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A la une de cette édition, Emmanuel Macron en Calimero. Le président de la désindustrialisation déplore les nouveaux tarifs douaniers américains et n’a plus que ses yeux pour pleurer.
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A la une de cette édition, Emmanuel Macron en Calimero. Le président de la désindustrialisation déplore les nouveaux tarifs douaniers américains et n’a plus que ses yeux pour pleurer.

Selon Le Figaro, le tribunal administratif de Nantes a suspendu une note de service qui imposait aux policiers de Loire-Atlantique de remplir une fiche navette sur les étrangers en situation régulière placés en garde à vue. Cette fiche, qui alimentait un « tableau informatisé », devait être transmise à la préfecture et comprenait des données personnelles comme le signalement dans le fichier des antécédents judiciaires, les motifs d’interpellation et les suites judiciaires.

Chronique de Paysan Savoyard (n° 336 – Mars 2025)
Dans un élan martial et patriotique quelque peu grandiloquent, le gouvernement, la totalité de la classe dirigeante et leurs médias viennent déclarer solennellement que la Russie constitue une menace pour la France et pour les autres pays européens. « Menace existentielle » a même osé E. Macron. Il s’agit là bien entendu d’un grossier mensonge. La Russie n’a aucune raison de s’en prendre aux pays européens, en tout cas à la partie occidentale de l’Europe, et elle n’en a de toute façon pas les moyens. La réalité est exactement inverse, c’est la France qui mène depuis trois ans une guerre à la Russie : avec les autres européens, elle arme et aide financièrement l’Ukraine ; avec eux elle a décidé de différentes sanctions à l’égard de la Russie et se proposait même, on s’en souvient, de la « mettre à genoux » économiquement ; elle a saisi les avoirs russes en France ; elle multiplie les injures et les menaces pénales contre les dirigeants russes. Aujourd’hui elle annonce sa volonté de donner à l’Ukraine les moyens de poursuivre la guerre en dépit du désengagement américain.

L’onde de choc concernant le verdict et surtout la peine d’inéligibilité avec exécution provisoire contre Marine Le Pen a été telle qu’il nous faut y revenir.
Non pas pour jouer dans les vagues de l’eau boueuse de la mare aux canards qu’est notre landerneau politique, mais pour nous pencher, (puisque l’occasion nous en est donnée), sur cette Justice qui fonctionne décidément mal. En même temps, me direz-vous, comment voulez-vous qu’un truc dirigé par l’extrême-gauche fonctionne.
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Dans un contexte marqué par la condamnation de Marine Le Pen à une peine d’inéligibilité, qui suscite de vives critiques sur l’étendue du pouvoir judiciaire, une majorité de Français s’inquiète de l’état de la démocratie.
Qui est Bénédicte de Perthuis, cette juge qui a eu le pouvoir exorbitant de chambouler le résultat la prochaine élection présidentielle ? Bien qu’elle ne puisse se parer d’aucune légitimité démocratique. Et affirme vertueusement ne pas être syndiquée. Ni faire de politique.