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islamisme - Page 218

  • Le vrai courage

    Hommages ... 

    Dans cette tribune du Journal de Montréal [27.03] Mathieu Bock-Côté distingue le vrai courage du faux. Et au-delà du simple courage, les héros qui eux sont prêts à l'ultime sacrifice. Et il ajoute à fort juste raison qu' « aucun peuple ne peut vraiment survivre s’il n’inculque pas au moins partiellement le sens du sacrifice à ceux qui le composent ».   LFAR  

    On abuse aujourd’hui du mot courage. Un artiste qui pleure à la télé en racontant qu’il n’a pas eu une enfance heureuse mais qu’il s’en est sorti est jugé courageux. Une belle quinquagénaire qui pose en bikini aura droit au même compliment.

    Il en ira de même pour le politicien qui se permet de dire un peu ce qu’il pense sans répéter les fadaises du jour.

    Il lui suffira de se tenir droit le temps d’une controverse pour sortir du lot. Mais à voir sans arrêt des courageux partout, on ne sait plus comment qualifier le vrai courage lorsqu’il se manifeste. 

    France

    Et il s’est manifesté en France ces derniers jours, au moment de l’attentat terroriste de Trèbes où un lieutenant-colonel de la Gendarmerie française, Arnaud Beltrame, a échangé sa vie contre celle d’un otage. Sans surprise, il l’a payé de la plus atroce manière. Son meurtrier, Radouane Lakdim, fidèle à la méthode islamiste, l’a égorgé. 

    Un tel acte de courage peut sembler irrationnel pour notre époque. Elle y verra une folie gratuite, peut-être même le signe d’un esprit dérangé. Comment un homme peut-il donner sa vie pour une inconnue ? A-t-il passion malade du sacrifice ?

    Le philosophe François-Xavier Bellamy, dans une tribune du Figaro parue hier, nous convainc aisément du contraire. Aucune société ne peut durer sans des hommes prêts à se sacrifier pour quelque chose qui les dépasse.

    Et ce sacrifice ne vient pas d’un coup. Il faut s’y préparer toute sa vie. C’est à cela que préparent des institutions comme l’armée. Mais plus largement, aucun peuple ne peut vraiment survivre s’il n’inculque pas au moins partiellement le sens du sacrifice à ceux qui le composent.

    Héros

    Ce qui distingue les héros, c’est qu’ils sont prêts à aller jusqu’à l’ultime sacrifice. C’est pour cela qu’il faut leur être éternellement reconnaissant, les célébrer et préserver leur mémoire.     

  • Les actes antisémites proférés par des musulmans sont passés sous silence en raison de la doxa antiraciste

    Que se passe-t-il ce soir sur BFM TV ?

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • « DJIHAD LOL » : LES ADOLESCENTES RADICALISÉES PLUS NOMBREUSES QUE LES GARÇONS !

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    On pourrait résumer cela en quelques mots : « crise d’adolescence radicale », « rien dans le crâne, tout dans le portable », « djihadisme LOL »…

    La compagne de Redouane Lakdim, le terroriste de Trèbes, assassin de quatre personnes et qui en a blessé quinze autres, est en garde à vue depuis deux jours. Elle a 18 ans, non seulement ne renie rien de la folie meurtrière de son compagnon mais aurait regretté qu’il n’ait pas fait davantage de victimes dans notre France, pays de « mécréants ». Lorsque les policiers l’ont interpellée, elle aussi a crié « Allah akbar », et si elle nie toute implication dans l’équipée meurtrière de Lakdim, elle a curieusement posté, au matin de l’attentat, une sourate disant que « les mécréants étaient promis à l’enfer ».

    Cette douce jeune fille se prénomme Marine. On nous dit qu’elle s’est convertie à l’âge de 14 ans, radicalisée à 15, devenant la compagne de Lakdim qu’elle avait, paraît-il, l’intention d’épouser prochainement. Elle a aujourd’hui 18 ans, est sans profession. On imagine qu’elle a dû passer moins de temps sur les bancs du collège que sur son smartphone. Connue comme son petit ami pour des délits de droit commun, elle passait en effet beaucoup de temps à cracher sa haine de la France sur les réseaux sociaux, ce qui lui a valu d’être fichée S, elle aussi, pour sa radicalisation islamiste.

    Dans cette époque où les agissements du porc Weinstein et de ses épigones ont entraîné le retour d’un féminisme larmoyant qui veut voir en toute femme une innocente victime, on hésite à se pencher sur ces adolescentes tentées par la sauvagerie meurtrière. Et pourtant, contrairement à une idée reçue, les jeunes filles sont majoritaires parmi les adolescents radicalisés. C’est en tout cas ce que disaient les chiffres du ministère de l’Intérieur en août 2016, quand, après l’assassinat du père Hamel à Saint-Étienne-du-Rouvray, une gamine de 16 ans a été arrêtée à Melun, en Seine-et-Marne. Elle était prête, elle aussi, à passer à l’acte.

    Les faits sont là mais rien ne change dans les discours. La gauche continue de nier ce qui relève de l’évidence quand des salauds ne se réjouissent pas carrément de la mort d’un homme parce qu’il est militaire… On nous dira, comme toujours, que Redouane Lakdim sentait peser sur son dos le poids de la colonisation, de la relégation, de la misère, du chômage… Qu’au fond il n’a fait que venger la mémoire de ses pairs. On connaît la rengaine.

    Et sa petite amie ? Mystère…

    En ce mois d’août 2016, un policier de haut rang confiait au Figaroque les jeunes filles se laissent hameçonner par « le “kit de vie” qui leur est proposé : “trouver le prince charmant”, “s’engager dans l’humanitaire” et “fonder une famille pour repeupler un califat fantasmé” ». Piéger également par « le “pilonnage” de messages, parfois une centaine par jour, qu’elles reçoivent une fois sous influence de leur gourou : “Comment es-tu habillée ? Quelles prières as-tu faites ? Qui as-tu rencontré ? As-tu serré la main à un homme aujourd’hui ? Ne sors pas seule”. » Il ajoutait également que les filles seraient davantage « partantes » (alors pour la Syrie) car « elles pensent qu’elles ne seront a priori pas envoyées au combat comme les garçons ».

    À cette même époque, le magazine Psychologies donnait la parole au thérapeute familial Serge Hefez qui suivait plusieurs de ces jeunes filles, converties à un islam extrémiste. Il y confiait la sidération de parents découvrant la seconde vie de leur adolescente : « Bien moins malmenées par la vie que d’autres, certaines adolescentes s’enflamment pour une cause qui présente surtout l’immense avantage de les opposer en tout point à leurs parents. »

    http://www.bvoltaire.fr/djihad-lol-adolescentes-radicalisees-plus-nombreuses-garcons/

  • TERRORISME : LE GOUVERNEMENT NOIE LE POISSON (L’Imprécateur)

    Quel terrorisme endogène ?

    À propos du nouveau carnage qui vient d’avoir lieu à Trèbes, le président de la République a déclaré « Nous devons faire face à un terrorisme endogène, extrêmement diffus, difficile à anticiper ».

    Ce président qui se pique un peu trop vite d’être un littéraire, ne devrait pas ignorer le sens du mot  » endogène «  (savoir : qui est produit par la structure elle-même en dehors de tout apport extérieur – Larousse). Nous venons donc d’apprendre deux choses. La première, que nous avons recolonisé et francisé à l’insu de notre plein gré le Maroc d’où le tueur vient et où le drapeau français flotte sur tous les bâtiments publics… La seconde, que la France est un pays de civilisation et de religion musulmanes depuis l’invasion arabo-musulmane du VIIIème siècle puisque le tueur en question a tué en invoquant Allah ce que, pour une fois, aucun média n’a nié.

    Un attentat purement EXOGÈNE

    L’attentat de Trèbes n’a rien d’endogène. Il est EXOGÈNE (étranger) dans ses deux composantes principales : 1/ le tueur et la religion qu’il a invoquée pour tuer. 2/ Redouane Lakdim est né au Maroc en 1992, de parents marocains, et il était toujours marocain quand il a commis son attentat. Il n’a pas acquis récemment la nationalité française par amour de la France et désir de s’intégrer, mais par commodité stratégique ; il avait besoin d’un passeport français pour ses activités illégales de trafic d’armes et de drogues et ses déplacements à l’étranger.

    Le trafic d’armes était connu des services de police qui avaient arrêté Lakdim en raison de ses relations intimes avec un trafiquant d’armes de Carcassonne et découvert chez lui des armes. Mais tout ce gentil monde était en liberté, ce qui montre qu’il est en France presqu’aussi facile de se procurer des armes qu’aux États-Unis. Il suffit de savoir aller commander dans le Dark Web [1] ou de trouver l’un des nombreux trafiquants de Marseille, Saint-Denis, Lyon, etc. Cette histoire d’armes est passée sous silence par la presse officielle du Ministère de la Vérité pour ne pas gâcher l’argument « Redouane Lakdim était un petit délinquant, on ne pouvait pas prévoir ». Macron devrait savoir que justement,« gouverner c’est prévoir… Il n’y a rien à gagner à transiger avec l’erreur » (Émile de Girardin)

    Il a crié « Allah(ou) akbar » en ouvrant le feu sur les clients et le personnel du Super-U de Trèbes pour signer son appartenance à l’islam. Musulman de naissance, il se serait comme on dit « radicalisé ». Un élément de langage utilisé par la désinformation pour faire croire qu’il y aurait deux islams bien distincts, l’un doux et pacifique, l’autre radicalisé cruel et féroce. Vision simpliste qui nie la réalité : il n’y a qu’un islam que ses adeptes pratiquent avec plus ou moins de conviction et respect total des préceptes de Mahomet. De même, il y a des chrétiens ou des juifs qui vont ou pas à la synagogue ou à l’église, qui prient ou non, qui appliquent plus ou moins les préceptes de l’église ou de la torah.

    La grande majorité des français ne pratiquant pas se reconnaît « baptisée et de culture chrétienne », plus choquée par l’égorgement par un musulman d’un prêtre que par toute autre forme d’assassinat.

    Le crime est l’une des composantes de l’islam

    La quasi-totalité des musulmans peut basculer dans le crime si l’on s’en prend à un symbole fort de l’islam. D’ailleurs, un chroniqueur de Cnewsexpliquait dimanche matin, que « l’islam à l’eau-de-rose » est en voie de disparition, les salafistes wahhabites faisant une propagande d’enfer dans les mosquées pour démontrer que l’islam « modéré », c’est le péché le plus grave que seul le djihad peut racheter. Mais là encore, l’État refuse, pas dans ses éléments de langage mais dans les faits, de fermer les mosquées salafistes et d’expulser les imams, au moins les algériens, les saoudiens et les qataris, qui sont les plus virulents.

    Les Français d’autrefois l’avaient vite compris :l’islam est fondamentalement guerrier et violent, comme en témoignent toutes les guerres en cours dans le monde et l’esprit de conquête islamique, un moment calmé par la colonisation, est revenu en force. Il a fallu plus de dix siècles à la France pour commencer à chasser à partir de Poitiers en 732, les derniers colons musulmans de Provence. Nos gouvernements disent d’un côté que nous sommes en guerre contre le djihadisme et « en même temps » font tout pour nous faire accepter l’envahisseur, sa langue, ses mœurs, sa religion, sa justice et le vivre-ensemble.

    Les juristes sont-ils complices du terrorisme islamique ?

    Les juristes disent que les lois interdisent d’expulser ou de priver de la nationalité française et de leurs aides sociales les criminels musulmans avant qu’ils soient passés à l’acte et aient été condamnés. Rappelons-leur qu’il existe un article de la Constitution, qui les y autorise. Il dit en substance « L’absence de certitudes ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles pour la société ». Pour le moment, mode écolo oblige, il n’est appliqué que pour les questions environnementales et avant toute autre raison, justifier des impôts verts.

    Nul besoin d’une nouvelle modification de la Constitution pour l’appliquer au terrorisme « endogène » de Macron, une loi reprenant le principe de précaution suffirait :« L’absence de certitudes, compte tenu des connaissances policières et du vide juridique actuel, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles pour la société française ». Il semble que le gouvernement n’en veuille pas, parce qu’il est imprégné d’internationalisme migratoire au nom de « valeurs humanistes » dévoyées, et des injonctions de la finance internationale et de la commission européenne toutes deux en phase avec l’immigrationnisme islamique.

    Trois citoyens innocents d’un petit bourg catalan paisible et un officier supérieur de la gendarmerie sont morts, tués par un ennemi de la France en guerre parce que nos gouvernements n’ont su ni voir le danger, ni l’anticiper. Ce n’est pas faute de moyens, c’est faute de volonté, par faiblesse, incompétence, irresponsabilité généralisée et suivisme européo-international.

    Une loi permet le refus et la déchéance de nationalité

    De plus, fiché « S » depuis 2014, connu pour diverses activités illégales, drogue, armes, vols, etc., condamné mais chaque fois très vite libéré en vertu de la doctrine Taubira aujourd’hui reprise par Macron, Redouane Lakdim n’aurait jamais dû être naturalisé français. Un article de loi, l’art 25-1 du Code Civil, permet le refus d’octroi de la nationalité et sa déchéance si l’individu concerné « s’est livré au profit d’un État étranger à des actes incompatibles avec la qualité de Français et préjudiciables aux intérêts de la France ».

    Le ministre de l’Intérieur explique qu’il était si gentil qu’on ne pouvait pas se douter qu’il passerait à l’acte ! Avec un multirécidiviste ? Et l’État Islamique revendique le crime à son profit ! Et Macron veut que ses crimes soient « endogènes » ce qui permet d’absoudre le gouvernement et l’administration de leurs multiples fautes et erreurs ! – Croit-il sérieusement qu’un discours et quelques mots détournés de leur sens suffiront à faire oublier que 4 personnes dont un officier supérieur sont morts et 16 autres blessés à cause de l’incurie du gouvernement ?

    L’Imprécateur

    [1] Le Dark Web ou Web Profond (Deep Web en anglais) appelé aussi Web Caché, décrit, dans l’architecture du Web, la partie de la toile non-indexée par les moteurs de recherche généralistes.

    https://minurne.org/billets/14966

  • Union d'un jour débats de toujours

    6a00d8341c715453ef01b8d2e62d82970c-320wi.jpgC'est une chose magnifique que l'union nationale. Quand elle nous rassemble, au-delà des étiquetages, elle ne doit pas se ternir de querelles subalternes. Profitons-en pour rappeler que dans les occasions précédentes les Français ont témoigné, trop brièvement mais au-delà des incertitudes ravageuses, combien nous devons avoir confiance, sinon dans nos politiques, encore moins dans nos technocrates, mais dans notre police, nos services de renseignement, notre gendarmerie, notre armée.

    Car en ce 28 mars, cinq jours après l'attentat de Trèbes c'est la France unanime qui rend hommage, avec émotion, à l'héroïsme du lieutenant-colonel Beltrame. En même temps, l'unanimité nationale entend aussi s'investit sans véritable exception autour des victimes de l'attaque de Trèbes du 23 mars comme de Mireille Knoll, assassinée la veille.

    Commençons, avec ce cas, à évoquer, hélas, les choses qui fâchent. Sans nous engouffrer dans aucune polémique, malsonnante dans le contexte, reconnaissons, à propos de l'horrible meurtre dont celle-ci a été la victime, que le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb n'a pas fini de nous surprendre. Il nous certifie, en effet, que son assassin n'était "pas du tout radicalisé".

    Son inspiration ne fait pourtant guère de doute, son complice l'ayant entendu crier le rituel "Allahou akbar".

    Or, ce qui montre le peu de sérieux de notre ministre, c'est précisément l'argument qu'il invoque : Yacine M., selon lui, ne doit pas être considéré comme un islamo-terroriste puisqu'il compte, nous précise-t-on, 22 à 24 inscriptions au TAJ, traitement d'antécédents judiciaires.

    Islamiste ? "Pas du tout. Lui, ‑ à entendre le locataire de la place Beauvau – c'était le profil petit voyou de quartier qui allait faire des rapines."

    Mais précisément, cher Monsieur le Ministre, ci-devant maire de Lyon, vous devriez le savoir : c'est dans ce vivier de la délinquance ordinaire que se recrutent les plus acharnés des djihadistes, endoctrinés dans les prisons, après avoir été dressés contre la France dans les écoles de la République.

    Cela se manifeste dans le cas de Yacine M.

    Cela se retrouve exactement dans le cas de Radouane Lakdim.

    Tristes débats, pauvres divisions : les uns veulent à tout prix ménager ce qu'ils considèrent comme la deuxième religion du pays. Pour eux, sans doute, les assassins ont quelque chose à voir avec le protestantisme. Pour eux il ne convient pas de voir en face l'existence d'un antisémitisme musulman dans les banlieues.

    Le philosophe Robert Redeker observe enfin que "l'unanimisme dans la célébration ne doit pas cacher – comme elle le voudrait pourtant – que le geste héroïque de ce militaire met notre culture bien mal à l'aise. J'imagine le président de la République tourmenté : comment peut-on célébrer à la fois Mai 68 et Beltrame ? La réponse est évidente : en occultant quelque peu les motivations de son acte héroïque, en insistant sur les valeurs consensuelles, d'une généralité un peu vide, plutôt que sur ce qui les fonde. En présentant devant les masses un tour de passe-passe semblable à celui auquel se livrent les officiels lorsqu'ils proclament que les soldats de la Grande Guerre sont morts pour la paix, pour la réconciliation entre les nations, pour des valeurs, alors qu'ils sont morts pour la France, pour la patrie…"

    Essayons, autant que possible, de leur arriver à la cheville.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • En finir avec le terrorisme islamiste

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    Nous sommes en guerre contre le terrorisme », ne cessent de répéter les porte-paroles de l’oligarchie. Mais au-delà de ces propos incantatoires, rien n’est fait qui soit à la hauteur de cet enjeu guerrier. Pour Ligne droite il convient de commencer par stopper toute nouvelle immigration, de contenir l’islam hors de l’espace public et de retrouver la fierté de ce que nous sommes. Ce n’est que sous ces trois conditions que toutes les mesures répressives qui sont à amplifier considérablement pourront produire pleinement leurs effets bénéfiques et ramener la paix dans notre pays.
    Prendre la mesure de l’enjeu

    Les attentats islamistes se multiplient. Variant les méthodes, les cibles et les lieux, ils reviennent maintenant de façon lancinante dans l’actualité au point d’introduire la peur et l’horreur au cœur de la vie quotidienne des Français. Face à ce fléau, les dirigeants de notre pays semblent chercher avant tout à éviter les amalgames, à occulter la dimension islamique du problème et à laisser croire qu’ils agissent efficacement.
    Nous sommes en guerre contre le terrorisme, répètent-ils à l’envi, comme si cette affirmation pouvait suffire à écarter la menace. Mais la formule est révélatrice par elle-même de la crainte du système d’affronter la réalité, car c’est à un ennemi qu’on fait la guerre, pas à une méthode de combat. En 1940, les Britanniques faisaient la guerre aux Allemands, pas aux bombardements. En refusant ainsi de désigner clairement l’ennemi, la classe politique et médiatique s’interdit de prendre la juste mesure de la menace et de définir les meilleurs moyens de la contrer.

    Désigner l’ennemi

    Ligne droite estime donc nécessaire d’affirmer clairement qu’une fraction du monde musulman, qu’on peut qualifier d’islamiste, mène contre nous une guerre sans merci avec l’arme du terrorisme. Aussi, les djihadistes ne sont-ils pas, comme on le répète souvent aux Français, des cas marginaux, pathologiques, voire psychiatriques. Quel que soit leur niveau d’éducation, ce sont des hommes de conviction, déterminés à se battre pour leurs croyances et, ce qui n’est pas rien, à mourir pour elles. Il est donc absurde de penser qu’on pourra les déradicaliser avec quelques cours sur le vivre ensemble ou les droits de l’homme.

    Par ailleurs, ces combattants ne sont pas des individus isolés. Ils vivent au sein de la population islamique installée sur notre sol et s’y trouvent, tels les révolutionnaires de Mao Tsé-toung, comme des poissons dans l’eau. Certaines études indiquent en effet qu’environ un tiers des musulmans présents en France partagent leurs convictions islamistes. Et si l’écrasante majorité d’entre eux n’est pas prête à passer à l’acte, certains n’hésitent pas à aider les djihadistes, à les équiper et à les protéger.
    Dès lors, le problème prend toute sa dimension : la France doit faire face à une population de plus de deux millions de personnes qui engendre et protège des individus prêts à commettre des actes barbares contre son peuple.

    Stopper l’immigration

    Or l’islamisme est le produit naturel de l’islam et la présence envahissante de ce dernier est la conséquence directe d’une immigration massive et incontrôlée qui se développe depuis plusieurs décennies sur notre territoire. Une immigration plus active que jamais qui apparait maintenant comme l’une des principale cause de la montée du terrorisme islamique. Aussi Ligne droite considère-t-elle comme essentiel de prendre une mesure de sauvegarde à la hauteur de la menace et de stopper toute nouvelle immigration, principalement en provenance des pays musulmans.

    Retrouver la force et la fierté

    Pour autant, il ne suffit pas d’empêcher le danger de se développer, il faut également traiter le djihadisme déjà présent sur notre sol. Un djihadisme qui se nourrit d’abord du mépris que ressentent les islamistes à l’égard de la France et des Français qu’ils jugent faibles et décadents. Aussi un renouveau de notre pays changerait-il la donne. Si les Français célébraient à nouveau leurs valeurs, s’ils retrouvaient la fierté de ce qu’ils sont et la force de défendre leurs intérêts, ils inspireraient à nouveau le respect et beaucoup d’immigrés chercheraient à s’assimiler plutôt qu’à haïr la France. Le retour à une nation forte et fière, enracinée dans son identité, est pour Ligne droite la deuxième condition de la victoire contre les islamistes.

    Contenir et respecter l’islam

    La troisième concerne la légitimité de notre pays à combattre l’islamisme dans les pays musulmans. S’il s’agit d’y défendre nos intérêts on peut la justifier au nom de la real Politik, mais, le plus souvent, l’ingérence moralisatrice de la France se retourne contre elle. D’autant que la propension des pays occidentaux à vouloir imposer partout leur modèle de société constitue, par son arrogance, une puissante explication de la haine que suscite notre pays. Aussi Ligne droite estime-t-elle nécessaire de revoir entièrement les relations de la France avec le monde musulman en les fondant sur deux principes simples. Exiger de l’islam en France l’observation stricte de toutes nos règles de civilisation, mais afficher en retour un grand respect pour la civilisation musulmane en terre d’islam, en reconnaissant l’indépendance des pays islamiques et en s’abstenant de toute ingérence quel que soit le régime dont ils se dotent.

    Réprimer et prévenir

    La mise en application de ces trois principes fondamentaux créerait les conditions d’une victoire contre l’islamisme en France et en Europe.
    Encore faudrait-il dans le court terme engager réellement l’action répressive à l’encontre des islamistes en commençant par s’en donner les moyens. Pour cela, il est indispensable d’augmenter les effectifs et les équipements des services de renseignement qui accomplissent d’ores et déjà un excellent travail. Il faut renforcer les forces de l’ordre et donner à la garde nationale embryonnaire la dimension d’un vaste corps de volontaires nombreux, motivés et facilement mobilisables.
    Fort de ces moyens renforcés, il convient d’engager une action de harcèlement contre les islamistes visant à réduire leurs appuis sur notre sol. Il importe ainsi de procéder à l’expulsion systématique des étrangers fichés S et de placer les nationaux en rétention. Puisque la plupart des djihadistes sont des repris de justice, il est également nécessaire de procéder à l’expulsion de tous les délinquants étrangers ainsi que des clandestins. Quant aux djihadistes français partis combattre à l’étranger, il faut les empêcher définitivement de revenir sur le territoire national. Il convient par ailleurs de fermer les mosquées suspectées de promouvoir le djihad, d’expulser les imams radicaux, de démanteler les organisations islamisantes et de reprendre le contrôle des zones de non droit. Enfin, sur le plan de l’action psychologique, il est indispensable d’en finir avec l’obsession pathologique du refus de l’amalgame et de demander aux musulmans et à leurs représentants de condamner les islamistes sans ambiguïté, ce qu’ils ne font que très rarement.
    Le terrorisme islamique n’est que la partie émergée du problème colossal que pose à notre pays l’immigration massive de musulmans qui ne s’assimilent pas. Pour venir à bout de ce fléau, Ligne droite considère en conclusion qu’il faut apporter enfin une vraie solution au problème de l’immigration.
    Tout le reste n’est que faux-semblant.

    Texte repris du site Ligne droite

    https://fr.novopress.info/210177/en-finir-avec-le-terrorisme-islamiste/#more-210177

  • Marine Le Pen: « Dans le quartier de Redouane Lakdim à Carcassonne, les policiers ont été pris à partie par des jeunes qui chantaient sa gloire! »

    Selon Marine Le Pen : « Dans le triangle Perpignan-Narbonne-Carcassonne il n’y a que 3 policiers affectés à la surveillance des radicalisés »,  « le gouvernement attend le début de l’accomplissement d’un acte terroriste pour agir! » « les fichiers S étrangers ou bi-nationaux doivent être expulsés du territoire et déchus de la nationalité française », « Ceux qui sont Français doivent être jugés pour intelligence avec l’ennemi. », « L’État français a le droit de choisir qui vient chez lui et qui reste. Pas besoin de tribunal pour cela. » « Dans le quartier de M. Redouane Lakdim à Carcassonne, les policiers ont été pris à partie par des jeunes qui chantaient sa gloire! », « Ces jeune-là n’ont même pas été arrêtés. », « Le climat n’était pas tendu, c’était un climat de soutien à l’acte terroriste qui venait de se perpétrer. », « Il existe des centaines d’enclaves » islamistes comme celle de Carcassonne en France.  » Il faut arrêter de distribuer la nationalité française. », « Il faut cinq ans de présence discontinues sur le territoire pour avoir la nationalité française. « Il ne doit plus y avoir d’automatisation d’obtention de la nationalité. » « Il faut limiter le nombre de personnes à surveiller en les expulsant ». « La loi de Macron sur la Sécurité intérieure c’est zéro ». « Macron n’a jamais pris la mesure du terrorisme ». « Selon Castaner, il faut faire rentrer les islamistes de Syrie et les juger s’il est prouvé qu’ils ont commis des actes répréhensibles », rappelle-t-elle pour déplorer un tel laxisme, comme si être allé en Syrie pour combattre n’était pas suffisant . Elle demande aussi d »Interdire les Frères musulmans ». Autres sujets abordés: La Syrie, Mayotte, Sarkozy, … Etc.

     

    Voir aussi:

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pendans-le-quartier-de-redouane-laktim-a-carcassonne-les-policiers-ont-ete-pris-a-partie-par-des-jeunes-qui-chantaient-sa-gloire/89258/

  • Nicolas Dupont-Aignan : « Le sang des héros ne peut cacher la démission de l’Etat face à l’islamisme »

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    [TRIBUNE] Nicolas Dupont-Aignan : « Le sang des héros ne peut cacher la démission de l’Etat face à l’islamisme » >> https://bit.ly/2pGPiSW 

  • Radouane Lakdim, un destin français ?, par Caroline Parmentier

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    Le sacrifice héroïque du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame qui a bouleversé la France, redonne aux Français le sens de leur identité. L’amour de la patrie, l’idéal de sa mission, l’amour chrétien capable de donner sa vie pour en sauver une autre. Honneur à lui. A travers lui, nous ne sommes plus des soumis.

    Mais son exemple qu’Emmanuel Macron nous brandit aujourd’hui avec lyrisme, va-t-il seulement en tirer la moindre leçon ? Il ne suffira pas de presser les mains de la veuve, de tapoter le dos des parents et de faire une belle rédaction de français lors des obsèques nationales. Le passage à l’acte de Radouane Lakdim, Franco-Marocain de 25 ans, qui a tué quatre personnes et qui a égorgé le lieutenant-colonel Beltrame après lui avoir tiré dessus, comme l’ont confirmé les derniers résultats de l’autopsie, était tout sauf une surprise, contrairement à ce que veut nous faire gober Gérard Collomb.

    Suivi par les services de renseignement depuis 2016 pour radicalisation, fiché « S » depuis l’été 2014, condamné à deux reprises en 2011 et 2015, pour des faits de droit commun, il avait été signalé comme dangereux après un déplacement dans plusieurs pays susceptibles d’être des terrains de formation au djihad. Il a de nouveau été signalé en 2017 pour ses relations avec la mouvance islamiste radicale.

    Nous le savions, nous l’avons répété pendant toute la campagne présidentielle, la présidence Macron ne changerait rien à celle de Hollande en matière de terrorisme islamiste, d’acquisition de la nationalité, de droit du sol, d’islamisation, de submersion migratoire musulmane.

    Fichés « S » et binationaux radicalisés, réseaux salafistes, rien n’a bougé. Lorsque Laura et Mauranne ont été égorgées à la gare Saint-Charles à Marseille en octobre dernier, rien n’a bougé. Il faut une volonté politique pour expulser les binationaux fichés « S », « entamer le bras de fer avec les pays d’origine notamment en agissant sur les fonds de développement mais aussi sur les transferts d’argent massifs qui sont envoyés dans ces pays-là par ceux de leurs compatriotes qui travaillent en France », comme le préconisait Marine Le Pen dans l’interview qu’elle donnait samedi à notre journal. (Présent du 24 mars).

    Le pire, dans l’indécence le disputant à l’incompétence, est venu de Christophe Castaner, secrétaire d’Etat du gouvernement et patron de LREM. 48 heures après les faits, il déclarait sur Europe 1 qu’il convenait d’accueillir en France les djihadistes de retour de Syrie, prétendant qu’une telle mesure permettrait « d’identifier le risque » ! On ne l’identifie déjà pas ou mal, la preuve. Nos services de sécurité sont dans l’incapacité de suivre tous les fichés « S ». C’est vrai qu’il n’y en a que 20 000 à surveiller…

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 26 mars 2018

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