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islamisme - Page 222

  • « Oui, l’islamisation est à l’œuvre en Seine-Saint-Denis. »

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    Deux journalistes du journal politiquement correct Inch’allah : l’islamisation à visage découvert ont dirigé une enquête sur la progression en Seine-Saint-Denis de l’islam et de sa loi coranique.

    Intitulé Inch’allah : l’islamisation à visage découvert, leur livre dévoile l’islamisation de la société dans cette portion du territoire français tombée aux mains de l’immigration musulmane :

    « Dans ce département où, selon les estimations officieuses, une bonne moitié de la population est musulmane, une contre-société s’installe, avec ses codes et ses valeurs propres, en rupture avec la République. »

    Le hallal gagne tout le terrain :

    « Quand on se lève le matin, on va faire son petit chemin pour conduire ses enfants à l’école, qu’est-ce qu’on voit ? On passe devant le kebab du coin qui est fermé parce qu’on sait que le responsable s’est fait arrêter, ensuite la première boucherie halal, la deuxième boucherie halal, la troisième boucherie halal, ensuite la libraire religieuse et le muslim style qui vend des niqabs… Qu’est-ce que ça fabrique ? Des normes. Des quartiers complets sont sous la coupe du halal. »

    raconte le préfet à l’Egalité des chances du 93, Fadela Benrabia,

    Ces deux journalistes osent faire le constat incorrect suivant :

    « Oui, l’islamisation est à l’œuvre en Seine-Saint-Denis. »

    Mais le Front National et les mouvements identitaires, les nationalistes, ne tirent-ils pas la sonnette d’alarme sur cette islamisation de la France, fruit d’une immigration incontrôlée, depuis des décennies malgré les quolibets, les moqueries, les insultes, lesreductio ad hitlerum dont ils sont abreuvés par cette même caste de journalistes du système ? Cette réalité, ils n’ont pas eu besoin des médias mainstream pour la regarder en face et pour proposer des solutions concrètes afin de la combattre sérieusement et efficacement.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/oui-lislamisation-est-a-loeuvre-en-seine-saint-denis/99436/

     

  • Quand le libéralisme fait le lit de l'islam

    Numériser.jpeg200 pages pour expliquer que les musulmans en France sont sous la coupe des islamistes. Trois pages de conclusion : il faut un concordat avec l’islam pour organiser la « communauté musulmane ». Voilà le dernier rapport de l’Institut Montaigne, avec ses incohérences.

    Bienvenue dans La Fabrique de l'islamisme. L'Institut Montaigne, think tank Libéral aujourd'hui dominant, vient de présenter un rapport, qui, au moins brièvement, a fait grand bruit. Il a tout du pavé dans la mare. Voilà un document de 600 pages qui explique que l'islamisme est aujourd'hui en situation de monopole intellectuel parmi les musulmans, aussi bien sur les réseaux sociaux que dans les librairies. Mieux il démontre que la quasi-totalité des réponses en ligne aux questions religieuses est fournie par des interlocuteurs proches des salafistes.

    Ce n'est pourtant pas un brûlot islamophobe sorti d'une officine complotiste frayant avec le RN ou Éric Zemmour. L'institut Montaigne a hébergé En Marche à ses débuts et Hakim El Karoui, auteur du rapport en question, est un proche du Président. Il faut dire qu'il a tout pour plaire : normalien franco-tunisien, passé de la droite à la gauche, via la banque Rothschild, il se fait ensuite entendre sur la Méditerranée, la diversité et l'islam. Poisson-pilote de Macron, il s'est déjà fait connaître par deux rapports qui servent de fil d'Ariane à la politique présidentielle en la matière : Un islam français est possible (2016), dont nous avons entretenu les lecteurs de Monde&Vie, et Nouveau monde arabe, nouvelle « politique arabe » pour la France (2017).

    Les évidences incorrectes que tous les « mal-pensants » énoncent depuis des années semblent donc rentrer, avec le brillant Hakim El Karoui, dans le « cercle de la raison ». On peut à la fois s'en réjouir et le déplorer. S'en réjouir parce que cela devrait placer au cœur du débat politique une question vitale pour l'avenir du pays et que ce rapport expose quelques constats pertinents. Le déplorer parce que El Karoui s'arrête hélas au milieu du gué.

    La pieuvre islamiste

    Il faut le reconnaître, l'ami du Président décrit justement le processus d'islamisation « Un mouvement focalisé sur la prédication (Tabligh) dans les années 1980, un mouvement consacré à la mobilisation identitaire (frérisme) entre 1989 et 2005, un mouvement obnubilé par la pratique religieuse (le salafisme) depuis cette date. [...] Les territoires travaillés par ces idéologies sont ceux qui ont été le plus frappés par le phénomène djihadiste. » El Karoui reconnaît les passerelles qui existent entre les mouvements « quiétistes » (ou paisibles) comme le Tabligh ou comme une partie du salafïsme, et le mouvement islamique identitaire que constituent les Frères musulmans : le terrorisme est donc abordé de front et l'on ne cache pas la montée de la radicalisation en Occident.

    Le soutien d'États musulmans dans cette diffusion de l'islamisme figure également dans le rapport. Le prosélytisme de l'Arabie Saoudite, direct ou via une kyrielle d'organisations internationales, est bien détaillé. Ryad aurait, dans son effort de propagation du wahhabisme, depuis 1960 « peut-être dépensé plus de 85 milliards de dollars, et a permis la construction de 1359 mosquées et de plus de 2 000 écoles ».

    La Turquie a elle aussi la place qu'elle mérite : la volonté de scinder la population immigrée en Europe sur des bases religieuses, comme tous les islamistes, et nationales pour relayer le salafïsme d'État turc, est bien décrite.

    Hakim El Karoui trace plus rapidement le rôle du Qatar, pourtant vecteur mondial du frérisme. Tout juste explique-t-il comment, « les Frères [musulmans, nldr] bénéficient de liens privilégiés avec le pouvoir, qui les soutient sur la scène internationale ». Il mentionne « la création d'al-Jazeera en 1996 [qui] assure aux Frères un relais planétaire ».

    De fait, les Frères musulmans français, UOIF en tête, ont un poids considérable sur le terrain, dans le débat public (défense du voile, du halal, de Tariq Ramadan...), et même au sein du CFCM (Conseil français du Culte Musulman), instance officielle de l'islam en France.

    Pourtant, d'un autre côté, nous déplorons que l'Institut Montaigne se soit emparé du sujet. Pour passer par le chas de l'aiguille politiquement correcte, le chameau des vérités s'est livré à bien des contorsions. Première contorsion sa définition de l'islamisme, « qui est, au-delà de la croyance religieuse et de la spiritualité personnelle, une interprétation du monde, une vision de l'organisation de la société, y compris le monde profane, et un rôle donné à la religion dans l'exercice du pouvoir. » Relisez bien.

    On ne répond pas à l’islamisme par l'islam

    C'est la définition même de l'islam qu'El Karoui nous livre, donnant ainsi raison à Ferhat Mehenni, expliquant « L'islam c'est l'islamisme au repos et l'islamisme, c'est l'islam en mouvement. » Certes, on aurait pu rajouter « radical » à « islamisme » pour mieux distinguer la masse des musulmans paisibles, la frange de ceux qui veulent s'intégrer et puis les activistes, au plan social (les Frères musulmans) ou politique (les djihadistes).

    Mais cela n'aurait rien changé au vice de fond. El Karoui occulte un fait simple ce ne sont jamais les masses qui font l'histoire, mais les minorités agissantes. La progression de l'islamisme dans le monde en témoigne les masses musulmanes sont paisibles, mais se réislamisent, version frériste, wahhabite salafiste turque ou autre, à mesure de la pression mise sur elles. En même temps, cette distinction entre les gentilles masses et les méchants manipulateurs islamistes permet à l'auteur de légitimer la place de l'islam en France et de préconiser pour cet islam français, des « arrangements raisonnables ».

    Ce faisant, le rapport se condamne à apporter de fausses réponses à de vrais problèmes les islamistes poussent avec succès les musulmans à se communautariser autour de leur identité religieuse, à base de voile et de halal ? El Karoui explique que le halal, justement, est devenu économiquement viable. Sa réponse aux islamistes ? Non pas lutter contre ces facteurs d'islamisation, mais taxer le halal pour lever des fonds et organiser, avec ces fonds, le culte musulman « à la française ».

    Cette réponse, apparemment rationnelle, est en réalité une chimère. L'auteur explique lui-même d'ailleurs ce que sa solution a de chimérique l'islamisme, explique-t-il, est une idéologie globale, qui se développe en dehors de tout réfèrent intellectuel occidental... et de tous les cadres administratifs qu'on lui impose. Tous les comités Théodule montés dans cette optique, soit ils ont été retournés par une mouvance islamiste (c'est le cas du CFCM), soit ils sont restés des coquilles vides (Fondation de l'islam de France, version Chevènement). C'est bien cette chimère, l'islam de France, qu'El Karoui ambitionne de mettre en œuvre, car tout le document ne tend que vers ce but sous la houlette d'un président de la République acquis au communautarisme, El Karoui veut organiser la communauté musulmane. Trois rapports en trois ans autour du même thème, dont le dernier est suffisamment anxiogène pour appeler une réponse rapide. Voilà qui s'appelle une véritable campagne de légitimation.

    Mais en même temps, El Karoui semble parfois véritablement écartelé. C'est lui qui souligne la puissance de la propagande mondiale (TV, réseaux sociaux...) et locale (mosquées...). Il indique même d'où cette propagande tire sa force de persuasion « [Les discours islamistes] se présentent comme éminemment rationnels puisqu'ils s'appuient uniquement sur l'étude des textes, l'interprétation littérale du Coran et de la Sunna. » Par cette référence à l'interprétation du Coran, il montre lui-même que combattre l'islamisme parmi les musulmans tient de la gageure. En effet, ce discours rationnel des islamistes, s'il est vraiment fondé sur le Coran comme le dit El Karoui, un musulman ne peut pas s'y opposer.

    L'État au secours de l'islam

    Qu'à cela ne tienne, pour El Karoui. Par une sorte de concordat, c'est l'État qui dominera les contradictions de l'islam. Il financera mosquées et formation des imams « républicains ». Il suffira, assure l'auteur du Rapport, de couper le lien financier entre les pays musulmans et les croyants en France pour conjurer l'islamisme. Comme si Ryad, Alger, Islamabac Doha ou Ankara avaient encore besoin de ce lien physique qu'est l'argent, pour diffuser leur idéologie !

    Bien sûr, El Karoui en appelle aux bonnes volontés musulmanes pour proposer un discours alternatif à celui des islamistes... Mais il explique aussi pourquoi ils ne feront probablement rien. D'où la nécessité de faire le travail à leur place. En bon républicain, il n'oublie pas non plus d'appeler à « repenser la communication de l'État sur les valeurs républicaines », et à faire appel à l'Éducation nationale pour sortir les jeunes des griffes des islamistes.

    Enfin, toute l'ambiguïté du personnage rejaillit dans ses conclusions sur l'Arabie saoudite. Elle est l'une des principales sources du problème « L'Arabie Saoudite exporte officiellement le wahhabisme depuis le années 1960. » Mais elle est aussi la solution El Karoui en est « convaincu », « les réformes entreprises sous l'égide de Mohammed Bei Salmane ne sont pas uniquement politiques mais touchent également la sphère sociale »… et religieuse, ajoute-t-il plus loin. Aussi, les Saoudiens doivent nous aider à résoudre no maux liés au... wahhabisme « la coopération [...] devrait se pencher [...] sur un travail théologique dont l'objectif serait de trouver les bonnes réponses aux concepts émis par les Saoudiens qui posent tant de problèmes en France. »

    Qu'une révolution de palais mal maquillée qui a porté au pouvoir le tenant de la ligne la plus dure de la famille régnante, convainque le brillant normalien, cela suffit à discréditer l'ensemble de son propos.

    Par Richard Dalleau monde&vie 27 septembre 2018

  • Faites comme Diam’s ! N’hésitez plus !

    Faites comme Diam’s ! N’hésitez plus !

    D’Yves Daoudal :

    L’ancienne rappeuse Diam’s, qui avait défrayé la chronique par sa conversion tapageuse à l’islam voilé, s’est installée en Arabie saoudite, où elle est très heureuse.

    Exemple à suivre par toutes les musulmanes enfoulardées…

    S’il vous plaît. Dans ce pays-là personne ne vous fera de remarques désobligeantes, personne ne vous regardera de travers. Et vous pourrez même assez facilement devenir princesse… Faites comme Diam’s ! N’hésitez plus !

    https://www.lesalonbeige.fr/faites-comme-diams-nhesitez-plus/

  • La Hongrie diffuse une vidéo appelant à « secouer » l’UE : « Nous ne voulons pas devenir un pays d’immigration »

    VIDÉO – À la suite du vote de l’article 7 par le Parlement européen, Budapest veut se défendre contre «les attaques perpétrés contre le pays». Dans une courte vidéo, le pouvoir hongrois met à nouveau en garde Bruxelles.

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  • Lorient : même le maire socialiste s’inquiète de l’insécurité provoquée par les clandestins

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    Le sujet de l’immigration est un tel tabou en France, que le constat du maire de Lorient mérite d’être relevé. Car, si le lien entre invasion migratoire et insécurité galopante paraît une évidence, rares sont les élus qui osent transgresser volontairement la chape de plomb idéologique qui pèse sur la liberté de parole dans notre pays.
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  • Burqa : la France ne doit rien céder au diktat onusien !

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    « L’ONU veut imposer la Burqa en France »« L’ONU se prononce contre l’interdiction de la burqa »« L’ONU considère que cette loi porte atteinte à la liberté religieuse » : depuis quelques jours, l’ONU apparaît, pour un Français ordinaire, comme une organisation dépassant complètement son rôle initial. Cela n’est guère étonnant, tout d’abord parce que l’information fut très mal relayée par la presse « mainstream ».

    En effet, la décision onusienne n’obéit pas à une décision de l’Assemblée générale des Nations unies, et encore moins à une résolution du Conseil de sécurité, mais bel et bien à un de ses organes appartenant à une de ses agences spécialisées, en l’occurrence le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme. C’est seulement l’organe de surveillance de ce dernier, le fameux Comité des droits de l’homme de l’ONU, qui est à l’origine de la décision dite « Baby Loup » du 10 août 2018, concernant le licenciement, en 2008, d’une employée voilée. C’est toujours ce fameux organe qui devrait condamner prochainement la loi sur l’interdiction de la burqa, estimant qu’il s’agit d’une discrimination religieuse.

    Mais que signifie donc cette dernière ? Si l’on se réfère à la base juridique qui a servi à la condamnation de la France pour la décision Baby Loup, c’est précisément le pacte de 1966 relatif aux libertés civiles et politiques, et ratifié par 168 États, et qui mentionne à son article 18 la liberté religieuse. Après le volet juridique, il sera question d’analyser le volet politique. Tout d’abord, il faut souligner le poids, à l’ONU, de l’OCI : cette dernière, avec l’Arabie saoudite, le Pakistan, l’Égypte et la Turquie, s’est faite le fer de lance de la lutte contre « l’islamophobie » et la « diffamation des religions ». Il est à rappeler, au passage, que deux des quatre pays cités pénalisent le blasphème de la peine capitale (l’affaire Asia Bibi le rappelant tristement).

    C’est en s’appuyant sur ces concepts parfaitement flous que le Conseil des droits de l’homme condamna l’initiative populaire suisse sur les minarets, puis adopta, en 2011, en raison de la passivité de l’administration Obama et de l’Union européenne, la fameuse résolution 16/18 condamnant la diffamation des religions (en réalité l’islam). Les pays musulmans et l’OCI pratiquant depuis des années une stratégie d’entrisme au sein des institutions onusiennes, les récents verdicts deviennent moins surprenants.

    Il reste donc à la France de ne pas céder à ce diktat insupportable. Le vrai danger réside dans un revirement de jurisprudence de la Cour de cassation : celui-ci aboutirait à une solution totalement contradictoire avec celles qui avaient été prises ces dernières années. En effet, d’autres juridictions internationales avaient emboîté le pas de la France, la Cour de justice de l’Union européenne dans ses arrêts Achbita et Bougnaoui de 2017 (admettant qu’une règle interne prohibant le port de signes religieux peut être justifiée par un objectif légitime). Même la gardienne du politiquement correct (pas franchement réputée pour ses prises de position identitaires), la Cour européenne des droits de l’homme, n’a pas jugé contraire à l’article 9 de la Convention européenne des droits de l’homme la loi du 15 mars 2004 interdisant les signes religieux dans l’enseignement secondaire (Dogru c. France 2008 ; Aktas c. France 2009).

    Un revirement serait un signal désastreux par rapport au sacro-saint principe de laïcité, mais surtout sur le plan civilisationnel, où cela serait perçu comme une véritable capitulation. C’est pourquoi le pouvoir politique ne doit rien laisser passer ; sinon, ce qui constituait encore un morceau de notre fierté française s’évaporera. La prochaine étape serait un retour du voile à l’école puis dans les administrations, achevant encore plus notre identité, faisant basculer notre pays dans les bras du multiculturalisme avant peut-être l’islamisation, qui pourrait bien être irréversible et achever 1.500 ans d’Histoire.

    Pierre Louis

    http://www.bvoltaire.fr/burqa-la-france-ne-doit-rien-ceder-au-diktat-onusien/

  • Vue d’Arabie saoudite, l’islamisation de Londres avance bien : 423 nouvelles mosquées, des centaines de tribunaux islamiques…

    Londres islamisation tribunaux islamiques
     « La Grande-Bretagne a un visage de plus en plus islamique, avec des centaines de tribunaux islamiques officiels dans la capitale et de nombreuses mosquées dans beaucoup de villes », se réjouissait le 7 octobre la Saudi Gazette, journal anglophone publié à Djeddah, la deuxième ville d’Arabie saoudite. « Londres est plus islamique que bien des pays musulmans », affirme un imam cité par le journal saoudien. Une autre citation avancée par la Saudi Gazette nous vient du maire musulman de Londres : « Les terroristes ne supportent pas le multiculturalisme londonien. » On s’en serait douté, puisque les terroristes islamiques n’acceptent que l’islam radical du type du wahhabisme saoudien, mais cela, le journal ne le précise pas. En revanche, il avance des chiffres qui donnent une idée de l’islamisation rapide de la capitale britannique favorisée par la déchristianisation du Royaume-Uni.

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  • La Grèce détecte l’arrivée massive de jihadistes

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    Alors que l’arrivée de jihadistes mêlés au flot de migrants entrant dans l’Union européenne par la Grèce était jusqu’ici anecdotique, l’alerte vient d’être lancée face à une arrivée plus massive.

    Depuis la signature de l’accord russo-turc de Sotchi, plus d’un millier de combattants de Daech et d’Al-Qaïda ont été discrètement exfiltrés d’Idleb par le Millî İstihbarat Teşkilatı (services secrets turcs).

    La police grecque a détecté au moins 120 jihadistes parmi les nouveaux immigrants, notamment dans le camp de Moria, sur l’île de Lesbos.

    Ces individus ne figurent pas sur le fichier des 5 000 jihadistes dont disposent les autorités européennes. Ils ont été identifiés grâce aux dénonciations d’autres migrants qui en ont été victimes en Syrie et en Irak.

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-Grece-detecte-l-arrivee-massive-de-jihadistes-52487.html

  • Marks & Spencer vend des voiles islamiques pour fillettes et déchaîne la colère des Britanniques

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    Royaume-Uni – La chaîne de magasins Marks & Spencer suscite une vive polémique après avoir mis en vente sur sa page « Équipement de base pour l’école » des voiles islamiques pour fillettes. La direction de la firme tente de se défendre en déclarant que ses hijabs font partie d’un uniforme scolaire pour jeunes filles musulmanes et correspondent à une demande d’un  «certain nombre d’écoles ».‎

    Les réseaux sociaux s’emballent et de nombreux appels au boycott y ont été lancés.‎

    https://www.medias-presse.info/marks-spencer-vend-des-voiles-islamiques-pour-fillettes-et-dechaine-la-colere-des-britanniques/99286/

  • Interdiction du port de la burqa – Le Comité des droits de l’homme de l’ONU épingle la France, par Pierre Malpouge

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    Depuis 2010, une loi française interdit la dissimulation du visage dans l’espace public. Une loi qui vise les femmes d’origine musulmane (ou converties) portant de plein gré ou de force la burqa comme le niqab et autre voile intégral – vêtements si seyants qui, comme chacun sait, cachent le corps et le visage de ces dames imbibées d’islamisme radical.

    Une loi sur le port du voile intégral qui, comme l’a rappelé Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat, « est si peu appliquée ou si peu contraignante que l’homme le plus recherché de France [Redoine Faïd] se sent en sécurité quand il est couvert par un vêtement pourtant interdit par la loi » – et, comme nous l’écrivions dans Présent du 6 octobre, combien d’autres dangereux criminels, terroristes islamistes ou de droit commun –, lequel Bruno Retailleau et son club de réflexion Force républicaine ont récemment proposé de transformer cette infraction, simple contravention, en délit.

    Une loi si peu appliquée mais dérangeante malgré tout. Du moins selon le Comité des droits de l’homme (CDH) de l’ONU, comme le rapporte La Croix.

    A l’heure où plusieurs voix s’élèvent en France pour demander un durcissement de cette loi, des juristes experts internationaux du Comité des droits de l’homme de l’ONU, estimant que cette loi porte atteinte à la liberté religieuse et crée une discrimination, remettent en cause l’interdiction et épinglent la France. Lesquels juristes experts avaient déjà désavoué la Cour de cassation qui, en 2014, avait validé le licenciement d’une puéricultrice voilée par une crèche (Baby Loup) dont le règlement intérieur imposait un devoir de neutralité.

    Notons que cette loi (par ailleurs symbole d’une position jugée islamophobe par de nombreux Etats musulmans), qui chagrine les membres du CDH, est également en vigueur dans plusieurs pays européens – Autriche, Belgique, Danemark, Italie, Espagne – touchés comme la France par des attentats islamiques.

    Toutefois, si le CDH de l’ONU (qui n’est pas une juridiction) épingle la France, la portée de ses appréciations est toute relative. Il ne s’agit pas là de condamnation mais de simple recommandation… pour satisfaire les « caprices » d’une seule religion. Et ce d’autant plus que la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a une autre vision quant à l’interdiction du port du voile intégral. Jugeant cette loi « nécessaire » dans une société démocratique, la CEDH estime que cette législation vise à assurer « la sécurité publique, l’égalité entre l’homme et la femme et une certaine conception du vivre-ensemble dans la société ». Il serait bon de rappeler aux blablateurs du CDH de l’ONU, dont les décisions n’ont aucune valeur juridiquement contraignante, que vivre en France, c’est avant tout vivre sous les lois françaises.

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 12 octobre 2018

    https://fr.novopress.info/