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islamisme - Page 246

  • ALEXANDRE DEL VALLE : « LES DJIHADISTES FRANÇAIS QUI VONT REVENIR VONT CONTINUER À NUIRE »

    Que faire des djihadistes français désirant rentrer en France ? La France doit-elle intervenir pour ses ressortissants qui seront condamnés à mort ? Est-il vrai qu’il est impossible de s’assurer de la sincérité du repentir d’un djihadiste ? Que va-t-il se passer lorsque sortiront de prison les djihadistes arrivés en fin de peine ?

    Alexandre Del Valle tente de répondre à ces questions.

    Que faire des jihadistes français qui désirent rentrer en France ?

    La question est très compliquée. Deux questions se posent. La première, la loi permet-elle de les condamner une fois rentrés ? Et la seconde, devons-nous les aider à rentrer ?
    Il y a ceux qui sont en train de rentrer et qu’on ne peut pas empêcher de rentrer. On va devoir les traiter. On ne pourra pas les mettre trente ans en prison. Dans un pays démocratique, on ne peut pas mettre quelqu’un en prison sans preuve manifeste de ses actes.
    Ceux pour qui nous avons une connaissance de leurs actes parce qu’ils ont été attrapés par les Kurdes, par les forces syriennes, irakiennes, ou autre, et qui nous sont remis par la Justice ou que l’on veut réclamer, là c’est un autre problème. Soit ils seront jugés sur place et certains seront même condamnés à mort. Dans ce cas-là, des forces de la culpabilisation et du multiculturalisme vont dire que c’est scandaleux de les laisser se faire tuer là-bas, même légalement. Soit, nous arrivons à les rapatrier et nous aurons des éléments pour les juger. Mais, pourrons-nous rapatrier des gens qui auront commis sur places des délits extrêmement graves ou des homicides? Les pays qui attraperont des jihadistes qui ont coupé des têtes ne les laisseront pas partir en France.
    On va donc retrouver soit des gens extrêmement rusés que nous ne pourrons pas déradicaliser, soit des gens contre lesquels nous n’aurons pas assez de preuves pour les mettre hors d’état de nuire. Et nous ne pourrons pas les déchoir de leur nationalité s’ils n’ont pas au moins une double nationalité.

    La Garde des Sceaux a néanmoins déclaré que si une condamnation à mort était prononcée contre un ressortissant français en Irak ou chez les Kurdes, la France interviendrait…

     

    Je ne suis même pas sûr qu’elle le pense. Aujourd’hui, le grand drame depuis la fameuse loi Badinter qui avait été votée suite à une plaidoirie de Badinter. Il disait « même un violeur ou un type qui a fait quelque chose de monstrueux ne mérite pas la peine de mort ».
    On est encore aujourd’hui dans cette optique. On n’est pas prêt de revenir en arrière.
    Au moment de l’abolition de la peine de mort, on disait que même un violeur d’enfant ou l’être le plus abject ne méritait pas la mort. Je ne vois pas aujourd’hui qui que ce soit faire marche arrière. C’est presque quelque chose d’aussi puissant que l’avortement.
    Aujourd’hui, on ne peut pas revenir ni sur l’abolition de la peine de mort ni sur l’avortement.
    On est donc condamné à l’hypocrisie. Je suis persuadé que cette ministre de la Justice, de même que les ministres de l’Intérieur, des affaires étrangères et même le président de la République, même s’il le pense comme Hollande l’avait d’ailleurs dit en privé, doivent probablement se féliciter s’il y a des exécutions extras judiciaires sur place soit par nos missiles, soit par des gouvernements locaux. Mais, en fait, il ne faudra pas que cela se sache.
    En revanche, s’il y a une condamnation légale à mort qui est prononcée dans ces pays, nous serons pratiquement obligés de faire croire qu’on veut leur rapatriement et qu’on veut commuer leur peine de mort en autre chose. Sinon, cela voudrait dire qu’on légalise le retour de la peine de mort. On est donc condamné à être hypocrite et à laisser faire tuer des jihadistes ou à les tuer nous-mêmes par des missiles sans aucun jugement et sans que cela soit officiel. Ce sera des accidents, des dommages collatéraux ou à notre insu.

    Le journaliste David Thomson a déclaré dans Le Figaro qu’il était impossible de s’assurer de la sincérité du repentir d’un jihadiste…Partagez-vous cette opinion ?

    Quelqu’un qui a étudié la pensée islamique, sans même forcément avoir été sur place, sait qu’il y a toujours eu la fameuse takia des chiites. La takia vient du chiisme, ce n’est pas sunnite. C’était un principe de survies en milieu hostile.
    Chez les sunnites, cela s’appelle la ruse de guerre.
    On peut aller très loin dans le mensonge quand c’est dans le but d’étendre ou de protéger l’islam ou du jihad qu’il soit offensif ou défensif. Sur ce point, il y a une très grande tradition et qui est difficile à déradicaliser. Ce droit au mensonge absolu peut aller jusqu’à jurer le contraire de ce qu’on est, avoir l’air rasé, fumeur de joints, buveur d’alcool, mangeur de porc. Une fille peut faire croire qu’elle est devenue tout à fait opposée au voile. La fameuse jihadiste bretonne d’origine alsacienne König récemment arrêtée par les Kurdes fait croire qu’elle est devenue moderne. Elle a jeté volontairement son voile en disant qu’elle ne demande plus à être voilée. Elle est en train de pratiquer une ruse de guerre et prépare son atterrissage en France. Elle pourra dire lorsqu’elle sera interrogée par les juges en France « Déjà là-bas, j’avais demandé à enlever mon voile dès que j’ai été libéré par les kurdes, car lorsque j’avais mon voile, j’étais prisonnière ».
    Ils ont une capacité à mentir que tous les spécialistes connaissent, le droit de la ruse absolue.
    Cela explique l’attitude du double jeu des terroristes soi-disant déradicalisés, mais aussi le double jeu d’un Tariq Ramadan ou des islamistes soft qui font croire qu’ils sont pour la laïcité et pour la République. Ils signent même des tribunes avec Edgar Morin en disant « vive la laïcité » , alors que toute leur idéologie, celle des Frères musulmans, est tournée contre la laïcité.
    Dans l’islamisme jihadiste comme dans l’islamisme soft, les deux étant islamistes, je ne parle pas des musulmans modérés, il y a cette tradition de duplicité et de ruse de guerre qui n’est pas un péché dans cette mentalité puisque c’est pour le bien de l’extension de l’islam.

    Il y a deux dangers latents. Ceux qui ont été emprisonnés avant le départ et ceux qui l’ont été à leur retour.
    Que va-t-il se passer lorsqu’ils sortiront de prison ?

    Il y a ceux qui vont sortir, parce qu’ils ont pris des peines courtes. D’un point de vue du droit, on ne peut pas faire autrement. Aucun chef d’accusation ne permet de susciter ou motiver trente ou quarante ans d’emprisonnement. On ne peut pas faire autrement sauf si on essaie de les éliminer sur place ou d’empêcher qu’ils reviennent.
    Nous allons donc avoir un potentiel, même s’ils ne reviendront pas tous, de revenants entre 700 et 2000 pour la France et entre 3000 et 5000 pour l’Europe. Certains vont continuer le jihad toute leur vie et d’autres sont déjà allés en Libye, en Irak ou au Yémen en partant de Syrie.
    En revanche, ceux qui vont revenir vont continuer à nuire. C’est une certitude, c’est comme les violeurs d’enfants, la plupart récidivent.
    D’autres sont frustrés et enragés comme des bêtes, car ils n’ont pas pu partir. On les a préventivement emprisonnés, on leur a mis des bracelets ou on les a empêchés de partir. Lorsqu’ils sont mineurs, on les a mis hors d’état de nuire. On a empêché leur départ vers la Turquie et vers la Syrie en coopération avec les polices européennes et turques.
    Aujourd’hui, on a les revenants enragés qui veulent continuer le combat pour compenser les pertes territoriales de Daech en Syrie ou en Irak et ceux qui ne peuvent pas revenir, car ils n’ont pas pu partir. Ceux-là ils sont encore plus enragés parce qu’ils étaient prêts à agir et on les a frustrés. Ils sont dans des prisons surpeuplées en contact de délinquants. Je vous laisse imaginer ce que devient un être humain qui sort d’une prison où il faut se battre tous les jours pour survivre, pour ne pas se faire brûler à la cigarette, se faire piquer son repas ou se faire violer dans les douches.
    Je ne veux pas faire le gauchiste ou le politiquement correct, mais c’est une question d’humanité.
    Les prisons en France, c’est pratiquement Midnight express. C’est absolument l’horreur pour certaines d’entre elles. La personne que vous mettez dedans ressort bien pire.
    Nous sommes donc absolument certains que les revenants ou les pas revenants qui n’ont pas pu partir sont des bêtes enragées qui vont récidiver et continuer à œuvrer à la radicalisation d’autres personnes en plus de mettre en œuvre leur propre radicalisation.
    Les psychosociologues en face de qui on les met pour les déradicaliser sont désormais totalement discrédités. Prenez Dounia Bouzard par exemple, elle a été bernée par la fille dont elle se vantait d’avoir œuvré à la déradicalisation. La déradicalisation est un échec total. Malheureusement, je ne vais pas faire l’apologie de cette voix, mais je vais vous dire ce que pense un général algérien que j’ai écouté récemment sur la radio publique algérienne:  «  un bon terroriste est un terroriste mort ».
    C’est un peu ce que pensent les Russes. Je ne dis pas que c’est ce que je préconise et ce que je pense. On ne peut pas le faire, car nous sommes dans un État de droit.
    Mais aujourd’hui, la meilleure chose est assurément qu’ils ne reviennent pas.

    http://www.bvoltaire.fr/djihadistes-francais-revenir-continuer-a-nuire/

  • Le Havre : mobilisation contre l'ouverture d'une école coranique

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • TF1 A BEAU FAIRE LA DANSE DU VENTRE, MENNEL IBTISSEM, LA CANDIDATE VOILÉE DE THE VOICE, A BIEN SOUTENU DES ISLAMISTES

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    J’imagine la scène d’ici. Dans l’IGH (c’est comme ça qu’on appelle la tour centrale de l’immeuble du Point-du-Jour à Boulogne, quand on bosse chez TF1), les réunions de crise doivent succéder aux crises de nerfs. Comment en est-on arrivé là ? Comment la première chaîne de France (et la plus grosse d’Europe) a-t-elle pu se retrouver à mettre en avant une certaine Mennel Ibtissem, laquelle s’est répandue durant des mois sur les réseaux sociaux en y tenant des propos aussi controversés que « Les vrais terroristes, c’est notre gouvernement » (1er août 2016) ou en retweetant des publications de Barakacity, organisation islamique dont le fondateur – fiché par la DGSI – refusa, un jour, de serrer la main des femmes sur un plateau de Canal+.

    Comment TF1 peut-elle maintenant gérer cette affaire ?

    Toute la première partie de la saison de « The Voice » est enregistrée, en boîte, « prête à diffuser ». Qu’en fait-on ? On ne peut pas faire disparaître la gênante demoiselle d’un coup de montage magique, comme on le fit avec « Incroyable Talent » sur M6 pour effacer Gilbert Rozon. Il aurait fallu y penser plus tôt. Maintenant, la France l’a vue…

    Le piège qui s’est refermé sur TF1 est celui du politiquement correct et du sacrifice à la coolitude : une jolie voilée, c’est tellement inclusif ! La diversité aux yeux bleus, c’est tout bénef, non ?

    Alors TF1 et la prod de « The Voice » ont bien essayé le bonne vieille méthode du petit père Joseph : on efface ! Ainsi ont été effacés dans l’urgence son compte Facebook personnel et son compte Twitter. C’est bien peu connaître le Net que de se fourvoyer dans de telles pratiques : tout avait déjà été capturé ! Et les captures, c’est comme les petits pains et les poissons, ça a tendance à se multiplier à une vitesse de folie. Résultat : les reflux gastriques de Mennel Ibtissem pullulent sur les réseaux.

    Par exemple, le 15 juillet 2016, le lendemain de l’attentat islamiste de Nice, la future candidate de « The Voice » tweetait sous le mot-dièse #PrenezNousPourDesCons en ironisant sur le fait que le terroriste (mot qu’elle entourait de guillemets !) avait sur lui sa pièce d’identité.

    « The Voice » est non seulement une émission très regardée, mais les dégâts perdurent bien après la conclusion de la saison : le lauréat est auréolé d’une aura qui lui donne une force d’influence majeure auprès d’une certaine jeunesse qui part aisément à la dérive. Ériger en idole une islamiste au cerveau broyé (le correcteur de Boulevard Voltaire va encore me dire que je fais un pléonasme), c’est un jeu dangereux.

    Deux questions restent maintenant en suspens :

    – N’y a-t-il personne, chez TF1, qui consulte les profils des candidats avant de les mettre en lumière ?
    – Que va faire TF1 ?

    Sur sa page Facebook professionnelle, qui a remplacé son profil personnel effacé, Mennel Ibtissem ne publie maintenant – taqiya aidant – que des appels à l’amour entre tous les êtres…

    Ben tiens, #PrenezNousPourDesCons.

    http://www.bvoltaire.fr/tf1-a-beau-faire-danse-ventre-mennel-ibtissem-candidate-voilee-de-the-voice-a-bien-soutenu-islamistes/

  • Accusations de viols: l’islamiste Tariq Ramadan déféré au parquet de Paris en vue d’une mise en examen

    L’islamiste Tariq Ramadan, accusé de viols, a été déféré au parquet de Paris dans la nuit du jeudi 1er au vendredi 2 février en vue d’une mise en examen.

    Avant son transfert dans la nuit au palais de justice de Paris, le prédicateur musulman a été confronté jeudi, pendant plus de trois heures, à l’une des plaignantes. Cette femme l’accuse de viol dans un hôtel à Lyon en 2009.

    Au terme de cette confrontation, Tariq Ramadan, qui nie les faits, a refusé de signer le procès-verbal.

    Le 31 janvier, Libération titrait : “Tariq Ramadan : un leadership irrémédiablement compromis” et mettait en avant les conséquences de cette affaire au sein des milieux islamistes.

    Dans les réseaux fréristes qui le conviaient très régulièrement en France, l’effet a été dévastateur. C’est même un coup très dur pour Musulmans de France (l’ex-UOIF, la branche française de la confrérie). Murée dans un silence total, l’organisation, selon des sources internes, est accablée. «Ramadan était le pivot central de leur grand rassemblement annuel au Bourget», explique Haoues Seniguer. Mais pas seulement. «Tariq était une sorte de modèle, reconnaît l’un des dirigeants de Musulmans de France. Nous devons réfléchir à notre discours vis-à-vis de nos jeunes.» L’ex-UOIF a été beaucoup sollicitée, à l’automne, par son réseau local, des associations et des lieux de culte (environ 200) qui se situent dans son orbite, tous ébranlés par les révélations.

    https://fr.novopress.info/

  • 50 jihadistes tunisiens cachés parmi les migrants*

    Ce n'est pas faute d'avoir été prévenus (iciiciici et ici). Même le pape François a évoqué ce risque. C'est une révélation du Guardian qui ne surprendra donc que les naïfs :

    "Le 29 novembre dernier, l’organisation internationale de police Interpol a envoyé une liste très précise aux agences européennes de renseignement, rapportant qu'une cinquantaine de combattants de Daech seraient arrivés sur le territoire européen par la mer, révèle le journal britannique The Guardian. (...) Ils seraient arrivés en Sicile via la route des migrants, entre juillet et octobre 2017, à bord de bateaux de fortune. L'un d'entre eux "a peut-être déjà traversé la frontière italo-française, pour atteindre le Gard", précise d'ailleurs Interpol (...)

    Selon The Guardian, qui cite un officier antiterroriste européen, ces jihadistes auraient profité de la filière qui achemine les migrants économiques tunisiens sur la plage de Torre Salsa, à Agrigente, en Sicile, point de débarquement principal."

    Et pendant ce temps-là, les auditeurs de France Info peuvent entendre à longueur de journée une jeune fille décidée à se battre pour le "droit" des étrangers et favorable à l'accueil de tous les "migrants"...

    *le terme "migrant" désigne dans le novlangue des immigrés clandestins qui entrent illégalement en Europe et qui y resteront quelque soit leur véritable statut

    par Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/02/50-jihadistes-tunisiens-cach%C3%A9s-parmi-les-migrants.html

  • Viens voir les comédiens…

    Le bilan du ministère de l’Intérieur publié hier, recensant tous les actes racistes commis l’année dernière fait état d’une forte décrue en 2017 sur notre territoire : -34,5% ( 121 faits) pour les actes anti-musulmans, -14,8%, ( 518 faits) pour les les actes racistes (hors actes anti-juifs et anti-musulmans comptabilisés à part), – 7,2% ( 311 faits) pour les actes anti-juifs regroupés sous le vocable d’actes antisémites. Dans son communiqué le ministère précise cependant que « Cette baisse globale ne doit cependant pas masquer l’augmentation des faits (…) d’actions violentes, dirigées contre les musulmans (de 67 à 72) et contre les juifs (77 à 97). » «Toutes ces actions constituent de véritables insultes à la République, qu’il nous faut sanctionner et continuer de combattre sans relâche», est-il rappelé. Quand bien même  ces violences là sont bien évidemment condamnables,  elles restent  très marginales au regard des violences ordinaires, parfois (si ce n’est souvent) motivées clairement par un ressentiment ou un racisme  anti de souche, subies par tous les autres Français et qui elles ne sont pas comptabilisées ici… Ce sont  d’ailleurs les sépultures et les édifices religieux chrétiens, certes les plus nombreux,  qui ont été victimes  très majoritairement de dégradations-profanations en 2017  (878 faits), même si une baisse est à constater par rapport à 2016 (-7,5%). Les atteintes aux tombes et lieux de culte mahométans diminuent  aussi (72 faits, -15% ), celles contre les  lieux juifs augmentent   de 22%, mais sont peu nombreuses (28 faits). Le ministère de l’Intérieur s’est félicité de cette baisse globale des atteintes aux édifices religieux et aux sépultures, une première depuis 2008 (-7,5% avec 978 faits recensés).  Si les sociétés multiculturelles sont par essence multiconflictuelles,  ce multiculturalisme qui n’est rien d’autre qu’un processus de  défrancisation,   nous est présenté comme l’horizon indépassable de nos sociétés avancées. Il  est cependant la marque de la trahison politique de nos élites au pouvoir 

    Dans un tribune  publiée sur le  site du Figaro, le chroniqueur littéraire au et essayiste Paul-François Paoli  s’arrête   brièvement sur la mise en examen du dissimulateur madré  Tariq Ramadan, pour mieux faire  le procès du  multiculturalisme , «un système où tous les référents religieux et culturels s’équivalent dans un espace prétendument commun. L’intégriste est totalitaire, il veut convertir son entourage non musulman à l’islam. Le multiculturaliste est libéral qui demande aux musulmans de vivre comme dans un pays musulman en respectant des procédures communes.» « Quand Jacques Attali affirme que la France est d’ores et déjà un pays musulman puisque des millions de musulmans y vivent, que dit-il d’autre? Pourquoi fermer les yeux? Le libéralisme qui promeut le marché et le Droit comme référents ultimes de nos sociétés d’individus est le cheval de Troie du multiculturalisme, ni plus ni moins. Le débat tabou sur le multiculturalisme n’a pas eu lieu en France, parce que nous sommes attachés à la doxa républicaine. Mais cette doxa, on le sait, vaut surtout pour les catholiques. C’est à eux que Mélenchon, Plenel et d’autres rappellent qu’il ne faut pas manifester leur foi dans l’espace public (…) . Les laïcards en France gonflent leurs muscles pour combattre une catholicité qu’ils aiment détester, mais ils sont pétris d’inhibition devant les barbus des cités.»

    «Pourquoi leur faire grief de ne pas s’acculturer à un pays qui ne sait plus se décliner autrement que sur le mode des «valeurs républicaines», notion floue dont n’usaient ni De Gaulle, ni Pompidou, ni GiscardMacron n’a-t-il pas contesté la notion même de «culture française»? (…)  les Français devraient s’interroger sur la responsabilité de ceux qu’ils élisent depuis des annéesN’est-ce pas Chirac qui affirmait que les racines de l’Europe étaient musulmanes? N’est-ce pas Macron qui soutient que l’islam est un monothéisme tout ce qu’il y a de plus pacifique? N’est-ce pas Hollande qui postule que la France est une idée – ce qui suppose que les Français qui ne partagent pas son idée sont des étrangers en France? »

    Ajoutons  qu’à cette vision d’une France désincarnée, privée  de réalité  charnelle, car  réduite à une  idée , c’est-à-dire   à  une abstraction,  point de vue que  M. Hollande  partage en effet avec  la gauche et la droite libéralo-progressistes,  s’ajoute la grosse propagande visant à diaboliser les défenseurs d’une France enracinée et d’un peuple Français qui est ici chez lui et ne veut pas disparaître. Les procédés utilisés  sont d’ailleurs toujours les mêmes.  Nos amis de l’opposition nationale,  les Allemands  de l’AfD comme nos camarades Autrichiens  du FPÖ en font aussi (de nouveau)  l’expérience ces deniers jours  avec une recrudescence d’attaques politiques, émanant des  lobbies immigrationnistes et  antinationaux,  relayées par les médias contrôlés. Elles visent à leur refourguer  le mistigri  de l’antisémitisme, accusation on le sait particulièrement disqualifiante, paralysante, a fortiori Outre-Rhin, pour mieux faire peur dans les chaumières, faire diversion,  jeter l’opprobre sur ceux qui refusent un multiculturalisme qui se nourrit de la  submersion migratoire.

    Une immigration sauvage  dont nos peuples européens ne veulent pas  et dont les personnels pénitentiaires en France sont bien placés pour en mesurer  les conséquences et les ravages. Le site Russia Today se faisait l’écho d’une information rapportée par Le Canard Enchaîné hier  selon laquelle  « Emmanuel Macron se serait emporté devant ses proches au sujet de la crise des gardiens de prison. Selon lui, les syndicats ne tiennent rienFO pénitentiaire est noyauté par le FN, ce qui explique sa position jusqu’au-boutiste, aurait poursuivi le président de la République.»

    «Mais pour FO (contacté par RT) , ces accusations présumées sont dénuées de fondement. C’est ridicule voire risible. Chez nous, il n’y a aucune personne du FN, s’énerve Yoan Karar, secrétaire général adjoint du Syndicat national pénitentiaire Force ouvrière.  On ne sait pas de qui vient cette attaque, on le saura tôt au tard. Mais on a un peu l’impression que dès l’instant qu’on est contestataire, pour le gouvernement, on appartient au Front National. Mais comme par hasard, c’est une attaque qui arrive à un moment où un syndicat majoritaire a validé l’accord avec Nicole Belloubet alors que nous l’avons rejeté », explique M.  Karar. Ce dernier est peut-être au nombre des cadres syndicaux inquiets de  « la déferlante FN  (qui)  laisse les syndicats CGT, CFTC, FO désemparés » devant « l’audience grandissante des discours de Marine Le Pen auprès des salariés, y compris parmi leurs militants »,  comme l’indiquait  l’article paru  en  mars dernier sur Médiapart   sous les plumes conjointes de Rachida El Azzouzi, Mathilde Goanec et Dan Israel.

    Alors Bruno Gollnisch va se faire une joie  d’éclairer les  lanternes de MM. Macron et Karar. Il est bien évidemment statistiquement évident qu’il ya des  des adhérents de FO,  y compris  occupant des fonctions de représentation,   d’encadrement  au sein de ce syndicat,  qui sont aussi  des électeurs, des sympathisants, des adhérents du FN. Dans quelle proportion? Nous ne le dirons pas.  Les résultats du sondage Ifop, publié fin mai 2014,  indiquait que si  22 % des « salariés qui se disent proches de la CGT » avaient voté FN aux élections européennes, ce  pourcentage atteignait  33% chez les salariés « proches de FO » (loin devant le PS second avec 15% et le Front de Gauche 11%). La direction de Force Ouvrière en est tellement  consciente qu’elle ne s’était  pas associée par exemple à l’appel « vivre ensemble, travailler ensemble » (sic)  lancée en juin 2015 par la CGT, la  CFDT, l’UNSA, et Sud-Solidaires contre le Front National  « premier parti ouvrier de France. »

    « Nous préférons un combat utile, réel, à un peu d’agit-prop sur un sujet éminemment politique »  expliquait alors  le secrétaire national de FO Pascal PavageauUne manière de botter en touche notions-nous alors ,  qui  s’expliquait aussi  par la lecture d’une enquête de Harris Interactive pour l’Institut de l’entreprise. Celle-ci  indiquait  que les personnes se déclarant proches d’un syndicat ont plutôt moins tendance à voter FN que l’ensemble des Français : 18 %, contre 25 %, au premier tour des élections départementales de mars 2015.  Pour autant, ce sondage soulignait aussi que FO est  le syndicat qui abrite(rait), de très loin, le plus de sympathisants FN. 37% des personnes se disant proches de FO seraient ainsi « les plus susceptibles de voter FN ».«C’est du flan, du n’importe quoi !» avait clamé M. Pavageau, sur le même mode indigné que Yoan Karar cité plus haut.  Allez, mieux vaut sourire  de tous ces comédiens plus ou moins doués…

    https://gollnisch.com/2018/02/01/viens-voir-comediens/

  • Manifestations en Allemagne suite au meurtre d’une jeune fille par un immigré afghan

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    Dimanche dernier de nombreux manifestants ont protesté à Kandel en Allemagne, suite au meurtre d’une jeune fille fin décembre. Celle-ci avait été tuée par son ex petit ami, immigré illégal venant d’Afghanistan, apparemment lui aussi mineur. Suite à leur séparation celui-ci s’était montré menaçant envers la jeune fille au point que celle ci et sa famille en viennent à demander de l’aide à police locale. Cela n’a pas empêché l’adolescente de se faire poignarder deux semaines plus tard par l’afghan.

    Alors que des faits similaires agitent l’Allemagne depuis plusieurs mois, les allemands sont de plus en plus nombreux à enfin s’élever contre la politique migratoire insensée de leurs dirigeants.

    Le dernier accord en date pris par la chancelière avec ses prétendus opposants sociaux démocrates censé limiter le nombre de demandeurs d’asile à 220000 par an, ne les satisfera sans doute pas.

  • DJIHADISTES CONDAMNÉS À MORT : VAE VICTIS !

    Le gouvernement a tenu des propos sensés à propos des islamistes « français » arrêtés en Syrie et en Irak, ce qui lui a valu une avalanche de critiques de la part de tout ce que la bien-pensance compte de consciences éclairées. C’est sans doute pour se racheter auprès de ceux-là que le ministre de la Justice, une dame Belloubet, a fait part à BFM TV d’une ferme résolution : si des djihadistes français devaient être condamnés à mort, l’État français interviendrait. Ou l’art de dire des énormités.

    Quoi qu’en pense cette dame, ces gens ne sont pas français. Leur nationalité théorique ne change rien à l’affaire. Qu’on les laisse donc réfléchir à la question. Mais encore, méritent-ils la moindre commisération de la part d’un pays qu’ils ont renié ? Ces combattants d’Allah ont beau exprimer – pour certains – des regrets de circonstance, ils n’en demeurent pas moins des ennemis qui ont décidé, un jour, de prendre les armes aux côtés d’un groupe terroriste et criminel international. Un peu comme on devenait pirate au XVIIIe siècle, et qu’on attaquait les navires de son pays d’origine. Lorsqu’on prend les armes contre son pays – rappelons que la France était engagée en Irak et que nos aviateurs s’en sont donné à cœur joie -, on ne peut pas réclamer l’assistance de ce même pays une fois vaincu. Vae victis !

    La guerre n’est pas un jeu vidéo. Dans ce conflit sont tombés des hommes de chair et de sang. Ils ont souffert dans leur corps et dans leur âme. Ils ont combattu l’hydre islamiste. Ils ont donné leur vie, et avec la leur, trop souvent, celle de leurs familles. Les ressortissants français qui les ont aidés n’ignoraient rien de ce qui se passait là-bas. Soit authentiques musulmans fanatiques, soit petites racailles en quête d’aventure au désert, ils assument leurs actes, un point c’est tout. Et, si l’on nous permet un propos que désavouerait un ministre, nous en débarrasser est une excellente chose.

    Alors, pourquoi cette déclaration ? La France étant la patrie des droits de l’homme (c’est bien connu), elle doit faire honneur à sa réputation de lutte sans relâche contre la peine de mort. Sortez les violons. Le ministre n’échappe pas à la règle. Mais son propos est tout bonnement absurde, et pourrait bien ridiculiser son auteur. Voici un pays, la Syrie, avec lequel nous avons rompu toute relation diplomatique. Pour rester fidèle à notre suzerain américain, nous avons renié les liens millénaires qui nous unissaient au Levant. Au sein de ce pays, dont le régime de Macron insulte quotidiennement le président légitime, la zone kurde a fait sécession de fait et n’applique pas la peine de mort. Qui ira donc, en Syrie, discuter et négocier du sort de quelques terroristes justement condamnés, et avec qui ?

    En Irak, sous influence américaine, la situation n’est guère plus simple. Notre influence y est nulle, et les Irakiens ont sans doute autre chose à faire que d’écouter un obscur chargé d’affaires français qui plaiderait la cause d’un ou deux criminels promis à la potence à cause de leurs actes. Ce raisonnement est celui d’une puissance coloniale qui croit encore pouvoir agir au Moyen-Orient comme elle le ferait envers un tyranneau africain dont elle soutient le trône vacillant. Il ne fonctionnera pas, parce que les gouvernants locaux ne savent même plus où est la France. Elle s’est lamentablement effacée derrière l’Oncle Sam, lui-même éclipsé par la puissance russe dans la région.

    Un peu de bon sens. Laissons ces misérables là où ils sont, là où ils ont voulu aller. C’est la dure loi du vaincu.

    http://www.bvoltaire.fr/djihadistes-condamnes-a-mort-vae-victis/

  • Un peuple ordinaire ne se transforme pas, du jour au lendemain, en peuple de violeurs

    6a00d83451619c69e201b8d2d449f8970c-250wi.jpgLe nouveau livre de l'historienne et l'islamologue Lina Murr Nehmé est consacré aux femmes dans l'islam. Le roi d'Arabie Saoudite condamne ses filles à mourir de faim. Les dirigeants de ce monde laissent faire. Des hommes, en plein Paris, traitent une actrice musulmane de mécréante et tentent de la brûler vive. Les passants ne la secourent pas. Un jeune homme torture à mort et tue sa voisine juive en criant « Allahou Akbar ». La presse tait le crime. Ce sont des mots, des discours qui sont à l'origine de ces crimes barbares. Pourquoi certains prédicateurs interdisent-ils, en France, aux musulmanes de sortir et de s'habiller à la française ? Pourquoi les prétendent-ils inférieures aux hommes ? Pourquoi demandent-ils aux hommes de les battre ? Quel rapport y a-t-il entre djihadisme, maltraitance des femmes et trafic de drogue en Occident ? Et pourquoi l'accroissement de la puissance des islamistes a-t-elle abouti, en Orient, à des viols collectifs publics, jusqu'à cent par jour au Caire ? Ce livre dévoile les conséquences tragiques de la prédication islamiste sur la vie des femmes. Extrait :

    "le viol de l'esclave de sexe féminin passe pour un moyen "de rester chaste" pour un musulman, textes sacrés à l'appui. Le matraquage est tel qu'il confine au lavage de cerveauD'où les agressions sexuelles et viols commis par des groupes d'hommes au Caire, à Cologne et ailleurs. Car un peuple ordinaire ne se transforme pas, du jour au lendemain, en peuple de violeurs. Il faut bien que quelqu'un lui ait dit que le viol des mécréantes ou des musulmanes libre-pensantes était une chose permis. Et non seulement permise, mais bonne, "pour les humilier", car "la possession d'une personne par une autre par le biais de l'esclavage a pour cause la mécréante, le combat contre Allah et son Apôtre," disent aussi les oulémas. Ils ne pourraient d'ailleurs pas justifier l'esclavage s'ils parlaient autrement.

    Ces phrases, répétées par des prédicateurs ayant une très grande diffusion, ont fini par aboutir à l'esclavagisme de Daech et à la tragédie de milliers de femmes et de fillettes chrétiennes ou yazidies vendues au marché, avec la permission de les violer, même si elles étaient en très bas âge."

    Et cet autre :

    "L'Arabie Saoudite a aboli l'esclavage en 1962. Avant cette date, le plus grand marché aux esclaves du monde se tenait à La Mecque à l'époque du pèlerinage. On pouvait, non seulement y acheter des esclaves, mais aussi coucher avec des captives employées par leurs maîtres pour la prostitution - la vierge coûtant beaucoup plus cher au client que celle qui avait déjà servi !

    En secret, le trafic d'esclaves existe toujours en Arabie. Ainsi les lieux saints de l'islam sont gardés par des esclaves châtrés (Zeghidour en a compté 36 en 1988). En outre, les employées de maison sont souvent violées comme les esclaves... par habitude."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La guérilla ethnique s’aggrave – par Guillaume Faye

    FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)
    Chaque année, pendant la nuit du Nouvel An, les incidents provoqués gratuitement par les ”jeunes” d’origine immigrée sont de plus en plus graves et s’apparentent à ce que Marine Le Pen a décrit dans un communiqué du 1er janvier 2018 : « ces scènes d’une rare violence viennent rappeler que perdure et s’amplifie dans notre pays, à côté de la menace terroriste, une insécurité confinant parfois à la guérilla urbaine ». Elle n’a pas osé désigner, politiquement correct oblige, l’origine des auteurs des faits. On lui pardonne, elle est tenue. De son côté, le ministère de l’Intérieur a reconnu que la soirée avait été « un peu chaude », mais que les festivités se sont globalement « bien passées » avec « très peu d’incidents ». Ah bon ?
    Tentative d’homicide filmée et diffusée

    Essayons d’interpréter les faits d’agression en prenant du recul. À Champigny–sur–Marne, une bande de voyous, pas vraiment Français de souche, tente d’entrer dans un lieu où se déroule un réveillon privé, dont ils défoncent la porte. Appelée, la police les expulse. Mais deux policiers, un homme et une femme, se font isoler et cerner pendant l’émeute qui s’ensuit. Ils sont lynchés et tabassés par des dizaines de ”jeunes” (devinez leur origine…). La jeune policière, à terre, est rouée de coups de pieds, surtout au visage. La scène, insoutenable, est filmée au smartphone par un des agresseurs et les images, comme un exploit à imiter, seront diffusées sur les réseaux sociaux. Appelés en renfort d’autres policiers viennent les secourir. Deux voyous seulement ont été placés en garde à vue. Les deux fonctionnaires, gravement blessés, sont hospitalisés avec dix jours d’interruption de travail.

    Ce sont des miraculés car l’intention de les tuer était manifeste. Patrice Ribeiro, patron du syndicat de policiers Synergie–officiers a analysé : « Cela témoigne de l’explosion exponentielle des violences perpétrées contre les policiers, avec une volonté homicide décomplexée. Cette scène de lynchage est digne des pays où les mœurs les plus barbares ont cours ». (1)Sans réponse judiciaires fermes, nous courrons à des drames ». Une autre attaque du même type, avec double agression a été perpétrée à Aulnay–sous–Bois contre des policiers. Il faut dire que l’État est objectivement complice des voyous, en dépit des communiqués pro–police tonitruants, martiaux, indignés et creux de ses plus hautes autorités –MM. Macron et Collomb, le ministre de l’Intérieur – qui n’envisagent pas une seconde de rétablir les peines planchers, abrogées en 2014, pour les agresseurs de policiers ! Bidon, mensonge et spectacle, au sommet d’un État qui est gouverné par des… [je vous laisse choisir le terme].

    Essayer de tuer un policier si l’on est d’une certaine origine… est, objectivement, dans la France en décomposition d’aujourd’hui, nettement moins puni par des magistrats gauchisés que si, Français de souche, on tire sur un agresseur à domicile d’origine immigrée.
    Aggravation constante des troubles du Nouvel An

    Mais tout va bien ! Cette même nuit de la Saint–Sylvestre 2017–2018, on a aussi vu 1031 véhicules incendiés, contre 935 l’année précédente, dont 250 en Ile–de–France, surtout évidemment près des zones où se concentrent des jeunes d’origine immigrée.

    510 délinquants ont été arrêtés dans toute la France contre 456 fin 2016. (L’immense majorité est relâchée.) Il y eut aussi 10 policiers et militaires agressés et blessés par nos amis les ”jeunes”. Eh oui, ça augmente et ça augmentera. Soyez–en sûrs : pratiquement aucun des délinquants ne fera de la prison ou ne supportera la moindre amende. Les magistrats sont antiracistes…

    Les agressions et émeutes de la nuit de la Saint–Sylvestre ont encore gagné en intensité par rapport à l’an passé et cette montée en puissance se poursuit chaque année depuis 10 ans. À Paris et dans la petite couronne (92, 93, 94), pendant la nuit du Nouvel An, 213 interpellations ont eu lieu contre 202 en 2016 ; 163 véhicules ont été incendiés contre 134 à la Saint Sylvestre 2016. On a enregistré 6 tirs de mortier contre les forces de l’ordre contre 2 en 2016.

    La nouveauté c’est que, maintenant, les agressions et les incendies de véhicules gagnent Paris intra-muros. Les ”jeunes” s’enhardissent. À 20.50 h sur les Champs Élysées les gendarmes mobiles ont arrêté sept individus qui jetaient des canettes pleines dans la foule dans l’intention de faire des victimes. Les auteurs de cet acte d’hostilité, de guérilla ? Des immigrés clandestins…afghans. Un employé du Fouquet’s a été blessé à l’arme blanche en s’interposant dans une bagarre. Dans le XIe, une serveuse de bar a été victime d’une agression sexuelle.

    Partout, dans la banlieue parisienne, selon un rapport du ministère de L’Intérieur, violences et agressions ont été d’un niveau nettement supérieur à l’an passé. Pour se dégager de guet–apens, notamment à Stains (93), la police a dû utiliser des lanceurs de balles de défense et des grenades. Des guet–apens ont aussi eu lieu à Sevran, à Houilles. À Clichy, ce sont les chauffeurs de bus qui ont été agressés. Toujours par la même population… Ce qui démontre que le niveau de la ”délinquance” est dépassé et que le seuil de la guérilla est franchi. Dans le reste de la France, le niveau de violence de la Saint–Sylvestre a suivi la même progression qu’en région parisienne.

    Selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), le nombre de violences « à dépositaire de l’autorité publique » (policiers, gendarmes, militaires, etc) a triplé en 30 ans, de 10.000 en 1995 à 32.000 en 2016. C’est la France qui est visée par ces symboles et il s’agit bien d’une logique de guerre intestine par des agresseurs qui s’envisagent comme des envahisseurs. Le nombre de policiers blessés en mission est passé de 4.197 en 2008 à 5.767 en 2016, avec une forte hausse récente de ceux blessés par arme, 430 en 2015, 687 en 2016.

    Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a fait cette déclaration qui laisse rêveur : « J’étais à Champigny hier. Quand on voit ces grandes barres, on se dit qu’il y a un aspect totalement inhumain qui ne peut générer que de la violence ». Ridicule. Dans les années soixante, quand seuls des Français de souche habitaient ces ”grandes barres”, tout était calme.

    Taire et censurer la réalité des faits

    Cette délinquance en bandes ethniques organisées est un prélude, un préparatif à une guerre civile ethnique d’agression, dont la corrélation avec l’islamisme est claire. C’est évidemment une des conséquences du laxisme migratoire total qui règne depuis un demi–siècle. La classe politique et les dirigeants français taisent ou travestissent les faits. Aucun média n’a osé révéler l’origine des auteurs des agressions – des ”chances pour la France ”. La totalité des agresseurs et des émeutiers du 31 décembre, comme à chaque épisode semblable (ce que savent bien les services de police qui ont ordre de ne jamais le mentionner dans leurs rapports), était d’origine maghrébine et surtout africaine. Leurs motivations sont non seulement crapuleuses –pillages et vols culturellement ataviques – mais aussi antifrançaises, c’est–à–dire racistes et politiques, avec l’islam en embuscade. Les grands médias, dans notre pays de très relative ”liberté de la presse”, (35e rang mondial sur 180 pays selon Reporters sans frontières) sont lourdement dissuadés de révéler la vérité sur l’origine ethnique des auteurs des exactions précitées. Ce qui est stupide, puisque tout le monde sait qui pille, vole, parasite, trafique, agresse, assassine, viole, incendie et éventuellement pose des bombes et égorge à l’arme blanche.

    La lucidité de G.W Goldnadel

    La réponse pénale n’est pas à la hauteur. Les voyous d’origine immigrée se sentent totalement impunis. 100.000 peines de prisons ne sont pas exécutées chaque année. Et pas plus l’actuelle Garde des Sceaux , pas plus que la calamiteuse Taubira n’envisage de créer de nouvelles places de prison.

    Le seul à avoir osé dire la vérité sur le lynchage du capitaine de police et de la gardienne de la paix a été l’avocat Gilles–William Goldnadel, dans Le Figaro du 3 janvier 2018 («Lynchage des deux policiers à Champigny : nommons les faits »). Il laisse entendre tout d’abord ce qu’aucun journaliste apeuré (pléonasme) n’a osé mentionner, mais ce qui est parfaitement visible dans les vidéos de l’agression : les auteurs étaient tous de jeunes Noirs. Il estime que l’agression était à caractère raciste anti–Blancs et anti–Français. Et enfin, il accuse les médias et le système politique de dissimuler ces évidences, avec leur utopie totalement échouée du ”vivre ensemble ”.

    Il écrit : « Cette haine sauvage des policiers français n’est pas issue mystérieusement d’une génération spontanée ». Il dénonce la complicité des intellocrates et des médias, de Mathieu Kassovitz et de Médiapart (le site d’Edwy Plenel) avec les agresseurs et les émeutiers. Comme d’ailleurs chez Le Monde, Libération, France Télévision et Radio France, le tropisme masochiste collaborationniste ou sympathisant avec tout envahisseur – nazi est un mal français. Du nazisme à l’islam, on adore. La vulgate ”antiraciste” (attention, pas le racisme anti–Blancs, autorisé) règne sans entraves.

    GWG remarque : « les jeunes en groupe déchaînés semblaient habités d’une impression d’impunité. Je ne suis pas le plus mal placé pour écrire qu’elle est largement fondée. […] Ces jeunes de Champigny –sur–haine sont manifestement issus de l’immigration ». Il évoque « le bacille de la haine des policiers français mais celui tout bonnement de la France prétendument raciste. Et du racisme, parlons–en à la fin. On n’entend guère ce mot à propos du lynchage de Champigny. Or supposons un instant, dans une autre affaire, dix Blancs s’acharnant sur deux Noirs à terre ». La médiatisation et l’indignation seraient énormes. Deux poids, deux mesures

    Quand le Noir Théo, voyou délinquant, avait prétendu avoir été ”violé” par les matraques de policiers, Hollande, (le président de la République !) était allé le visiter à l’hôpital. Antiracisme oblige. Ni Macron ni son ministre de l’Intérieur n’ont visité à l’hôpital la jeune policière tabassée par des Noirs et qui a échappé de peu à la mort. GWG s’interroge : « il n’est que temps de questionner le racisme anti–Blanc, le racisme antifemme et le racisme antipolicier qui sévit dans les quartiers. Sans trembler ».

    En réalité, le point de non–retour est atteint. Jamais, l’utopique ”vivre ensemble” ne pourra s’installer. Jamais l’”insertion” ou l’”inclusion” (nouvelle lubie) ne pourront se réaliser. Jamais la haine raciste et jalouse de la France – et des autres peuples européens comme des Juifs– ne pourront s’éteindre dans populations en augmentation numérique constante. La guerre civile ethnique se profile de plus en plus clairement. Et pourtant, ce que nous voyons se dérouler aujourd’hui est bien peu de choses et ressemble à des échauffourées par rapport aux affrontements gigantesques qui se préparent.

    https://fr.novopress.info/209313/la-guerilla-ethnique-saggrave-par-guillaume-faye/#more-209313