islamisme - Page 324
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Rire ou sourire un peu ... même s'il n'y a vraiment pas de quoi
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La bataille d’Alep et l’hypocrisie de la propagande de guerre des État-Unis
Il y a deux ans cette semaine que le président Barack Obama a lancé la dernière guerre américaine contre l’Irak et la Syrie au nom de la lutte contre l’État islamique (EI). Le président américain présenta non seulement la nouvelle intervention militaire comme une continuation de la «guerre mondiale contre le terrorisme», mais encore comme une croisade pour les droits humains ; il invoqua le danger menaçant la population Yézidie en Irak et insista pour dire qu’il ne pouvait pas «fermer les yeux » lorsque les minorités religieuses étaient menacées.
Le bilan des victimes de cette prétendue intervention humanitaire est de plus en plus lourd. Selon un rapport publié cette semaine par le groupe Airwars pour marquer l’anniversaire, plus de 4.700 morts non-combattants civils ont été signalés dus aux frappes aériennes de la «Coalition conduite pas les Etats-Unis » (95 pour cent étant le fait de l’aviation américaine). Plus d’hommes, de femmes et d’enfants irakiens et syriens innocents ont été massacrés par les bombes américaines au cours de ces deux ans que le nombre total de soldats américains morts dans les huit ans de la guerre irakienne lancée par George W. Bush en 2003.
Tous les mensonges et prétextes de Washington au sujet de sa dernière guerre au Moyen-Orient et de la décennie et demie de guerres menées par Washington depuis le onze septembre 2001, ont été mis en pièces ces derniers jours alors que le gouvernement et les médias des États-Unis célébraient les prétendues victoires des forces «rebelles» dans la bataille pour le contrôle d’Alep, l’ancienne capitale commerciale de la Syrie.
Que l’offensive « rebelle » ait été organisée et dirigée par une organisation qui depuis des années constitue la branche syrienne d’Al-Qaïda et l’opération nommée en l’honneur d’un extrémiste sectaire sunnite qui a organisé le massacre de soldats alaouites syriens captifs, ne les a aucunement gêné. Voilà pour les balivernes sur le terrorisme et les droits de l’homme!
L’ampleur des avancées militaires effectuées par les forces sous la conduite d’Al-Qaïda à Alep est loin d’être claire. Celles-ci auraient cependant réussi à monter le siège de la partie ouest de la ville, qui est sous le contrôle du gouvernement et où vit l’écrasante majorité de la population. Les « rebelles » ont tué et mutilé des centaines de personnes avec des obus de mortier et d’artillerie.
Washington et ses alliés, les médias occidentaux et les groupes de défense des droits humains qui ont accusé le gouvernement syrien de Bachar al-Assad de crimes contre l’humanité pour avoir bombardé les jihadistes dans l’est d’Alep restent indifférents quand les terroristes soutenus par les impérialistes tuent des civils dans la partie ouest de la ville.
Une partie des médias occidentaux est allé jusqu’à célébrer les exploits des kamikazes « rebelles» pour avoir fourni un « avantage » stratégique aux milices soutenues par l’Occident. Parmi les récits les plus malhonnêtes et les plus hypocrites des récents combats il y a ceux du New York Times dont la couverture et la ligne éditoriale sont soigneusement calibrés pour servir les objectifs prédateurs de l’impérialisme américain.
Dans un article sur Alep, le Times écrit lundi que le défi lancé au contrôle du gouvernement syrien l’avait été par des « rebelles et leurs alliés djihadistes». L’article poursuit ainsi: «Un facteur essentiel de l’avancée des rebelles durant le week-end était la coopération entre les groupes rebelles traditionnels dont certains ont reçu en secret un soutien en armes des États-Unis, et l’organisation djihadiste anciennement connue comme le Front Nosra, qui était affilié à Al-Qaïda. »
Le journal rapporte tout ceci avec la même désinvolture que s’il publiait un article sur feu l’artiste connu sous le nom de Prince. Le Front Nosra a pris le nom de Front Fatah al-Sham et a annoncé sa désaffiliation en bonne et due forme d’Al-Qaïda – avec la bénédiction de ce dernier – juste une semaine avant le lancement de l’offensive d’Alep.
Il y a tout lieu de croire que ce changement de marque a été réalisé en collaboration avec la CIA pour essayer d’assainir politiquement le soutien américain direct à une offensive menée par un groupe longtemps dénoncé par Washington comme organisation terroriste.
Le Times ne nomme jamais aucun des «groupes rebelles modérés» qui, selon lui, se battent aux côtés des milices d’Al-Qaïda, suggérant qu’ils constituent une force progressiste libérale. En fait, l’un de ces groupes a récemment publié une vidéo qui montre ses combattants décapitant un enfant blessé de douze ans, et la quasi-totalité de ces groupes partage l’essentiel des perspectives idéologiques d’Al-Qaïda.
Le Financial Times de Londres a publié un des rapports les plus francs sur l’offensive « rebelle » à Alep, faisant remarquer qu’il « se peut qu’elle ait eu plus d’aide étrangère qu’il n’y paraît: les militants et les rebelles disent que les forces de l’opposition ont été renforcées par de nouvelles armes, de l’argent et d’autres fournitures avant et pendant les combats ». Il fait état de nombreuses colonnes quotidiennes de camions passant depuis des semaines la frontière turque avec armes et munitions, de l’artillerie et autres armes lourdes.
Le journal cite un diplomate occidental resté anonyme déclarant que les responsables américains soutenaient l’offensive conduite par Al-Qaïda « pour remettre de la pression sur la Russie et l’Iran », qui ont tous deux fourni un soutien militaire clé au gouvernement Assad.
Le Financial Times cite également un « analyste militaire » qui indique que le caractère des combats montrait que les forces d’Al-Qaïda avaient reçu non seulement des quantités massives d’armes, mais aussi une formation militaire professionnelle.
Il est significatif que pendant les combats à Alep, des photographies sont apparues de commandos britanniques lourdement armés opérant des véhicules de patrouille de longue portée dans le nord de la Syrie. Des unités américaines similaires sont également sur le terrain. Ces forces sont parmi les suspects les plus probables pour ce qui est de former les forces syriennes d’Al-Qaïda.
Elles ne feraient que reprendre les caractéristiques essentielles de l’opération impérialiste qui permit à Al-Qaïda de se développer il y a 30 ans. La CIA avait alors, en alliance étroite avec Oussama ben Laden, fournit un soutien similaire aux moudjahidins luttant pour renverser le régime soutenu par les soviétiques en Afghanistan.
Si le retour de flamme de cet épisode a fini par nous apporter le onze septembre 2001, l’opération actuelle en Syrie comporte des dangers beaucoup plus grands. Dans ce qui est maintenant qualifié ouvertement par les médias capitalistes de «guerre par procuration» où Al-Qaïda sert de force terrestre de l’impérialisme américain, Washington tente de renverser l’allié clé de la Russie au Moyen-Orient dans le cadre de préparatifs pour une guerre visant à démembrer et à subjuguer la Russie même.
La favorite dans la course à la présidence des États-Unis, la démocrate Hillary Clinton, a maintes fois signalé qu’elle avait l’intention de poursuivre une politique beaucoup plus agressive en Syrie et contre la Russie. Elle a fait des accusations néo-McCarthyites contre la prétendue subversion du processus électoral américain par Vladimir Poutine d’une partie centrale de sa campagne.
Si Washington peut attendre jusqu’à l’inauguration du nouveau président en janvier prochain pour intensifier son agression, n’est pas établi. Les avancées « rebelles » à Alep pourraient être rapidement inversées et les combats pourraient bien aboutir à ce que les milices d’Al-Qaïda soutenues par les USA perdent leur dernier bastion urbain.
L’impérialisme américain n’est pas près d’accepter une nouvelle consolidation du gouvernement syrien aligné sur Moscou. La pression va inévitablement monter pour une intervention plus directe et plus massive des États-Unis, risquant un affrontement direct entre forces américaines et russes.
Quinze ans après le lancement de sa « guerre contre le terrorisme », Washington est non seulement directement allié avec la cible supposée de cette guerre, Al-Qaïda, mais se prépare à déchaîner sur l’humanité le plus grand acte de terreur imaginable, une troisième guerre mondiale.
http://www.voxnr.com/599/bataille-dalep-lhypocrisie-de-propagande-de-guerre-etat-unis
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Les bons apôtres et les imbéciles
Bernard Plouvier
C’est une mode intellectuelle qui existe en Occident depuis une dizaine d’années et qui reprend vigueur en ces années 2015-2016, avec le puissant soutien d’un pape fort curieux et de soi-disant élites culturelles - jamais un homme sensé ne placerait les politiciens dans l’élite, à l’exception de « l’homme d’État », soit un individu rencontré une ou deux fois par siècle et par continent - : l’islam pourrait s’adapter à la vie contemporaine, perdre ses caractéristiques barbares et sanguinaires, abandonner son obscurantisme et sa criminalité… en un mot faire sa Renaissance.
Il est exact que la charî’a (la Loi coranique), dans certaines de ses applications pratiques (rapports avec la richesse, partage des biens entre héritiers, peines au pénal etc.), peut devenir plastique voire accommodante, surtout si les chefs du Pouvoir temporel l’exigent. Les ulémas, souvent gras et repus de faveurs, ne sont guère plus courageux que nos magistrats, quand ils affrontent les desiderata ou les ukases de l’exécutif.
En revanche, les stipulations coraniques sont, pour tout musulman, des impératifs catégoriques jugés sine varietur. Le coran est, pour le muslim, la parole d’allah, dictée par l’archange Gabriel à Mahomet. C’est dire que chacun de ses mots, chacune de ses courbures graphiques et de ses ponctuations sont sacrés.
Rien ne peut être remis en cause du contenu des sourates haineuses 2,3, 8, 9, 10, 22, 47, 58, 59, 60 et 61 qui recommandent le djihâd – la guerre sainte –, avec appropriation des biens des infidèles vaincus, à exterminer s’ils refusent de se convertir, tandis que leurs femmes et enfants deviennent automatiquement des esclaves. Rien ne peut être changé à la sourate 4 qui exige la mise à mort, par égorgement, des apostats de l’islam.
Idem, rien ne peut être fondamentalement différent des ordres du « saint coran », à propos des relations entre musulmans et infidèles en zones du Dâr al-Harb. Il s’agit toujours d’un domaine de la guerre, où il est sage de faire semblant de se soumettre aux usages locaux tant que les fidèles ne sont pas en force (ce sont les hadîths qui le recommandent… et c’est déjà un comportement qui paraît discutable aux rigoureux observantins du coran).
Dès qu’ils sont suffisamment nombreux et bien armés, surtout s’ils sont aidés par des collaborateurs infidèles vénaux ou abrutis, les musulmans doivent lutter pour transformer la zone occupée en Dâr al-Islam. C’est le principe même du rapport de forces prôné par le coran : tout ce qui n’est pas terre d’islam doit le devenir.
Les bons apôtres signalés plus haut ne sont que des ignares ou des traîtres. Ceux qui acceptent leurs mensonges ne sont que des imbéciles.
La lecture du coran doit être imposée à tout électeur européen et d’urgence. Que ce livre, épouvantablement mal rédigé, soit absolument indigeste pour un Européen féru de belle littérature, c’est une absolue évidence… et ce texte, contrairement à ce qu’ont pu écrire des collaborateurs ou des gens qui ne l’ont pas lu, n’a rien de poétique.
Mais ce pensum doit être infligé aux Européens, d’abord comme pénitence pour avoir admis une immigration musulmane massive sur leur continent, ensuite pour comprendre qu’il est nécessaire d’organiser – au plus vite – le grand retour des musulmans dans leurs domaines ancestraux et que l’islam, religion de haine et de conquête par tueries de masse, doit être prohibé sur le continent européen.
Nous n’avons qu’un unique devoir : préserver notre continent pour nos descendants de race européenne.
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Croire ou ne pas croire en la rééducation des terroristes
Bernard Plouvier
Depuis trois millénaires et demi - d’abord avec Akhenaton-Aménophis IV, 14 siècles avant notre ère, puis avec Zoroastre 7 siècles plus tard, enfin avec Jésus de Nazareth -, on nous assure que la création serait belle et bonne, puisqu’étant issue d’un dieu bon… même si un dieu mauvais ou des anges dévoyés devenus démoniaques l’auraient pervertie.
En Europe occidentale, il fallut attendre le XVIIe siècle après J.-C. pour généraliser cette autre croyance absurde : l’agressivité humaine serait le fruit de la peur et de l’ignorance. En conséquence, depuis le milieu du XVIIIe siècle, une invraisemblable quantité de réformateurs optimistes se sont proposé d’éduquer les humains, puis de les rééduquer après un passage à la délinquance ou au crime.
Pourtant, il existe à peu près autant d’observateurs du monde animal et de son soi-disant chef d’œuvre, l’Homo sapiens sapiens, qui, après de longues études et de saines réflexions, ont considéré que l’avidité, la jalousie et la joie de nuire à autrui étaient des facteurs bien plus puissants que la peur et l’ignorance pour expliquer la haine, les pulsions meurtrières, la méchanceté gratuite, toutes choses qui trouvent un moderne apogée dans le terrorisme islamique, actuel sommet de l’agressivité de la bête humaine, ayant détrôné le marxisme au hit-parade de la nuisance suprême.
De fait, en dépit d’une alphabétisation générale (du moins en zones occidentales), malgré de fabuleux progrès scientifiques et techniques, le XXe siècle de l’ère si mal dénommée « chrétienne » fut sans conteste le plus sanglant et le plus inhumain de l’histoire humaine. On reconnaît volontiers que la préhistoire semble avoir été assez sordide, mais l’on connut, à compter de 1914, de nombreux exemples de cannibalisme et de tortures immondes, et l’on en vint même à redonner une actualité aux génocides bibliques. Le XXIe siècle, à peine entamé, s’avère pire encore, par l’agitation de millions de sous-doués qui veulent imposer à l’humanité la barbarie et l’obscurantisme musulmans.
L’éthologie comparée nous enseigne que ni le rire ni la guerre intra-spécifique [au sein de la même espèce] ne sont le propre de l’homme… tant pis pour Aristote et une foule d’auteurs ignares. Anéantissant impitoyablement une multitude d’œuvres de profonds penseurs béats (philosophes, sociologues, économistes, éducateurs, psychologues, sans oublier les imposteurs de la psychanalyse), l’histoire humaine des deux derniers siècles nous apprend que la rééducation des grands criminels autant que celle des petits délinquants est statistiquement illusoire.
Un terroriste n’est pas un « fou d’allah » ou de n’importe quels autres divinités ou cultes politiques. C’est soit un psychotique délirant (en langage populaire, un fou dangereux), soit un psychopathe, incapable d’agir efficacement dans une société, et d’autant plus avide de sentir sa toute-puissance s’exercer sur des proies, faciles parce que désarmées, soit un sociopathe, un tueur en série qui procure à sa haine sociale l’alibi d’une soi-disant noble cause, religieuse ou politique.
Le terrorisme est en soi un acte de guerre. C’est l’expression la plus achevée de la haine envers l’humanité dans son ensemble ou envers une société particulière. C’est le summum de la joie de nuire à un prochain anonyme, pour des fanatiques politiques ou religieux, mais aussi pour d’innombrables petites frappes incultes, passées de la délinquance et du crime de droit commun à la féérie activiste.
Ne pas y répondre de façon appropriée est la pire erreur que l’on puisse commettre : c’est encourager à la récidive. Par leur faiblesse dans la réaction à la barbarie islamique, les adultes d’Europe occidentale et scandinave sont grandement fautifs, mettant en danger la jeune génération de souche européenne qu’ils ont pourtant le devoir de protéger. Il n’est qu’une réponse au terrorisme : l’élimination radicale des acteurs, des inspirateurs et des complices.
En outre, comme l’unique cause actuelle de terrorisme en Europe est l’islam djihadiste, les Européens de souche doivent organiser le grand retour en terres de charî’â des musulmans. L’adage « Chacun chez soi » demeure le fondement d’une société saine. Le dogme « un continent = une race » doit demeurer la règle, les amateurs de brassage racial ayant le très vaste continent des Trois Amériques pour assouvir leur penchant.
Les européens doivent abandonner, sans regret ni esprit de retour, la dangereuse absurdité d’une amélioration des mentalités humaines, parallèle aux progrès scientifiques et techniques, ainsi que l’illusion grotesque de la rééducation possible des canailles et des crapules. L’homme, produit de sa génétique, demeure moralement inchangé depuis la préhistoire, comme demeurent immuables les comportements de toutes les autres espèces animales.
Qui est génétiquement programmé pour être une canaille ou une crapule peut résister à la tentation du passage à l’acte, grâce à ses facultés de libre-arbitre et de transcendance, devenant un saint. Mais s’il cède une fois à la part pourrie de son programme génétique, il récidivera dès qu’il en aura la possibilité.
Un saint est un personnage admirable, mais il n’en est pas moins une exception. L’assassin, le terroriste, le violeur, le trafiquant de drogues et d’armes sont les équivalents humains de la bête féroce, mais en pire, car l’homme (c’est un terme générique « qui embrasse la femme »… enfin pas tous et pas toutes) est doté d’une intelligence et d’une inventivité, donc d’une malfaisance, bien supérieures à celles des autres espèces animales.
Une fois admises ces notions, il faut en tirer toutes les conséquences.
http://synthesenationale.hautetfort.com/tribune-du-dr-bernard-plouvier/
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Victoire : le public force le retrait des « réfugiés » de Rostock, en Allemagne
Nous, les Blancs, aimons l’ordre. Nous n’avons pas inclination à semer la zizanie.
Mais les autorités craignent par-dessus tout la violence.
Bien sûr, quand ce sont des émeutes noires ou arabes, le politiquement anti-raciste intervient : « il ne faut pas stigmatiser ». Alors que quand il s’agit de blancs qui menacent de violences, les médias ont une approche très hostile.
Il n’empêche que les autorités ont tout de même tendance à plier. Nous l’avons vu aux Pays-Bas après l’émeute de Geldermalsen. Nous le voyons encore ici à Rostock.
Si en France en 2013 les manifestants de la Manif pour Tous au lieu d’avoir été très gentils et ordonnés avaient menacé de tout casser, le gouvernment Hollande aurait cédé.
Une VAGUE de manifestations anti-réfugié a forcé les autorités d’une ville allemande à annuler les plans de constructions d’un centre pour réfugiés – les autorités décidant à la place d’évacuer presque tous les réfugiés hors de la ville.
Les responsables dans la ville de Rostock ont déclaré que « la sécurité des réfugiés » et des « inquiètudes de sécurités » étaient derrière ce revirement inattendu.
Même si les autorités déclarent que c’est fait pour le bien des « réfugiés », cela n’empêche pas que ceux qui ont résisté contre l’imposition de ces envahisseurs ont gagné ! Quand nous leur faisons assez peur, elles se plient.
La décision contre le centre de réfugiés intervient au milieu de tensions croissantes entre les allemands locaux et la population de migrants en augmentation après une séries d’attaques terroristes en Europe ces dernières semaines.
À Rostock, une série de manifestation et d’agressions contre les réfugiés dans la ville ont suscité un changement d’esprit brutal.
La ville, située dans le Nord-Est du pays, a prévu d’établir un centre d’hébergement pour réfugiés dans le district local de Gross Klein, pour faire face à l’augmentation d’arrivée de migrants en Allemagne.
Mais, selon la police, un groupe de jeunes allemands a récemment essayé de prendre d’assaut le bâtiment, alimentant les craintes que les nouveaux arrivants seraient en danger.
Sans cet élément de violence, ces jeunes allemands courageux et prêts à défendre leur peuple n’auraient pas pu changer les choses.
Le délégué aux Affaires Sociales de Rostock, Steffen Bockhahn a dit que cela « blesse » de prendre cette décision mais que la colère croissante envers les réfugiés signifiait que la situation était trop dangereuse.
En plus de cela, une maison proche pour réfugiés mineurs [sic] non-accompagnés a du être partiellement évacuée une semaine plus tôt en raison de craintes sur la sécurité.
Le président du conseil de district Uwe Michaelis a déclaré au journal Ostee Zeitung : « Je trouve que c’est contestable de nous laisser dicter par l’extrême-droite où les réfugiés sont autorisés à vivre et ou non. »
Parce que bien entendu, décider unilatéralement d’importer un million d’envahisseurs et de les placer de force à travers tout le pays, jusque dans de petits villages, ça c’est le comble du bien ? Non mais vraiment !
« Ils vont considérer cette décision comme une victoire pour eux. »
Tu m’étonnes !
Bien sûr que c’est une victoire, et bien sûr que tous les nationalistes et racistes pro-blancs s’en réjouissent !
Ulrike Seemann-Katz, du conseil consultatif sur les réfugiés de Mecklemburg-Poméranie Occidentale, était d’accord que la décision envoyait un mauvais signale.
Elle a déclaré à DW : « C’est vraiment une grave erreur. »
« Ce signal signifie ‘Tout ce que nous avons à faire est de faire asssez de bruit ou de jeter assez de pierres ou quoi que ce soit d’autres, et ils vont abandonner’. Et je ne crois pas que ce soit acceptable.
Mais tenter de génocider les Allemands c’est acceptable, bien sûr ?
En tout cas elle a raison, cela envoie un signal, et un très bon signal !
Maintenant les Allemands dans le reste du pays savent qu’en insistant assez et avec des menaces de violence ils peuvent faire céder les autorités anti-blanches. C’est un exemple qui n’attend que d’être imité.
http://www.blancheurope.com/2016/08/10/victoire-public-force-retrait-refugies-a-rostock-allemagne/
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Les bons apôtres et les imbéciles
Bernard Plouvier
C’est une mode intellectuelle qui existe en Occident depuis une dizaine d’années et qui reprend vigueur en ces années 2015-2016, avec le puissant soutien d’un pape fort curieux et de soi-disant élites culturelles - jamais un homme sensé ne placerait les politiciens dans l’élite, à l’exception de « l’homme d’État », soit un individu rencontré une ou deux fois par siècle et par continent - : l’islam pourrait s’adapter à la vie contemporaine, perdre ses caractéristiques barbares et sanguinaires, abandonner son obscurantisme et sa criminalité… en un mot faire sa Renaissance.
Il est exact que la charî’a (la Loi coranique), dans certaines de ses applications pratiques (rapports avec la richesse, partage des biens entre héritiers, peines au pénal etc.), peut devenir plastique voire accommodante, surtout si les chefs du Pouvoir temporel l’exigent. Les ulémas, souvent gras et repus de faveurs, ne sont guère plus courageux que nos magistrats, quand ils affrontent les desiderata ou les ukases de l’exécutif.
En revanche, les stipulations coraniques sont, pour tout musulman, des impératifs catégoriques jugés sine varietur. Le coran est, pour le muslim, la parole d’allah, dictée par l’archange Gabriel à Mahomet. C’est dire que chacun de ses mots, chacune de ses courbures graphiques et de ses ponctuations sont sacrés.
Rien ne peut être remis en cause du contenu des sourates haineuses 2,3, 8, 9, 10, 22, 47, 58, 59, 60 et 61 qui recommandent le djihâd – la guerre sainte –, avec appropriation des biens des infidèles vaincus, à exterminer s’ils refusent de se convertir, tandis que leurs femmes et enfants deviennent automatiquement des esclaves. Rien ne peut être changé à la sourate 4 qui exige la mise à mort, par égorgement, des apostats de l’islam.
Idem, rien ne peut être fondamentalement différent des ordres du « saint coran », à propos des relations entre musulmans et infidèles en zones du Dâr al-Harb. Il s’agit toujours d’un domaine de la guerre, où il est sage de faire semblant de se soumettre aux usages locaux tant que les fidèles ne sont pas en force (ce sont les hadîths qui le recommandent… et c’est déjà un comportement qui paraît discutable aux rigoureux observantins du coran).
Dès qu’ils sont suffisamment nombreux et bien armés, surtout s’ils sont aidés par des collaborateurs infidèles vénaux ou abrutis, les musulmans doivent lutter pour transformer la zone occupée en Dâr al-Islam. C’est le principe même du rapport de forces prôné par le coran : tout ce qui n’est pas terre d’islam doit le devenir.
Les bons apôtres signalés plus haut ne sont que des ignares ou des traîtres. Ceux qui acceptent leurs mensonges ne sont que des imbéciles.
La lecture du coran doit être imposée à tout électeur européen et d’urgence. Que ce livre, épouvantablement mal rédigé, soit absolument indigeste pour un Européen féru de belle littérature, c’est une absolue évidence… et ce texte, contrairement à ce qu’ont pu écrire des collaborateurs ou des gens qui ne l’ont pas lu, n’a rien de poétique.
Mais ce pensum doit être infligé aux Européens, d’abord comme pénitence pour avoir admis une immigration musulmane massive sur leur continent, ensuite pour comprendre qu’il est nécessaire d’organiser – au plus vite – le grand retour des musulmans dans leurs domaines ancestraux et que l’islam, religion de haine et de conquête par tueries de masse, doit être prohibé sur le continent européen.
Nous n’avons qu’un unique devoir : préserver notre continent pour nos descendants de race européenne.
http://synthesenationale.hautetfort.com/tribune-du-dr-bernard-plouvier/
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Au-delà des risques terroristes.
Certains pensent que la période délicate actuelle n’est guère propice à la réflexion « posée » et que l’urgence est d’agir, seulement agir, pour répondre aux défis du terrorisme et de ses marques les plus cruelles. Agir ou plutôt réagir est nécessaire, bien sûr : mais cela reste insuffisant et le deuil ne doit pas nous faire oublier les devoirs du politique, qui doit toujours voir loin, voir au-delà du moment pour tenter de prévoir et de prévenir… Bien sûr, il ne s’agit pas de confondre politique et divination, mais de se donner les moyens de comprendre ce qui arrive et d’y répondre dans les meilleures conditions possibles.
L’impératif de l’unité nationale face au terrorisme islamiste ne doit pas être le paravent de la démission de l’intelligence : si les polémiques circonstancielles m’agacent (même si elles ne sont pas toutes infondées, malheureusement), des débats plus profonds devraient bien avoir lieu, n’en déplaise à ce secrétaire d’Etat socialiste, M. Le Guen, qui, à bien l’entendre, souhaiterait sans doute une « erdoganisation » de la vie politique et intellectuelle de notre pays quand il déclare que la critique du gouvernement s’apparente à une atteinte à la démocratie…
Les grandes questions qui doivent être posées portent sur la nature des dangers et, entre autres, sur les meilleurs moyens de les dépasser, de les réduire, tant sur le plan politique que géopolitique, sans négliger le domaine des idées et celui de l’esprit (qui, parfois, peuvent se confondre ou, au moins, se mêler). Ainsi, on ne fera pas l’économie de la réflexion sur les institutions si l’on veut régler, dans la durée, la question du danger terroriste : n’est-ce pas, d’ailleurs, l’absence d’une continuité réelle à la tête de l’Etat qui empêche toute politique de long terme, à la fois solide et souple, face aux risques ?
Le fait que la République soit entrée en campagne électorale présidentielle active risque bien de désarmer l’Etat ou de lui faire confondre son action avec celle d’un parti décidé à garder le Pouvoir tandis que d’autres, acharnés à conquérir sa magistrature suprême, n’hésiteront pas, dans le temps de leur candidature, à l’affaiblir. Dans tous les cas de figure électoraux, l’Etat et la France sont, en définitive, les proies d’un système qui risque bien de ne pas être le mieux à même de rassurer et de protéger nos concitoyens. On peut, sincèrement, le regretter : mais se contenter d’un tel regret ne peut fonder une politique ni un avenir… Il faudra aller plus loin : jusqu’à la Monarchie ? A défaut d’une réponse satisfaisante pour l’heure, il apparaît au moins possible de poser la question… Possible et, même, nécessaire !
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De renoncements en compromissions, la France devient islamique
La France de Manuel Valls serait fin prête pour pactiser avec l’islam ? L’urgent, c’est de changer de gouvernants !
« Il y a urgence à bâtir un véritable pacte avec l’islam », annonçait Manuel Valls dans une tribune du JDD.
Urgence, mais de quelle urgence s’agit-il, quand la question de l’islam en France, puis de l’islam de France, se fait récurrente depuis les années 80 ? C’est-à-dire après 40 ans d’immigration de travail, puis de regroupement familial, et maintenant d’immigration de masse. À quelle urgence fait-il allusion, qu’à cette question capitale de la solubilité de l’islam dans un pays aux racines chrétiennes, démocratique et laïc, les élus de droite ou gauche n’ont jamais souhaité répondre honnêtement ? Pire : ils l’ont glissée régulièrement sous le tapis et se la sont lâchement refilée.
Sous la présidence de François Mitterrand, l’islam, en 1990, devenant de moins en moins invisible et de plus en plus revendicatif, sera créé le Conseil de réflexion sur l’islam de France. Des batailles de chapelles multiples régnant au sein même de l’islam, le Conseil a tôt fait de se déliter.
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120 salles de prières liées à la mouvance salafiste bientôt fermées ?
Le ministère de l'Intérieur a listé 120 salles de prières liées à la mouvance salafiste. Des fermetures administratives sont programmées dans les jours à venir partout en France.
Nous verrons si la jurisprudence "Ste Rita" sera mise en oeuvre avec la même efficacité...
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Ce n'est pas le tout de s'offusquer de l'implantation de minarets, encore faudrait-il sauver nos clochers...
Philippe Randa
Paru dans Présent du 9 août 2016
En été, toute la France est en vacances. Toute ? Non ! À Kerhir (Côtes d’Armor), dans le Trégor, une petite communauté d’irréductibles catholiques résiste encore et toujours à… la fatalité ! Soit à la chute, une nuit de tempête, de la cloche de la petite chapelle dédiée à Saint Nicolas.
Datant de 1480, elle fut construite par Pierre de Trolong, époux de Peronnelle Arrel de Kermarquer : leurs armoiries, en haut du pignon de la chapelle, permet de dater très précisément l’époque de sa construction.
La chapelle, régulièrement desservie depuis lors, exceptée lors de la Révolution française – désaffectée, puis saisie comme bien national et laissée dans un « état déplorable », elle fut remise en état par de nouveaux propriétaires et Saint Nicolas de nouveau célébré régulièrement, notamment lors des rogatons dont se souviennent les paroissiens de Trédarzec…
Les actuels propriétaires, la famille de la Brosse, ayant fait évaluer les frais pour faire remonter la cloche, désespérait de parvenir à réunir les fonds… Mais grâce à l’initiative de Pierre Foata, bouquiniste à Tréguier, et du bâtonnier Yves Avril – sur une suggestion d’un proche voisin perrosien qui n’est autre que Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, bien connu des lecteurs de Présent –, une « garden-chapelle » pour réunir la somme nécessaire, a été organisée sur place le dimanche 7 août, suivi d’un buffet-campagnard, particulièrement bien garni (j’en atteste !) ; la quarantaine de participants, non seulement passèrent une excellente journée, mais permirent de réunir par leurs dons la somme nécessaire, sous l’œil bienveillant du Père Guillaume, curé de Tréguier. La cloche sonnera donc à Pâques prochain, après restauration.
Comme quoi, il n’y a pas de saison pour aider Saint Nicolas à être entendu ! Et fort bien !