Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

islamisme - Page 221

  • Les islamistes de la Ghouta bientôt vaincus

    Bachar al-Assad auprès de ses troupes dans la Ghouta orientale

    Par Antoine de Lacoste

    Les jours passent et l’étau de l’armée syrienne se resserre inexorablement sur les 20 000 combattants islamistes de la Ghouta orientale.

    Après deux semaines de bombardements puis deux semaines d’assauts terrestres, les positions islamistes sont aujourd’hui coupées en trois, c'est-à-dire en autant  de groupes islamistes.

    Ces trois tendances ne s’aiment guère et se sont même violemment affrontées à de nombreuses reprises pour la suprématie de la Ghouta.

    De cela les médias occidentaux ne parlent guère préférant, à l’unisson, dénoncer par une obligatoire litanie, « les crimes de l’armée de Bachar », comme si ce n’était pas l’armée syrienne ! On se demande à quoi sert la pluralité de la presse en France, tant celle-ci ne parle que d’une seule voix, avec les mêmes bilans non vérifiés de l’OSDH (Observatoire syrien des Droits de l’Homme), les mêmes slogans (Bachar, « l’homme qui tue son propre peuple ») et les mêmes indignations de circonstance.

    Aujourd’hui, les trois groupes islamistes rivaux tiennent chacun leur ville : Douma pour l’armée de l’islam, soutenue par l’Arabie Saoudite, Arbine pour Faylak al-Rahmane, soutenue par le Qatar et Harasta pour le Front al-Nosra, que plus personne ne soutient.

    Depuis cinq ans, ces groupes tenaient un territoire en continu qui a compté jusqu’à 15 000 km2. Aujourd’hui, ils se partagent à peine 50 km2. Le morcellement de ce territoire en trois parties, empêche maintenant toute alliance, même de circonstance, entre islamistes. Elle rend également vaine toute contre-attaque éventuelle.

    L’issue est donc inéluctable.

    Pour l’assaut final, les Russes ont fait venir des renforts : des Palestiniens favorables à Bachar, issus des camps de réfugiés, et des chiites afghans, rapatriés du front de Deir ez-Zor. Les Iraniens sont tenus à l’écart : ils sont trop autonomes, et les Russes ne veulent pas s’en embarrasser. Ils veulent garder la main pour d’éventuelles négociations suivies de redditions et d’évacuations qui éviteraient plusieurs jours de sanglants combats.

    D’ailleurs, une dizaine de combattants d’Al-Nosra, se sont rendus avec leurs familles le 10 mars, et ont été, comme d’habitude, évacués vers la province d’Idleb, le grand fief islamiste, au Nord-Ouest de la Syrie.

    Quant aux civils, ils sont toujours pris en otage par les islamistes. Plusieurs ont été tués ces derniers jours en tentant de s’enfuir et de forcer les barrages des combattants. D’autres sont passés et ont pu témoigner de leur quasi impossibilité de quitter la Ghouta, tant les tirs des snipers sont redoutables.

    Le rétrécissement du territoire tenu par les islamistes, ne les empêche cependant pas d’envoyer quotidiennement des obus sur Damas. Une dizaine de morts sont à déplorer ces derniers jours.

    Mais ce ne sont pas des « rebelles », alors cela n’intéresse pas nos médias.  

    Retrouvez l'ensemble des chroniques syriennes d'Antoine de Lacoste dans notre catégorie Actualité Monde.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Il est permis d'occuper une église mais pas le toit d'une mosquée

    XVM8276a1ca-b5a1-11e7-8aca-c6cafecb3960

    Un an de prison avec sursis

    Arton9751

    Rien

    Comme le dit Alexis Lacroix, de l’Express :

    « Quelques migrants ont un peu chahuté dans cette église […] la fachosphère essaie d’instrumentaliser ce micro-événement »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • De grâce, cessons d’appeler nos djihadistes des « combattants français » !, par Gabrielle Cluzel

    500px-Carte-combattant.jpg

    Appelons-les djihadistes, terroristes, islamistes… ce ne sont pas les mots qui manquent.

    Chaque métier a ses responsabilités. Le médecin a la responsabilité de la santé de son malade, et du traitement qu’il choisit pour le guérir. Le professeur a la responsabilité de sa matière, et des outils pédagogiques qu’il choisit pour la transmettre. Le journaliste a la responsabilité de l’information, et des mots qu’il choisit pour la diffuser.

    Cette responsabilité est moins grande si elle est partagée, mais immense, bien sûr, si le médecin, le professeur ou le journaliste – pour un cas donné – est seul à l’assumer.

    Disons-le, l’AFP est en situation de quasi-monopole. Ses dépêches sont dupliquées – en l’état ou vaguement bricolées, maquillées, retouchées – par un nombre incalculable de rédactions. C’est l’Évangile selon sainte Aèfpé, dogme de foi et parole de vérité.

    Alors quand, pour évoquer le procès de deux djiahdistes français jugés aux assises, l’AFP titre « deux combattants français, rentrés en 2014 de Syrie, jugés aux assises » et que cette information est relayée avec les même mots (« combattants français ») par le site du Point et de France Info, on peut légitimement se poser la question : l’AFP assume-t-elle ses – immenses – responsabilités ?

    Il y a mille façons de « fakenewser » : par action, par omission, par dissolution, par focalisation mais aussi, donc, par confusion. Confusion mentale jusque dans le champ lexical.

    Et lorsque le temps aura passé, l’AFP appellera-t-elle ces deux hommes « anciens combattants français » (avec, tant qu’on y est – logiquement, c’est lié ! -, titre de reconnaissance de la nation et petite pension à la clé) ? Si, d’aventure, ils étaient morts au combat, leurs épouses auraient-elles été qualifiées de veuves de guerre par l’AFP ? Celles-ci n’auraient-elles, du reste, pas été fondées à réclamer que l’on grave le nom de feu leur conjoint sur les monuments… des combattants français ?

    Et nul n’est choqué de constater, lorsque l’on tape « combattants français » sur un moteur de recherche, amalgame 2.0 infamant généré par ce choix de vocabulaire pour le moins douteux, que sortent aussitôt, sur la même page, intimement mêlés, ces deux hommes-là et les deux soldats tombés récemment au Mali ?

    Appelons-les djihadistes, terroristes, islamistes… ce ne sont pas les mots qui manquent. Mais, de grâce, pas « combattants français ». Prétendre – avec légèreté, inconscience, perte de sens – le contraire, c’est déshonorer ceux que l’on voit tirer de leurs vieilles mains noueuses, mais avec toujours autant de fierté, leur carte bleu blanc rouge un peu cornée, du fond de leur portefeuille usé. Leur carte de combattant français.

    Gabrielle Cluzel

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

  • L’islam(isme) cause de tous nos maux…vraiment?

    La mondialisation est en marche: pour la première fois, selon le cabinet Gira Conseil, dans le classement du sandwich le plus consommé en France, les ventes de burgers ont dépassé celles du traditionnel jambon-beurre (1,5 milliard de burgers consommés l’année dernière, contre 1,2 milliard de jambon-beurre ). Sandwich français  déjà concurrencé par la floraison des kebabs, eux aussi révélateurs du grand remplacement… culinaire. L’américanisation de notre pays via  les chaînes de restauration rapide, la  malbouffe, la  junk food  - et une production hollywoodienne télévisuelle, musicale  et cinématographique souvent du même acabit, à de très  notables et très heureuses exceptions près - est une (triste) réalité, dont on perçoit les ravages notamment  sur le plan de la santé publique.  Mais Emmanuel Macron entendrait faire oeuvre de résistance, au moins par son souhait affiché de faire rayonner plus avant la francophonie. Objectif louable, tant il est vrai que notre langue, dont les locuteurs sont présents sur tous les continents, participe du soft power de la start-up  France comme le dit M. Macron  dans la langue  de l’empire… Il était hier  après-midi devant l’Académie française pour présenter son plan de développement de la francophonie, affichant l’ambition de hisser le français, pratiqué par environ 300 millions de personnes, du  cinquième au troisième  rang de la  langue la plus parlée dans le monde. Objectif qui sera peut être  d’ailleurs atteint, avec ou sans plan macronien,  à l’horizon 2050, du fait de l’explosion démographique du continent africain et notamment de nos anciennes colonies, quand bien même l’anglais y concurrence de plus en plus fortement la langue de Molière et de Léopold Senghor…

    Les intellectuels français, du moins certains d’entre eux, se préoccupent aussi du vivre-ensemble qu’ils estiment menacés par le développement d’un communautarisme engendré par l‘islam rigoriste. Une centaine d’écrivains, de journalistes, d’essayistes, d’universitaires ( Georges Bensoussan, Rémi Brague, Pascal Bruckner,  Luc Ferry, Alain Finkielkraut Bernard Kouchner, Élisabeth Lévy, Yann Queffelec, Sylvain Tesson…) ont signé une tribune publiée dans Le Figaro mardi, intitulée Non au séparatisme islamiste. Ils entendent défendre la laïcité et s’inquiètent  du « nouveau totalitarisme islamiste » « (qui) cherche à gagner du terrain par tous les moyens et à passer pour une victime de l’intolérance. (Nous avons) pu observer cette stratégie lorsque le syndicat d’enseignants SUD Éducation 93 proposait il y a quelques semaines un stage de formation comportant des ateliers de réflexion sur le racisme d’État interdits aux blancs » est-il encore écrit.  Quand bien même  l’islam n’est pas réductible à une couleur de peau ou à une ethnie, et que de la même façon  le racisme  antifrançais n’est pas l’apanage des populations musulmanes.

    Une idéologie antiraciste qui, au nom de sa logique victimaire  faisant  du mâle blanc l’archétype du salaud et de l’étranger forcément une victime, un damné de la terre intouchable, est responsable  de bien des tragédies. Nous en avons vu les dégâts à travers la très emblématique  affaire des milliers  de viols commis en Angleterre par des gangs d’ immigrés principalement originaires du sous-continent indien, sur des adolescentes britanniques dans les communes de High Wycombe,  Nelson, Oxford, Rochdale, Telford…  Crimes révélés il y a plus de six ans en France par le site fdesouche  et dont nous nous étions fait l’écho en novembre 2012 sur ce blogue.

    La journaliste britannique Joanna Williams a jeté un pavé dans la mare dans un article récent ( repris sur le blogue  bellica ) en affirmant que « l’information selon laquelle des filles, certaines de 11 ans, ont été droguées, battues et violées par des gangs composés d’hommes en majorité de musulmans asiatiques [le terme asian désigne en anglais surtout les communautés pakistanaises, indiennes et bangladaises], a toute sa place dans le cadre d’une campagne contre les violences sexuelles (…). » Or,  « le silence sur l’exploitation sexuelle à Telford révèle l’hypocrisie au cœur du mouvement #MeToo. Les militantes #MeToo de la haute société n’ont de cesse de clamer qu’elles sont guidées par leur volonté d’aider les femmes moins favorisées qu’elles, et non par leur intérêt personnel. »

    Mme Willians relève avec la même pertinence qu’il est fort possible que dans l’esprit des bien-pensants,  « les hommes asiatiques  accusés de détournement de mineur, de viol, de trafic de drogue, de meurtre et de pédophilie appartiennent à la mauvaise catégorie d’hommes violents. #MeToo préfère que les accusés soient des hommes blancs et puissants (…). Les violences commises par des hommes musulmans bousculent la hiérarchie soigneusement mise en place par le féminisme intersectionnel et contredisent le discours habituel sur le patriarcat. Les tribuns et militantes s’inquiètent davantage du risque de racisme ou d’islamophobie que des violences sexuelles qui ont eu lieu. »

    Bien sûr, beaucoup de pieux musulmans, honnêtes et pacifiques, les pratiquants de l’islam dit du juste milieu,  ne se reconnaissent pas dans cette haine de l’européen des islamistes et encore moins  dans les  agissements des immondes crapules mentionnées plus haut. Et il est tout aussi certain que les premiers responsables de cette barbarie-là sont les politiciens de tous bords qui en Angleterre, en France, en Allemagne comme dans dans les autres pays européens, ont permis l’installation des zones de non droit, l’impunité de la racaille,  le retour de la sauvagerie, du tribalisme communautaire. Ce sont aussi les mêmes qui entretiennent par leurs actes et leurs discours  hypocrites sur le vivre-ensemble, la sidération, le  masochisme et la repentance des populations autochtones européennes.

    Nous l’avons dit cent fois et nous le répétons ici, il s’agit de ne ne pas confondre les causes et les conséquences du problème. A Rochdale comme en Seine-Saint-Denis, à Cologne comme à Oslo, à Milan comme à Mollenbeek, c’est en premier lieu de l’immigration massive dont souffrent  la France et ses voisins européens.  Le développement  des communautarismes découle mécaniquement de la poursuite de cette immigration torrentielle qui empêche de facto toute assimilation – quand  bien  même serait-elle hypothétiquement souhaitée par la majorité des immigrés. Défendre la laïcité comme le veulent les pétitionnaires du Figaro , consiste  en tout premier  lieu à exiger l’inversion des flux migratoires , c’est à cette aune que l’on peut juger de leur cohérence et de leur  sincérité.

    Rappelons-le encore,  les premières victimes des insécurités  sociale, économique et culturelle  générées par l’immigration hors-contrôle  sont les Français les plus modestes et les classes moyennes qui  subissent de plein fouet son  coût financier et humain  de plus en plus insupportable. Autant dire que le soutien apporté par  La France Insoumise (LFI)  qui se veut le défenseur des petits,  à la poursuite de de cette invasion-là est particulièrement  choquante. Encore  dernièrement, dimanche, ce sont des militants mélenchonistes et le  collectif Coordination des sans-papiers qui ont   encadré et appuyé l’occupation par des immigrés clandestins de la Basilique Saint-Denis.  Marine s’en est indignée:  « en appelant des migrants à profaner la Basilique Saint-Denis, nécropole de nos rois, La France Insoumise et l’extrême-gauche démontrent que, dans leur folie immigrationniste, ils sont prêts à piétiner notre civilisation et à profaner un lieu de culte historique. » 

    Édifiée en un lieu  déjà sacré à l’époque des Gaulois,  victime du vandalisme révolutionnaire sans-culotte en 1793 - il faut lire   les pages fortes écrites sur cet épisode par Jean Raspail dans son beau roman Sire -, la nécropole est un  témoignage de notre longue histoire, de la construction patiente de notre pays par les quarante rois qui ont fait la France et  lui ont donné forme.  Son occupation  a valeur de symbole,  note Bruno Gollnisch,  dans un département qui cumule déjà toutes les tares de l’immigration subie.  Une Basilique qui déchaîne apparemment toujours la haine plus ou moins inconsciente de ceux qui refusent d’entendre  que la France a une âme , est faite de chair et de sang, n’a pas commencé en 1789, n’est pas  réductible aux rêves mortifères d’une république universelle, à l’abstraction droit-de-l’hommiste,  ni cet  hôtel  fantasmé par Jacques Attali,  peuplé de nomades/consommateurs interchangeables. Alors oui entre les nationaux et les mondialistes, Français et européens doivent choisir leur camp. Et vite.   

    https://gollnisch.com/2018/03/21/lislamisme-cause-de-tous-nos-maux-vraiment/

  • Mais au fond, quelle différence y a-t-il entre le bon, et le mauvais terroriste ?

    Les distinguer n'est pas évident au premier abord, mais le président que la galaxie nous envie semble avoir trouvé, lui. Il faut dire que la République a le terrorisme dans ses gênes ! C'est sans doute aussi pour cette raison qu'en Syrie, elle les aime bien aussi... Pauvres de nous...

    Mais au fait, Monsieur Macron, faire passer un terroriste pour un honorable chef d'État, ce ne serait pas la désinformation, ça ?

    1521068397-hogard

    et si vous voulez vous remettre de ces vilenies du régime Macron, faites-une pause : 

    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • « L'islam n'appartient pas à l'Allemagne ! »

    6a00d83451619c69e201b8d2e30929970c-800wi.jpgCe n'est pas un membre de l'AFD qui dit cela mais le président de la CSU et président de la Bavière, qui vient d’être nommé ministre de l’Intérieur dans la nouvelle grande coalition de Merkel, Horst Seehofer. Il a accepté le poste de ministre de l’Intérieur à condition qu’on y ajoute « et de la Patrie ».

    Le quotidien Bild a publié une interview du ministre : 

    "Non. L'islam n'appartient pas à l'Allemagne. L'Allemagne est marquée par le christianisme. Le dimanche chômé, les jours fériés chrétiens et les rituels comme Pâques, la Pentecôte ou Noël en font partie. Mais les musulmans qui vivent chez nous appartiennent évidemment à l'Allemagne. Cela ne signifie naturellement pas que nous abandonnions pour de fausses considérations nos traditions et des usages typiquement de chez nous."

    L’AfD fait remarquer que Seehofer a repris textuellement un de ses slogans (Der Islam gehört nicht zu Deutschland !), preuve de son influence certaine.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/03/lislam-nappartient-pas-%C3%A0-lallemagne.html

  • La Grande-Bretagne, en état d’islamisation avancée, interdit de séjour à vie le leader autrichien de Génération Identitaire

    martin-Sellner-generation-identitaire-241x300.jpg« Je transformerai la capitale en un phare de l’islam » tel était le slogan électoral du socialiste Ken Livingstone en 2012.

    Après la France et l’Allemagne, la Grande-Bretagne a la troisième plus importante communauté musulmane d’Europe. Les adeptes du Coran ne se sont pas « intégrés » ni « assimilés » à la société britannique mais occupent la place en important et imposant leurs coutumes et mœurs, leur loi coranique, la diffusion de la charia étant de plus en plus inéluctable dans certains quartiers des grandes villes du Royaume-Uni. Du nord au sud, les « no-go-zones » interdites aux femmes se multiplient, Londres étant devenue la capitale mondiale des défigurations par l’acide. Ne parlons pas des viols de jeunes-filles et de l’exploitation sexuelle d’enfants britanniques par des gangs islamiques, l’affaire la plus connue étant celle des viols collectifs de Rotherham commis sur plus de 1500 enfants par des « nombreux hommes majoritairement pakistanais » écrivait l’Express en 2014; de la multiplication des prêches islamiques par des imams ayant pignon sur rue, dont l’un affirmait en 2014 à la télévision italienne « se battre pour l’application de la charia comme forme alternative de vie » et ne pas vouloir aller à l’étranger « ainsi quand la Grande-Bretagne sera sous l’État islamique, moi je serai déjà ici en première ligne pour diffuser l’islam ».

    Dans ce contexte d’islamisation avancée du Royaume-Uni, de changement de son ADN génétique, les autorités britanniques ont décidé d’interdire de séjour à vie l’autrichien Martin Sellner, leader de Génération Identitaire dans son pays et un des organisateurs de la mission en méditerranée Defend Europe. Vendredi dernier, Sellner et sa fiancée, Brittany Pettibone, journaliste américaine, ont été arrêtés à leur descente de l’avion à l’aéroport de Londres. Détenus pendant trois jours, déclarés « dissidents politiques », ils ont été ensuite expulsés et bannis à vie de Grande-Bretagne.

    Les deux identitaires devaient se rendre à une manifestation à Hyde Park où ils devaient rencontrer Tommy Robinson, autre militant politique considéré d’extrême-droite par les autorités de l’île.

    « Le gouvernement a décidé que le discours de Martin sur la thématique de la liberté d’expression est trop dangereux pour être entendu » écrit dans un communiqué Génération Identitaire.

    Dans le document de refus de permis d’entrée sur le sol britannique remis à Brittany Pettibone, il est spécifié que selon les autorités anglaises les activités planifiées du couple à Londres constituent

    « une sérieuse menace envers les intérêts de la société et avec beaucoup de probabilité seront cause de tension entre les communautés locales et le Royaume-Uni ».

    « Votre fiancé, lit-on dans l’acte d’expulsion, a admis dans un colloque d’être le co-fondateur de la branche autrichienne de Génération Identitaire qui est considérée en Grande-Bretagne comme une organisation de droite. »

    Morale de l’histoire : en Grande-Bretagne l’islam est bienvenu ! L’identité européenne bannie !

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/la-grande-bretagne-en-etat-dislamisation-avancee-interdit-de-sejour-a-vie-le-leader-autrichien-de-generation-identitaire/88807/

  • Grand remplacement et enfants musulmans : Robert Ménard encore une fois relaxé !

    Après l'affaire des affiches sur Midi libre, Robert Ménard est à nouveau relaxépour ses propos sur les musulmans dans sa ville de Béziers :

    "La cour d’appel de Paris a relaxé, mercredi 14 mars, le maire de Béziers, Robert Ménard, proche du Front national, condamné en 2017 pour avoir déclaré qu’il y avait trop d’enfants musulmans dans les écoles de sa ville. La cour a ainsi infirmé un jugement du tribunal correctionnel de Paris qui, le 25 avril 2017, avait condamné M. Ménard à 2 000 euros d’amende pour « provocation à la haine et la discrimination ».

    Les juges d’appel ont justifié ce revirement par un changement de la jurisprudence de la Cour de cassation, qui exige désormais que les propos incriminés contiennent « une exhortation éventuellement implicite » à la haine ou à la discrimination pour que le délit de « provocation » soit constitué, ce qui n’est ici, selon eux, pas le cas.

    L’élu était poursuivi pour avoir publié sur Twitter, le 1er septembre 2016, le message suivant : « #rentréedesclasses : la preuve la plus éclatante du #GrandRemplacement en cours. Il suffit de regarder d’anciennes photos de classe. » Il était également jugé pour avoir déclaré sur LCI, le 5 septembre 2016 : « Dans une classe de centre-ville de chez moi, 91 % d’enfants musulmans. Evidemment que c’est un problème. »"

    Lire la suite

  • Ignorance abyssale de l'islam

    6a00d8341c715453ef01b8d2e21ba9970c-320wi.jpgOn entend chaque jour parler de nouvelles futures réformes. Celle qu'on annonce le lundi cède la vedette, le mardi, à une suivante et on ne parlera plus des deux précédentes quand arrivera la promesse du mercredi. Et nous commençons à comprendre que ce quinquennat risque fort de poser plus de premières pierres qu'il n'inaugurera d'ouvrages achevés.

    Il s'est écoulé un mois depuis le 11 février. Ce jour-là, paraissait dans le Journal du Dimanche un entretien avec le chef de l'État. Or, celui-ci affirmait son intention de "poser les jalons de toute l’organisation de l’islam de France." Il se fixait même une échéance, celle du premier semestre de l'année en cours, ce qui lui laisse désormais moins de 4 mois pour aboutir, s'il s'en tient à ses intentions affichées.

    Or, pour commencer, ce n'est pas tant sur l'effet d'une nouvelle organisation rêvée d'un islam français que l'on doit s'interroger. C'est plutôt d'abord sur les conséquences du débat, purement théorique lui-même, qu'il convient de se pencher.

    On a ouvert une bonde. S'y sont déjà engouffré, au gré de tribunes publiées par Le Monde, trois intellectuels musulmans : Rachid Benzine, présenté comme islamologue et chercheur associé au fonds Ricoeur, Houari Bouissa, professeur d’histoire, et le sociologue Tarik Yildiz. Leurs textes étaient mis en ligne ensemble le 6 mars, le journal les regroupant sous le titre du premier incluant un avertissement opportun "Islam de France : gare aux fausses bonnes idées".

    Or, l'expression "une fausse bonne idée" doit être comprise comme un euphémisme pour désigner une intention erronée, vouée à l'échec ou contre productive.

    Pas besoin d'être étiqueté islamologue, ni associé au fonds Ricoeur, pour découvrir, dans le texte quelque peu confus, et très confusionniste, de Rachid Benzine que tous les technocrates qui prétendent réformer l'organisation de l'islam ne connaissent le sujet que d'une manière très superficielle, et ne l'abordent que d'un point de vue laïciste.

    Cela ne date pas d'hier. Les ministres de l'Intérieur successifs, à droite comme à gauche, s'y sont essayés. En 1990, Pierre Joxe avait lancé un Conseil de réflexion sur l'islam de France (Corif). En 1993 Charles Pasqua avait créé le Conseil représentatif des musulmans de France (CRMF), présidé par Dalil Boubakeur. Ce médecin officiait, depuis l'année précédente, en tant que recteur de la Grande mosquée de Paris. Or, ladite institution, édifiée en 1926 a été financée par l'État français, en vertu d'une loi de 1920. Elle dérogeait en Métropole, de fondation, à la loi dite de Séparation de 1905. Mais elle allait être désignée, en 1995, par le gouvernement comme l'unique représentant de ce que l'on commence alors à considérer comme la deuxième religion de l'Hexagone.

    En 1999, Jean-Pierre Chevènement, déjà lui, croit pouvoir miser, au contraire, sur la diversité des fédérations, y compris les plus proches des frères musulmans, du tabligh, etc.

    En 2002, Nicolas Sarkozy, à son tour, reprend le dossier du CFCM, Conseil français du culte musulman, salué comme un succès au départ mais dont la faillite désormais n'est plus à démontrer.

    Toutes ces politiques successives ont échoué pour des raisons faciles à identifier. Procédant de la culture dominante des dirigeants français, aveuglées par le laïcisme de ceux-ci, elles ignoraient tout du phénomène politico-religieux de la foi mahométane.

    Leurs interlocuteurs musulmans se sont eux-mêmes employés à les désinformer, manipulant habilement les conceptions laïcistes.

    Dès 1956, André Malraux observait avec juste raison : "c’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine." Et il ajoutait alors que "les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles."

    Aujourd'hui la logique politico-religieuse de cette poussée islamique échappe encore à nos responsables. Issus eux-mêmes de la haute administration, on les soupçonne de ne guère connaître la France réelle elle-même, dès lors que sa réalité franchit la frontière du boulevard périphérique parisien.

    Comment s'étonner par conséquent de leur ignorance abyssale de la réalité islamique ?

    JG Malliarakis 

    À lire en relation avec cette chronique

    les deux livres de Henri Lammens à commander sur la page catalogue de l'éditeur, ou, par correspondance, en adressant un chèque de 35 euros pour les deux volumes [20 euros pour "Islam croyances et institutions" ; 15 euros pour "Qui était Mahomet ?"] aux Éditions du Trident, 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris.

    http://www.insolent.fr/

  • Yassine Belattar, un nouveau conseiller d’Emmanuel Macron aux relents islamistes et anti-Blancs

    belattar.jpg

    Mardi, à l’Elysée, a été organisée la première réunion du Conseil présidentiel des villes, lancé en faveur des « quartiers populaires » par Emmanuel Macron.  Selon le Bondy Blog, l’humoriste Yassine Belattar fait partie des personnalités sollicitées pour faire partie des membres de ce Conseil présidentiel.

    Selon le cabinet présidentiel, ce conseil est censé « créer et rassembler des personnes issues des quartiers populaires, de tout âge, de tout profil et animées par un engagement et reconnues pour leur expertise. Elles seront chargées de nourrir la réflexion du président de la République sur la politique de la ville ».

    « J’aurai une quinzaine d’engagés auprès de moi dans ce Conseil présidentiel de la ville qui suivra un peu l’action faite au quotidien, m’alertera, sera également un relais et participera à ces réunions trimestrielles », avait déclaré Emmanuel Macron, à Tourcoing, en novembre dernier. « Tous les trois mois il y aura ces réunions de chantier pour être pragmatique et je veux que nous nous concentrions sur une dizaine de quartiers de ville particulièrement en difficulté pour là avoir des engagements d’ici deux ans. »

    Mais cet humoriste Yassine Belattar recruté par Emmanuel Macron est-il vraiment un exemple à suivre pour les « quartiers populaires » ? Cet individu avait été interpellé, le 20 février, aux Mureaux, dans les Yvelines, tout près de la médiathèque où le président de la République était en déplacement avec la ministre de la Culture Françoise Nyssen. Il avait alors été placé en garde à vue pendant quelques heures pour avoir insulté un policier.

    Relents islamistes et anti-Blancs

    Yassine Belattar avait affirmé « il n’y a pas de modération dans une religion : on est musulman ou on ne l’est pas ».

    Parmi ses déclarations, il y a aussi celle-ci très révélatrice de son mépris à l’égard des Blancs : « ces hommes blancs de plus de 60 ans sont peut-être la clé du problème ».

    Selon le magazine Marianne, peu suspect d’être une presse réactionnaire, Yassine Belattar véhicule « le déni de l’islamisme comme le discours sur “les Blancs” et les autres ». Suite à ces propos de Marianne en décembre dernier, Yassine Belattar avait envoyé ce SMS à son « frère » (sic) Macron : « Visiblement, c’est une nouvelle guerre que lance ce journal, je suis au fond du trou. » à quoi le président de la République avait répondu : « T’obsède pas. Continue. Les critiques suivent le talent. »

    Habitué à multiplier les insultes sur Twitter, ce Yassine Belattar avait d’autre part animé un gala de soutien du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), organisation considérée comme islamiste.

    http://www.medias-presse.info/yassine-belattar-un-nouveau-conseiller-demmanuel-macron-aux-relents-islamistes-et-anti-blancs/88749/