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islamisme - Page 320

  • Toute la vérité?

    Nouvelle incarnation médiatique de ce djihadisme  qui frappe notre pays, la main du « Français » Rachid Kassim, membre de l’Etat islamique, apparait de nouveau derrière les menaces d’attentats révélées au grand public ces derniers jours. Selon les enquêteurs il aurait déjà piloté depuis la Syrie le meurtre commis par Larossi Abballa d’un policier et de sa compagne le 13 juin dernier à Magnanville (Yvelines), l’assasinat du prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime) par Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean le 26 juillet. il serait aussi derrière la cellule de  femmes jihadistes qui prévoyaient unn attentat près de Notre-Dame de Paris (?), arrêtées la semaine dernière par la police dans l’Essonne. Kassim serait également en contact avec le mineur de quinze ans, assigné en résidence depuis avril, soupçonné de pouvoir « passer à l’acte », et arrêté ce  samedi. Invité dimanche du «Grand rendez-vous» Europe 1/iTELE/Les Echos, Manuel Valls a évoqué une « menace (terroriste) maximale (…). Tous les jours, les services de renseignement, la police, la gendarmerie, tous les jours, déjouent des attentats, démantèlent des filières irako-syriennes. »

    Changement de tactique, ou impossibilité de dissimuler plus longtemps la réalité, le Premier ministre a  fait état non pas de 10 000 islamistes radicalisés présents sur notre sol, chiffre auquel s’accrochait jusqu’alors  le gouvernement, mais  d’ environ 15.000 djihadistes potentiels vivant chez eux chez nous, auxquels il faut ajouter « 700 djihadistes français et résidents en France, qui combattent actuellement en Irak et en Syrie.  » Il est aussi loisible de s’interroger sur les possibles infiltrés qui se mêlent aux  immigrés qui veulent gagner l’Europe pour des raisons économiques.  Cette seule fin  de semaine, 3 400 migrants ont été secourus  et  débarqués vers l’Italie samedi  ont annoncé les gardes-côtes italiens.  Les chiffres du  ministère de l’intérieur transalpin font état  de l’arrivée   de 125 000 immigrés sur ses côtes depuis le début de l’année ( 122 000 durant la même période   en 2015).

    Manuel Valls l’a répété hier  « le premier enjeu » de  cette élection présidentielle   » c’est le danger du Front National ». Non!  le premier enjeu de  2017  pour les Français ce n’est pas la menace que font peser Marine et  le FN sur les partis dits républicains qui se partagent les fromages du Système.  Nos compatriotes eux,  attendent   certes une politique permettant à la France de stopper  le déclin  économique,  d’enrayer le chômage,  mais veulent aussi  un Etat fort, assumant ses fonctions régaliennes, capable de protéger leur sécurité, notre identité et notre  souveraineté.

    Outre-Atlantique, le résultat de l’élection présidentielle de novembre ne sera pas non plus sans conséquence sur nos vies,  selon que le « populiste » isolationniste  Donald Trump ou la calamiteusepasionaria  Hillary Clinton  succèdent à Barack Obama. Pour la première fois un sondage national(CNN/ORC), mais il sont réputés peu fiables aux Etats-Unis,   publié mardi,   donne  Donald Trump gagant d’une courte tête.  Le site du Nouvel Obs rappelait aussi très justement que « l’avance de deux points de Trump est située dans la marge d’erreur (plus ou moins 3,5 points) et le sondage est national. Or, l’élection américaine se jouant dans les Etats-clés (swing states), il est plus pertinent de s’intéresser aux sondages Etat par Etat. »

    Au delà de l’antipathie que sa personne  suscite dans une large frange de la population  américaine, même si celle-ci est largement  tue ou minorée dans « nos » médias conquis quasi unaniment  par leprogressisme  de Mme  Clinton, celle-ci est toujours en butte à de forts soupçons sur son honnêteté. Un  récent sondage ABC/Washington Post, indique que seuls 35% des électeurs Américains  disent lui faire confiance. Il y a eu   l’affaire  des courriels lorsqu’elle était à la tête du Département d’Etat  qui a déclenché une enquête du FBI, les révélations sur ses liens financiers  très troubles avec Goldman Sachs, ses   rencontres avec de très généreux donateurs de la Fondation Clinton quand elle était responsable de la diplomatie américaine…

    Autre doute, Mme Clinton,  comme François Mitterrand en son temps, et comme l’affirme depuis des mois  M. Trump, ment-elle sciemment sur son état de santé, elle qui refuse toujours de publier son bilan médical?  Lors des commémorations du quinzième anniversaire des attentats du 11-Septembre à New-York, auxquelles ils étaient tous deux présents, Mme Clinton a été victime d’une malaise. Non pas « un coup de chaud » comme elle l’a d’abord  dit mais les effets d’ une pneumonie comme a fini par le révéler son médecin. « Chaque fois que je pense à Trump, je deviens allergique » , expliquait-elle  jusqu’alors  à ses fans sans ses réunions pour expliquer  ses quintes de toux…

    Pour dire les choses gentiment,   nous pourrions dire de  Mme Clinton qu’à l’instar de Jules Renardelle aime « la vérité et les mensonges qu’elle autorise ». Jugement qui s’applique aussi aux événements qui ont suivi et entourent la tragédie du 11 septembre 2001.  Dans un tweet , Bruno Gollnisch a rappelé hier sa « sympathie totale pour ces victimes civiles » de cet attentat , » comme pour celles de l’US Air Force (1 million ?) Requiescant omnes in pace. »

    11 septembre  au nom duquel bien des mensonges ont été proférés par les gouvernements américains pour légitimer  des interventions militaires   qui ont déstabilisé le Proche et le Moyen-Orient,  une partie de l’Afrique,  avec les effets dramatiques que nous voyons à l’œuvre aujourd’hui;   de la même façon que les pseudo  armes de destructions massives de Saddam Hussein ont justifié en 2003 une guerre d’agression contre l’Irak avec les mêmes conséquences dévastatrices, pour les Arabes musulmans, les Chrétiens d’Orient, les Africains, les Européens…

    Il n’est d’ailleurs  pas nécessaire d’adhérer aux  » théories du complot » les plus obscures  pour en être convaincu. Bruno Gollnisch le rappelait dans un entretien accordé en janvier 2015 au siteplanet.fr: « Il faut savoir aussi que quelquefois l’invraisemblable est vrai et ce qui prouve d’ailleurs que c’est vrai c’est que c’est invraisemblable (…). Le seul complot c’est sur la sureté intérieure et extérieure de l’Etat qui est l’appel à une immigration massive de personnes qui se trouvent en dehors de notre civilisation depuis 40 ans. C’est un complot contre la France. Je suis complotiste au sens zemmourien du terme : dénatalité, immigration massive, ouverture des frontières, libre échangisme, destruction de l’identité française, etc. » Brisons ce complot là en 2017!

    http://gollnisch.com/2016/09/12/toute-la-verite/

  • Terrorisme : pourquoi le gouvernement préfère dealer avec les Islamistes

  • Un siècle déjà de préscience de notre (triste) époque

    Bernard Plouvier

    L’invasion islamique est, pour tout individu doté d’un minimum d’intelligence et de sens de l’observation, l’une des armes employées par les maîtres de l’économie globale et de la mondialisation des vies politique et sous-culturelle, pour asservir la race européenne, un peu trop rétive aux joies du nouvel Éden. On en parle beaucoup, en Europe, sur un mode de plus en plus critique et c’est fort bien.

    Pour se délasser des petitesses de l’islam et de sa barbarie, évidentes depuis la résurrection à Mossoul du califat, on peut s’intéresser à la préhistoire de notre triste monde.  

    Peu de temps après le début de la Grande Guerre, qui paraissait alors monstrueuse (on fit bien pire lors de la suivante), un Juif, infiniment plus intelligent que Blum et bien plus visionnaire que ‘’Lénine’’, avait eu la préscience de la globalo-mondialisation.

    Reprenant le thème, cher à Jean Jaurès qui fréquentait beaucoup les capitalistes judéo-parisiens, des « intérêts enchevêtrés des financiers internationaux », Karl Kautsky publiait le 30 avril 1915 (in Die Neue Zeit, la revue socialiste de Stuttgart) ces phrases prophétiques : « La politique impérialiste actuelle ne pourrait-elle pas être remplacée par une politique ultra-impérialiste d’exploitation en commun de l’univers par un consortium international de détenteurs de capitaux ? ». Kautsky prévoyait le déclin de la course aux armements (c’était l’unique sottise de son argumentation) et l’entente des géants de la finance pour dominer le monde économiquement.

    Seul un Juif cosmopolite - Kautsky passa son existence de Prague en Amsterdam, passant par Londres, Vienne, Berlin et diverses villes d’Allemagne - pouvait soutenir une telle idée en un tel moment. Il récidiva, en cette même année 1915, dans une brochure parue à Nuremberg, intitulée L’État national, l’État impérialiste et l’union des États, qui provoqua la colère haineuse de ‘’Lénine‘’, exprimée la même année dans La faillite de la IIe Internationale, où le chef des bolcheviks s’attaquait à « la théorie bébête de Kautsky ».

    Oulianov-‘’Lénine’’ n’eut qu’une seule idée constructive dans sa vie : la NEP de 1921 ou Nouvelle Économie Politique, qui signifiait l’échec intégral du marxisme de stricte obédience. Il est possible (et même probable) que Franklin Delano Roosevelt ait été initié à cette querelle de doctrinaires par son ami, et seul conseiller influent, le socialiste Harry Hopkins. FDR créa les conditions géopolitiques de la globalo-mondialisation, qui ne put s’imposer qu’une fois effondrées les immondes dictatures marxistes.

    Le plus cocasse, dans l’affaire, est que la première formulation de cette farce grotesque globalo-mondialiste ait été faite par le dernier secrétaire (et exécuteur testamentaire) de Friedrich Engels !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Syrie : la mauvaise foi des USA sans limites

    La mauvaise foi des élites étasuniennes ne date pas d’hier et cela n’est une nouveauté pour personne. Mais dans le cas concret de la Syrie, la politique criminelle des USA atteint effectivement le comble.

    Après avoir fait des « appels » frôlant l’indécence pure et simple en demandant à la Russie durant le Sommet du G20 en Chine des «concessions » en Syrie, les élites US ont lancé désormais ce qu’ils nomment les « dernières propositions » et qui se résument à trois points principaux: cessation totale des hostilités en Syrie et notamment à Alep, interdiction de survol pour les forces aériennes syriennes du territoire syrien (!) et troisième point, qui peut-on dire serait le résultat des deux précédents: campagne aérienne commune russo-étasunienne.

    Maintenant répondons-y point par point. Cessation totale des hostilités et surtout à Alep, là où on assiste au tournant décisif de la guerre dans laquelle a été plongée la Syrie il y a plus de cinq ans?
    Pour quelle raison? Laisser souffler les terroristes et leur permettre de reprendre du terrain? Inacceptable.

    Second point: interdiction pour les forces aériennes de Syrie de survoler leur propre territoire au moment de la phase cruciale dans la lutte anti terroriste? Les USA se moquent de qui?

    Et dernier point: opération aérienne commune? Pour faire quoi? Après que la Russie a proposé nombre de fois de coordonner la lutte antiterroriste à tous les intéressés et d’en faire la priorité, les USA n’ont fait que jouer les sourds. Et maintenant ils proposent une coordination? Ridicule.
    Sans oublier que l’opération antiterroriste russe, commencée il y a un tout petit moins d’un an (pour rappel à la demande officielle du gouvernement syrien, à l’énorme différence des USA) a donné incomparablement plus de résultat que ladite « opération » de la coalition US (on se demande d’ailleurs s’il y avait « opération »).
    En passant dernier exemple en date: le numéro deux de Daech, Abou Mohammed al-Adnani, qui a été éliminé près d’Alep, par une frappe russe.

    La réalité est pourtant simple. Les USA qui voient parfaitement que les groupes terroristes sur lesquels ils comptaient arriver à leur fin et dans lesquels d’énormes sommes ont été investies, notamment de la part des régimes saoudien et qatari, qui sont au plus mal depuis les dernières années et à bout de souffle, ont beaucoup de mal à accepter de reconnaitre leur défaite pure et simple. Et essaient donc par tous les moyens de gagner du temps et retarder la victoire finale de la Syrie et de ses alliés sur le terrorisme.

    Maintenant parlons perspectives. Mis à part l’absence totale de morale dans cette politique étasunienne (et c’est bien loin d’être nouveau), et qui a clairement et une fois de plus montré son vrai visage et ses véritables intérêts (qui sont tout sauf de lutter contre le terrorisme), les Etats-Unis ne savent plus vraiment comment pouvoir sortir la tête de l’eau, ou en d’autres termes du chaos syrien auquel ils ont énormément contribué.
    En effet, créer et développer le chaos à différents endroits du monde, les USA en sont les champions absolus. Mais résoudre l’équation de sortie de ce même chaos, cela ne rentre aucunement dans la compétence des élites US.

    Pourtant l’offre qui leur a été faite par la Russie aurait permis de sortir de ce bourbier avec ne serait-ce qu’un minimum de dignité (même si dans le cas US cette notion est très difficilement collable). A savoir s’associer officiellement et réellement à la lutte antiterroriste et ainsi pouvoir ne serait-ce qu’au minimum prétendre avoir contribué au succès final (bien que vraiment au minimum) dans le combat contre le terrorisme.
    Certes, il leur aurait fallu oublier le plan de faire tomber les autorités légitimes de Syrie une bonne fois pour toute. Avoir accepté cette éventualité aurait effectivement permis aux USA de sortir pas totalement humiliés. Mais c’est trop dur à faire pour les élites étasuniennes due à leur obstination d’imposer leur volonté partout dans le monde et le complexe de supériorité développé depuis la « fin » de la guerre froide. Résultat de quoi, les USA tentent de s’accrocher encore au scénario qu’ils avaient écrit et dessiné pour la Syrie et qui désormais s’éloigne de plus en plus.

    Le gouvernement syrien est au plus fort, grâce à la résistance du peuple syrien, de son armée et bien sûr à l’aide de ses alliés russe, iranien, du Hezbollah libanais, et aussi de la Chine qui dernièrement d’un soutien très majoritairement diplomatique, commence à prendre position sur d’autres domaines, y compris militaire (un accord a d’ailleurs été signé récemment entre Pékin et Damas sur la formation des militaires syriens en Chine).

    Les terroristes, eux, sont au plus bas. De leur propre aveu. Les élites occidentales et golfistes ne sont donc simplement pas en mesure de lancer « des propositions de dernière chance » à qui que ce soit, et encore moins à la Russie. La dernière chance au contraire serait pour eux d’accepter tout simplement le nouveau monde, et ce nouveau monde commence par la Syrie.
    Difficile oui on sait bien. Mais il le faut. Reste bien sûr une autre option pour les USA & consorts. Entrer en guerre directe en Syrie aux côtés des groupes terroristes pour tenter de les sauver. Mais si cela se passait, leur masque tomberait définitivement, pas seulement aux yeux d’une très large partie de l’humanité, mais aussi aux yeux de leurs propres citoyens, pour certains pas encore convaincus.

    Mikhail Gamandiy-Egorov

    Source

    http://www.voxnr.com/3428/syrie-mauvaise-foi-usa-limites

  • Face à l'islam conquérant, beaucoup de Français sont au bord de la crise de nerfs

    Causeur se penche sur le burkini. Elisabeth Lévy, directrice de la rédaction, explique au Figarovox :

    6a00d83451619c69e201bb0935570e970d-250wi.png"[S]i quelque chose se rapproche du fascisme aujourd'hui, c'est cet islam qui déteste notre mode de vie et veut empêcher les musulmans de l'adopter. Tabasser quelqu'un qui mange durant Ramadan, obliger sa sœur ou sa copine à s'habiller de telle ou telle façon, préférer laisser une femme mourir plutôt que de la voir examinée par un homme, tenter de s'accaparer l'espace public, ce sont des comportements de petits nervis. Et si on a le droit de parler de fascisme pour l'Etat islamique, on a le droit de dire «fasciste» pour ceux qui ne font qu'admirer sa cruauté ou sa barbarie. Et tant pis pour la précision historique. Cependant, si nous avons repris maintenant ce cri des Républicains espagnols [No Pasaran], c'est aussi à cause du moment. Beaucoup de Français sont au bord de la crise de nerfs et disent: arrêtons de laisser l'intégrisme créer une contre-société, une sécession hostile, à l'intérieur de la société française, défendons notre façon de vivre ensemble, avec des femmes qui peuvent se montrer sans se donner. Et c'est sans doute notre dernière chance d'inverser la tendance, avant que se créent durablement des territoires islamisés dans notre pays. [...]"

    Michel Janva

  • Zemmour au pilori !

    Qu’est-ce qui a déclenché l’ire du Collectif contre l’islamophobie ?

    C’était couru d’avance. Dans un courriel incendiaire destiné au Conseil supérieur de l’audiovisuel, le Collectif contre l’islamophobie en France (le fameux CCIF) – emboîtant le pas aux quelque 700 signalements adressés au CSA -, suite à la prestation d’Éric Zemmour dans l’émission « C à vous » du 6 septembre, réclame la suppression « par tous les moyens possibles » de « la répétition » de ce genre de propos dans le domaine public.

    Qu’est-ce qui a déclenché l’ire du Collectif contre l’islamophobie ? D’entendre Zemmour décrire l’islam comme « la seule religion à s’être constituée dans la guerre », vis-à-vis de laquelle « il est interdit de prendre de la distance car depuis le IXe siècle, il est interdit d’interpréter le Coran » ? De l’entendre certifier « qu’on ne vit dans la paix que quand on se soumet à l’islam » et que « Daech applique l’islam » ? S’est-il offusqué des propos tenus par le journaliste, le 7 septembre, sur RTL, affirmant que « l’islam n’est pas une religion, c’est une loi, une nation » ? Aucunement. On ne peut pas être partout !

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  • Et toujours le déni !

    Cet été aura été marqué par le terrorisme islamiste qui a particulièrement sévi en France, à Nice d’abord le 14 juillet (85 morts, 434 blessés), à Saint-Etienne-du-Rouvray ensuite le 26 juillet où, pour la première fois, un prêtre catholique était égorgé alors qu’il célébrait la messe. Attentat après attentat, on entend de plus en plus de voix s’élever pour dénoncer non seulement l’islamisme qui mène sa guerre contre nous, mais aussi ses liens manifestes avec l’islam : c’est au moins le bon côté des choses, ces horreurs obligent au réalisme. Et pourtant, malgré l’évidence, beaucoup, dans le monde médiatico-politico-religieux demeurent dans le déni de l’islamisme, à commencer par notre Président qui, bien qu’ayant déclaré que nous étions « en guerre », refuse obstinément de nommer l’ennemi que nous sommes censés combattre.

    Il est louable d’éviter les amalgames entre l’ensemble des musulmans et le petit nombre d’entre eux qui violentent, torturent et assassinent au nom d’Allah ; il est de même nécessaire de maintenir un dialogue en vérité avec des représentants de cette religion, car nous ne pouvons vivre côte à côte en nous ignorant ; mais cela est possible sans s’aveugler sur le fait que les islamistes se veulent les plus fidèles au Coran et au « bel exemple » du prophète Mahomet qui fut aussi, ne l’oublions pas, un homme de guerre qui n’hésitait pas à recourir à la violence et même à l’assassinat. Qui sommes-nous pour affirmer que ces islamistes « n’ont rien à voir avec l’islam » et distribuer ainsi des brevets d’orthodoxie islamique ?

    En niant ou minimisant l’appartenance à l’islam des terroristes qui sèment la mort parmi nous et plus encore parmi leurs frères de l’Oumma au Proche-Orient et ailleurs, en jouant la partition éculée de « l’islam, religion de paix, d’amour et blablabla », on est non seulement dans le mensonge, mais surtout on empêche les musulmans de bonne volonté de voir le problème intrinsèque à l’islam et ainsi de se remettre en cause. Car toute cette violence est le signe d’une crise intense de l’islam et du monde musulman dans son ensemble qui a un besoin urgent de réformes profondes : or ces réformes ne sont possibles que moyennant la possibilité d’interpréter le Coran à frais nouveaux et donc de rouvrir les portes de l’itjihad, closes en 1029. Cette évolution sera difficile, tant l’islam n’a pas de structures hiérarchiques capables de les imposer, mais elle n’est pas impossible. Ce qui est sûr, c’est qu’on incite les musulmans à l’immobilisme en répétant inlassablement que le terrorisme n’a rien à voir avec l’islam et en cherchant toujours des causes sociales, psychiatriques… pour finalement tomber dans le discours victimaire en accusant nos sociétés d’être discriminatoires et islamophobes. [....]

    Christophe Geffroy

    La suite sur La Nef

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Et-toujours-le-deni

  • Si le sexisme n'est pas leur genre, l'islamisme est leur genre

    Bérénice Levet, docteur en philosophie et professeur de philosophie à l'Ecole Polytechnique et au Centre Sèvres, déclare au Figarovox :

    "[...] Plutôt que d'exhiber des chiffres qui disent tout et rien, je voudrais que l'on reconnaisse une fois pour toutes que si régression de l'égalité entre les sexes il y a en France, si domination et patriarcat il y a dans notre pays, cet état de fait est lié exclusivement à l'importation, sur notre sol, des mœurs musulmanes, et non à je ne sais quelle survivance du passé.

    Plutôt que des sondages qui noient dans la généralité et l'abstraction des chiffres, des réalités fort contrastées - car quoi de commun entre une femme qui s'interdit de porter telle tenue vestimentaire par crainte d'entendre ses collègues masculins l'en complimenter et une femme qui, en banlieue, exclut de porter une jupe ou un short par soumission aux codes dictés par un islam rigoriste dont les Grands frères se font les gardiens? -, plutôt que ces sondages donc, Madame Rossignol ferait bien de lire par exemple, l'essai de Géraldine Smith, Rue Jean-Pierre Timbaud. Une vie de famille entre barbus et bobos. Elle y apprendrait, entre autres choses tout aussi édifiantes, qu'il est des boulangeries, en plein cœur de la capitale, où les hommes sont systématiquement servis avant les femmes. La croisade contre le sexisme et la reconquête de ces territoires ne se fera pas à coup de manifestations festives.

    Plutôt que de divertir la nation avec la mobilisation de «people» contre le sexisme ordinaire et la distribution de badge estampillé «Sexisme, pas notre genre», le gouvernement devrait porter le fer là où s'exerce une véritable domination masculine, en commençant par les territoires perdus de la République, ces enclaves ayant fait sécession d'avec nos mœurs, nos lois, nos principes, dont l'égalité des sexes, vivant sous l'autorité et la règle d'un islam radical. Les femmes qui se dressent vaillamment contre leur assujettissement, s'y retrouvent bien seules. 

    Michel Janva

  • Angela Merkel vacille au Mecklembourg-Poméranie occidentale

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    Leif-Erik Holm, tête de liste de l'AfD au Mecklembourg-Poméranie occidentale, fête la victoire.

    Lionel Baland EuroLibertés cliquez ici

    Lors des élections pour le Parlement du Land de Mecklembourg-Poméranie occidentale de ce 4 septembre 2016, la CDU d’Angela Merkel arrive en troisième position avec 19 % des voix. Le Parti social-démocrate SPD est premier avec 30,6 % et le parti patriotique AfD (Alternative pour l’Allemagne), nouveau venu, obtient 20,8 % des voix. Les post-communistes de Die Linke sont quatrième avec 13,2 %.

    Les deux faits remarquables de ce scrutin sont que l’AfD dépasse la CDU et que l’AfD obtient trois mandats directs.

    Mandats directs

    Les électeurs allemands disposent de deux voix. La première est accordée lors d’un scrutin majoritaire uninominal à un tour et la deuxième lors d’un scrutin de listes au niveau de l’ensemble du Land. Au sein de trois des 36 circonscriptions du Land de Mecklembourg-Poméranie, l’AfD est arrivée première malgré la présence du parti ultranationaliste NPD qui y a obtenu de bons résultats.

    Une région peu prospère

    Le Mecklembourg-Poméranie occidentale est un des seize Länder (États) de la République Fédérale d’Allemagne. Située dans l’est du pays sur la mer Baltique, cette très belle région attire des touristes, quasi-exclusivement allemands, en juin et juillet lorsque la météo y est clémente. Certaines années, le beau temps se fait attendre et les touristes, notamment berlinois, s’y font rares.

    Durant la période de plus d’un quart de siècle qui nous sépare de la chute du communisme, le Mecklembourg-Poméranie a connu, à l’instar des autres régions de l’ancienne République Démocratique Allemande, des changements radicaux, appréciés diversement par les habitants.

    Si l’afflux massif de capitaux venus de l’ouest a inondé l’Est à partir du début des années 1990, la population, qui a vu le niveau matériel de son existence s’améliorer, a dû faire face à un chômage de masse, phénomène inconnu sous le communisme, et à une modification complète de son cadre de vie. Après la réunification du pays en 1990, de nombreux travailleurs ont été contraints de partir vers l’ouest du pays afin d’y trouver un moyen d’existence.

    Si certaines zones de l’est de l’Allemagne, comme Dresde qui est la capitale du Land de Saxe, ont connu un fort développement économique au cours des dernières années, d’autres sont toujours lésées par la prospérité. Coupés de ses liens naturels avec la ville et le port de Stettin (Szczecin) devenus polonais à l’issue de la IIe Guerre mondiale, les villages et villes de l’est du Mecklembourg-Poméranie occidentale sont dans ce cas. Certaines habitations sont à l’abandon et les petites villes voient quelques-uns de leurs appartements rester vides. Le coût de l’immobilier y est relativement bas, alors que dans les métropoles du sud de l’Allemagne, telles Stuttgart et Munich, les logements sont hors de prix. C’est dans cette partie orientale du Mecklembourg-Poméranie occidentale que l’AfD obtient trois mandats directs.

    La question des migrants

    À côté de la faiblesse démographique et économique du Mecklembourg-Poméranie occidentale, la question de la migration a joué un rôle prépondérant lors de ce scrutin. En effet, l’afflux massif de migrants survenu en 2015 suite à l’ouverture des frontières par la Chancelière Angela Merkel a changé la structure des villes et villages de ce Land jusqu’alors non-peuplé d’étrangers. De plus, les actes de violences, attentats, agressions sexuelles et viols commis par les migrants à travers l’Allemagne, ainsi que les nombreuses agressions sexuelles dans les piscines, conduisent à un rejet de plus en plus profond, de la part d’une partie de la population, des migrants.

    L’est, moins touché par la propagande du régime

    Mais la différence principale entre ces zones économiquement modestes de l’est de l’Allemagne et l’ouest prospère du pays réside avant tout dans le fait que dans l’est du pays, le système actuel n’a pu mettre en place sa propagande de masse, via les médias et l’enseignement, que depuis un quart de siècle. Les personnes de plus de 45 ans n’ont pas été scolarisées sous le régime actuel.

    Chez les marchands de journaux de l’est, il est courant de trouver une liasse d’exemplaires d’un quotidien communiste et, un peu dissimulée, une liasse d’exemplaires d’un journal nationaliste, alors que dans l’ouest du pays, ces organes de presse ne sont pas disponibles dans ce genre d’établissement.

    Les habitants les plus âgés de l’est ont également l’habitude de la résistance à l’État. Ainsi, la ville de Dresde s’est rendue célèbre à travers le pays par les manifestations organisées par le mouvement anti-islamisation PEGIDA, qui a pu y attirer, certains lundis, plusieurs dizaines de milliers de personnes. La même organisation n’a pu rassembler dans les cités de l’ouest, telles que Munich, Nuremberg, Duisbourg ou Hanovre que quelques centaines de personnes.

    La circonscription d’Angela Merkel

    La Chancelière d’Allemagne Angela Merkel a été élue député national en 2013 au sein d’une circonscription électorale située au Mecklembourg-Poméranie occidentale. Bien que la CDU arrive première dans la zone de cette circonscription, le parti est largement battu, tant par le SPD que par l’AfD, au niveau du Land Mecklembourg-Poméranie occidentale.

    Qui a voté pour l’AfD ?

    Les ouvriers et les chômeurs sont surreprésentés parmi les électeurs de l’AfD, ainsi que les hommes, les personnes ayant fait peu d’études, les individus d’âge moyen ainsi que les électeurs qui se sont abstenus lors du scrutin précédent. L’AfD est également allé pêcher parmi les électeurs des autres partis.

    Qui siège au sein du nouveau Parlement ?

    Les écologistes et les ultranationalistes du NPD ne siègent désormais plus au sein du Parlement et les libéraux-centristes du FDP n’y entrent pas. Quatre partis se partagent les 71 sièges : les sociaux-démocrates du SPD disposent de 26 sièges, les patriotes de l’AfD de 18 sièges, la CDU de 16 sièges et les post-communistes de Die Linke de 11 sièges.

    Le prochain gouvernement du Land devrait être SPD-CDU, comme précédemment, ou SPD-die Linke, bien que cette dernière solution conduise le nouveau gouvernement à devoir s’appuyer sur une majorité très étroite.

    Conséquences du scrutin

    Malgré cette raclée électorale au sein du Land de Mecklembourg-Poméranie qui compte seulement 2 % de la population allemande, Angela Merkel ne modifiera probablement pas fondamentalement sa politique migratoire. La contestation au sein de la CDU, même si elle existe, ne conduira pas à un soulèvement contre la chancelière car celle-ci a décapité depuis longtemps les poids lourds de l’aile conservatrice du parti.

    Angela Merkel est, bien qu’elle ne l’ait pas annoncé officiellement, candidate à sa propre succession à l’issue des élections législatives de 2017. La défaite de son parti lors du scrutin au Mecklembourg-Poméranie ce 4 septembre 2016 la fragilise. Le parti-frère bavarois CSU, qui critique fortement la politique migratoire d’Angela Merkel, sort renforcé et pourrait bien vouloir imposer son dirigeant le Ministre-président de Bavière Horst Seehofer comme candidat de l’Union (CDU-CSU) à la Chancellerie.

    La CSU, restant fidèle à la célèbre déclaration de sa figure de proue Franz Josef Strauß (1915-1988) « Il ne doit pas exister de parti démocratiquement légitimé à la droite de la CSU », ne peut que reprocher à Angela Merkel d’avoir, par son virage à gauche, ouvert une énorme brèche au sein de laquelle l’AfD a pu s’engouffrer. Ce parti siège désormais au sein des Länder suivants après avoir obtenu : 5,5 % à Brême, 6,1 % à Hambourg, 12,6 % en Rhénanie-Palatinat, 15,1 % au Bade-Wurtemberg, 10,6 % en Thuringe, 9,7 % en Saxe, 12,2 % en Brandebourg, 24,2 % en Saxe-Anhalt.

    Le 18 septembre 2016 auront lieu les élections pour le Parlement du Land de Berlin et l’AfD devrait faire son entrée au sein de cette assemblée. Le parti patriotique siégera alors au sein de l’ensemble des parlements de l’est du pays.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/09/05/angela-merkel-vacille-au-mecklembourg-pomeranie-occidentale-5844266.html