Mercredi, c’était Journée internationale contre les violences faites aux femmes. Pourquoi pas ? L’intention est bonne, mais la journée… ratée.
Comme les autres années, des associations féministes ont bravé le confinement pour descendre dans la rue et dénoncer « les regards sexistes », « les gestes déplacés », « les viols », « bien plus souvent le fait d’un époux, d’un père ou d’un ami ». Pour Le Monde, c’est dans son foyer que la femme est le plus sûrement exposée au danger : « Chaque année en France, quelque 220.000 femmes subissent des violences conjugales et 93.000 sont victimes de viol ou de tentative de viol. »