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islamisme - Page 247

  • L'attentat de Marseille, malheureusement, n'en est qu'un de plus !

    Que dire de l'attentat de Marseille, que nos lecteurs ne sachent déjà, qui n'ait été vu et revu sur toutes les chaînes d'info en continu ? Tout le monde, aujourd'hui sait - ou croit savoir - tout sur tout, tout de suite ! Inutile d'en rajouter.

    Qu'exprimer alors d'important qui ne l'ait déjà été ici ? Nous n'aimons pas tellement les redites logorrhéiques qui ne servent à rien sinon à passer sa colère, son exaltation indignée, son horreur, rafale de points d'exclamation à l'appui. Les sentiments que nous venons de dire, nous les connaissons tous ; ils ne servent pas le Pays au niveau qui convient. En tout cas pas avec le sérieux voulu. Les forces de l'ordre font leur travail avec courage et en grande part avec efficacité. Ce sont elles qui en courent les risques - les plus élevés. Et les assassins ressortent de leurs actions rarement vivants. Comme si, à leur encontre, une sorte de peine de mort, d'exécution immédiate, avait été tacitement et heureusement rétablie.  Nul ne s'en étonne ni ne s'en indigne. Comme jamais, « nécessité fait loi » ! Les militaires de l'opération Sentinelle ont encore abattu le forcené d'hier, Gare Saint-Charles, à Marseille. Ils ont fait ce qu'il y avait à faire. Deux passantes sont mortes qui ne font que s'ajouter à la longue liste des victimes des fous de l'Islam.  Se taire, s'incliner...

    Mais pourquoi ces victimes, celles de Paris, de Nice, de Toulouse, de Levallois-Perret ... hier de Marseille ? A raison de quelles causes, de quelle politique, puisque c'est de cela qu'il s'agit ? Et de quelles responsabilités ? Telle est la vraie question. Depuis les attentats de janvier 2015, il y a presque trois ans, rien de fondamental ne s'est ajouté. Les choses ont continué : les flux migratoires - comme avant et  - comme il était prévisible - les attentats, en France et dans toute l'Europe. Ne s'est ajoutée que la vague supplémentaire des migrants réfugiés, ou prétendus tels. Folie supplémentaire elle aussi, sous le Haut Patronage européen d'Angela Merkel.

    Pourquoi ces victimes ? A raison, à cause de quoi, de qui ? Nous avons répondu à cette question dès janvier 2015 - le 8 - et, après trois ans, nous ne voyons pas grand chose à y changer. Il nous semble avoir, alors, vu et dit l'essentiel.

    Le voici :

    « Quand on laisse entrer chez soi, en un laps de temps relativement court, des millions d’immigrés venus d’un autre continent, nés d’une civilisation radicalement différente, guidés par les mirages d’un niveau de vie que leur misère originelle rend terriblement attrayants et qui n’ont que peu de sens et de respect de ce que sont les mœurs, les lois, les traditions du pays où ils arrivent, quand on en a soi-même largement perdu l’amour et la pratique, il n’y a pas de quoi être étonnés des troubles et des violences qui se produisent inéluctablement. C’est la première réflexion qui nous vient à l’esprit après les événements tragiques d’hier, à Paris. Il y a longtemps, ici, en effet, que nous mettons en garde contre la politique d’immigration de la France, devenue plus périlleuse encore du fait de la crise économique et du laxisme de nos gouvernants. Du fait, aussi, d’un certain nombre de nos erreurs - de graves erreurs - en matière de politique étrangère. Il y a longtemps que nous signalons à quel point notre République vit sur une poudrière et qu’il peut arriver un temps où le travail de nos services de sécurité ne suffira plus à empêcher la multiplication des violences et des attentats. Ce temps est peut-être arrivé et il ne faut pas manquer d’en rechercher les causes, d’en marquer les responsabilités. Certes, tous les musulmans de France ne sont pas des terroristes. Loin de là. Nombre d’entre eux sont probablement en voie d’intégration. Et le réalisme devrait conduire, si nous en sommes capables, à les y aider, à les y encourager. Mais les risques de l’immigration massive demeurent ; elle est un terreau porteur de terribles dangers. Et, en tout cas, tous les terroristes qui menacent aujourd’hui la France le font au nom de l’Islam. »

    Tout esprit censé comprendra qu'il s'agirait aujourd'hui de mettre en place une politique inverse de celle qui a été menée jusqu'ici en matière d'immigration. Et en bien d'autres domaines corrélés, encore : famille, Education, culture, médias. Etc. En bref, il s'agirait en tous domaines essentiels, selon la formule maurrassienne, de « renverser la mécanique de nos malheurs ». 

     Lafautearousseau

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • La vérité dangereuse

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    Bernard Plouvier

    Il est évident, pour tout esprit libre de dogme(s), qu’il n’existe pas plus de vérité politique, philosophique ou juridique qu’il n’existe de vérité historique ou religieuse. Toutefois, il existe une vérité factuelle : les faits d’observation forment des évidences et nier ces évidences définit médicalement le délire.

    Fait : le terrorisme mahométan est devenu un risque permanent un peu partout dans le monde et rien ne permet de différentier a priori un fidèle d’allah calme d’un djihadiste en puissance. De même qu’une canaille d’affaires peut un jour décider de ne plus escroquer son prochain, de même qu’il arrive qu’un alcoolique ou un drogué cessent d’être esclaves de leur poison, un homme pieux peut devenir un illuminé, fou de son dieu.

    Un jour peut-être, les « penseurs » comprendront-ils qu’il n’est pire criminel de masse que celui qui impose un dogme où l’extermination des ennemis est présentée comme chose belle et bonne, agréable à la divinité ou à son substitut politique.

    Il arrivera fatalement qu’un historien « révisionniste », versé dans l’exploitation prudente des statistiques modernes et des estimations chiffrées antiques et médiévales, estimera que les religions monothéistes ont été aussi meurtrières que le marxisme qui a endeuillé le XXesiècle.

    Ce ne sera pas une chose aisée à présenter, ni dépourvue de risque judiciaire dans un monde où le milieu politique est prosterné devant les divinités économiques (et le pétrole en est une aussi puissante que la finance cosmopolite dont Wall Street et la City ne sont plus que des bases historiques)… sans même évoquer « l’action directe » dont le courageux auteur pourrait être l’objet de la part de tueurs fanatiques.

    Il est à noter que si notre « État de droit » n’intervient pas souvent pour freiner le délire verbal des imams et ulémas hébergés sur le sol français, toute allusion aux risques que la religion mahométane fait courir aux Français peut être requalifiée « d’appel à la haine » dite « raciale » ou religieuse par un magistrat proche de la mouvance globalo-mondialiste.      

    Fait : les races de chiens, de vaches, de chevaux, etc. existent. Aucun politicien n’a été assez stupide pour légiférer sur ce point ni aucun juriste assez carriériste pour condamner un vétérinaire au titre du racisme canin ou caprin. En revanche, selon la Loi française du régime macronien, il n’existe pas de race humaine, mais « de prétendues races ». Toutefois, il existe un racisme, qu’en bonne logique on devrait dénommer « supposé » ou « présumé » puisque son objet n’existe pas ou plus.

    Parler de races était autrefois un sujet d’anthropologie, pouvant déboucher sur des constatations sociologiques dénommées ethnologie et cela pouvait mener à devenir membre d’une académie ou titulaire d’une chaire d’université. En nos jours de progrès continu des connaissances (et des législations toquées), cela mène à la case prison ou à un « stage de rééducation civique ».

    Fait : l’Europe, où les autochtones les moins certifiés, mais aussi parfois de jeunes diplômés connaissent un chômage massif et de longue durée, n’a nul besoin d’une immigration d’extra-européens dont une grande partie est analphabète (les autorités scandinaves et allemandes l’ont reconnu), dépourvue de toute connaissance professionnelle… sans même parler de la délinquance voire des activités criminelles d’un nombre effarant de jeunes hommes importés, avec la bénédiction pontificale, à la demande de la grande distribution pour accroître ses bénéfices grâce à une consommation en partie parasitaire, alimentée par les contribuables.  

    Présenter cette réalité quotidienne, évoquer la menace d’une substitution de population majoritaire et les risques de guerres de « prétendues races » et de religion au sein de notre continent qui se remet à peine du précédent épisode, mènent au lynchage médiatique et à de ruineux procès. Il est piquant de constater que les Goyim nés bien après 1945 sont contraints de déguster l’évocation de la Shoah matin, midi et soir (voire la nuit pour les plus accrochés) et qu’on ne peut sans risque évoquer l’hypothèse d’un prochain génocide des Européens dans leur propre continent.

    Fait : l’omniprésente corruption, dans les milieux politique, médiatique et administratif. On peut en parler de façon vague, mais citer précisément ses mécanismes, ses institutions, notamment sectaires, les agents corrupteurs mène devant un juge… lui-même pouvant appartenir à un parti, une secte maçonnique ou une tribu corrompue ou corruptrice.    

    Et l’on pourrait multiplier ces vérités factuelles qui sont tellement dérangeantes pour nos véritables maîtres que leur évocation en est devenue périlleuse. Auparavant, l’on disait : « Toute vérité n’est pas bonne à dire ». Il se pourrait bien que dans un avenir pas trop éloigné on en revienne à l’application d’un rituel mongol : le messager porteur de mauvaises nouvelles est exécuté.

    L’histoire le prouve abondamment : une civilisation meurt peu après avoir atteint son apogée. Mais une société où le fait de délirer - c’est-à-dire : nier l’évidence des faits – est institutionnalisé, sanctifié par des lois de circonstances aussi bien que par « l’idole que l’on adore au Vatican » (saluons « Voltaire »), ne peut que s’effondrer sous le poids de sa bêtise, de sa médiocrité, de son absence de référence éthique, comme l’ont fait les sociétés marxistes.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/10/04/la-verite-dangereuse-5986234.html

  • Marine Le Pen présente la « grande loi antiterroriste » que veut le FN

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    Marine Le Pen tenait ce matin une conférence de presse sur la lutte contre le terrorisme et contre l’islamisme, les deux sujets étant évidemment liés. Entourée des députés FN Sébastien Chenu, Gilbert Collard, Bruno Bilde et Ludovic Pajot, la présidente du Front national a présenté la « grande loi antiterroriste » qu’elle appelle de ses vœux, avec procédures et juridictions d’exception.


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    "L'idéologie islamiste est une idéologie politico-religieuse qui a programmé notre asservissement et nous fait la guerre." 

    https://fr.novopress.info/207645/marine-le-pen-presente-grande-loi-antiterroriste-que-veut-le-fn/

  • RETOUR DES DJIHADISTES DE SYRIE : RACHIDA DATI PRÔNE UNE SOLUTION RADICALE

    Interrogée par Nice-Matin, lors de la Conférence des maires des villes d’Europe et de la Méditerranée qui se tenait à Nice le 30 septembre, sur les moyens d’empêcher les djihadistes de retour de Syrie de frapper sur le territoire français, Rachida Dati a déclaré : « Ceux qui veulent partir en Syrie ou en Irak, non seulement on devrait les laisser partir, mais surtout les empêcher de revenir par tous les moyens dont nous disposons. »

    Il semble qu’elle ait ainsi renoué avec la fougue qui lui avait valu, en 2007, de devenir la porte-parole de Nicolas Sarkozy.

    Sur les plateaux télé, ses cheveux d’un noir de jais, son regard de braise et son sourire éclatant, mis en valeur par la chemise bleu ciel qu’elle arborait alors, sont restés dans les mémoires.

    Elle avait conquis, par sa fermeté de ton, cette partie de l’électorat frontiste que Sarkozy avait décidé de séduire, ce qui lui assura la victoire à la présidentielle quelques mois plus tard.

    Plus tard, Garde des Sceaux chargé de réduire le budget de la Justice et de fermer de très nombreux tribunaux, et aux prises avec une vie privée compliquée, elle fut moins appréciée.
    Avec ses collègues LR, ses relations ne sont pas toujours au beau fixe non plus. Très attachée au très droitier VII e arrondissement de Paris dont elle est maire, elle a agi contre la candidature de NKM à la 2e circonscription de Paris proposée par Fillon en remerciement du ralliement de celle-ci à sa candidature lors du second tour des primaires, et n’aurait pas hésité – aux dires de certains – à fournir au Canard enchaîné des éléments accablant Fillon…

    Nicolas Sarkozy, juste avant l’élection du président de LR, veut-il la faire monter au créneau afin qu’elle ait une place de choix dans le futur organigramme du parti ? Ou a-t-elle choisi d’elle-même de revenir sur la scène nationale, elle qui avoue ne guère s’intéresser à l’Europe ? (« L’Union européenne, elle s’occupe… de ce qu’on lui donne à s’occuper », avait-elle répondu à un journaliste qui l’interrogeait sur son mandat au Parlement européen.)

    Choqués et terrifiés par l’assassinat, le 1er octobre dans la gare de Marseille, de deux très jeunes filles selon des modalités atroces (égorgement de l’une, éventrement de l’autre) qui rappelle les heures sombres du FLN ou du GIA, les Français lui seront en tout cas reconnaissants d’avoir dit et redit – notamment face à Jean-Jacques Bourdin le 2 octobre – ce qu’ils pensent eux-mêmes dans leur grande majorité : « Ceux qui veulent partir en Syrie ou en Irak, non seulement on devrait les laisser partir, mais surtout les empêcher de revenir par tous les moyens dont nous disposons, je dis bien tous les moyens. »

    Y compris au moyen d’exécutions ciblées par des drones ? Oui, car elle ajoute : « Obama est celui qui a signé le plus d’autorisations d’élimination des terroristes sur les terrains de guerre, notamment par drone. »

    Et ils ne pourront qu’être d’accord sur la conclusion de son interview : « On ne peut plus accepter qu’un pays tout entier puisse être tenu en joue par des individus déterminés qui n’ont rien à perdre. »

    Nous sommes en effet tous très exactement « tenus en joue » à chaque minute comme dans les pires scénarios de film d’horreur.

    Et qui est plus « déterminé » que des jeunes gens de 20 ans décidés à mourir ?

    Et quelles sanctions possibles contre ceux « qui n’ont rien à perdre » ? Aucune.

    Qu’ils trouvent la mort à la guerre qu’ils ont choisi de mener est sans doute la seule solution pour éviter qu’ils ne viennent se la donner ici en venant « égorger jusque dans nos bras nos fils, nos compagnes ».

    http://www.bvoltaire.fr/retour-djihadistes-de-syrie-rachida-dati-prone-solution-radicale/

  • ATTENTATS COMMIS, ATTENTATS DÉJOUÉS, ISLAMISME : SOYONS RÉVOLTÉS !

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    Et nommons sans fard le réel.

    Tuer au nom de l’islam n’a rien à voir avec lui…

    Les mêmes causes produisent les mêmes effets.

    Il y a quelques jours à Marseille, deux jeunes femmes ont été égorgées en pleine rue par un mahométan d’origine tunisienne qui s’est souvenu de la pratique barbare du « sourire kabyle », laquelle avait efficacement fait ses preuves durant la sédition algérienne de 1954-1962.

    Au même moment, dans le XVIe arrondissement de la capitale, la police mettait la main sur des bonbonnes de gaz équipées d’un dispositif de mise à feu situées au pied d’un immeuble. Par un curieux hasard de l’actualité, ce lundi, devant les assises spéciales de Paris, débutait le procès d’Abdelkader Merah, frère de l’ignominieusement célèbre Mohamed, accusé de « complicité » dans l’attentat perpétré par celui-ci contre une école juive à Toulouse en mars 2012.

    Et sans bruit, la presse quotidienne régionale, via Le Courrier picard (1er octobre), nous apprend, au cœur de cette sombre nuée noire-verte, que le chantier de la future grande mosquée d’Amiens a « progressé cet été ; 8.200 m2, une façade de 5 mètres de haut et un minaret de 30 mètres. » « L’association a pu acheter le terrain de 4.000 m2 “170.000 euros hors taxe à la ville” », précise Ahmed Assal, le président de l’association cultuelle et culturelle des Français musulmans de Picardie.

    Tous ces événements rapprochés sont étroitement liés car ils nous rappellent l’omniprésence palpable et visible d’un islam qui nous frôle dans le métro, nous croise dans les gares et les centres commerciaux surpeuplées, nous méprise du regard dans certains quartiers et, parfois, verse dans l’action violente et sanglante, sans parler des subtiles incivilités du quotidien (attouchements, insultes, menaces, rapines) dont la presse locale ne s’encombre guère à l’image des commissariats débordés.

    Bien sûr, tous les mahométans vivant sur notre sol ne sont pas des terroristes, loin s’en faut. Mais certains, parmi eux, ont été, sont ou seront tentés, un jour, de passer à l’acte et de commettre l’irréparable au nom d’Allah le Miséricordieux. Et la majorité des musulmans de France, quoi qu’elle dise ou se récrie, se trouve tacitement mais nécessairement attachée aux agissements de ses coreligionnaires.

    En quoi serait-ce incorrect de le dire, tant que ces crimes ignobles et lâches sont toujours commis au nom du Coran, et tant, d’autre part, qu’aucun aggiornamento sérieux et décisif n’aura été décidé par les plus hautes instances religieuses, d’Al-Azhar en Égypte à la Grande Mosquée de Paris ?

    Mais il y a pire. À cette insupportable et pesante solidarité de fait s’ajoute l’impéritie criminelle de nos gouvernants entravés volontaires dans un juridisme pointilleux tout en s’ébrouant avec componction dans la guimauve « droit-de-l’hommiste ».
    Leur couardise et leur pusillanimité en font des dhimmis, insipides commentateurs de leur lâche impuissance, n’osant guère désigner l’ennemi autrement qu’en édulcorant sa face hideuse avec force euphémisme, litote et antiphrase.

    Chez ces gens-là, tuer au nom de l’islam n’a rien à voir avec lui ! Ignorants de l’Histoire et des textes islamiques, ils s’obstinent à refuser d’affronter la réalité, celle d’une immigration extra-européenne terreau de l’islamisme, lui-même terreau du terrorisme.

    « La logique du révolté est de s’efforcer au langage clair pour ne pas épaissir le mensonge universel », écrivait pourtant Albert Camus, qui considérait encore que « mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde » (Œuvres complètes, tome 1, Paris, La Pléiade, p. 908).

    Soyons révoltés, c’est la seule manière de demeurer libres, et nommons sans fard le réel.

    http://www.bvoltaire.fr/attentats-commis-attentats-dejoues-islamisme-soyons-revoltes/

  • Terrorisme / Marseille : chronique d’un échec - Journal du Mercredi 04 Octobre 2017

  • Islamistes à la RATP : l’auteur de Mahomet au volant répond à Danièle Obono

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    RATP-Chauffeurs-de-bus-238x350.jpgGhislaine Dumesnil, conductrice de bus à la RATP jusqu’en 2015, a raconté dans son livre Mahomet au volant, la charia au tournant (éditions de Riposte laïque) les avancées affolantes du communautarisme islamiste au sein de la RATP, entreprise publique qui emploie le plus grand nombre de fichés « S » et où les barbus imposent de plus en plus la loi coranique.

     Vous avez bondi en entendant la députée de La France insoumise Danièle Obono affirmer que le comportement d’un chauffeur de bus qui refuse de conduire un bus après une femme ne relève pas de la radicalisation islamiste mais d’un simple sexisme ?

    — Soit elle ne connaît pas le sujet dont elle parle, ce qui est embêtant pour une députée qui prétend défendre l’intérêt des Français. Soit elle cherche à disculper l’islam, ce qui est à mon avis beaucoup plus grave et revient à nier totalement la réalité de la situation. C’est le nouveau « négationnisme ». Pour moi elle sait très bien ce qui se passe et elle est complice.

    8958-20171004.jpg[…] Danièle Obono feint de se demander si lorsqu’un conducteur de bus refuse de prendre le volant après une femme, c’est sexiste ou religieux. Elle est de mauvaise foi. Et parfaitement complice. Je rappelle à Mme Obono que Samy Amimour, l’un des tueurs islamistes du Bataclan, qui avait travaillé à la RATP, s’était fait remarquer par son refus de travailler avec des femmes. On a vu comment ça a fini.

    — Avez-vous des exemples personnels et vécus de la période (de 1999 à 2015) où vous étiez machiniste RATP ?

    — L’exemple le plus choquant et qui était quotidien, c’était le refus de saluer les femmes. C’est quelque chose de très perturbant et d’humiliant.

    Je peux donner à Danièle Obono des dizaines de noms de musulmans qui refusaient de nous parler, de nous regarder dans les yeux et de nous serrer la main, au sein de l’entreprise publique de la RATP parce que nous étions des femmes.

    Et je la mets au défi de trouver un seul chauffeur de bus non musulman qui aurait eu la même attitude avec les femmes (avec toutes les femmes) par « sexisme ». Jamais elle ne trouvera une seule affaire de ce type ! Ça n’existe pas. Qu’elle nous en cite une seule avec le lieu et la date.

    Dès 2006 circulait à la RATP un tract édité par un syndicat des cadres qui citait le cas de conducteurs de bus qui refusaient de travailler avec des femmes et de conduire le bus après elles, lors de la relève suivante. Ce syndicat appelait la direction générale au secours et demandait – avec de nombreuses précautions verbales déjà – que soit mis un terme à ces pratiques. Sans jamais pointer du doigt les musulmans bien sûr mais tout le monde avait compris de quelle religion il s’agissait car tout le monde la vivait chaque jour.

    L’attitude que ces musulmans radicalisés ont vis-à-vis de leurs collègues féminines ils l’ont aussi avec leurs usagers quand ce sont des femmes. Je me souviens d’une cliente qui était venue me voir au moment ou je reprenais mon service et qui m’avait dit : « Madame, le chauffeur qui était avant vous dans ce bus n’a jamais voulu me répondre ni me vendre un ticket. » Les barbus ont également cette attitude avec leur hiérarchie si elle est féminine. […]

    — Pouvez-vous nous rappeler l’histoire surréaliste des gobelets de café ?

    — Les gens ont du mal à l’imaginer peut-être mais je me souviens qu’il y avait des gobelets en plastique partout dans les toilettes et sur les lavabos. Les musulmans allaient jusqu’à boucher les toilettes avec ces gobelets qui servaient à purifier leur sexe avant d’aller se prosterner, car ils voulaient obtenir une douchette pour leurs ablutions avant la prière coranique. C’était leur revendication. Ils voulaient faire plier la direction.

    Quand on parle du grand remplacement, c’est exactement ce que j’ai vécu à la RATP. Je l’ai vécu dans ma banlieue française et dans mon entreprise publique. J’ai dû quitter mon quartier parce qu’il n’était plus possible d’y vivre et j’ai dû quitter la RATP parce qu’il n’était plus possible d’y travailler.

    C’est une petite France la RATP. Il y avait de tout comme chauffeurs mais c’était homogène, des fils d’instituteurs, des fils d’ouvriers, des gens très culturellement de gauche et très syndiqués mais c’était très convivial et familial. Tout a volé en éclat. C’est la charia qui règne et on y parle en arabe. L’islam c’est vraiment un bon moyen de faire exploser une société. […]

    Propos recueillis par Caroline Parmentier

    Extraits d’un entretien paru dans Présent daté du 4 octobre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • MARSEILLE : RETOUR AU RÉEL POUR M. PHILIPPE ET UNE CLASSE POLITIQUE EN PLEINE APESANTEUR

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    En ce sanglant 1er octobre, une fois de plus, nous n’avons plus envie de rire.

    Drôle de semaine, comme on aurait dit « drôle de guerre ». Une semaine marquée par « L’Émission politique » du Premier ministre, toujours inconnu pour un tiers des Français, et plaisantant avec un journaliste chauve sur sa calvitie, pour évoquer l’avenir des derniers fleurons français avec un flacon de shampooing L’Oréal. Une semaine marquée par les petits jeux d’appareil politiciens de MM. Lagarde et Bayrou encore, ce dimanche, tout émoustillés par leurs petits succès au Sénat. Une semaine marquée par la présentation du budget, toujours aussi déficitaire comme tous les ans depuis quarante ans. La routine. Le monde d’avant dans toute sa splendeur rassurante.

    Certes, il y avait bien eu ces élections allemandes pour rappeler que quelque chose était pourri au royaume de l’Union européenne. Et puis cette étrange levée de l’immunité parlementaire de M. Collard qui avait osé montrer les crimes de Daech, alors que le député El Guerrab, qui a violemment agressé M. Faure, siège toujours à l’Assemblée, et à la commission de la Défense. Drôles de méthodes parlementaires…

    Et voilà que dans ce dimanche tristounet d’automne, en ce début d’après-midi, ce que l’on tend par tous les moyens à nous faire oublier est réapparu. Une attaque au couteau, dans la gare Saint-Charles de Marseille. Deux passantes ont été tuées. Les soldats de Sentinelle ont abattu l’agresseur. « L’assaillant aurait crié “Allah Akbar“ ” en passant à l’acte. » Selon le conditionnel d’usage au Monde dans ce genre de situations.

    Réactions des officiels ? Le ministre de l’Intérieur, M. Collomb, tweete qu’il se rend immédiatement sur place. Et une adjointe au maire de Marseille, après avoir rendu un hommage mérité aux militaires de Sentinelle, a déclaré que « le nombre de victimes aurait pu être plus élevé ». Avec de tels raisonnements, qui espère-t-elle consoler ? Et pour combien de temps ? Quant au Président Macron, il s’est dit « indigné ». Très bien. Mais encore ?

    La veille, M. Collomb avait détaillé la liste des attentats islamistes déjoués, notamment pendant la campagne présidentielle, et fait le point sur les 17.000 fichés S « suivis ». Rien de rassurant.

    De « L’Émission politique » de M. Philippe, on n’a retenu que son humour poli, avec un dernier clin d’œil à son alopécie naissante : sur un sujet déjà oublié, « on ne va pas couper les cheveux en quatre, voyons ! » Rires…

    C’était de la pure lévitation automnale. De la lévitation ? De l’évitement.

    Mais en ce sanglant 1er octobre, une fois de plus, nous n’avons plus envie de rire. Et nous aimerions bien que sur l’islamisme aussi, dont M. Philippe a très peu parlé, il cesse de couper les cheveux en quatre.

    http://www.bvoltaire.fr/marseille-retour-reel-m-philippe-classe-politique-pleine-apesanteur/

  • S'attaquer aux femmes, c'est répondre à une lecture littérale du Coran

    Jeannette Bougrab commente dans Le Figaro l'attentat à Marseille :

    "L'horreur à l'état brut! Viser les femmes par égorgement et éventration, comme dans les montagnes de Blida, en Algérie, dans les années 1990, n'est pas anodin. Cela a une signification politique. Selon Ali Harb, un philosophe libanais, la violence dans l'islam est démultipliée parce que sa doxa religieuse se structure autour de deux notions: la pureté et la souillure. Dans l'islam, les femmes sont considérées comme impures. S'attaquer aux femmes, c'est répondre à une lecture littérale du Coran. Lorsque la communauté internationale s'est indignée des viols commis par l'État islamique, leurs dirigeants ont objecté qu'ils répondaient à une prescription: «Chacun doit se rappeler que réduire en esclavage les familles kuffars et prendre leurs femmes comme concubines est un aspect fermement établi par la charia. Et qu'en le niant ou le moquant, on nierait ou on moquerait les versets du Coran.» Même une femme musulmane n'existe pas seule. Mariée, on la soupçonne d'exciter les instincts masculins. Aussi doit-elle se cacher."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Terrorisme : encore l’Etat Islamique ? - Journal du Mardi 03 Octobre 2017