Si les Français ne veulent pas la guerre avec la Russie, leurs dirigeants la souhaitent, pour masquer leur échec dans tous les domaines. La Russie ne souhaite pas la guerre avec l’Europe. Elle entend récupérer les régions russophones de l’est de l’Ukraine. Elle n’a pas le désir ni les moyens de se lancer dans une opération de conquête du Vieux Continent. Après l’entrevue mouvementée entre Trump et Zelensky à la Maison-Blanche, la présidente du groupe Renew au Parlement européen, Valérie Hayer, appelle à une « économie de guerre » en surjouant du péril russe, avec « 250 milliards d’investissements annuels pour se réarmer et ne plus dépendre des États-Unis ». Le ministre de l’Économie Éric Lombard plaide également pour une économie de guerre. À la question de savoir si la situation était celle d’une «économie de guerre», il a répondu : « On n’y est pas mais il le faut. »
l'emploi
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L’économie de guerre, puis la guerre : on y va tout droit, sauf sursaut des Français
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Le danger des lobbies. Il faut sauver les auto-entrepreneurs et Olivia Grégoire a raison
Vous êtes au courant de cette histoire de seuil des auto-entrepreneurs de 25 000 euros à partir duquel ils devraient tous s’acquitter de la TVA ce qui est une ineptie économique et surtout sociale.
Faites d’ailleurs suivre cet article à votre Député pour qu’il sache que nous savons et que cela ne nous convient pas (Pour écrire à votre Député, c’est ici). Explication !
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Olivier Sibony : “Arrêtons de dire que la diversité rend les entreprises plus performantes”
La diversité, un levier de performance pour les entreprises ? En France, plus de deux tiers d’entre elles déclarent y allouer un budget. Pourtant, cette idée très répandue est… une illusion. Dans La diversité n’est pas ce que vous croyez ! (Flammarion), à paraître le 5 mars, Olivier Sibony, professeur de stratégie à HEC Paris, montre, études à l’appui, pourquoi le discours vantant les vertus économiques de la diversité – qu’elle soit ethnique, de genre ou encore culturelle -, ne résiste pas à l’épreuve des faits.
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Chômage : le scandale des statistiques contradictoires
Il faudrait savoir… Le 27 janvier, les médias s’alarmaient de la hausse de 3,9% du nombre de demandeurs d’emploi inscrits à France Travail au quatrième trimestre 2024, à 3,14 millions. Et deux semaines plus tard, beaucoup ont rapporté docilement une légère baisse du taux de chômage, à 7,3% sur le même trimestre… Une contradiction qui révèle la magouille de nos dirigeants et le caractère complètement artificiel et faux de la mesure du taux de chômage, contredite par les chiffres de France Travail.
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L’Estonie contrainte de fermer ses entreprises après avoir quitté le réseau énergétique unifié avec la Russie
Les pays baltes ont finalement réussi à se débarrasser de leur «dépendance énergétique russe» et récoltent déjà les fruits de leur «victoire». Les citoyens ordinaires du pays ont commencé à se préparer à un retour à «l’âge de pierre», mais ce ne sont pas les seuls problèmes des anciennes républiques soviétiques.
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Patrick Cohen, modèle du journalisme dégénéré
Connaissez-vous Patrick Cohen ?
Nul doute qu’en matière de journalisme dégénéré, il représente l’un des plus tristes spécimens d’une profession naguère noble, aujourd’hui gangrenée par l’idéologie subversive et les errements d’une modernité délétère. Aveuglé par les dogmes du progressisme niveleur, il érige en vertu ce qui n’est que l’expression d’un sectarisme étroit, maniant avec une adresse perverse l’intolérance la plus odieuse et la perfidie la plus insigne. Ce triste personnage s’inscrit dans la longue lignée des fossoyeurs du bon sens national, préférant aux règles élémentaires du métier cette infâme déviation qui confond information et propagande.
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« Le scandale France Travail » : Qu’avez-vous pensé de l’enquête de Sarah Knafo ?
Le 19 décembre dernier, l'étoile montante de Reconquête ! s'était rendue sur le plateau de Touche pas à mon poste. Face à Cyril Hanouna, elle avait attaqué le fonctionnement de l’organisme public France Travail, qu’elle avait accusé d’inefficacité et de gaspillage d’argent. Le lendemain, le patron de France Travail, Thibaut Guilluy, s’était à son tour rendu sur le plateau de TPMP, rejetant les critiques portées par Sarah Knafo. Le 3 février, l'eurodéputée est revenue à la charge sur le réseau social X, où elle a pu poursuivre son réquisitoire, incitant même sa communauté à partager avec le plus grand nombre le PDF de son enquête. Car nous avons bien affaire à une véritable enquête, chose rare chez nos politiques. Tous les AgoraVoxiens ne fréquentant pas assidûment X, il m'a paru utile de partager le travail de recherche de Sarah Knafo (images et texte). A chacun ensuite d'en juger.
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Le travail que les Français « ne veulent pas faire »… ?
Editorial d’Olivier Frèrejacques dans Liberté politique :
« Ils font le travail que les Français ne veulent pas faire. » Ce cliché du travailleur immigré dévoué à des tâches pénibles, en comparaison au Français qui serait devenu un fainéant, est devenu un véritable argument, aussi bien pour la gauche immigrationniste que pour un certain patronat avide d’une main-d’œuvre bon marché et peu contestataire.
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France Travail : un gouffre financier au service d’une bureaucratie inefficace ?
La gestion de l’emploi en France fait l’objet de critiques virulentes, et l’organisme public France Travail se retrouve aujourd’hui sous le feu des projecteurs. Accusé de dilapidation de fonds publics, de bureaucratie inefficace et de décisions contestables, il est pointé du doigt par Sarah Knafo, eurodéputée Reconquête. Son enquête détaillée révèle des dépenses extravagantes, des résultats médiocres et une gestion opaque qui pèsent sur les finances publiques. Décryptage.
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Sarah Knafo dénonce le scandale France Travail, Marine Le Pen refuse de toucher aux fonctionnaires
Mon article sur le refus de Marine Le Pen de se séparer des fonctionnaires « car c’est une mesure de droite » a attiré l’attention d’un ami qui m’a adressé des informations de première main, toutes publiques, que je vous livre ici.
Ces informations confirment que c’est une question ultra sensible pour tous les politiques. Ça n’en reste pas moins un problème.