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islamisme - Page 325

  • La police de la charia en France

    Ancienne conseillère régionale d'Ile-de-France, Céline Pina avait dénoncé, en 2015, le salon de «la femme musulmane» de Pontoise. Elle écrit dans Le Figarovox :"À Toulon ce dimanche, deux hommes se sont fait agresser et frapper sous les yeux de leurs enfants, par une bande de jeunes issus de la cité dite «sensible» des Œillets, simplement parce que les femmes qui les accompagnaient étaient en short.

    Toujours à Toulon, le 13 juin 2016, une jeune fille de 18 ans s'était faite insulter et menacer dans le bus de la ligne 3, par une bande de fille de son âge parce qu'elle portait un short.

    Aux cris de «putes» et «vas-y mets-toi toute nue», les jeunes hommes sont venus exercer une police de la vertu que l'on croyait impossible sous nos latitudes. Dans le cas de la jeune fille en short, qui a raconté son agression sur Facebook, à la question «pourquoi vous me traitez de pute parce que je porte un short alors qu'un homme peut se balader torse nu en plein centre-ville sans que personne n'y trouve rien à redire?», les jeunes femmes ont répondu «ben parce que t'es une femme, faut se respecter, sale conne.» Ces gardiennes sourcilleuses de la pudeur des femmes, mais peu de la chasteté de leur vocabulaire par ailleurs, ont tout dit: un homme on doit le respecter, une femme doit se respecter.

    On ne saurait plus clairement exprimer l'injonction à intégrer l'assignation à la pudeur comme une norme sociale et l'autocensure comme une norme comportementale. Une assignation à la pudeur qui plonge ses racines dans l'hypersexualisation du corps féminin et qui explique le rejet du corps de la femme, vu comme intrinsèquement impur et sale.

    La question du burkini, la multiplication des voiles intégraux, l'agression des femmes en short et le tabassage de leurs compagnons participent de la même logique. Faire du corps de la femme, un enjeu social et politique, un marqueur de la progression d'une idéologie au sein de la société. Dans les deux cas, c'est au nom de la transgression d'une «pudeur», érigée en norme pour la femme, que les agresseurs sont passés à l'acte. [...]"

    Michel Janva

  • Tremblay-en-France et son restaurateur qui s'excuse devant le « politiquement correct »...

     4083700128.jpgLe samedi 27 août, un restaurateur de Tremblay-en-France a refusé de recevoir dans son resto des femmes voilées : il a eu parfaitement raison; il a eu, par contre, parfaitement tort d'ajouter « tous les musulmans sont des terroristes ».  Tort aussi de dire ensuite aux médias qu'il regrettait son geste.

    Nous, nous disons : tous les musulmans ne sont pas des terroristes, mais, pour l'heure, tous les terroristes sont des musulmans. Et nous ne sommes pas prêts de retirer ce propos, et de plier le genou devant l'intelligentsia bobo-gaucho, devant le diktat du politiquement correct. 

    Et merde au « parti immigrationniste ! ». Comme Léo Ferré chantait « merde à Vauban ! »

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le burkini, un défi lancé à la France et l’Europe (article paru dans L’Action Française n°2938 du 01 septembre 2016)

    L’affaire des arrêtés municipaux anti-burkini, dans le lourd contexte des attentats de Nice et de Saint-Étienne-du-Rouvray, est révélatrice d’un dérèglement profond de la société française et européenne, comme des institutions censées la structurer. Bien loin d’être anecdotique, cette affaire ne peut évidemment se réduire au simple débat stérile d’un port vestimentaire. Elle est foncièrement politique et, de plus, caractéristique d’un vice rédhibitoire affectant le droit comme la justice.

    Dans un article publié dans Le Figaro (18 août), le sociologue québécois Mathieu Bock-Côté écrivait très justement que « la querelle du burkini [...] ne porte pas que sur un morceau de vêtement » ; de son point de vue, c’est « un des signes visibles d’une forme d’agressivité identitaire à l’endroit des sociétés occidentales » : « La question du burkini, autrement dit, révèle l’impensé culturel de nos sociétés. C’est ce que disait à sa manière Henri Guaino en soutenant qu’elle posait moins un problème à la laïcité au sens strict qu’un problème de civilisation. »

    Pourrir la vie des gens

    Dans un entretien accordé au même quotidien (26 août), la philosophe Catherine Kintzler se montre plus explicite : « Il ne suffit pas de ramener le port du “burkini” à un simple geste communautariste au sens social. Cela va bien plus loin et touche le domaine politique. [...] Une fois de plus, dans un contexte aggravé, on a affaire à une tentative de banalisation du totalitarisme islamiste. Ce burkini est très récent, personne ne s’y trompe – on se demande même ce que les islamo-totalitaires vont encore inventer pour pourrir la vie des gens. » En effet, seuls les aveugles volontaires se refusent obstinément à accepter de voir ce qu’ils voient. Une telle attitude emprunte à la fois au sectarisme idéologique le plus obtus comme à la tentative désespérée de tromper derechef le réel par une rhétorique aussi éculée qu’inefficiente.

    Le Conseil d’État a tranché

    Le Conseil d’État, par son ordonnance du 26 août, dans un juridisme éthéré propre à l’intégrisme normativiste et procédural en cours au Palais-Royal depuis une bonne quinzaine d’années, balaye d’un geste hautain l’argument retenu par les premiers juges fondé sur « l’émotion et les inquiétudes résultant des attentats terroristes, et notamment de celui commis à Nice le 14 juillet dernier » ; celles-ci « ne sauraient suffire à justifier légalement la mesure d’interdiction contestée », laquelle « a ainsi porté une atteinte grave et manifestement illégale aux libertés fondamentales que sont la liberté d’aller et venir, la liberté de conscience et la liberté personnelle ». Le style direct et assez inhabituel des attendus des juges du tribunal administratif de Nice, particulièrement circonstanciés et motivés , faisait encourir à leur ordonnance le risque avéré de la cassation. Qu’on en juge : « Dans ce contexte, le port d’un vêtement sur les plages pour y afficher, de façon ostentatoire, des convictions religieuses susceptibles d’être interprétées comme relevant de ce fondamentalisme religieux, est d’une part, non seulement de nature à porter atteinte aux convictions ou à l’absence de convictions religieuses des autres usagers de la plage, mais d’être ressenti par certains comme une défiance ou une provocation exacerbant les tensions ressenties par la population à la suite de la succession d’attentats islamistes subis en France. »

    Ordre public contre laïcité

    Surtout, les magistrats n’ont pas hésité à mettre l’accent sur le principal motif retenu par les édiles de Villeneuve-Loubet et de Cannes (et, par extension, bien qu’en dehors du champ de compétence de cette juridiction, de la quelque trentaine de communes ayant édicté le même type d’arrêtés), à savoir la préservation de l’ordre public qui, en droit public français, se conjugue traditionnellement en plusieurs modes : bon ordre, tranquillité, hygiène, sécurité, moralité et même dignité humaine. Il ne s’agit donc pas uniquement de sauvegarder le principe de laïcité qui, quoi qu’on dise aujourd’hui, se définit d’abord et avant tout comme la saine distinction du temporel et du spirituel, de l’État et de l’Église, du politique et du religieux, et non comme une égale coexistence des religions entre elles sous arbitrage prétendument “bienveillant” de l’État. De ce strict point de vue, en République, la laïcité ainsi entendue s’expose constamment au risque d’être immolée sur l’autel de l’opportunisme politique, son relativisme intrinsèque pouvant conduire l’État à privilégier telle ou telle chapelle selon les vents contraires de ses intérêts à court terme ou de ses caprices électoralistes. Le laïcisme républicain repose sur une conception rationaliste du droit naturel que Grotius formulait déjà en ces termes : « etiamsi daremus[...] non esse Deum » – suivre les règles comme si Dieu n’existait pas. Il s’ensuit une application viciée du droit comme un détournement de la justice idéalement arrimée à la satisfaction du bien commun. Le Conseil d’État se déconsidère chaque fois davantage quand il perd de vue, à dessein, ces gouvernails de l’utilité sociale. Comme le percevait le juriste Michel Villey, le but assigné « au droit et à l’État apparaît purement terrestre, purement mondain », sans déférence pour l’héritage ni souci de l’avenir.

    Conserver l’ordre social

    Sans qu’il fût nécessaire de légiférer sur cette question, à l’instar de la prohibition de la burqa dans l’espace public – ainsi que l’exhortait un Florian Philippot –, le traitement politique du burkini devait logiquement passer par une appréhension préalable des faits concrets à l’aune des circonstances locales. Ce que firent les juges niçois, conformément à une jurisprudence des plus classiques, forgée, pour l’essentiel, sous la République, la troisième du nom, la plus irréligieuse qui fût. Interdire le burkini sur la plage n’était pas une fin en soi, mais devait principalement tendre à conserver l’ordre social déjà passablement ébranlé par les attentats.

    Libertés et justice

    Arc-boutés à une vision hémiplégique et racornie du droit naturel, les juges du Conseil d’État se sont bornés à voir dans ces proscriptions municipales des atteintes aux « libertés », sans égard pour la justice proprement dite, laquelle commandait précisément, selon ce qu’écrivait Aristote dans ses Politiques, d’embrasser « l’ordre naturel des choses » et d’accorder à chacun son dû, pour le bien de la cité et non au bénéfice de quelques communautés, le droit n’existant exclusivement que dans les rapports entre citoyens. En exégète averti du Stagirite, Michel Villey expliquait que « l’observation de la nature est donc plus que l’observation des faits de la science moderne » ; « elle n’est pas neutre et passivement descriptive, elle implique le discernement actif des valeurs » (La Formation de la pensée juridique moderne, 2003). Il va de soi que ces “valeurs” sont tirées non d’une quelconque abstraction platonicienne (en terme plus contemporain, elles n’auraient rigoureusement rien de “républicaines”), mais d’une humble et patiente observation de la nature et, en particulier, celle de l’homme, animal politique fait pour vivre dans cet écosystème politique qu’est la cité. Les ferments de division d’icelle sont, dès lors, voués à être bannis ou, a minima, réduits au silence, attendu qu’« il y a des barbares » (au sens antique du terme) « que l’on voit ne pas parvenir au même degré d’épanouissement de la nature humaine, qu’atteignent au contraire les civilisés », observait encore Michel Villey.

    Aristide Leucate

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-burkini-un-defi-lance-a-la

  • Mettre sur le même plan la violence dans l’islam et le christianisme est odieux

    6a00d83451619c69e201b7c88f0a28970b-800wi.jpgExtrait de l'éditorial de Christophe Geffroy dans le dernier numéro de La Nef :

    "Mettre sur le même plan la violence dans l’islam et le christianisme est d’autant plus odieux que le drame européen est précisément le manque de fierté de ce que nous sommes, la perte de nos racines, et ce n’est pas en nous dénigrant nous-mêmes que nous pourrons nous redresser. Nous n’avons pas à avoir honte de notre passé et le christianisme en fait partie, son apport n’ayant pas été mince dans la plupart des valeurs qui nous sont les plus chères, à commencer par celles de la République : « liberté, égalité, fraternité ». Face à un islam, en France et en Europe, de plus en plus revendicatif et sans complexe qui cherche à imposer ses normes (voir l’affaire cet été des femmes en burkini), devant lequel nous cédons pas à pas par lâcheté et aveuglement, il nous faudrait retrouver la vertu de force, la vertu, nous dit saint Thomas d’Aquin, qui donne « la volonté de faire ce qui est raisonnable »."

    Michel Janva

  • Sauve ton peuple où il sera changé !

    Alors que la majorité des Français profite des vacances d’été, les événements qui se sont produits à Sisco en Corse à la suite du port du burkini, à savoir des rideaux portés sur quasiment tout le corps pour se baigner, et la rixe qui a suivi entre les familles maghrébines et des jeunes Corses, il est temps d’arrêter de tourner en rond. Il faut saluer la réactivité des Corses pour protéger les membres de leur clan. Depuis, plusieurs communes ont mis en place des arrêtés anti-burkini aussitôt attaqués devant le juge car supposés discriminatoires. 
    Les événements de Sisco montrent plusieurs points : 
    Tout comme les autres minorités, la communauté musulmane est devenue une part de marché à fort potentiel même si celle-ci n’est plus désormais une minorité en France. A titre d’exemple, l’entreprise Marks & Spencer a commercialisé le burkini en Grande-Bretagne, la même entreprise qui dans les années 1970 était dirigée par Joseph Sieff, qui avait subi une tentative d’assassinat par Ilich Ramirez Sanchez alias Carlos pour son soutien indéfectible à la cause sioniste et à Israél, c’est ici un retournement à 180°, mais l’argent n’a ni couleur ni odeur… 
    Après la mort de plus de 200 de nos compatriotes, le port de tels vêtements en France, et juste après le massacre de Nice est un ultime acte de provocation. Le port du burkini, du tchador et du voile ne sont plus des actes anecdotiques et les exemples se multiplient dès à présent. L’auteur de ces lignes a pu entendre un chant guerrier musulman sur une place publique française le lendemain de l’acte barbare commis à Nice, alors qu’on ne vienne pas nous parler des troubles commis par l’extrême-droite.
    Il ne faut pas faire d’amalgames comme diraient les vigies interlopes et apôtres du multiculturalisme, cependant, le lien entre islam et immigration est inévitable : pour exemples, un des barbares de l’église de Saint-Etienne de Rouvray est un Tunisien ; celui qui avait attaqué le commissariat était un migrant ; une partie de l’équipe des attentats du 13 novembre était aussi composée de migrants passés par l’île de Lesbos. 
    Les faits parlent d’eux-mêmes. Il faut arrêter dorénavant de parler de racisme pour fermer les yeux sur une situation qui dépasse nos politiques et où leur seule politique actuelle est de bâillonner les Français pendant qu’ils meurent à petit feu.Pour un terroriste tué par les forces de l’ordre, combien de Français périssent à chaque fois ? Nous sommes clairement dans une courbe exponentielle et nous ne sommes pas loin de parler de génocide. 
    Génocide il y a eu en Serbie quand l’OTAN a pilonné les populations civiles, génocide il a en Irak quand les Alliés bombardent et que les islamistes posent des bombes chaque semaine. En France aussi, un peuple est clairement visé et les chiffres des morts sont consternants. 
    L’ironie de l’histoire tient au fait que les forces de l’ordre ne se cachent plus pour dire que nous sommes dans une guerre, c’est bien le cas puisque notre ennemi nous a déclarés la guerre. Mais ces mêmes forces de l’ordre dépenseront toute leur énergie pour retenir toute forme d’autodéfense populaire quitte à les amener devant le juge. Et le juge crypto-marxiste, syndiqué dans le fameux syndicat de la magistrature du Mur des cons est cependant beaucoup plus laxiste pour « certains criminels », quitte à relâcher un islamiste radical pour lui mettre un bracelet électronique : on a vu le résultat. 
    Alors que faire. Déposer une bougie et faire un dessin de souvenir ? Écrire à la craie sur le sol « Paix et halte au terrorisme » ? Mettre des photos sur les réseaux sociaux de drapeaux français ou des photos avec des doigts d’honneur au terrorisme ? 
    C’est désormais le moment pour chacun de nous de devenir vigilant, de montrer que l’on est chez nous et que nous ne nous laissons pas faire, comme l’ont très bien fait les Corses à Sisco pour protéger les membres de leur famille face à la haine extra-européenne. Car si haine il y a, elle ne vient pas du Français qui cherche à vivre en paix et protéger sa famille, elle vient de personnes certes déracinées mais qui ne voient plus en nous l’ami, le voisin ou le compatriote. Le sacrifice de leur vie et leur interprétation de leur religion fait de nous des vaches à lait impuissantes qu’il faut guérir soit par la conversion, soit par la mort. 
    2017 doit être une année décisive pour le peuple français, que ce soit pour les élections présidentielles, mais aussi et surtout pour les législatives, pour que l’Assemblée nationale soit enfin représentative du nombre d’électeurs patriotes. 2017 n’est pas une fin en soi, mais c’est un moyen supplémentaire d’éviter la chute vertigineuse que nous connaissons actuellement. 
    Est-ce qu’il y aura encore des attentats même avec le FN ? Oui, certainement. Malheureusement, la situation ne peut plus s’inverser aujourd’hui. Nous sommes sur une pente ascendante, exponentielle même avec la probabilité d’attentats à la bombe piégée en public, ce qu’ils ont déjà essayé de faire au Stade de France. Il ne s’agit plus de tergiverser, tout Français qui aidera ces populations pour quelque raison que ce soit, tiers-mondisme, boboïsation, sentiment de repentance, moyen de gagner des électeurs, toutes ces personnes sont et/ou deviennent des traîtres. Ce sont aussi ces personnes-là qu’il faut montrer du doigt, qu’il faut mettre sur le fait accompli en public. 
    Les manifestations et actions civiques des Indigènes, c’est-à-dire les Français (à l’image des Indigènes indiens massacrés par les Américains quand ils débarquèrent sur le nouveau monde) doivent être nombreuses et visibles. Pas d’exaltation à la violence ou à la vengeance (les autorités seraient trop contentes d’arrêter pour ce simple motif), mais la simple reconnaissance d’un peuple qui ne veut non plus vivre mais survivre face à ce nouveau défi qui engage tout Français dès à présent face aux menaces d’une extinction programmée.

     

    http://dextra.fr/2016/08/17/sauve-ton-peuple-ou-il-sera-change/

  • L’Union européenne va chercher les migrants en Afrique

    En seulement trois jours, 13.000 clandestins ont été récupérés en Méditerranée et escortés jusqu’aux ports italiens.
    Les arrivées de migrants provenant d’Afrique et en direction du continent européen sont en passe de subir une accélération considérable.

    Cette affirmation n’est pas l’opinion de qui voudrait alimenter les craintes de nos concitoyens, mais bien une réalité induite par l’extension aux eaux territoriales libyennes du mandat des opérations de sauvetage de l’Union européenne (mandat Sophia) : c’est à quelques milles du littoral africain que les navires, qu’ils soient italiens, danois ou britanniques, etc., vont désormais chercher les clandestins.

    La preuve ? En seulement trois jours, 13.000 clandestins ont été récupérés en Méditerranée et escortés jusqu’aux ports italiens.

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  • Le journal du Vendredi 2 septembre 2016 - Immigration / France : La porte ouverte

  • Kosovo : les chrétiens persécutés par les musulmans

    Lu sur l'Observatoire de la christianophobie :

    "Des centaines d’hommes albanais ont violemment manifesté dans plusieurs villes du Kosovo-et-Métochie – République autoproclamée du Kosovo – et lancé des slogans appelant à « brûler les Serbes et leurs églises » le dimanche 28 août, jour où les Serbes orthodoxes célèbrent la « Dormition » de la Vierge Marie (Assomption chez les catholiques). Des orthodoxes ont été empêchés de se rendre dans leurs églises pour cette fête, leurs véhicules caillassés… Le bureau du représentant spécial de l’Union européenne de Pristina, en Kosovo-et-Métochie, s’est dit « préoccupé par ces incidents »… La République autoproclamée du Kosovo (musulmane à 95 %) est candidate à l’adhésion à l’Union européenne."

    Voilà ce qui se passe lorsque les musulmans deviennent majoritaires.

    Michel Janva