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islamisme - Page 96

  • Accusé d'avoir tenu des propos jugés «islamophobes», un professeur d’université est menacé de mort.

    Une enseignante et des élèves lors de l'hommage rendu à Samuel Paty, dans un établissement scolaire de Muret, le 2 novembre 2020 (image d'illustration)

    La professeur de droit de l'université d'Aix-Marseille contre laquelle la Ligue des droits de l'homme avait déposé une plainte pour «injures publiques en raison d'appartenance à des religions» vit désormais sous protection policière. 

    Une professeur de droit de l'université d'Aix-Marseille vit désormais sous protection policière, en raison de menaces reçues après la publication de son nom sur les réseaux sociaux, selon Le Point. Celles-ci font suite à une critique de la religion musulmane que l'enseignante a formulée lors d'un cours. 

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  • L’audace du gouvernement quand il s’agit de nous infliger des “gestes frontières” contraste avec le laxisme pratiqué à l’égard des islamistes

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    Philippe de Villiers a été longuement interrogé dans Valeurs Actuelles. Extraits :

    […] L’impéritie de nos gouvernants, censés mener, sous les ordres de M. Macron, deux guerres à la fois, tourne au flagrant délit d’incompétence… Cette impéritie affleure dans le traitement différentiel des deux virus, le coronavirus et le virus islamiste. Le premier relève de la sécurité sanitaire : pour protéger la population de cet ennemi viral, au nom du « nous sommes en guerre » , on a choisi de nous assigner à résidence, d’inventer la fameuse frontière domestique. On a fait dans le raffinement des mesures liberticides, jusqu’à verbaliser les simples promeneurs, on a mis à plat l’économie, déchiré les tissus conjonctifs de la France industrieuse. Chacun aura compris que la protection sanitaire était jugée plus importante que toutes nos libertés.

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  • L’assassin de Samuel Paty assassiné : le lapsus qui tue d’Emmanuel Macron

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    article du 13 décembre 2020

    L’un des plus grands Présidents-fossoyeurs de la nation, corrézien de souche, avait au moins la qualité d’aimer les bons poètes russes. Si cela ne suffit pas à l’absoudre de ses multiples trahisons, il a pu dire ceci, en mai 1995 : « Je me souviens, quand j’étais jeune, je lisais un poème de Lermontov, dans les années 1850, qui s’est transformé en une berceuse que tous les petits Russes ont entendue et qui disait : “Mon petit, dors. Le grand méchant Tchétchène est en train d’aiguiser son couteau, mais ton papa veille.” C’est une vieille, vieille affaire, l’affaire de Tchétchénie. »

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  • Vers un nouvel « Édit de Nantes » avec l'islam ? (texte de 2016)

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    Vers un nouvel .jpegLe nouveau livre de Philippe de Villiers, Les cloches sonneront elles encore demain ?, est un document à charge. Moyennant de nombreux documents auxquels il a eu accès, il  accuse a classe politique française de préparer depuis des décennies la reddition de la France à l’islam par son refus d'agir, de voir la vérité en face, de dénoncer cet État dans l’État. Mais le livre s'inscrit aussi dans la parfaite continuité de sa trilogie des héros français : Saint Louis Jeanne d'Arc et Charette. Car c'est un appel à aimer a France en ce qu'elle a de plus beau et de plus noble : telle est l’originalité de ce livre sur l’islam, dont Philippe de Villiers nous dit ce qui l’anime.

    Entretien avec Philippe de Villiers

    Les cloches sonneront-elles encore demain ? : le titre de votre livre est pessimiste...

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  • L'islam ? Interdit d'en parler (texte de 2016)

    L'Islam ? Interdit d'en parler.jpegUn quinquennat pour rien ? Il s'agit au départ d'un recueil des chroniques qu'Eric Zemmour donnait chaque matin sur RTL depuis 2012… Mais le polémiste efficace a ajouté cinquante pages en introduction, qui constituent une véritable bombe culturelle. Ça y est : notre artificier l'a faite exploser.

    Le lecteur peut très bien se perdre et trouver son bonheur dans les chroniques de ce « quinquennat pour rien ». Elles n'ont pas vieilli, même si parfois l'événement les a dépassées. Le temps donne raison à Eric Zemmour et à son pessimisme qui n'a pas pris une ride et que nous aurions plutôt plus de raison de ratifier qu'en 2012, lorsque l'on n'était encore qu'au début de ce terrible quinquennat à « pas de bol ». Maintenant c'est dans les rues de Paris ou de Nice que le sang français coule à flot. François Hollande ne se relèvera pas de cette mare de sang répandue alors qu'il est, comme il le dit lui-même, « aux responsabilités ». Que signifie cette longue liste de morts du Bataclan et de la Promenade des Anglais ? Que signifie la mort du Père Hamel, durant sa messe ? C'est l'objet de l’introduction de répondre à ces questions. Pour l'historien du présent qu'est Eric Zemmour la réponse est claire, objective, on aurait envie de dire elle est scientifique. Nous devons reconnaître que nous sommes en face d'une guerre de civilisation.

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  • Une guerre asymétrique

    « Comment un Niçois a-t-il pu s’en prendre à d’autres Niçois ? » Cette réflexion d’un journaliste, attrapée au vol sur France Info le lendemain du sinistre 14 juillet, indique biennale degré d’inconscience dans lequel se trouve, en même temps qu’une partie de la population, la caste médiatique que l’on appelle un peu vite le quatrième pouvoir.

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  • Islamisme : « la République française n’est pas la solution à nos problèmes, elle est le problème »

    « Lorsqu’elle a voulu montrer sa suprématie sur la religion catholique, la République a décroché toutes les croix des murs, a utilisé la force pour déloger de leurs congrégations des communautés de bonnes sœurs et de frères désarmés, a pris possession des églises et en a bradé le mobilier, a établi le règne des Droits de l’homme athée contre la foi et contre le Christ. Sans sourciller une seconde.

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  • Deux mois après l’assassinat de Samuel Paty, Najat Vallaud-Belkacem nous livre sa version du « séparatisme » : révoltant !

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    Dans la série des albums collector du type « Un Président de devrait pas dire ça… » à mettre sous le sapin, il faudrait ajouter le « Un ex-ministre de l’Éducation nationale ne devrait pas, etc. »

    Commençons par planter le décor et jouer franc-jeu : j’enseigne en REP depuis dix ans et, comme 90 % de mes collègues, je ne scolarise évidemment pas mes enfants dans cet établissement. Nous le faisons sans aucune mauvaise conscience, mais de façon raisonnée. En effet, nous souhaitons pour nos enfants un enseignement et une vie scolaire, non pas « élitiste », mais tout simplement « normale ». Vous vous souvenez, comme le Président d’avant, tout simplement. Enfin, un peu mieux que ce normal-là, quand même.

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  • Monsieur le président Macron, la langue religieuse des immigrés nord-africains est certes l’arabe, mais leur langue maternelle est majoritairement le berbère, par Bernard Lugan.

    Dans son entretien au média Brut donné le 5 décembre dernier, en plus de considérations démagogiques relevant du « café du commerce », le président Macron a enfilé les truismes, aligné les lieux communs et procédé à des généralisations à la fois abusives et erronées. Ainsi quand il déclara :

    « Quand votre enfant parle arabe, c’est une chance pour la France, ça a quelque chose à apporter à notre pays », le président français était en réalité sur la même ligne nationaliste arabe que Jack Lang, président de  l’Institut du Monde Arabe pour lequel « la langue arabe est une langue et un trésor de France ».

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  • La dhimmitude en marche

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    Valeurs Actuelles fait le point sur l’affaire Mila, cette jeune lycéenne menacée par des musulmans :

    En janvier dernier, la jeune Mila avait quitté son lycée en raison des menaces de mort dont elle était la cible après sa vidéo sur l’islam. La lycéenne avait alors rejoint en février un établissement militaire. Mais l’aventure vient de prendre fin. Selon les informations du Point, le colonel qui dirige cet établissement a en effet décidé d’exclure Mila en raison d’un “live” avec quelques amis, sur les réseaux sociaux, au cours duquel l’adolescente a cité le nom de l’internat où elle vivait. 

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