ArcelorMittal, premier sidérurgiste mondial et ancien fleuron national passé en mains indiennes depuis 2006, annonçait courant février vouloir délocaliser ses fonctions « supports » en Inde et en Pologne. Mais comment le groupe indien peut-il perdre de l’argent en Europe, alors même qu’il y produit ses aciers de meilleure qualité ? La faute notamment aux normes européennes taxant l’acier européen car polluant mais autorisant, dans le même temps, l’importation massive et non taxée d’acier chinois. Serait-il moins polluant ? Il ne fait en tout cas travailler aucun Français, bien au contraire !
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Communiqué d’Action française – Ne laissons pas sacrifier ArcelorMittal France
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Une politique pour le XXIe siècle
Fait capital pour comprendre le XXIe siècle, la France passe de la société industrielle à la société post-industrielle en 1982, au moment où les sociaux-démocrates du centre-gauche ont pris la relève des libéraux du centre-droit. Pierre Debray publie alors sa dernière grande étude monarchiste sur les conséquences de ce double phénomène.
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Effondrement ! La production automobile française au plus bas depuis les années 60
Voici le brillant résultat obtenu par la Commission Européenne et les politiciens Français qui ne sont pas les derniers à vouloir plier le secteur automobile au nom de la sainte écologie devenue une religion dogmatique que l’on ne peut ni questionner ni interroger sous peine d’excommunication. “Climatosceptique”! Vade retro !
Nous pourrions dire que nous avons un vrai problème de pollution et de particules avec les voitures mais le problème c’est qu’ils font cela avec tous les secteurs.
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Enfin… “le problème ce n’est pas le travail de ceux qui travaillent mais le nombre de ceux qui ne travaillent pas du tout”!
C’est un article du Figaro (source ici) qui revient sur les dernières déclarations de notre ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet en se demandant si elle raison de dire qu’en France, « on n’a pas assez de gens qui travaillent » ?
Le problème, selon la ministre, ne proviendrait pas des individus en emploi, qui « eux travaillent beaucoup, si ce n’est plus que les Allemands et les Britanniques », mais plutôt du nombre de personnes qui travaillent.
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Macron veut une économie de guerre sans usines… Mozart de l’industrie !
Vous connaissiez le Mozart de la finance et ses 3 400 milliards de dettes.
Vous connaissiez le Mozart de la stratégie et son envie de rentrer en guerre contre la Russie et les Etats-Unis en même temps, ce qui constitue une approche “brillante” !
Voici maintenant qu’il endosse le rôle de Mozart de l’industrie, et comme tout ce qu’il touche, évidemment nous allons à la catastrophe.
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Des dizaines de milliers d’emplois supprimés d’après le ministre de l’industrie
Allez, je vais commencer par une pointe de taquinerie. Si vous ne connaissiez pas le ministre de l’industrie, et bien voilà que l’occasion se présente avec ces annonces de plans de licenciements majeurs qui se profilent pour les mois qui viennent et qui vont entraîner la suppression sans doute de plusieurs milliers d’emplois.
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Trop peu, trop tard. Effondrement du marché automobile, l’UE assouplit la réglementation CO2 !
C’est notre grand mamamouchi Stéphane Séjourné, seul dyslexique souffrant d’un trouble oral de cette maladie qui ne touche que l’écrit, mais c’est un autre sujet, s’est vu affublé d’un titre sacrément ronflant.
Monsieur Séjourné est Vice-président exécutif à la Prospérité et la Stratégie Industrielle !
Hahahahahahahahaha…. Dans cette Union Européenne devenue aussi dystopique qu’Orwellienne, nous sommes en pleine inversion des mots. Par exemple la paix c’est la guerre. Ou l’absence de gaz c’est trop d’énergie. Ou pour être vraiment libre il faut réduire la liberté de parole. Alors quand on nomme un Vice-président exécutif à la Prospérité et la Stratégie Industrielle, c’est que plutôt que de la prospérité, car tout le monde sait bien n’est-ce pas que l’Europe c’est la paix et la prospérité, et bien vous aurez plutôt de la misère… et aucune stratégie industrielle puisque l’Union Européenne détruit consciencieusement toutes nos capacités industrielles depuis 30 ans en accélérant depuis 10 ans.
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Faut-il vraiment régulariser 200.000 étrangers pour nos restaurants ?
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La filière automobile disparaît elle-aussi…
Transition obligatoire vers l’électrique dont plus personne ne veut, hausse des coûts de production et des matières premières, réglementation hystérique, il n’en faut pas plus pour finir de déglinguer la filière automobile européenne. Les professionnels de l’automobile, depuis les constructeurs jusqu’aux petits garages, n’en peuvent plus et entrevoient une année 2025 calamiteuse, après les précédentes déjà marquées par le marasme. Les problèmes structurels et réglementaires conduisent les acteurs de la filière à tenter de discuter avec l’État, pour quoi faire, un changement de perspective ou des aides dont on n’a pas les moyens ? Les idéologues « climatistes » hyper-minoritaires ne veulent rien lâcher et on sent même que la fin de cette filière leur fait plaisir. Les aides, c’est fini, plus de moyen, plus de volonté…
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L’économie de guerre, puis la guerre : on y va tout droit, sauf sursaut des Français
Si les Français ne veulent pas la guerre avec la Russie, leurs dirigeants la souhaitent, pour masquer leur échec dans tous les domaines. La Russie ne souhaite pas la guerre avec l’Europe. Elle entend récupérer les régions russophones de l’est de l’Ukraine. Elle n’a pas le désir ni les moyens de se lancer dans une opération de conquête du Vieux Continent. Après l’entrevue mouvementée entre Trump et Zelensky à la Maison-Blanche, la présidente du groupe Renew au Parlement européen, Valérie Hayer, appelle à une « économie de guerre » en surjouant du péril russe, avec « 250 milliards d’investissements annuels pour se réarmer et ne plus dépendre des États-Unis ». Le ministre de l’Économie Éric Lombard plaide également pour une économie de guerre. À la question de savoir si la situation était celle d’une «économie de guerre», il a répondu : « On n’y est pas mais il le faut. »