
C’était à n’en pas croire nos yeux. Nous avons croisé ce tweet obscène du 12 novembre 2023 :
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C’était à n’en pas croire nos yeux. Nous avons croisé ce tweet obscène du 12 novembre 2023 :
Parmi les arguments le plus souvent invoqués contre les Chrétiens figure le reproche d’avoir gravement, à au moins deux reprises, agressé les Musulmans : lors des croisades, puis, huit siècles plus tard, lors de la colonisation.
Ces « péchés », régulièrement invoqués par ceux qui ne semblent pas les avoir « digérés », feraient passer pour un juste retour des choses leur afflux massif en terre chrétienne et leur revendication du droit d’y affirmer leur foi.
Un tel argument est très largement repris chez nous : « avec tout ce qu’on leur a fait, on ne l’a pas volé ».
Ces reproches doivent toutefois être replacés dans une perspective historique plus large que celle du dernier siècle, ou même du dernier millénaire. (Lire l'article : Le point de vue des Européens sur l'Islam au 16e siècle)
Sans entrer dans les détails, il importe de rappeler quelques faits.
Le monde politique assoupi a-t-il enfin mesuré le danger représenté par l’islam conquérant ? Un manque de courage empêche encore de désigner clairement l’ennemi. Certes, il faut saluer l’initiative de la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, et du président du Sénat, Gérard Larcher, d’une « grande marche civique », dimanche, « contre l’antisémitisme ». Les deux représentants du parlement expliquent leur démarche ce mercredi dans Le Figaro : ils évoquent « la République en danger » depuis « l’attaque terroriste » du Hamas contre Israël le 7 octobre, qui a suscité en France une multiplication d’actes anti-juifs (plus d’un millier en un mois, soit deux fois plus que durant l’année 2022).
Al-Andalus est généralement présenté comme un paradis perdu, une société multiculturelle idéale, empreinte de raffinement et de tolérance dont l’éclat contrastait avec les supposés « âges sombres européens », marqués par la barbarie et l’obscurantisme médiéval. Cette vision toute manichéenne, érigée en dogme par « l’Histoire officielle », est peu à peu remise en cause par des historiens courageux.
Dans une note d’étude intitulée « Stratégie de déstabilisation des mosquées par la mouvance salafiste », publiée il y a quelques semaines, la Direction nationale du renseignement territorial (DNRT) alerte sur les tentatives de prises de contrôle de salles de prière par la mouvance salafiste.
Vincent Peillon, pour ceux qui l’auraient oublié - ils auraient des excuses -, est cet éphémère ministre de l’Éducation nationale qui, en septembre 2012, dans un entretien accordé au JDD, préconisait « d'arracher l'élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel ». Il faut savoir faire montre de justice : si l’école est un champ de ruine, toute la responsabilité n’en revient pas à Pap Ndiaye. Ses prédécesseurs ont aussi manié avec beaucoup d'entrain et de dextérité la pelleteuse, notamment sous le piteux règne de François Hollande.
Dans Monde & Vie, l’abbé de Tanouärn met en rapport l’actualité en Arménie, en Palestine et chez nous. Extrait :
Tranquilles :