation pour l’islam de France. L’objectif était de parvenir à une instance « plus représentative » mais « sans extrémistes ». Soit l’équation impossible à résoudre (d’ailleurs des dirigeants de l’UOIF y participèrent). Car soyons clair : pour qu’elle soit réellement emblématique, une représentation des courants ouvertement salafistes serait nécessaire. Or c’est impossible. Du coup, le serpent se mord la queue.
Plusieurs groupes salafistes l’ont bien noté. Certains réclament (avec un sens stratégique certain) la fin de l’islam consulaire où les imams sont envoyés par des pays étrangers (Algérie, Maroc et Turquie notamment). « Nous voulons des imams français et des représentants français ! » disent-ils sournoisement. L’objectif est en réalité simplement de prendre le contrôle des mosquées pour en finir avec l’islam « bledard » pas suffisamment salafiste à leurs yeux.
Pour chaque gouvernement, (et la question se pose actuellement pour le gouvernement de Macron) l’organisation communautaire des musulmans de France est un véritable casse-tête, encore plus aujourd’hui à l’heure du djihad et des attentats islamistes incessants. Auparavant, le pouvoir politique pouvait choisir les représentants de la communauté musulmane, ces derniers montraient patte blanche en chantant les louanges de la République sur les plateaux télé et recevaient en retour des facilités, notamment pour construire des mosquées. Ce n’est plus -autant- possible aujourd’hui. Une méfiance s’est largement répandue au sein de la population française envers ces représentants communautaires au discours qui sonne faux. De l’autre côté, une large part de la communauté musulmane perçoit une partie de ces porte-parole comme des traîtres. L’équation est impossible à résoudre : faut-il intégrer les courants islamistes les plus durs dans des organes officiels et avoir une vraie représentativité des musulmans – mais en leur reconnaissant une légitimité – ou bien les ignorer et n’avoir de fait que des coquilles vides et accentuer le divorce ?
Sur ce sujet comme sur d’autres, le réel poussera à renverser complètement le paradigme. En effet, dans les termes actuels, résoudre cette problématique de la représentativité des musulmans est impossible. Parce que la solution n’est pas là. La solution n’est pas « islam de France » ou « islam en France » mais islam hors de France ! Plus que jamais, seule la remigration, c’est-à-dire le retour dans leur pays d’origine d’une majorité de musulmans permettra de résoudre toutes ces crises paraissant aujourd’hui insolubles.
Sébastien Froment
Texte repris du site de : Les Identitaires
Deux Afghans ont été interpellés mercredi à Dijon soupçonnés d'avoir agressé dans un train une femme de 33 ans dont ils jugeaient la tenue trop décolletée en période de ramadan.
Les deux hommes sont des demandeurs d'asile. Ils auraient insulté la jeune femme, une Dijonnaise d'origine égyptienne, et l'auraient poussée pour qu'elle décroise ses jambes. Les deux auteurs présumés auraient également voulu faire descendre la victime du train.
Si l'on suit la jurisprudence Mamoudou, on régularise les sauveurs d’enfants et on expulse les délinquants et les criminels étrangers ?
Confrontation n°4 - Été 2018 80 pages, 12 €
Au sommaire :
Page 3 : URGENCES !
L’éditorial de Jean-François Touzé
Page 5 : Pauvres petits mineurs étrangers isolés
Julien Aubin
Page 9 : La subversion islamo-gauchiste
Jean-Yves Léandri
Page 20 : L’emprise de l’Islam depuis 1973
Alain Wagner
Page 23 : Tariq Ramadan, Dr Jekhill ou Mr Hyde ?
José Castano
Page 27 : Entretien avec le Carl Lang, Président du PdF
Page 34 : Les nouveaux amis de Jupiter.
Jean-Gilles Malliarakis
Page 39 : Macron face à l’immigration
Robert Martin
Page 54 : Frappe en Syrie, grand spectacle...
Roland Lombardi
Page 58 : Retrait des Etats-Unis de l’Accord de Vienne
J-F Touzé
Page 62 : Un peuple oublieux est un peuple qui meurt
J. Guillemain
Page 67 : La chronique de Bernard Atlan
Page 70 : Au fil des pages…
Jean-Yves Léandri et Agnès Claude
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